- 21/05/2025
Ne manquez pas Hard Talk ce mercredi 21 mai 2025 sur Top FM! Thème de l’émission : Commerce régional et international - les enjeux pour Maurice Rudy Veeramundar reçoit : Amédée Darga (Managing Director de Straconsult) Sheik Mahamoodally (Lead Partner de M2A Business Consulting) Dr Hans Seesaghur (International Affairs Specialist) Rendez-vous ce mercredi 21 mai à 17h30 : • Sur Top FM • Également sur Top TV et sur la chaîne 10 de Parabole Maurice Participez à l’émission en appelant le 213 77 77 à partir de 18h05
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00:00Bonsoir à toutes et à tous, vous pouvez écouter Top FM, aujourd'hui nous est mercredi
00:00:2421 juin et vous pouvez suivre nous l'émission Hard Talk, l'émission qui au cas suivent
00:00:29le Facebook, le Youtube et aussi l'application Top TV ou la chaîne Parabole Maurice, la
00:00:36chaîne 10.
00:00:37Nous l'émission aujourd'hui est le commerce régional, international et bien l'enjeu
00:00:42pour Maurice ne peut aussi qu'aux stratégies de l'Afrique.
00:00:45En studio, nous avons Amélie Delga, qu'on ne présente plus, de Star Consult, nous avons
00:00:51Cheikh Mahamoudali, lead partner de M2A Business Consulting qui est en Afrique depuis les
00:00:58derniers 15 ans, nous avons aussi le docteur Hansi Saga, spécialiste international de
00:01:03diplomatie et commerce international, donc voilà, c'est bien l'invité qui nous l'a
00:01:09au plateau ou qui peut également participer à l'émission ou aussi en appelant sur le
00:01:12213 77 77 à partir de 18h05.
00:01:18Donc le contexte international est bien compliqué ou bien incertain, comme a dit Mahamoudali,
00:01:25donc 9 ans après Brexit, nous trouvons dans l'actualité, depuis sa dédaine ce jour-là,
00:01:31qui l'ont été à travers ce nouveau Premier Ministre, qui a fait un retour presque dans
00:01:39l'Europe au niveau commerce, donc 2016 c'est l'année qu'il y a des événements, Brexit
00:01:45d'une part et aussi Donald Trump qui s'y est dit pour la première fois et 9 ans après
00:01:49Donald Trump au pouvoir et bonne actualité au niveau du commerce mondial, les pays bousculés
00:01:56et donc l'Afrique est présentée comme une île de radio, mais ce n'est pas un chapitre
00:02:02nouveau.
00:02:03Donc c'est bon thème que nous avons invité pour discuter ce soir sur le TOP FM.
00:02:10Donc nous commençons avec une question globale, nous commençons par Amélie Delgar, une vétéran,
00:02:17donc quand nous regardons toute l'actualité qui est arrivée au niveau international depuis
00:02:24cette année déjà, et depuis trois années, nous trouvons des tarifs par ici, des chagrins
00:02:31un coup d'oeuf, nous avons l'Europe, en Angleterre précisément, changement de gouvernement
00:02:38et changement de trajectoire économique et de politique économique, qui rigole sur la
00:02:42politique internationale actuellement.
00:02:44Alors elle regarde deux perspectives, la première perspective c'est un peu moins
00:02:51une perspective de l'île Maurice, vous connaissez bien souvent, vous réalisez qu'il y a beaucoup
00:02:58de monde qui trouve des affaires qui peuvent arriver au niveau international sur le plan
00:03:05de la diplomatie, de la géopolitique et de la géoéconomie, on va dire des gros catastrophes
00:03:11qui peuvent arriver, nous pensons qu'il nous faut qu'il y ait une perspective historique
00:03:18pour simplement accepter que ce n'est pas maintenant, nous finissons dans le passé,
00:03:24dans le passé pas trop loin, nous finissons dans ce qu'on appelle un événement de choc
00:03:29qui oblige nous à regarder nos perspectives, surtout des qui sont les plus récentes.
00:03:35Un, Maurice c'est un pays qui tient un marché garanti politique, avec un prix garanti,
00:03:43et puis il y arrive un moment où ils nous disent qu'il n'y a plus de quotas, il n'y
00:03:47a plus de prix garanti, c'est un choc, de la même façon quand il y a l'abolition
00:03:53du multi-fibre agreement, nous tions un marché garanti en Europe pour nos textiles, pour
00:03:59nos produits d'habillement, nous ne perdions ça, donc pour moi il y a une affaire quasi
00:04:06normale qu'il y a un pays comme Maurice, les Bézins sont suffisamment résilients
00:04:12et habiles pour à chaque fois, les Bézins les accommodent et réinventent les mêmes
00:04:19par rapport au contexte international, mais il y a un grand sens, il y a un grand sens
00:04:24dans le sens que quand nous pitié, nous gagnons les rats, nous vivons dans un mindset qui
00:04:31nous donne les rats, nous vivons capable, parce que nous ne vivons pas dans un gros
00:04:34bout dans le monde, nous vivons dans un petit bout, nous vivons capable donc de connaitre
00:04:38qu'est-ce qui nous ferait et nous se met pour nous gagner ce qu'il nous faut gagner
00:04:42pour nous l'intérêt économique, maintenant si on regarde sur le plan international, sur
00:04:46une perspective intellectuelle qui peut arriver dans le monde, là aussi, ce n'est pas la
00:04:52première fois qu'il y a eu un bouleversement fondamental dans le monde, il peut-être paraître
00:04:59loin, mais laisse-nous rappeler qu'il y a un moment, ce n'était pas le dollar qui
00:05:05était la monnaie internationale, c'était l'eau, tout ou réserve, tout se peut miser
00:05:10en eau, puis il arrive un moment qu'on sent ça, et donc c'est le dollar qui prend la
00:05:16prédominance aujourd'hui, de la même façon, il m'appelle l'institution de Bretton Woods
00:05:24qui lui-même met l'ordre avec tout le pays, il dit qu'il y a une manière de diriger
00:05:27le pays qui déficite, tout ça, ça finit par arriver, et puis finit par arriver l'ordre
00:05:34global du commerce, qu'est-ce qu'il y a, nous avons tout ouvert, nous avons tout ouvert
00:05:41pour que le commerce vienne plus facilement, je finis par la grande chance de participer
00:05:47à une grande réunion de l'OMC, l'Organisation Mondiale du Commerce, quand on écoute les
00:05:53Américains, quand on écoute les autres, on sort de là avec une conviction bien claire,
00:06:00c'est-à-dire, ou dire ouvert contre moi, c'est moi qui n'ai pas trop d'accord pour
00:06:05ouvrir contre vous, moi je connais qu'il peut arriver un moment que ce qui peut pousser
00:06:11pour ouvrir, et notamment les Etats-Unis, il peut arriver un moment qu'il peut dire
00:06:14ouais, on peut trop ouvrir contre moi, j'ai pas trop envie, donc, c'est l'ordre mondial
00:06:19international du commerce là, il fait un état qui n'est pas très long, et aujourd'hui
00:06:24il est fait renversé, et donc c'est une nouvelle ordre que nous pouvons rétablir
00:06:29une bonne alliance, un bon marché, entre différents pays, en n'oubliant pas une chose,
00:06:35en n'oubliant pas que la majorité des consommateurs ne se trouvent pas aux Etats-Unis, même si
00:06:41ils ont un grand pouvoir là, la majorité des consommateurs se trouvent en Asie et en
00:06:46Afrique, voilà.
00:06:47Vous pouvez même me poser une question, qu'est-ce qui vous paraît quand il y a la presse nationale
00:06:53et internationale, qui font des décisions qui dépendent de l'Amérique, de l'Europe,
00:06:58commencées par Trump, par exemple, beaucoup d'alliances USAID, qui sont aussi dans l'Organisation
00:07:06mondiale de la santé, ou bien des tarifs, il paraît qu'il y a une panique généralisée.
00:07:10Oui.
00:07:11Comment vous expliquez ça ?
00:07:13Bah écoutez, je peux vous dire des affaires qui peut-être ne vous feront pas plaisir,
00:07:17c'est la terre.
00:07:18Il y a des raisons pour lesquelles on fait des choses comme ça.
00:07:23Je pensais qu'il nous habitait, nous, terriblement à vivre dans le monde et à réagir au cas
00:07:33de tout, à l'événement, à l'immédiat, ça c'est la première chose.
00:07:38La deuxième chose c'est aussi le manque de distanciation, de perspective qui est au-delà
00:07:48d'un simple événement.
00:07:50Et la troisième raison, c'est que nous pensions qu'il y a une catastrophe pour nous.
00:08:01Nous ne pouvons pas réaliser, et moi plus tard je vous dirai, ce qui peut arriver, tromper
00:08:07mes tarifs.
00:08:08C'est bon.
00:08:09Qu'est-ce qui est impliqué pour nous ? Non, c'est de nous pleurer, ou soit nous
00:08:14pensons qu'il y a quand même une opportunité, mais pour éviter ça, nous allons y aller.
00:08:19D'accord.
00:08:20Et nous avons Cheikh Mahomadali, alors Cheikh Mahomadali, vous êtes un partenaire de M2A
00:08:27et vous faites business sur l'Afrique depuis à peu près une quinzaine d'années.
00:08:31Donc, qu'est-ce que vous regardez par rapport à l'actualité un peu compliquée à l'international ?
00:08:37Bonsoir Rudy, bonsoir tout le monde, et principalement l'Afrique c'est une terre de
00:08:44opportunités, en général, et je vais vous donner une topographie de l'Afrique pour
00:08:50que tous les auditeurs comprennent un petit peu, c'est dingue déjà, l'Afrique contient
00:08:5454 pays, 54 nations, multiples langues, on prend anglais, français, portugais, arabe,
00:09:03et les opportunités les multiplient de pays après pays.
00:09:10Les opportunités actuellement en Afrique, de nos jours, ce qui peut mettre en valeur
00:09:15c'est l'énergie.
00:09:16L'énergie c'est un gros problème en Afrique, la population, l'énergie que ce soit pour
00:09:28travail, le bureau, l'office, et surtout les investisseurs, la première chose quand
00:09:35on vit dans un pays, c'est l'énergie, pour pouvoir fournir de l'électricité pour les
00:09:44nécessités de production.
00:09:45Alors, nous prenons l'exemple ici comme, allons dire, là récemment, Boukina Faso,
00:09:50il investit énormément dans l'infrastructure, énormément dans l'énergie, et là récemment,
00:10:00le président Ibrahim Traoré était en Russie pour faire venir une université de haute technologie,
00:10:11haute grade, pour qu'elle éduque la population, c'est-à-dire augmente la qualité de ce pays.
00:10:19Juste avant qu'il nous rentre en plein dans le débat, c'est le sujet de notre émission,
00:10:24vous faites sortir, juste avant de nous revenir là, vous faites sortir CEO Forum en Afrique,
00:10:30là, on le fait contre Maurice hier ou ce matin?
00:10:32Hier.
00:10:33Hier.
00:10:34Donc, justement, CEO Forum qui est organisé par Jeune Afrique, quand même, à une grande
00:10:38margine, etc.
00:10:39Donc, par exemple, quel mood était, par exemple, pour les ministres, les présidents, les businessmen,
00:10:47par exemple, la situation mondiale, avec Trump et tout, quel mood avait, par exemple, dans
00:10:54le CEO Forum d'Afrique par rapport à ce qui peut passer internationalement?
00:10:57Écoute, les discours de Trump, ok, ils parlent de l'opportunité dans le continent africain,
00:11:08parce que, écoute, quand on parle du continent africain, il y a à peu près 1,3 billion de
00:11:14population, ou plus même, ok, et au CEO Forum, il y a des discours que les sociétés privées
00:11:24et les gouvernements qui se mettent en accord, c'est que comment on peut embellir chacun
00:11:31des pays?
00:11:32Il y a des opportunités, par exemple, là, récemment, Rwanda et le Ghana, ok, il y a
00:11:38une nouvelle business trade, une compagnie qui est dans le Ghana, qui a trade de Rwanda
00:11:43librement, mais qui n'a pas encore finalisé le framework, et ça, c'est quelque chose
00:11:49d'intéressant.
00:11:50Deuxièmement, en tant qu'un passportholder d'un pays africain, voilà, Rwanda, comme
00:11:56ça, s'envisage.
00:11:57Alors, ce n'est pas une opportunité, ce n'est pas la porte qui peut ouvrir devant le pays,
00:12:04et puis le CEO Forum, écoute, c'est un forum à peu près de 2500 CEOs qui présentent,
00:12:10qui se fait business matchmaking, qui trouve un deal et tout ça, et un mot qui est vraiment
00:12:17qui va me capter pendant plusieurs sessions, c'est le risk assessment, c'est-à-dire que
00:12:25on prend dix ans en arrière, avant quand la banque prête l'argent à une société
00:12:33privée pour aller investir en Afrique, énormément de questions.
