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On n'arrête pas l'éco, avec Christel Bories, PDG d'Eramet
France Inter
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25/05/2025
La PDG du groupe minier français Eramet, Christel Bories, était l'invitée d'Alexandra Bensaid, samedi 25 mai.
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Transcription
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00:00
Et nous sommes toujours au chapitre matière première, mais là nous passons au métaux.
00:04
La PDG d'Eramet est notre invitée. Bonjour et bienvenue Christelle Bory.
00:09
Bonjour.
00:10
Vous êtes PDG d'Eramet. A partir de lundi, vous serez seulement