00:12:39Maintenant, j'ai ouvert des corridors pour mitiguer le risque de la banque, mais c'est
00:12:47très ouvert pour mon investissement, par exemple mon investissement dans la production
00:12:51d'alimentation, là récemment dans l'investissement de le cocoa, en Côte d'Ivoire, Cajou, et
00:12:59surtout Mauritanie peut développer ces zones maritimes.
00:13:02C'est une nouveauté dans le continent.
00:13:07D'accord.
00:13:08Anthony Chagall, vous aussi, vous faites une fréquence de Mauritie, il y a un semaine
00:13:14environ, vous allez dans le Russia-Africa Forum, donc Summit, donc justement, vous faites
00:13:22un travail, vous faites étudier la Chine pendant de nombreuses années, vous faites
00:13:25un travail à la Chine, vous vous représentez l'Economic Development Board en Chine, donc
00:13:30vous avez bien votre perspective, ce qu'on appelle le BRICS, donc Russie, la Chine, entre
00:13:38autres.
00:13:39Donc actuellement, qu'est-ce que vous trouvez, par rapport à la banque, bien sûr, ce qu'il
00:13:43y a au niveau international ? Et comment vous situez le contexte ?
00:13:47Bonsoir, bonsoir Udi, et bon, normalement, ce que je vais trouver à cela, c'est le type
00:13:56de globalisation que nous avions auparavant, qui peut changer, qui peut devenir une globalisation
00:14:01sélective.
00:14:02Et en ce moment, nous trouvons une tendance qu'il y a une coopération plus entre les
00:14:08pays sud-sud.
00:14:09Et récemment, comme c'est à la conférence que vous avez mentionné là, le Russia-Africa
00:14:15Youth Forum, il y a environ 40 pays africains, et c'est surtout les jeunes.
00:14:22Et là-bas, ce qu'on trouve dans cette conférence-là, c'est que la majorité des jeunes, ce n'est
00:14:28pas de l'aide.
00:14:29Quand il y a des jeunes qui dansent, hein ?
00:14:32Disons environ 25 à 45.
00:14:36Et la majorité des jeunes qui sont présents dans ce forum-là, ce n'est plus de l'aide,
00:14:42ce n'est pas de l'aide, ce n'est pas de l'aide, ce n'est pas de l'aide, ce n'est pas de l'aide.
00:14:43Donc, je suis là de direction la Russie pour autre capacité building, ça veut dire j'ai
00:14:48besoin d'un training, il y a une meilleure université qu'il y en a dans la Russie, pour
00:14:54être capable de développer votre propre pays, et dans différents secteurs, hein ?
00:14:58Parce que la Russie, il ne faut pas oublier, c'est le pays le plus grand dans le monde,
00:15:03et je n'invente beaucoup d'affaires, par exemple, je n'invente Tetris, ça me convient
00:15:09pour beaucoup de monde qu'il y en a, je n'invente Periodic Table, et je n'ai beaucoup l'avancée
00:15:15de la technologie et que nous, les Africains, nous sommes capables d'apprendre là-bas et
00:15:20de créer notre propre pays.
00:15:22Et une deuxième affaire, c'est, par exemple, l'autre côté du trade war qu'il y a en ce
00:15:31moment avec l'Amérique et avec la Chine, la Chine trouve ça d'une autre façon, elle
00:15:36trouve qu'à chaque période, comme M. Drogba fait dire, il y a une réaction qui arrive
00:15:44dans le monde, des hauts et des bas, la Chine trouve qu'il y a un l'océan, et il y a une
00:15:52cyclone qui arrive, mais après cette cyclone-là, la mer est là, vous tranquille, et vous êtes
00:15:56bien patient là-bas, exactement, vous êtes bien patient là-bas, mais vous avez une opportunité,
00:16:02c'est ça, c'est là qu'il y a des gros blocs qui vont former, c'est à ces gros blocs
00:16:05qui vont former là, c'est l'OCEP qui est dans l'Asie, avec ce qui est dans l'Afrique,
00:16:11et CFTI.
00:16:12Et ça, des gros blocs là, il y a aussi des gros blocs où il n'y en a plus beaucoup
00:16:17d'un consumer, comme M. Drogba fait dire, parce que le continent africain, c'est un
00:16:22gros continent, c'est le deuxième plus grand continent dans le monde, et le continent de
00:16:26l'Asie, c'est le premier plus grand continent.
00:16:28Donc, perspectivement, oui, nous nous faisons connaître comment nous pouvons faire ça
00:16:37effectivement pour linker ces deux continents-là à travers quelques pays.
00:16:41Et justement, par exemple, ça a saumé Russes aussi en Afrique, quel est l'objectif de
00:16:50la société ?
00:16:52Et bon, au fait, durant les 7-9 dernières années, il y a beaucoup de pays maintenant
00:17:00qui peuvent se positionner dans l'Afrique, qu'il y ait l'Amérique, qu'il y ait l'entier
00:17:07du monde, l'UEI, qui est un gros, un major player à cela dans l'Afrique, et c'est déjà
00:17:14une africaine initiative qu'ils veulent faire, qu'ils veulent cibler 15 pays spécifiques,
00:17:18et ils en ont même un pamphlet pour chaque pays, que ce soit un investissement.
00:17:24Et dommage, nous ne partons que dans ces 15 pays-là, et bon, ça...
00:17:30Et vous connaissez qui fait que nous ne partons que dans ces 15 pays-là ?
00:17:33Il y a une raison spécifique ?
00:17:36Bon, mon pensée, moi, d'après moi, c'est quand l'UEI peut targuer ces 15 pays de l'Afrique-là,
00:17:43c'est d'éviter déjà dans quelles capacités ils sont capables de pousser le développement,
00:17:47que ce soit économique ou énergétique. Et pour Maurice, nous lui avons signé un SEPCA
00:17:53tout récemment, le 1er avril, et il avait plutôt le côté finance, qui est déjà
00:17:58l'UEI, il y a un compétiteur, et pour Wanda aussi, il y a un compétiteur.
00:18:02Donc je vais plutôt targuer le secteur qu'ils sont capables d'amener dans un pays africain,
00:18:09les autres pays africains, et c'est surtout le côté énergétique.
00:18:13D'après ce qui m'ont dit, c'est l'autre nouveau, disons, Africa stratégique qu'ils
00:18:18veulent faire, et ils veulent faire ça l'année dernière, en 2023, et un an après,
00:18:23il y en a déjà 15 pays fixes.
00:18:25Vous pouvez dire que Maurice est un compétiteur ou il n'est pas intéressé ?
00:18:29Maurice est un compétiteur du côté finance, du côté juridiction financière,
00:18:36mais aussi les pays qui nous intéressent, qui nous intéressent aussi, c'est ce que nous pensons.
00:18:40Et par exemple, dans ces 15 pays-là, vous avez l'exemple d'un des pays dans la région
00:18:45qui est proche de nous, qui font partie d'un des pays bénéficiaires ?
00:18:49Bon, il y en a Sud-Afrique, parce qu'au fait, c'est que l'UEI, une fois, on a déjà
00:18:54cinq plus grosses économies qu'il y a dans l'Afrique.
00:18:56Mais quand il y a cinq plus grosses économies dans l'Afrique, nous pensons, je ne sais
00:19:02pas comment vous appeler ça, mais nous pensons déjà, je pense que M. Dorban,
00:19:06nous pensons déjà à l'Afrique du Sud, le Morocco, l'Algérie, l'Égypte, le Nigeria.
00:19:10C'est cinq gros là. Donc, c'est cinq plus grosses économies qu'il y a dans l'UEI,
00:19:16parce qu'ils ont investi un gros capital pour développer.
00:19:20C'est un secteur qu'ils ont investi là-bas, et la population est énorme là-bas.
00:19:24Dans la masse critique, on peut dire.
00:19:27Exactement.
00:19:28D'accord. Et je retourne vers Amédée Delgare.
00:19:32Justement, là, nous avons un point de vue bien global.
00:19:36Il y a des gens qui, vraiment, qui ne connaissent pas la Chine,
00:19:39et là aussi, je sais qu'au niveau de l'Afrique.
00:19:41Et justement, bien qu'il y ait une dire qui prouve qu'il n'y a pas d'un dieu de salaud,
00:19:48mais de paniqué, parce qu'il y en a déjà arrivé avant, qui ne font pas ce pas,
00:19:53qui n'ont pas fait tout de surveillance.
00:19:57Mais il y en a quand même certains épisodes qui sont arrivés là,
00:20:03qui nous faisons prendre en considération, surtout par rapport à Maurice.
00:20:10On dirait tout à l'heure là que pour moi, et pour Maurice,
00:20:15nous faisons guetter ce qui peut arriver comme étant un moment d'opportunité.
00:20:21Et les opportunités sont effectivement grandes.
00:20:25Nous, le pays, finit par avoir un accord de commerce préférentiel avec de nombreux pays.
00:20:35Il y a la Chine, l'Inde, le Turcie, le Pakistan, l'UEI, etc.
00:20:41Donc, Maurice en a devant lui un marché immense.
00:20:45Mais quel est le problème de Maurice ?
00:20:47Il n'a pas la capacité de fournir.
00:20:50C'est ça le plus gros problème.
00:20:52Oh, ce problème-là, il y a une opportunité.
00:20:55Nous avons le marché.
00:20:57Nous avons un marché énorme.
00:20:59Mais nous n'avons pas la capacité de fournir.
00:21:02Et si nous n'avons pas la capacité de fournir, c'est parce que nous n'avons pas l'investissement
00:21:07pour être capables de produire.
00:21:09Ce qui, ce pays-là, nous donne la chance de pouvoir vendre quelque chose d'autre.
00:21:15Donc, aujourd'hui, un nouveau impératif,
00:21:19c'est d'amener l'investissement dans le secteur productif
00:21:23pour qu'il soit capable de prendre l'avantage de l'ouverture des marchés
00:21:29qui nous fait gagner.
00:21:31Quand nous avons cette perspective-là,
00:21:35qu'il y a la région immédiate africaine,
00:21:39qu'il y a les autres pays,
00:21:42nous n'avons pas trouvé qu'ils nous faisaient alarmer.
00:21:48Évidemment, quand Trump met le tarif,
00:21:54s'il regarde sa tarif 40%,
00:21:57parce que quand vous voyez comment Trump opère,
00:22:00Trump opère comme un bon boxeur.
00:22:04Il commence par mettre tous les collos avec Mireille.
00:22:09Il faut aussi qu'on se débatte avec lui.
00:22:11Quand nous sommes au départ, c'est que Trump a fait le tarif.
00:22:14Il s'est assis, il a décrété,
00:22:16il a mis tel tarif dans tout le pays.
00:22:19Après, qu'est-ce qu'il a fait ?
00:22:20Il a commencé à ouvrir la porte, il avait négocié.
00:22:22Il a fini par mettre tous les collos avec Mireille,
00:22:24il s'est assis, il a négocié.
00:22:26Et on peut dire qu'il a causé avec lui.
00:22:28Mais dans le cas de Maurice,
00:22:30je n'ai pas vraiment pensé
00:22:34qu'il avait un souci pour Trump.
00:22:39Si Trump avait fait comme ça,
00:22:41qu'il avait mis 40%,
00:22:42qu'est-ce qu'il aurait perdu maintenant ?
00:22:434 lisines pour fermer ?
00:22:45OK.
00:22:46Mais de l'autre côté,
00:22:47il aurait eu sa gosse avec moi.
00:22:49Mais si je lui donne sa gosse,
00:22:50je lui donnerai 100 millions de dollars.
00:22:53Mais qu'est-ce qu'il aurait perdu ?
00:22:54Excusez-moi l'expression.
00:22:56Donc, quand on a cette perspective-là,
00:23:00oui, il peut y avoir un petit peu de dégâts.
00:23:02Si la position de Trump, le tarif est resté,
00:23:06oui, il peut y avoir un petit peu de dégâts.
00:23:09Mais il y a aussi un moment,
00:23:11mon pensée,
00:23:12pour qu'une entreprise existante
00:23:14soit capable, rapidement,
00:23:17d'obliger à réinventer soi-même.
00:23:19Vous connaissez,
00:23:20il y a une grosse faiblesse
00:23:21dans l'entreprise industrielle,
00:23:23et notamment dans le textile.
00:23:25Cette grosse faiblesse-là,
00:23:27c'est que la majorité de l'entreprise textile à Maurice,
00:23:31vivent leurs dettes.
00:23:33Quelle est l'implication de ça ?
00:23:35Pas suffisamment productif,
00:23:37pas suffisamment compétitif.
00:23:39Leur dette, leur intensité de main-d'oeuvre,
00:23:43pas suffisamment qu'ils amènent de nouvelles technologies, etc.
00:23:46Donc là, il y a un choc qui est arrivé,
00:23:49ce choc-là demandait à ce qu'ils offraient à vendre eux-mêmes.
00:23:52Certains pouvaient dire mal,
00:23:54certes, le fait qu'il y en ait un qui est arrivé,
00:23:56certains pouvaient dire mal,
00:23:58mais s'ils offraient dans l'ancien modèle,
00:24:00il n'est pas arrivé comme ça.
00:24:01Mais nous, nous voulions amener les autres.
00:24:05Est-ce que nous voulions produire des vêtements
00:24:07ou nous voulions produire des tissus ?
00:24:09Il y a une faute d'intensité de capital.
00:24:12Donc, rapidement,
00:24:14il y a une réorientation de stratégie industrielle
00:24:18que nous voulions amener.
00:24:20Si on regarde maintenant par rapport à l'Afrique,
00:24:22parce que Maurice parle simplement par rapport à l'Afrique,
00:24:25on regarde l'Afrique lui-même.
00:24:27L'Afrique, essentiellement,
00:24:29c'est l'Afrique pour les pays,
00:24:31c'est ce qui peut arriver dans le monde.
00:24:34L'Afrique est essentiellement
00:24:36un producteur et un vendeur de commodités.
00:24:40Ils vendent des minerais, malheureusement.
00:24:43Ils vendent certaines commodités,
00:24:45qu'il y ait du cacao, qu'il y ait du cashew, etc.
00:24:48Mais de toute façon,
00:24:50les pays peuvent s'acheter ça.
00:24:52Ils ne veulent pas grand-chose.
00:24:54Malheureusement, l'Afrique n'est pas
00:24:56un gros producteur industriel.
00:24:58Donc, en termes de trélois,
00:25:01en termes tarifaires,
00:25:03il n'y a pas grand-chose pour perdre.
00:25:05La seule chose qu'essentiellement l'Afrique peut perdre,
00:25:07c'est l'aide.
00:25:09Aide, A-I-D.
00:25:11Elle peut perdre ça.
00:25:13Mais peut-être que c'est une bonne petite chose
00:25:15qu'elle ait perdue ça.
00:25:17Parce que peut-être qu'il arrive un moment
00:25:19pour les pays africains de se dire
00:25:21qu'ils ne peuvent pas continuer à vivre
00:25:23et qu'ils doivent aider eux-mêmes.
00:25:25Peut-être qu'on arrive à ce moment-là.
00:25:27Il y a une chose là pour les autres.
00:25:29C'est aussi ça l'esprit.
00:25:32Aide, Dependance.
00:25:34On répondit à une phrase
00:25:36qu'il faut dire.
00:25:38On dit que les entreprises
00:25:40dans le secteur textile vivent leurs dettes.
00:25:42Parce qu'elles ne peuvent pas finir
00:25:44avec l'investissement, notamment la technologie.
00:25:46Et le secteur textile,
00:25:48quand il y a des chiffres,
00:25:50il y a un déclin depuis plus de dix ans.
00:25:52À peu près.
00:25:54La question qui se pose, c'est de base.
00:25:56Si les entreprises textiles vivent leurs dettes,
00:25:58comment l'industrie-là pourrait exister ?
00:26:01L'industrie-là peut exister.
00:26:03Peut-être que toutes les entreprises
00:26:05vivent leurs dettes.
00:26:07Il y a certaines entreprises,
00:26:09qui sont très bonnes,
00:26:11qui peuvent arriver
00:26:13sur le marché international.
00:26:15Je ne suis pas inquiété du tout.
00:26:17Mais il y a un certain nombre d'entreprises
00:26:19qui vivent leurs dettes.
00:26:21Mais qui, quand même,
00:26:23sont incapables.
00:26:25L'expression qu'on dit,
00:26:27c'est qu'elles ont des erreurs.
00:26:29C'est une production textile
00:26:31qui pousse en tasse d'idété
00:26:33dans la consommation du textile
00:26:35en Europe ou ailleurs.
00:26:37Peanuts !
00:26:39Donc, si,
00:26:41il y a un certain nombre d'entreprises
00:26:43qui ne comptent suffisamment
00:26:45gagner un produit
00:26:47à un niveau correct,
00:26:49à un prix appréciable,
00:26:51et qui gagnent certains acheteurs.
00:26:53N'oublions pas d'autres affaires.
00:26:55Qui, principalement,
00:26:58c'est l'Afrique du Sud.
00:27:00C'est l'Afrique du Sud
00:27:02qui est notre principal acheteur.
00:27:04Je ne me rappelle pas si c'est le premier ou le second.
00:27:06Mais il y a un gros acheteur de nos textiles.
00:27:08Donc,
00:27:10nos problèmes, ce n'est pas autant aux Etats-Unis.
00:27:12Oui, il y a un problème pour 3 ou 4 entreprises.
00:27:14Mais c'est l'Afrique du Sud
00:27:16qui est notre principal acheteur
00:27:18dans les vêtements.
00:27:20Alors, simplement...
00:27:22Nous avons un point très intéressant.
00:27:24Le débat est très passionnant.
00:27:26Nous vous retrouvons juste après ceci.
00:27:57Téléchargez
00:27:59notre application Top FM Radio
00:28:01sur App Store, Play Store
00:28:03et sur aussi
00:28:05Huawei App Gallery.
00:28:07Top FM Live TV,
00:28:09une grande première.
00:28:11Vivez en temps réel.
00:28:13La première radio-TV de Maurice.
00:28:15Découvrez notre studio,
00:28:17nos animateurs,
00:28:19vos hits musiques préférés
00:28:21en clip,
00:28:23et l'info complète, factuelle
00:28:25et crédible.
00:28:55Guernard.
00:28:57Ma chai, my time.
00:29:25Ma chai, my time.
00:29:56Fréquences Top FM
00:29:58dans le Nord et le Sud
00:30:00106.0
00:30:02l'Est et l'Ouest 105.7
00:30:04et le Centre
00:30:06104.4
00:30:08Top FM
00:30:10...
00:30:12...
00:30:14...
00:30:16...
00:30:18...
00:30:20...
00:30:22...
00:30:24...
00:30:26...
00:30:28...
00:30:30...
00:30:32...
00:30:34...
00:30:36...
00:30:38...
00:30:40...
00:30:42...
00:30:44...
00:30:46...
00:30:48...
00:30:50...
00:30:52...
00:30:54...
00:30:56...
00:30:58...
00:31:00...
00:31:02...
00:31:04...
00:31:06...
00:31:08...
00:31:10...
00:31:12...
00:31:14...
00:31:16...
00:31:18...
00:31:20...
00:31:22...
00:31:24...
00:31:26...
00:31:28...
00:31:30...
00:31:32...
00:31:34...
00:31:36...
00:31:38...
00:31:40...
00:31:42...
00:31:44...
00:31:46...
00:31:48...
00:31:50...
00:31:52...
00:31:54...
00:31:56...
00:31:58...
00:32:00...
00:32:02...
00:32:04...
00:32:06...
00:32:08...
00:32:10...
00:32:12...
00:32:14...
00:32:16...
00:32:18...
00:32:20...
00:32:22...
00:32:24...
00:32:26...
00:32:28...
00:32:30...
00:32:32...
00:32:34...
00:32:36...
00:32:38...
00:32:40...
00:32:42...
00:32:44...
00:32:46...
00:32:48...
00:32:50...
00:32:52...
00:32:54...
00:32:56arrive très vite là. Pour les raisons que tout le monde connaît, c'est-à-dire qu'il
00:33:02nous caractérise plus, qu'il nous crée plus la richesse, qu'il nous rétablit nos balances
00:33:07commerciales, ce secteur industriel-là, il va bien fonder nos textiles, il va bien aller
00:33:12beaucoup plus loin avec les textiles et m'aurait dit à lui, puisque nous, au VMI de marché,
00:33:18nous serions capables d'avoir de bons investisseurs, certains investisseurs mauriciens, certes,
00:33:24bons investisseurs étrangers, qui sont capables, effectivement, de développer de nouveaux
00:33:28kits soldes à Maurice, qu'ils puissent exporter et qu'ils peuvent amener nous, donc, les devises
00:33:32qu'ils nous souhaitaient. Et ça, c'est tout à fait possible.
00:33:37D'accord. Nous vous réunissons, bien sûr, dans la question. Et en ce moment, vous pouvez
00:33:42prendre beaucoup de notes quand vous avez le droit d'intervenir. Et il y a un point
00:33:47sur lequel je suis envie de réagir, c'est la question d'aide.
00:33:52Effectivement, tout récemment, comme Amélie Drogba fait dire, Trump a annoncé de l'aide
00:34:00à l'Afrique. Et, bon, il y a une autre opportunité, là, que je pense que nous pouvons capitaliser
00:34:07là-dessus. Et je ne sais pas si les nouvelles administrations le feront. Ils ne récitent
00:34:14pas ça. C'est, par exemple, Trump a fait de l'aide à toutes les organisations internationales.
00:34:21Par exemple, l'ONU. Et ça peut faire un gros remouvement au sein de l'ONU. Et en fait,
00:34:30il y a des offices qui sont à New York et à Genève qui vont se relocter bientôt.
00:34:36Je pense que si nous avions une politique étrangère active...
00:34:40Donc, il y a l'obligation de dire Maurice, c'est-à-dire qu'il y a beaucoup d'auditeurs
00:34:43qui en pensent. Oui, Maurice. Si Maurice avait une politique
00:34:46active, nous devions foncer sur cette opportunité-là, pousser, inviter quelques bureaux de l'ONU
00:34:53pour venir établir Maurice. Par exemple, le fait qu'en janvier 2025, dans le gouvernement
00:35:00programme, nous dirions qu'il y a un large state ocean. Large ocean state, sorry. Et nous
00:35:07serions capables d'inviter l'UNOcean, ou soit l'UNOHLLS, qui occupe SIDS, pour venir
00:35:19établir Maurice. Je ne suis pas au courant s'il y a aucun pays africain qui a fait
00:35:23cette initiative-là, mais je connais qu'il y en a un qui s'est déjà approché de l'ONU
00:35:28pour pousser quelques départements. C'est une des choses que nous serions capables
00:35:34de capitaliser-là. Et je connais qu'il y a un nouveau adviser de la police étrangère
00:35:40de Maurice, M. Vijay Makan. Il nous a déjà dit en 2023 qu'il nous paye une politique
00:35:49étrangère. Mais là qu'il est en office, j'espère qu'il va prendre une note-là,
00:35:55parce que si nous réussissons à amener un des bureaux de l'ONU dans Maurice, ce n'est
00:36:01pas juste pour amener un bureau, mais pour ouvrir nos visibilités. Étant donné qu'il
00:36:06y a un bureau de prestige de l'ONU ici, nous voulons un plus haut niveau de délégation,
00:36:12qui fait beaucoup de travail, beaucoup de travailleurs généraux qui ont un travail,
00:36:16beaucoup de gens qui sont qualifiés professionnellement aussi qui ont un travail. Et je pense que c'est
00:36:20une des choses qui nous calme.
00:36:22Ah oui, il y a le général Obacol, il y a toutes les professions.
00:36:24Tout, tout, bien sûr. Mais c'est un thème qui est bien en vogue en ce moment.
00:36:30D'accord. Mais une question, je pense qu'il m'en a dit, ça ne fait pas du tout la tête.
00:36:38On peut dire qu'il s'agit d'un opposé. Est-ce qu'il ne mourit pas trop loin, justement,
00:36:44pour qu'il n'y ait pas de violence à l'ambition?
00:36:46Effectivement, ce que je veux dire, c'est qu'on ne sait pas quel office on va essayer.
00:36:51Un opposé.
00:36:52Oui. Mais si on peut dire qu'on est dans un grand état océanien,
00:36:56ce qui ne fait pas qu'on est dans un océan ici,
00:36:59ce qui ne fait pas qu'on est dans un bureau qui s'occupe d'ici.
00:37:02Et pour prendre Maurice, pour lui, Dubaï n'est pas trop loin.
00:37:07Pour nous, l'Afrique subsaharienne n'est pas loin aussi.
00:37:12Donc on a un opposé chez nous parce que quand Kenyatta,
00:37:16le président du Kenya,
00:37:20au début, s'il propose bouffer un bureau UN dans Kenya,
00:37:25qui est UN Habitat, il y a deux concurrents.
00:37:28Il y a Chili et Kenya.
00:37:32Et Kenya, il y a 6500 employés là-bas.
00:37:36C'est énorme.
00:37:38Mais avec Savanne Costa, nous ne pouvons pas se capitaliser là-bas.
00:37:41Nous avons un appel. Nous prenons un auditeur.
00:37:50Allo ?
00:37:52Oui, bonsoir. On est en direct à la radio.
00:37:55On peut écouter tout ?
00:37:57Oui, si vous voulez écouter ça,
00:38:00j'ai pensé qu'il allait m'aider dans sa public opinion.
00:38:09Il allait m'aider dans sa public opinion.
00:38:13Il va revenir sur la loi.
00:38:16Allo ?
00:38:18Oui, on peut écouter tout ?
00:38:20Oui.
00:38:22Vous pouvez comprendre moi ?
00:38:24Oui, nous suivons vous.
00:38:26Oui.
00:38:28C'est ce qui s'est passé.
00:38:30Savanne a fait un appel là-bas.
00:38:34Il va s'occuper de l'occasion là-bas,
00:38:37pour m'aider dans sa public opinion.
00:38:40Là, je voudrais qu'il vous fasse une stratégie.
00:38:46D'accord.
00:38:48Merci.
00:38:50Vous pouvez suivre notre émission.
00:38:53C'est un débat qui intéresse mon auditeur,
00:38:58Trump notamment, et la politique commerciale.
00:39:02Oui.
00:39:04Il y a une information intéressante.
00:39:07Le nombre d'emplois qui finit de se créer
00:39:10dans un pays qui n'est pas trop loin de nous.
00:39:13Et vous pouvez proposer que Maurice
00:39:16puisse se positionner là-dedans.
00:39:18J'ai une question pour vous.
00:39:20Monsieur Amélie Daugard,
00:39:23sur les textiles, la production, etc.
00:39:26Maurice, quand vous pouvez vous positionner,
00:39:29il y a une phrase qui nous tente d'avoir une conférence
00:39:33depuis les derniers 20 ans.
00:39:35Par exemple, Malagascar, c'est gagné en 2001,
00:39:38il y a peut-être plus de 20 ans.
00:39:40Ou bien l'autre, qui est plus facile,
00:39:43pour faire une conférence aussi,
00:39:45Tokyo-Ville-Maurice, qui nous fait une conférence
00:39:48aussi d'un pays d'Afrique, Ville-Maurice.
00:39:51Donc, justement, avec cette ambition
00:39:54qu'il y a par rapport à l'Afrique
00:39:57et par rapport à la situation internationale,
00:40:00ou dans le secteur minerai, par exemple,
00:40:03depuis un peu de temps, ou un Mauricien,
00:40:06qui porte le secteur de l'Afrique.
00:40:08Il y a un barrière, il y a l'accès, etc.
00:40:11Comment trouvez-vous cette situation-là?
00:40:13Est-ce qu'il est facile pour Maurice,
00:40:15non seulement dans l'ambition par rapport à l'Afrique,
00:40:17mais réalisé?
00:40:19Écoute, pour commencer, c'est que
00:40:22tout ça vient d'une partie qui s'appelle logistique.
00:40:25OK? Et de logistique...
00:40:27Peut-être qu'il est bon,
00:40:29vous racontez à un Mauricien,
00:40:31comment vous, un Mauricien de l'Afrique,
00:40:33vous décidez de rentrer dans le secteur minerai en Afrique?
00:40:37OK, bon, c'est...
00:40:39C'est le passage que nous...
00:40:41Le networking a grandi,
00:40:43et nous avons l'opportunité
00:40:45de développer dans le secteur minerai,
00:40:47et nous commençons petit,
00:40:49et puis nous on expande, expande, expande.
00:40:51Dans quel pays êtes-vous?
00:40:52Là, actuellement, nous sommes dans 14 pays africains.
00:40:5414 pays africains?
00:40:5514 pays africains, dans le secteur minerai.
00:40:57Et nous travaillons exclusivement avec Mint.
00:40:59Et, bon, nous avons un challenge
00:41:02qui nous fait face,
00:41:04faire face aux changements protocoles,
00:41:07changements politiques,
00:41:09et les local contents
00:41:12que nous...
00:41:14Le gouvernement impose
00:41:16que certains ports d'action doivent être locaux,
00:41:20et protéger certains local suppliers.
00:41:25Mais le challenge, c'est que
00:41:27quand il y a ce type d'imposition,
00:41:30OK,
00:41:31les local suppliers ne sont pas formés
00:41:34pour faire des services
00:41:36à des sociétés étrangères.
00:41:38Ils aiment la qualité des services,
00:41:40la qualité des produits,
00:41:42le timing,
00:41:43et il y a beaucoup de...
00:41:45allons dire des coûts cachés
00:41:47que nous ne trouvons pas dans certaines choses.
00:41:49Mais quand on parle aussi bien
00:41:54du secteur minerai
00:41:56ou n'importe quel secteur en Afrique,
00:41:58OK,
00:41:59c'est le cross-border.
00:42:01Nous avons souvent un gros problème,
00:42:04c'est le paiement.
00:42:06OK?
00:42:07Parce que la plupart,
00:42:09les riches ne le ressentent pas trop,
00:42:11nous le prenons tellement ici.
00:42:13Mais beaucoup d'Afrique,
00:42:14comme Madagascar,
00:42:15nous avons des choses qu'on appelle licences.
00:42:17C'est-à-dire, avant d'imposer quelque chose,
00:42:19il y a une licence,
00:42:20il y a des échanges étrangers,
00:42:22et nous avons des difficultés.
00:42:24Et c'est ça le challenge,
00:42:25si demain,
00:42:26un Mauricien,
00:42:27une petite entreprise moyenne,
00:42:28qui a envie d'investir
00:42:30dans un pays africain comme Madagascar,
00:42:32qui n'est pas trop loin,
00:42:34les bouchons sont-ils?
00:42:35C'est un peu étrange.
00:42:37Parce qu'un Mauricien,
00:42:38il ne peut pas avoir ce système-là.
00:42:41Ça, c'est une...
00:42:43Et puis,
00:42:44le challenge qu'il y a dans le Mauricien
00:42:47vers l'Afrique,
00:42:49c'est qu'il est limité en termes
00:42:52de voie arrière.
00:42:54Voie arrière, oui.
00:42:55C'est un gros débat.
00:42:57Aujourd'hui,
00:42:58nous avons juste deux voiles
00:42:59qui viennent de Maurice.
00:43:00Le Kenan Airways
00:43:02et le South Carolina Airways.
00:43:04Et puis, nous sommes bloqués.
00:43:06Si demain,
00:43:07allons dire,
00:43:08un Mauricien à Sénégal,
00:43:10un Mauricien qui a son passeport...
00:43:12L'Afrique du Sud.
00:43:13L'Afrique du Sud, trop loin.
00:43:14Nairobi.
00:43:15Non, c'est Nairobi,
00:43:17mais Nairobi,
00:43:18c'est un peu impensable,
00:43:20mais Dubai,
00:43:21Paris,
00:43:22ou la Turquie.
00:43:24Et un SME
00:43:26qui veut investir,
00:43:28de ce nombre de types,
00:43:29il peut payer à peu près
00:43:30deux mille dollars à peu près
00:43:31pour un billet.
00:43:32À l'heure du retour.
00:43:33Minimum, je dis.
00:43:34OK?
00:43:35Mais pour qu'il puisse débouler ça,
00:43:37pour l'investir dans le pays,
00:43:39c'est beaucoup d'argent.
00:43:40C'est ce qu'il faut avoir.
00:43:41Alors, mon bon pensée,
00:43:42c'est le...
00:43:43Comment ça s'appelle?
00:43:45Le gouvernement actuel,
00:43:47le Libéran,
00:43:49il y a un bureau,
00:43:51un vrai bureau,
00:43:53dans une zone,
00:43:55l'Afrique de l'Ouest,
00:43:57l'Afrique du Sud,
00:43:58l'Afrique centrale, etc.,
00:43:59qui est capable
00:44:01d'être un pont
00:44:03pour un secteur,
00:44:04pour rendre l'Afrique.
00:44:05Parce que,
00:44:06il y en a aussi un concept,
00:44:08c'est que,
00:44:09tout le temps,
00:44:10nous pensons que,
00:44:11quand on est dans un pays,
00:44:12c'est nous-mêmes qui investissons,
00:44:13100%.
00:44:14Non.
00:44:15Donc, il y a aussi un partenaire
00:44:16avec un local.
00:44:17Parce que le local,
00:44:18il a fini de démarrer.
00:44:19Sauf qu'il n'a pas de finance
00:44:20pour accéder à sa production.
00:44:23Alors,
00:44:24par exemple,
00:44:25la société mauricienne
00:44:26n'a pas de finance,
00:44:28mais il n'y a pas de partenariat
00:44:30avec la société africaine
00:44:32pour élargir
00:44:34sa production.
00:44:36Je vais prendre l'exemple simple.
00:44:37Le Togo, aujourd'hui,
00:44:41il n'y a pas encore d'impôts
00:44:44pour les poulets
00:44:46depuis le Brésil.
00:44:48Et quand,
00:44:49à côté,
00:44:50son voisin
00:44:51est en production.
00:44:53Voilà.
00:44:55Et quand nous voulons
00:44:56le secteur minerai,
00:44:57Là, par exemple,
00:44:58tu as une opportunité
00:44:59que les entreprises mauriciennes
00:45:00ne peuvent pas avaler.
00:45:01Oui, beaucoup.
00:45:02Et,
00:45:03de l'autre côté,
00:45:04quand je dis minerai,
00:45:05c'est que
00:45:06les sociétés
00:45:07canadiennes,
00:45:08australiennes,
00:45:09surtout les
00:45:10« big two »
00:45:11dans ce secteur,
00:45:13ils extraient
00:45:15de l'eau,
00:45:17de la matière première,
00:45:18de l'herbe, etc.
00:45:20Et plus ils avalent
00:45:22dans leurs pays concernés,
00:45:23et puis, boum,
00:45:24ils deviennent
00:45:25deux fois plus chers
00:45:26dans les pays africains.
00:45:27Alors,
00:45:28c'est un peu
00:45:29quand on regarde
00:45:30tous ces
00:45:31« mis opportunities »
00:45:33qu'il y a dans les pays
00:45:34mauriciens.
00:45:35OK ?
00:45:36Mais,
00:45:37c'est une façon
00:45:38que les mauriciens,
00:45:39les sociétés mauriciennes,
00:45:40peuvent capitaliser.
00:45:42Par exemple,
00:45:43une chose,
00:45:44le textile.
00:45:45OK ?
00:45:46Le textile,
00:45:47le problème principal,
00:45:48c'est que
00:45:50c'est personnel.
00:45:51Aujourd'hui,
00:45:52c'est ça.
00:45:53Le même problème,
00:45:54c'est personnel.
00:45:55Et,
00:45:56nous avons aussi
00:45:57le salaire minimum.
00:45:58OK ?
00:45:59Qui pèse un poids
00:46:00sur le coût.
00:46:01OK ?
00:46:02Nous avons
00:46:03une fluctuation
00:46:04de l'or au euro.
00:46:05OK ?
00:46:06Et nous,
00:46:07nous reportons
00:46:08une currency
00:46:09en roupies.
00:46:10OK ?
00:46:11Mais,
00:46:12quand on regarde
00:46:13des pays
00:46:14comme l'Égypte,
00:46:15comme le Maroc,
00:46:16comme,
00:46:17même le Madagascar,
00:46:18OK ?
00:46:19Bien,
00:46:20ce pays a
00:46:21un monstre
00:46:22de textiles.
00:46:23Si,
00:46:24Bangladesh,
00:46:25par exemple,
00:46:26il prend aussi
00:46:27certains contrôles
00:46:28de production
00:46:29de textiles,
00:46:30on pourrait avoir
00:46:31un marque,
00:46:32je ne sais pas,
00:46:33d'un airport
00:46:34qui a une
00:46:35marque qui est là.
00:46:36Mais,
00:46:37aujourd'hui,
00:46:38c'est fait
00:46:39de Bangladesh,
00:46:40fait du Maroc,
00:46:41fait de la Turquie.
00:46:42C'est,
00:46:43moi,
00:46:44alors,
00:46:45mon pensée aussi,
00:46:46c'est,
00:46:47c'est que,
00:46:48aujourd'hui,
00:46:49il y a des secteurs
00:46:50comme la métallie,
00:46:51il y a des secteurs
00:46:52comme la construction,
00:46:53les textiles.
00:46:54Mais,
00:46:55on développe,
00:46:56il y a beaucoup
00:46:57de choses
00:46:58qu'on a développées,
00:46:59par exemple,
00:47:00la zone maritime.
00:47:01Aujourd'hui,
00:47:02dans le supermarché,
00:47:03on trouve
00:47:04des fruits de mer
00:47:05qui sont au Mozambique,
00:47:06qui sont ailleurs,
00:47:07qui peuvent venir.
00:47:08Et,
00:47:09aussi,
00:47:10bien,
00:47:11c'est que,
00:47:12la vie d'aujourd'hui,
00:47:13c'est digital.
00:47:14Et,
00:47:15quand on parle
00:47:16d'un monde
00:47:17qui est devenu
00:47:18au Mozambique,
00:47:19on parle
00:47:20d'un monde
00:47:21qui est devenu
00:47:22au Mozambique.
00:47:23Il y a,
00:47:24ils vont
00:47:25prendre des décisions
00:47:26en fonction de ce qui est
00:47:27venu de l'Mozambique,
00:47:28c'est-à-dire,
00:47:29il y a des inventions
00:47:30en fonction
00:47:31de ce qui est venu
00:47:32du Mozambique.
00:47:33Et,
00:47:34je pense que,
00:47:35il va y avoir
00:47:36des diverses
00:47:37idées de
00:47:38qu'on va faire
00:47:39des grandes
00:47:40innovations
00:47:41en fonction
00:47:42de ces
00:47:43technologies-là.
00:47:44Et,
00:47:45l'hygiène, tout cela tienne à notre pays, l'île Maurice.
00:47:49Premier exemple me donne l'île Dame.
00:47:53L'île Dame où elle guettait combien de grands-grands l'hygiène qui peut rouler,
00:47:58avec combien de milliers de travailleurs.
00:48:01Jeudi fait au sagré quand vous passez tout ça l'hygiène là fermée.
00:48:07Mais moi envie qu'on ait raison, ça aide.
00:48:11Le deuxième exemple c'est une belle l'hygiène textile fermée dans notre île Dame.
00:48:17Où elle guettait où l'homme coulait.
00:48:20Troisième exemple, la Terre Rouge, Royal Road, une belle l'hygiène,
00:48:25je travaille côté transport là-bas moi.
00:48:28Où quand sa l'hygiène est là, elle guette sa quantité de travail,
00:48:32et le jour où elle guette l'environnement, sa l'hygiène là,
00:48:35où les clients font mal.
00:48:37Mais je me pose la question,
00:48:39nous avons 21 milliers d'habitants ici.
00:48:43Jeudi on trouve l'histoire dans notre pays,
00:48:47tout est cassé dans le Sud-Afrique.
00:48:49Mais la raison c'est quoi ?
00:48:51Est-ce que le ministre des Affaires étrangères,
00:48:54et le gouvernement,
00:48:56ensemble avec lui,
00:48:58est-ce qu'ils ont piqué pour notre pays l'île Maurice ?
00:49:01Comment ?
00:49:03Est-ce qu'ils ont piqué pour nous aider ?
00:49:05Dix personnes peuvent travailler en même temps que les paysans.
00:49:09Mais ça ne sera pas une question de travail.
00:49:11C'est une autre chose.
00:49:13Si nous avons piqué pour gagner des bateaux pour l'État,
00:49:17ils se commandent pour l'État pour y aller.
00:49:20Mais qui sera pour venir investir ?
00:49:22Est-ce que quelqu'un peut encourager le ministre des Affaires étrangères,
00:49:26le gouvernement peut encourager,
00:49:28comment Gaëtan Divaldi peut faire longtemps ?
00:49:32Tout ça, c'est l'hôtel qui nous est là.
00:49:35Grand merci, mon gars,
00:49:37il y a un peu de tourisme dans l'hôtel là,
00:49:39c'est Pérou, les Béziers.
00:49:41Sinon, comment la vie peut venir se faire ici ?
00:49:45Je ne sais pas,
00:49:46peut-être qu'il y a l'hôtel là aussi qui peut arriver.
00:49:48Mais nous, Mauriciens,
00:49:50qui nous pouvons vivre,
00:49:51et nous pouvons vivre,
00:49:52nous pouvons mourir là-même.
00:49:53Mais quel rôle,
00:49:54qu'est-ce qu'on peut faire avec nos enfants ?
00:49:56Qu'est-ce qu'on peut faire plus tard ?
00:50:01J'apprécie l'invité qui peut réagir là-bas.
00:50:05Merci.
00:50:06Continuez d'écouter vos questions,
00:50:07vous aurez peut-être des bonnes réponses et des bonnes perspectives.
00:50:11Amédou Doga, tu peux écouter ce qu'il a à dire
00:50:13par rapport à tout ce qu'il a à dire sur l'Afrique,
00:50:15sur l'expérience,
00:50:16et tu peux suivre pour réagir.
00:50:18Vous savez,
00:50:21un des plus gros problèmes que Maurice a,
00:50:26c'est qu'il a un pays qui manque d'ambition.
00:50:31Il n'y a plus de gouvernement,
00:50:33des secteurs privés,
00:50:35et même une bonne partie de l'élite intellectuelle
00:50:39manque d'ambition.
00:50:42Je vais vous dire une des choses.
00:50:47Quand,
00:50:49je rappelle ça très bien,
00:50:51l'Afrique d'ici est en cours sous l'apartheid,
00:50:55mais,
00:50:57le développement commence à arriver,
00:50:59et on sent qu'il n'y a pas d'ouverture.
00:51:04Il y a certaines personnes qui pensent que nous,
00:51:07que nous positionnons,
00:51:08Maurice,
00:51:10comme un hub aérien
00:51:12pour desservir l'Afrique,
00:51:14pour faire le pont entre l'Afrique et l'Asie.
00:51:19Jamais le gouvernement d'alors,
00:51:21ni les fonctionnaires d'alors,
00:51:23ni les gens qui se posaient des questions,
00:51:26ne comprenaient jamais ça.
00:51:28Tout ce qu'ils ont dit,
00:51:29mais ça, c'est impossible.
00:51:32Une réaction immédiate.
00:51:34Ça, c'est impossible.
00:51:36Avec le résultat,
00:51:38qu'effectivement,
00:51:39dans une certaine mesure,
00:51:40l'Afrique décide d'être un hub,
00:51:43Maurice,
00:51:44le contient.
00:51:46Expliquez-moi,
00:51:48qu'est-ce qu'un Singapour,
00:51:51qui ne paye aucun prix pétrole,
00:51:54Singapour vend du bitume.
00:51:58Ils vendent des produits pétroliers.
00:52:01C'est-à-dire,
00:52:02l'approche que Singapour a,
00:52:04c'est une approche marchande.
00:52:07Je ne vais pas produire ça,
00:52:08mais je prends un produit que d'autres ont produit,
00:52:11je le transforme,
00:52:12et je le vends.
00:52:15Je prends un autre exemple.
00:52:17Il y a une compagnie qui s'appelle Olam.
00:52:20Olam,
00:52:21c'est une compagnie singapourienne.
00:52:24Réfléchissez bien à ce que je peux dire.
00:52:26Olam est une compagnie singapourienne.
00:52:29Singapour, presque, ne paye pas d'agriculture.
00:52:32Mais Olam,
00:52:33il investit dans l'agriculture
00:52:35dans 19 pays africains.
00:52:38Oui.
00:52:39Je peux donner un exemple,
00:52:41pour dire une chose très simple.
00:52:44Il y a un certain nombre de sociétés mauriciennes
00:52:48qui peuvent investir en Afrique.
00:52:50Et avec succès.
00:52:52Une compagnie comme Alteo,
00:52:54avec une branche qui s'appelle Miwa Sugar,
00:52:57qui investit en Tanzanie depuis des années,
00:53:00avec un grand succès.
00:53:02Ils investissent au Kenya,
00:53:04ils achètent une des usines d'Alteo,
00:53:07et 50% des profits qu'Alteo fait,
00:53:09qu'Alteo fait,
00:53:10sortent depuis l'Afrique du Sud.
00:53:12L'Afrique, pardon.
00:53:14Donc, il y a un certain nombre de compagnies,
00:53:16comme la compagnie que j'ai,
00:53:18qui fait de la poulet,
00:53:20et ça me fait penser,
00:53:21une compagnie comme Eclosia,
00:53:23qui investit dans la production,
00:53:25dans Rwanda.
00:53:26Donc, c'est suffisant.
00:53:27Mais il n'est pas capable de faire beaucoup,
00:53:29beaucoup, beaucoup plus.
00:53:31Mais, principalement,
00:53:33manque d'ambition.
00:53:35Deuxièmement,
00:53:37manque de compréhension,
00:53:39quand vous allez,
00:53:41c'est qu'il y a une raison d'y aller.
00:53:43Beaucoup de Mauriciens causent l'Afrique,
00:53:45beaucoup de Mauriciens comprennent l'Afrique,
00:53:47et comprennent,
00:53:49qu'il y a de l'opportunité là,
00:53:51et qu'il y a de manière à l'attraper l'opportunité.
00:53:53Laissez-moi vous rappeler une chose.
00:53:55Mon papa n'écoute ça, il est arrivé maintenant.
00:53:57Vous vous rappelez le fameux Mauritius Africa Fund?
00:53:59Oui, oui.
00:54:00Qui, depuis des années,
00:54:01500 millions de roupies,
00:54:02il mettait dans le fonds.
00:54:03Oui.
00:54:05Il y a quelqu'un,
00:54:06je ne sais pas si c'est moi,
00:54:07mais il y a quelqu'un qui l'a dit tout à l'heure.
00:54:08Il n'est pas faussé
00:54:09qu'il oublie
00:54:10qu'il a investi totalement,
00:54:12qu'il commence un business.
00:54:13100%.
00:54:14Il est capable d'utiliser son argent
00:54:15pour leverager,
00:54:17soit il peut rester le business qui existait,
00:54:19soit il peut venir partener le business qui existait,
00:54:21pareil comme
00:54:23ce qu'il appelle le Venture Capital Fund.
00:54:25C'est exactement ça.
00:54:27Ce qu'il a fait avec le Mauritius Africa Fund,
00:54:29c'est qu'il a dit qu'il pouvait mettre dans une zone économique,
00:54:31au Sénégal,
00:54:33dans le Bras-à-Ville, etc.
00:54:35Mais il faut être complètement crétin
00:54:37pour penser comme ça.
00:54:39Je vais prendre un autre exemple.
00:54:41Aujourd'hui, dans Maputo,
00:54:43Maputo
00:54:45est un gros producteur
00:54:47de poissons.
00:54:49Poissons remplis.
00:54:51Mais Maputo, PNA,
00:54:53transformation.
00:54:55Les PNA sont suffisamment froides
00:54:57pour garder ce poisson.
00:54:59Ils ne préfèrent pas la pêche parce que les PNA sont froides
00:55:01pour mettre le poisson là.
00:55:03Là, Mauritius n'est pas rentré.
00:55:05C'est l'occasion de rentrer,
00:55:07de prendre ce poisson,
00:55:09d'acheter ça et d'exporter ce poisson là.
00:55:11En termes simples, c'est ce qu'il m'a fait dire.
00:55:13La région africaine,
00:55:15que ce soit en termes de commerce,
00:55:17que ce soit en termes d'investissement,
00:55:19en termes de faire business,
00:55:21en termes de prendre une opportunité,
00:55:23tout est devant nous.
00:55:25Simplement, nous avons l'ambition
00:55:27et beaucoup
00:55:29d'hommes d'affaires mauritiennes ont l'ambition.
00:55:31Ils se contentent qu'ils fassent du business.
00:55:33Ils se contentent
00:55:35qu'ils vont payer pour l'Afrique.
00:55:37L'Afrique, comme on dit,
00:55:39il y a encore une vieille image longtemps là.
00:55:41Et nous avons une approche cohérente
00:55:43devant l'homme d'affaires,
00:55:45devant la banque
00:55:47et du gouvernement
00:55:49en termes, donc,
00:55:51qui nous peut le faire,
00:55:53qui nous peut aider et faire l'affaire.
00:55:55Mon avis répondit
00:55:57à une phrase.
00:55:59Singapour a une approche mensante.
00:56:01Oui.
00:56:03Si je peux faire référence
00:56:05à une échéance qui est aussi connue
00:56:07à Maurice, par exemple,
00:56:09une échéance de vieilles snipers
00:56:11qui se présente dans le barracoon.
00:56:13Et justement,
00:56:15moi, quand on parle du barracoon,
00:56:17le barracoon,
00:56:19la population de Singapour,
00:56:21deux ou trois fois, pisse sur Maurice
00:56:23et se superbe ici, petit à petit.
00:56:25La question est que,
00:56:27comment pisse Maurice, justement,
00:56:29dans une échéance mensante?
00:56:31Quel est le blocage?
00:56:33Le blocage, là,
00:56:35il vient de plusieurs perspectives.
00:56:37Premièrement,
00:56:39nous sommes une nation
00:56:41qui dépend de l'origine.
00:56:43Nous sommes une nation qui contente nous de peu.
00:56:45Il manque l'ambition, encore une fois.
00:56:47Et nos pays,
00:56:49ils ont réussi à une vitesse extraordinaire
00:56:51dans les trente dernières années.
00:56:53On n'a pas voulu être un homme de poche
00:56:55qui peut rouler l'eau au cimet.
00:56:57On a dit qu'on allait faire casse dans Maurice.
00:56:59Et casse légitime.
00:57:01Donc,
00:57:03nous contente-nous avec ça.
00:57:05Alors qu'il est capable d'être beaucoup plus loin.
00:57:07Ça, c'est la première chose.
00:57:09La deuxième chose,
00:57:11c'est qu'il nous fait vivre
00:57:13pendant très longtemps
00:57:15dans un
00:57:17état d'esprit
00:57:19qui...
00:57:21Mais les autres ne nous protègent pas.
00:57:23Les autres ne nous protègent pas.
00:57:25Ils nous disent que c'est correct.
00:57:27Ils nous rappellent des choses.
00:57:29C'est ce que j'ai pensé.
00:57:31J'ai parlé avec un propriétaire sucrier.
00:57:33À ce moment-là.
00:57:35J'ai dit,
00:57:37qu'est-ce qu'ils ont pensé faire
00:57:39quand le quota sucrier a sauté?
00:57:41C'est une jolie histoire, M. De Gaulle.
00:57:43Je vais terminer ça dans deux secondes.
00:57:45Le propriétaire sucrier m'a dit,
00:57:47tu crois que l'Europe va nous lâcher?
00:57:49Oui.
00:57:51Oui.
00:57:53Allez, on fait nos publicités.
00:57:55Après, on consigne ça.
00:57:57Après, on consigne ça.
00:58:27Téléchargez notre application
00:58:29Top FM Radio
00:58:31sur App Store, Play Store
00:58:33et sur aussi Huawei App Gallery.
00:58:35Top FM Live TV,
00:58:37une grande première.
00:58:39Vivez en temps réel.
00:58:41La première radio TV de Maurice.
00:58:43Découvrez
00:58:45notre studio,
00:58:47nos animateurs,
00:58:49vos hits musiques préférés en clip
00:58:51et l'info complète,
00:58:53factuelle et crédible.
00:58:57Présentez
00:58:59Guernard Détox
00:59:01Desi Kava.
00:59:03Desi Kava.
00:59:05Desi Kava.
00:59:07Desi Kava.
00:59:09Desi Kava.
00:59:11Desi Kava.
00:59:13Desi Kava.
00:59:15Desi Kava.
00:59:17Desi Kava.
00:59:19Desi Kava.
00:59:21Desi Kava.
00:59:23Desi Kava.
00:59:25Desi Kava.
00:59:27Desi Kava.
00:59:29Desi Kava.
00:59:31Desi Kava.
00:59:33Desi Kava.
00:59:35Desi Kava.
00:59:37Desi Kava.
00:59:39Desi Kava.
00:59:41Desi Kava.
00:59:43Desi Kava.
00:59:45Desi Kava.
00:59:47Desi Kava.
00:59:49Desi Kava.
00:59:51Desi Kava.
00:59:53Desi Kava.
00:59:55Desi Kava.
00:59:57Desi Kava.
00:59:59Desi Kava.
01:00:01Desi Kava.
01:00:03Desi Kava.
01:00:05Desi Kava.
01:00:07Desi Kava.
01:00:09Desi Kava.
01:00:11Desi Kava.
01:00:13Vous pouvez y aller
01:00:15par les liens
01:00:17sociaux
01:00:19sur Facebook
01:00:21dix. Et Amélie de Rugat, tu peux dire qu'il nous manque l'ambition, justement, qui
01:00:26n'empêche nous maintenant d'être ensemble et réaliser ce que Senghrapou peut faire.
01:00:30Oui, tout à fait. Donc, nous, comme pays, comme nation, et quand on dit nation on peut
01:00:37dire dix mondes, entrepreneurs, et ce gouvernement évidemment, pas ce gouvernement-là, mais
01:00:42tout gouvernement, manque d'ambition. Manque d'ambition pour que nos petits pays
01:00:49deviennent un grand pays sur le plan économique. Nous, il y a beaucoup de choses qui permettent
01:00:57qu'on soit un grand pays sur le plan économique. J'ai mis l'exemple Senghrapou, mais il y
01:01:03a d'autres exemples aussi. La deuxième chose, c'est qu'il nous faut pendant bien longtemps
01:01:10un mindset qui les aide pour protéger nous. L'Europe, ok, aujourd'hui, nous pensons à
01:01:18nous-mêmes, quand nous avons un problème, nous vous donnons un peu de la monnaie pour
01:01:21faire un tel projet, etc. Nous avons un mindset qui les aide pour être un grand pays qui
01:01:27nous protège. On ne peut pas avoir à côté de bonnes potentielles, de bonnes possibilités
01:01:35énormes. Ce n'est pas aussi difficile pour qu'il y ait rapidement, dans les prochains
01:01:435 ans, 7 ans, 8 ans, qu'il y ait beaucoup plus de richesses qu'il pensait qu'il pouvait
01:01:53créer aujourd'hui. C'est absolument possible. Seulement, nous avons une approche cohérente.
01:01:59Nous n'avons pas un grand comité. Nous n'avons pas un grand papier de stratégie. Nous pensons
01:02:04au business. Quelle manière de faire un business développé dans Maurice? Quelle manière
01:02:09de faire un business entre Maurice et l'Afrique? Il est aussi simple que ça. Il y a une cause
01:02:14logistique. Vous savez, il y a toujours cette fameuse histoire qui vient d'avant, la poule
01:02:21ou le giseuf. Est-ce que la logistique peut décider s'il y a un business entre Maurice
01:02:26et l'Afrique? Ou est-ce que le business peut amener la logistique là parce qu'il y a besoin
01:02:33pour transporter quelque chose? Donc, il faudrait nous l'envoyer. Vous connaissez combien de
01:02:38rapports ils font par la COI et par les autres pour une « regional shipping line »? Je
01:02:44crois qu'il y a à peu près 12 rapports qu'ils font. Mais qu'est-ce qu'ils font dans 12 rapports?
01:02:49Simplement parce que beaucoup pensaient que pour faire une ligne maritime régionale,
01:02:54le gouvernement devait faire ça. Mais qui dit que le gouvernement doit faire ça? C'est
01:02:59le secteur privé qui doit faire ça. Le gouvernement doit soutenir ça. Si vous pensez que le gouvernement
01:03:04devait faire ça, il devait y avoir 4 ou 5 gouvernements assis ensemble pour décider
01:03:08qui serait le capitaine d'un bateau. Mais ça n'a pas du tout arrivé.
01:03:13La dernière chose que je voudrais vous dire sur Singapour. Qui fait que Singapour a une
01:03:18population de 5 millions d'habitants aujourd'hui? Qui fait ça? Qu'est-ce que ça veut dire?
01:03:24C'est pas une production de Singapour ça. Singapour fait une politique démographique
01:03:33avec l'importation et l'implantation d'une population extérieure dans le pays qui est
01:03:41constituée de la force. Est-ce qu'il y a une politique démographique en Mauritie?
01:03:48Est-ce qu'il y a une politique d'ouverture?
01:03:55Non, il n'y a pas de politique d'ouverture.
01:03:57Simplement pour dire qu'on manque d'indemnes, qu'on importe d'indemnes, qu'on donne un contrat pour 3 ans.
01:04:02Mais est-ce qu'il y a une politique démographique?
01:04:04Non, pas du tout.
01:04:06Pas du tout?
01:04:07Pas du tout, exactement.
01:04:08Avant de nous écouter, nous allons l'auditer en ligne.
01:04:12Oui, bonjour, bonsoir, vous allez bien?
01:04:14Très bien.
01:04:15Je vais commencer là.
01:04:16Qu'est-ce qui fait qu'on a un système dans Mauritie
01:04:20que toute cette industrie qui nous fait aimer là,
01:04:23trouve un moyen pour elle en jeu?
01:04:26C'est une copie, un type, l'eau de l'Afrique.
01:04:29Ça veut dire qu'on fait un paiement avec les élèves qui sont en place,
01:04:32ils peuvent apprendre, ils gaurent, ils gaurent,
01:04:36et ils avouent le papier.
01:04:37D'où est-ce que ça vient?
01:04:38Qu'est-ce qui fait que Mauritie ne peut pas faire ça?
01:04:39C'est mon premier point.
01:04:41Mon deuxième point,
01:04:42nous sommes des politiciens qui nous aimons, Mauritie.
01:04:45Pas mal, pense-moi, parce qu'il y a une vérité,
01:04:47tout le monde pense ça.
01:04:48Simplement, moi, je me suis dit qu'il y avait autre chose.
01:04:50Vous savez, nous sommes des politiciens,
01:04:52c'est comme si je te l'ai dit,
01:04:53il ne m'a passé qu'une semaine bourrique.
01:04:55On se passe du bon jeu de ce moment-là,
01:04:57ce n'est pas tout clair.
01:04:58Tout le temps,
01:05:00dès que j'avais 30 ans là,
01:05:04tout d'un coup, il y a eu un débat,
01:05:07il y a eu un rapport,
01:05:09débat, rapport.
01:05:11Finalement, nous résistons au débat et au rapport.
01:05:15Aucun projet nécessaire qu'il nous a fait pour le pays,
01:05:19ce n'est pas facile.
01:05:20Je vous donne un exemple,
01:05:21je ne sais pas quand c'est que nous sommes là.
01:05:24Tout a été importé de Mauritie,
01:05:26l'I.B. a été importé,
01:05:28mais Mauritie ne peut pas faire de l'I.B. là.
01:05:30C'est pour ça que nous l'avons lancé.
01:05:31Je suis entièrement d'accord avec ce monsieur qui peut causer là,
01:05:34je ne vais pas causer tout ça là,
01:05:35parce que je ne fais pas grand-chose.
01:05:37C'est Amédée Dorga.
01:05:39Ah, bien joué, très intelligent.
01:05:42Il dit que comme ça Mauritien, paysan,
01:05:45vision, il est vrai, il est entièrement vrai.
01:05:48Nous décourager, nous, en tant que Mauritien,
01:05:51comment écouter une bonne politicienne causer ?
01:05:53Nous décourager, décourager sa bosse.
01:05:57Merci beaucoup, il fait au point.
01:05:59Amédée Dorga, je vais lui apporter ses milles bourriques.
01:06:01Je vais lui donner ce point qui s'est audité là.
01:06:04C'est bon.
01:06:05Donc, c'est ce que je voulais dire,
01:06:08justement, pour expliquer le secteur
01:06:11qui manquait, justement,
01:06:13l'Afrique contre Mauritien,
01:06:14ce qui n'a pas rentré,
01:06:15ou tu peux dire le secteur bancaire.
01:06:18Oui, pardon.
01:06:20Avant de parler du secteur bancaire,
01:06:22c'est que nous manquons aussi,
01:06:25comme Amédée l'a dit, c'est l'engouement.
01:06:28Demain, nous parlons de l'institution gouvernementale,
01:06:34comme Idibi, par exemple.
01:06:35Nous disons, ok, nous prenons le Sénégal, etc.
01:06:38Mais nous prenons un système de force.
01:06:42Donc, comment dire, la personne concernée
01:06:45est déjà documentée sur le pays
01:06:47et il y a déjà un réseau dans ce pays, l'Afrique.
01:06:52Donc, pour faciliter l'incorporation-là,
01:06:55sa création-là, pour comprendre le business.
01:06:57Nous prenons l'ambassade, par exemple.
01:06:59Ecoute, nous prenons beaucoup l'ambassade de l'Afrique.
01:07:02De mémoire, nous prenons l'Ethiopie,
01:07:04l'Afrique du Sud, le Madagascar.
01:07:06L'Ethiopie, c'est plus diplomatique.
01:07:08L'Ethiopie, la région nord-africaine.
01:07:10Mais en ce moment, nous n'avons pas d'autres personnes.
01:07:13L'Afrique du Sud.
01:07:14L'Afrique du Sud, oui.
01:07:15L'Afrique du Sud, c'est par rapport au protocole de l'Égypte.
01:07:19Mais dans un pays comme l'Afrique de l'Ouest, par exemple.
01:07:22Oui.
01:07:23Bien sûr, nous n'avons pas de croissance personnelle.
01:07:26Mais en parlant de l'Afrique de l'Ouest,
01:07:28je veux répondre à une chose-là.
01:07:30L'Afrique de l'Ouest consomme 450 millions d'habitants.
01:07:37Et dans une zone de 14 pays déjà.
01:07:39Ce qui est important avec l'Afrique de l'Ouest,
01:07:41c'est qu'il y a un taux fixe avec la monnaie locale et l'euro.
01:07:46Et très peu de sociétés mauriciennes.
01:07:48Un ou deux peut-être.
01:07:50Comme je dis deux, c'est vraiment un gros conglomérat
01:07:53qui investit dans certains pays-là.
01:07:56Mais ce n'est pas une petite chose qui me prend.
01:08:00C'est individu.
01:08:02Je dis individu parce que c'est l'institution qui occupe ça.
01:08:05Côte d'Ivoire met l'emphase beaucoup.
01:08:08Ouvre beaucoup la porte de négociation.
01:08:11Et surtout, dans l'industrie côte noire,
01:08:13nous vraiment allons dire très loin,
01:08:16c'est le tourisme africain.
01:08:19Le tourisme africain, aujourd'hui,
01:08:23il est très, très peu comparé avec l'européen et les autres.
01:08:29Et le tourisme africain, sur vos expériences dans l'Afrique,
01:08:31est-il capable d'intéresser les Mauriciens?
01:08:33Écoute, si vous avez tous les vols dans l'Afrique,
01:08:37Ethiopian Airlines par exemple,
01:08:39c'est un des avions qui desservit presque tout le pays africain.
01:08:43Il est full. Il reste tout le temps full.
01:08:47Les Africains qui se voyagent,
01:08:49parce que maintenant,
01:08:51nous avons toujours une mentalité africaine,
01:08:53à l'époque, comment dire,
01:08:55maintenant on ne peut pas, maintenant on ne peut pas.
01:08:57Mais c'est totalement faux.
01:08:59Aujourd'hui, moi par exemple,
01:09:02on est au CEO Forum.
01:09:05Beaucoup de CEOs, c'est jeunes.
01:09:08C'est des jeunes CEOs africains
01:09:11qui peuvent gérer des grands affaires.
01:09:13Qui peuvent prendre des grandes décisions pour leurs pays.
01:09:16Par exemple, Nigéria.
01:09:18Raison pourquoi, c'est que
01:09:20il y a des ouvertures du gouvernement
01:09:22qui permettent des startups.
01:09:25Comme je l'ai dit, des moyens.
01:09:29Il y a des ventures capitales,
01:09:31des VC qui peuvent rentrer en jeu,
01:09:33des crowdfunding qui peuvent rentrer en jeu,
01:09:35et d'autres compagnies.
01:09:38Mais quand on voit le côté maurice,
01:09:41quand on dit SMI,
01:09:42on parle de la banque,
01:09:44pour commencer, collatéral.
01:09:47Already failed.
01:09:49C'est-à-dire que,
01:09:51on finit pénalisé à l'industrie là,
01:09:53avant de commencer.
01:09:55Comment dire,
01:09:57une fois qu'on l'a fait,
01:09:59on a remplacé l'industrie.
01:10:01Et c'est la raison que le SMI,
01:10:03aujourd'hui, comparé,
01:10:05avec les autres qui nous comptent,
01:10:07un site,
01:10:09un site d'avantage,
01:10:11on est vraiment loin,
01:10:13le côté SMI.
01:10:15Alors, quand on parle de SMI,
01:10:17on parle de maintenir l'entrepreneur,
01:10:19faire ça, ça, faire l'immunium, etc.
01:10:21Mais c'est faux.
01:10:23Il y en a beaucoup, les autres SMI,
01:10:25dans le monde digital,
01:10:27dans le monde IT, dans le service,
01:10:29dans la construction,
01:10:31on a plein, plein, plein.
01:10:33C'est que le secteur bancaire,
01:10:35commence par un bloc,
01:10:37donne l'avantage pour eux.
01:10:39Parce que, si on bloque le secteur,
01:10:41à la fin, on peut bloquer
01:10:43les contributions fiscales au pays.
01:10:45C'est un secte vicieux.
01:10:47Voilà.
01:10:49Hans?
01:10:51Oui, je suis tout à fait d'accord
01:10:53avec les participants.
01:10:55Au fait,
01:10:57nous ne manquons pas juste l'ambition.
01:10:59Nous manquons vision,
01:11:01nous manquons focus et nous manquons initiative.
01:11:03Et, ce que je veux dire,
01:11:05j'ai posté,
01:11:07j'ai fait un mandat en Chine,
01:11:09pendant 3 ans.
01:11:11Et, quand j'ai posté en Chine,
01:11:13j'ai posté à Shanghai.
01:11:15Je suis le seul officier qui travaille
01:11:17à Shanghai pendant le Covid,
01:11:19en 2021,
01:11:21pour nos agences de promotion,
01:11:23d'investissement et de commerce.
01:11:25Et, je tiens des chapeaux.
01:11:27Je suis aussi attaché à l'ambassade morousse africaine.
01:11:29Et, nous manquons de staff aussi.
01:11:31C'est un gros problème.
01:11:33Nous manquons de staff.
01:11:35Et, dans un pays comme la Chine,
01:11:37deuxième économie dans le monde,
01:11:40qui est 4700 fois plus grande
01:11:42que la Chine,
01:11:44alors, si tout ce que nous faisons,
01:11:46nous le faisons dans un marché niche,
01:11:48on ne peut pas dire que c'est un marché niche.
01:11:50Mais, si c'est ce qu'on veut,
01:11:52quand on rentre dans une institution
01:11:54gouvernementale de la Chine,
01:11:56nous avons une stratégie africaine,
01:11:58une stratégie gauche.
01:12:00Et, je veux dire, cette stratégie n'a pas existé.
01:12:02Elle n'a pas existé.
01:12:04Et, qu'est-ce qu'on va faire ensuite,
01:12:06quand je vais travailler là-bas?
01:12:08Et, on va faire un report économique
01:12:10sur la Chine.
01:12:12Parce qu'il est énorme.
01:12:14Il y a une province de la Chine
01:12:16qui a un GDP équivalent
01:12:18à la Suisse, ensemble.
01:12:20Mais, les gens qui travaillent
01:12:22dans cette évolution,
01:12:24ils ne sont pas au courant.
01:12:26Et, on va essayer, avec un collègue,
01:12:28de faire une démographie
01:12:30de la province
01:12:32qui est dans la Chine.
01:12:34Il y en a 34.
01:12:36Et, est-ce qu'on est capables
01:12:38d'aller chercher les produits
01:12:40que nous voulons?
01:12:42Oui ou non?
01:12:44Parce que nous avons une FTA
01:12:46qui a été ratifiée le 1er janvier.
01:12:48Nous avons 6 000 produits
01:12:50qui ne sont pas qu'un produit.
01:12:52Franchement, je ne connais pas
01:12:54tous ces produits-là.
01:12:56Mais, j'ai essayé de chercher
01:12:58juste 3 produits.
01:13:00Et, en 2021, même l'année
01:13:02qu'on a ouvert l'office,
01:13:05l'office a réussi à amener
01:13:07un récord, je dirais,
01:13:09parce que nous avons réussi
01:13:11à exporter 36 millions d'USD
01:13:13dans la Chine.
01:13:15C'est la première depuis
01:13:17notre relation diplomatique en 1972
01:13:19avec la Chine.
01:13:21Parce qu'on s'est travaillé,
01:13:23on s'est concentré.
01:13:25Mais, comme on s'est envoyé
01:13:27un rapport, on n'a eu aucun feed-back.
01:13:29Vous l'avez envoyé?
01:13:31Oui, on a envoyé.
01:13:33Etant donné qu'il y a
01:13:35assez d'internet,
01:13:37on a vraiment une supérieure
01:13:39qui est concernée.
01:13:41Mais,
01:13:43ce qu'on m'a trouvé,
01:13:45c'est qu'on nous propose une initiative
01:13:47qui nous concerne pendant 3 ans.
01:13:49Mais, on n'a eu aucun feed-back.
01:13:51On nous parle de l'avant,
01:13:53comment nous faire.
01:13:55Mais, en 2021,
01:13:57il y a déjà un chiffre énorme
01:13:59qui, pendant la COVID,
01:14:01nous avons atteint
01:14:03ce chiffre-là.
01:14:05Je pense que c'est une des premières choses
01:14:07qui peuvent être répliquées.
01:14:09Très bien.
01:14:11Nous avons un auditeur.
01:14:13Bonsoir.
01:14:15Bonjour.
01:14:17J'ai hâte de parler
01:14:19avec mes camarades.
01:14:21Moi, en tant que navigateur,
01:14:23j'ai hâte de faire
01:14:25dans l'Afrique.
01:14:27J'ai 5 doigts.
01:14:29J'ai beaucoup de potentiel
01:14:31avec 1,2 million.
01:14:33On connait combien de fois
01:14:35nous avons besoin
01:14:37d'une ligne maritime,
01:14:39d'un tanker,
01:14:41d'un bateau qui serait
01:14:43notre propre ciment.
01:14:45Ciment sur Tanzanie,
01:14:47c'est un ciment qui ne peut pas monter.
01:14:49Nous avons besoin de développeurs
01:14:51au Maïbou,
01:14:53pour rallier Fuel avec Airport.
01:14:55Il faut 25 camions monter et descendre
01:14:58dans un pays comme le Bérenger
01:15:00où il y a de l'eau blanche.
01:15:02Est-ce qu'ils peuvent développer
01:15:04leur boulot économique ?
01:15:06Non, pas du tout.
01:15:08Il y a environ 10 frigères
01:15:10qui sont cessées.
01:15:12Ils font un secteur privé
01:15:14avec un secteur gouvernement
01:15:16pour développer leur pays.
01:15:18Aujourd'hui, notre produit est annulé.
01:15:20Nous pouvons produire 3 millions de litres.
01:15:22Mais aujourd'hui,
01:15:24nous ne pouvons pas produire.
01:15:26Nous avons besoin d'aller plus vite
01:15:28que Singapour.
01:15:30Singapour a 6,5 millions de population.
01:15:32Nous, 1,2 millions.
01:15:34Aujourd'hui, on connait 30%
01:15:36de pétrole qui sort
01:15:38d'un pays arabe de Oumoune.
01:15:40Nous avons besoin de faire de l'océan Indien
01:15:42pour qu'il ne tombe pas dans l'Afrique,
01:15:44mais dans l'Europe.
01:15:4612% de gaz général
01:15:48qui fait sa cimentation.
01:15:5010% de gaz qui fait sa cimentation.
01:15:52Est-ce qu'il y a des bateaux ?
01:15:54Si vous ne produisez pas de bateaux,
01:15:56ça veut dire que vous n'avez pas d'argent économique.
01:15:58Si vous tenez un bateau chargé au ciment,
01:16:00au ciment, c'est beaucoup plus bon marché.
01:16:02Si vous tenez un bateau chargé au carburant,
01:16:04au carburant, c'est beaucoup plus bon marché.
01:16:06Aujourd'hui, comment est-ce qu'il y a le Japon ?
01:16:08Nous serons capables de faire
01:16:10le transport de la cimentation
01:16:12depuis Maurice à Japon.
01:16:14Mais nous ne pouvons pas le faire.
01:16:16Aujourd'hui, il faut des indicelles.
01:16:18Madagascar produit
01:16:20500 000 tonnes d'indicelles
01:16:23pour faire la somme.
01:16:25Il faut une containe
01:16:27d'indicelles de 750 000 rupees
01:16:29sur Madagascar.
01:16:31C'est ça que je veux dire.
01:16:33On connait comme compagnie
01:16:35maritime.
01:16:37Nous travaillons les deux.
01:16:39Nous travaillons la compagnie méditerranéenne.
01:16:41Nous travaillons la compagnie indépendante.
01:16:43Nous travaillons la compagnie acapulose.
01:16:45Nous travaillons la compagnie unicorn.
01:16:47Mais nous connaissons la route là,
01:16:49mais pas très développée.
01:16:51Il y a du monde,
01:16:53mais le gouvernement a fait des efforts
01:16:55pour développer sa compagnie là.
01:16:57Merci beaucoup.
01:17:21Je pense que,
01:17:23surtout dans le secteur poultry,
01:17:25il y a un secteur
01:17:27qui est assez
01:17:29protectionniste.
01:17:31C'est difficile
01:17:33pour un investisseur
01:17:35qui n'est pas mauricien
01:17:37d'investir dans ce secteur-là.
01:17:41C'est à cause de l'aquaculture.
01:17:43D'après
01:17:45les rapports que j'ai lu,
01:17:47depuis 1972,
01:17:49on a essayé
01:17:51de pousser l'aquaculture,
01:17:53mais ça n'a pas été vraiment comme on l'a expecté.
01:17:55Là, il y a une
01:17:57compagnie qui trouve
01:17:59un petit maibou
01:18:01qui peut exporter
01:18:03un type de poisson.
01:18:05Ça peut marcher déjà.
01:18:07Mais à part ça, il n'y a pas vraiment
01:18:09développé ce secteur-là.
01:18:11Pourtant,
01:18:13nous avons une relation
01:18:15avec trois gros pays
01:18:17qui sont vraiment forts dans l'aquaculture.
01:18:19Le Japon, la Corée du Sud
01:18:21et la Chine.
01:18:23Une partie
01:18:25de l'aquaculture que j'ai développée
01:18:27là-bas, c'est en gourmand.
01:18:29J'ai fait
01:18:31une production gourmand pour l'export
01:18:33qui nous permet d'envisager
01:18:35nos risques. C'est bon
01:18:37pour le lagoon aussi,
01:18:39parce que l'économie va à l'autoroute aussi.
01:18:41Troisième point
01:18:43que j'ai envie de causer, c'est le paiement.
01:18:45Le paiement
01:18:47que M. Sheik a mentionné.
01:18:49Nous prenons
01:18:51l'opportunité
01:18:53disons,
01:18:57après juin ou juillet.
01:18:59Nous prenons
01:19:01une nouvelle monnaie
01:19:03pour le marché.
01:19:05C'est-à-dire que nous pouvons servir
01:19:07l'économie bientôt pour faire un paiement.
01:19:09C'est une bonne nouvelle, je pense,
01:19:11parce que nous pouvons...
01:19:13M. B. Clarence House, parce qu'en décembre
01:19:15de l'année dernière...
01:19:19La croix a été signée.
01:19:21La croix a été signée en décembre 2022.
01:19:23Mais en décembre de l'année dernière,
01:19:25la Banque de Chine, qui est trouvée à Mauritius,
01:19:27a dit qu'ils voulaient
01:19:29avoir un clearing hub. Et là, en ce moment,
01:19:31la Banque de Mauritius
01:19:33a négocié
01:19:35avec la Banque de Chine qui est à Mauritius
01:19:37pour qu'ils puissent commencer à faire un bon
01:19:39paiement. Ce qui est une bonne
01:19:41affaire pour le côté financier
01:19:43mauritiain, parce qu'il y a
01:19:45des acheteurs
01:19:47en Afrique qui peuvent payer à travers
01:19:49Mauritius, payer un dimanche direct
01:19:51en Rémy-en-Bie dans la Chine.
01:19:53C'est déjà un début pour le côté trade.
01:19:55Offshore, ce n'est pas une autre affaire.
01:19:57Mais je pense que
01:19:59c'est une bonne nouvelle pour le côté
01:20:01financier mauritien.
01:20:03D'accord. Merci, Anshaga.
01:20:05J'ai des questions pour vous plus tard.
01:20:07Plus tard, parmi les
01:20:09mesures que nous prenons,
01:20:11dans nos plans stratégiques,
01:20:13c'est qu'il n'y a pas tout à fait
01:20:15d'appréciation ou d'appréciation de l'or.
01:20:17Deuxièmement, Amélie Dorgan,
01:20:19nous trouvons qu'il y a des auditeurs
01:20:21qui peuvent être bien appréciés.
01:20:23Et nous trouvons
01:20:25aussi qu'il y a des auditeurs
01:20:27qui nous appellent
01:20:29cet après-midi, ce soir,
01:20:31pour suivre le dossier
01:20:33de commerce de l'Afrique
01:20:35de très très
01:20:37très très près.
01:20:39Et un auditeur nous dit, par exemple,
01:20:41avant qu'il me pose d'autres questions,
01:20:43il nous dit, par exemple,
01:20:45sur le supermarché, les taux de produits
01:20:47importés sont nécessairement chers.
01:20:49Et il nous dit, par exemple,
01:20:51qu'il ne fait rien par rapport aux produits d'Iberia.
01:20:53Ici, nous avons des bières importées
01:20:55et qu'il y a
01:20:57une fine cause, par exemple,
01:20:59de la nécessité de ciment, par exemple.
01:21:01Etc.
01:21:03Donc, Amélie Dorgan, ça me pose une question.
01:21:05Vous avez produit un rapport
01:21:07pour l'Association of Mauritian Manufacturers
01:21:09et qui finit de publier
01:21:11la semaine dernière, etc.
01:21:13Peut-être que cette question-là amène-nous
01:21:15vers ce rapport-là.
01:21:17En tout cas, nous le grandir, et surtout,
01:21:19et aussi réagir par rapport à
01:21:21ce qu'il va nous dire.
01:21:25Oui, nous vous donnons
01:21:27quelques perspectives,
01:21:29lorsqu'il nous écrit ce rapport-là.
01:21:31Lequel rapport est destiné
01:21:33à inspirer
01:21:35une décision
01:21:37de la police
01:21:39du gouvernement
01:21:41pour soutenir une entreprise
01:21:43orientée vers le marché domestique,
01:21:45mais qui doit toujours dire
01:21:47oui, orientée vers le marché domestique,
01:21:49mais avec l'ambition d'exporter aussi.
01:21:53Laissez-moi, cependant,
01:21:55préfacer ça
01:21:57avec une de ces affaires qui,
01:21:59pour moi, je suis tout le temps content de dire
01:22:01parce qu'il est illustratif
01:22:03de quelque chose.
01:22:05Je suis extrêmement content
01:22:07quand on écoute M. Hans
01:22:09qui nous dit ce qu'il est capable de faire
01:22:11pour développer un pipeline de commerce
01:22:13dans l'Afrique, dans une situation
01:22:15difficile, et qui est donc capable.
01:22:17Tout le temps, je me rappelle
01:22:19de cette affaire.
01:22:21Vous savez que Maurice exporte l'Amazon.
01:22:23Oui, Maurice exporte l'Amazon.
01:22:25Et vous savez qui exporte l'Amazon?
01:22:27L'Amérique.
01:22:29Qui fait mon service
01:22:31à l'exemple, là, tout le temps?
01:22:33Parce que,
01:22:35comment dire, si
01:22:37un certain nombre de fonctionnaires
01:22:39ou de politiciens
01:22:41assistent à dire
01:22:43nous développons l'Amazon,
01:22:45nous exportons l'Amazon dans l'Amérique,
01:22:47et bien, en réalité, ça se fait.
01:22:49OK?
01:22:51Et c'est une bonne entreprise qui risque
01:22:53d'avoir un problème, là, si Trump
01:22:55garde son 40% tarif.
01:22:57L'entreprise de l'Amazon, là.
01:22:59Simplement parce que,
01:23:01vous pouvez dire,
01:23:03qu'un de mes
01:23:05problèmes qui nous est là, dans l'approche
01:23:07par rapport
01:23:09à développement industriel,
01:23:11c'est que nous devons nous assiser,
01:23:13nous devons, comment dire, nous ligner,
01:23:15nous faire notre stratégie,
01:23:17nous devons nous dire ce qu'on veut faire.
01:23:19C'est pas ça ce qu'on veut faire.
01:23:21Nous devons savoir qui d'entre nous
01:23:23a envie de faire, contre nous,
01:23:25nous devons dire, là, qui nous est là?
01:23:27Mais qui t'as pas envie de faire? Qui nous est là?
01:23:29Nous est là,
01:23:31nous, la mer,
01:23:33nous est là, l'ouverture de nos marchés.
01:23:35Nous devons dire ça.
01:23:37Là, nous est là, ça marche, là, nous est là, la mer.
01:23:39Mais qui t'as envie de faire?
01:23:41Toi, qui t'as envie de faire? Qui t'as pas envie de faire?
01:23:43Qui t'as pas envie de contenir? Qui t'as besoin pour te contenir?
01:23:45Longtemps comme ça,
01:23:47qui nous a amené à investir?
01:23:49Nous passons à dire, qui nous peut donner?
01:23:51Qui t'as besoin pour te contenir?
01:23:53Ca, c'est qui nous a besoin
01:23:55pour qu'effectivement, nous puissions
01:23:57nous contenir.
01:23:59Donc,
01:24:01dans cette perspective-là,
01:24:03nous pourrions attendre
01:24:05longtemps pour que l'économie bleue
01:24:07ne nous développe pas,
01:24:09tant qu'ils nous parlent qu'ils ont une compagnie
01:24:11qui déjà fait un business dans l'économie bleue.
01:24:13C'est pas quatre fonctionnaires
01:24:15qui vous décident ça, c'est une compagnie
01:24:17qui fait un business dans l'économie bleue dans le monde.
01:24:19Dans le rapport qu'ils nous produisent,
01:24:21c'est-à-dire,
01:24:23c'est un rapport, donc,
01:24:25qui souligne
01:24:27la difficulté d'une entreprise
01:24:29industrielle
01:24:31orientée vers le marché domestique,
01:24:33dont
01:24:35une de mes difficultés, c'est l'accès aux finances.
01:24:37Effectivement, dans le rapport,
01:24:39nous disait Leclerc, qui beaucoup
01:24:41sont dans l'entreprise-là,
01:24:43s'ils veulent pas appartenir à un grand groupe,
01:24:45le premier problème qu'ils veulent gagner,
01:24:47c'est collatéral, car ils ont besoin
01:24:49d'une grosse difficulté.
01:24:51Donc, une de mes recommandations,
01:24:53c'est qu'il nous dise, écoutez,
01:24:55la banque de développement
01:24:57reprend le rôle
01:24:59qu'il y a eu avant.
01:25:01La banque de développement avant,
01:25:03c'est une institution
01:25:05qui finance lourdement
01:25:07les entreprises
01:25:09dans le secteur manufacturier.
01:25:11Nous devons revenir vers ça.
01:25:15Ça, c'est la première chose.
01:25:17Mon rappel,
01:25:19une remarque, c'est une question
01:25:21du Parlement à un ancien ministre des Finances.
01:25:23Il dit que
01:25:25la banque de développement est prête
01:25:27tant qu'assez
01:25:29à X nombre d'entreprises,
01:25:31mais combien d'années
01:25:33est-ce qu'elle retourne sa casse-là?
01:25:35Le ministre des Finances débute,
01:25:37il dit 65%
01:25:39quand elle retourne sa casse-là,
01:25:41mais ce 35% qui peut
01:25:43retourner sa casse-là,
01:25:45c'est le développement qu'ils ont fait,
01:25:47la production qu'ils ont fait,
01:25:49l'emploi qu'ils ont créé.
01:25:51Nous ne pouvons pas dire
01:25:53que ça n'a pas de récit, etc.
01:25:55Dans le business,
01:25:57tout ce qui n'a pas de récit,
01:25:59c'est le coup.
01:26:01Deuxièmement,
01:26:03les banques commerciales,
01:26:05je pense que c'est le temps inarrivé
01:26:07pour que la banque de Maurice
01:26:09fasse ce qu'elle a fait il y a longtemps,
01:26:11notamment la deuxième banque commerciale,
01:26:13ce crédit qu'elle peut allouer
01:26:15au secteur économique,
01:26:17c'est un pourcentage qu'elle peut allouer
01:26:19au secteur industriel.
01:26:21Troisième chose
01:26:23qui nous vient de ce rapport-là,
01:26:25c'est qu'il y a un niveau de jeu
01:26:27entre l'importation et la production locale.
01:26:29Je vais donner un exemple.
01:26:31Vous connaissez
01:26:33une bouteille d'eau,
01:26:35une bouteille qui remplit de l'eau,
01:26:37importée,
01:26:39qui ne paye pas le prix de sa bouteille-là.
01:26:41Mais un producteur local
01:26:43des lots d'une bouteille,
01:26:45sa bouteille qu'il a besoin
01:26:47pour mettre de l'eau là,
01:26:49il paye le prix de l'eau-là.
01:26:51Vous comprenez bien la différence.
01:26:53La bouteille qu'il a,
01:26:55il paye le prix de l'eau-là,
01:26:57mais sa bouteille qui vient
01:26:59de l'étranger, il paye le prix de l'eau-là.
01:27:01Donc on a deux points de mesure.
01:27:03En termes de qualité,
01:27:05en termes de standards,
01:27:07en termes de normes,
01:27:09nous ne pouvons pas faire ce qu'ils veulent faire.
01:27:11Donc il y a beaucoup de produits qui rentrent
01:27:13en Mauritie, qui substandardisent,
01:27:15qui ne peuvent pas suivre les normes,
01:27:17alors qu'il nous faut un nouveau producteur mauricien
01:27:19où ils observent les normes.
01:27:21Donc il y a un niveau de qualité.
01:27:23Donc voilà quelques perspectives
01:27:25que nous donne ce rapport-là.
01:27:27Le gouvernement veut faire ça
01:27:29pour amener le soutien à l'entreprise
01:27:31et à l'entreprise de l'autre côté.
01:27:33C'est clair dans ce rapport-là.
01:27:35Il y a l'ambition
01:27:37non seulement pour restaurer le marché
01:27:39mauricien, pour être compétitif,
01:27:41mais aussi pour exporter.
01:27:43D'accord.
01:27:45Merci à mes deux collègues,
01:27:47Cheikh Mahomadali et Anne Sissagor.
01:27:49L'émission, malheureusement, touche à sa fin.
01:27:51Je sais qu'il y a encore des affaires à vous dire.
01:27:53Donc merci
01:27:55à tous ceux qui font participer à l'émission.
01:27:57Et tous les auditeurs
01:27:59qui nous écoutent,
01:28:01les spectateurs sur Facebook.
01:28:03Donc je vous souhaite une bonne soirée
01:28:05et beaucoup de football ce soir.
01:28:07Beaucoup de fans de Manchester United
01:28:09et aussi de Tottenham.
01:28:11Bon match. Bonne soirée.
01:28:13Merci.
Recommandations
1:31:50
|
À suivre
1:53:11
1:22:10
1:31:08
1:36:00
43:05
18:48
0:33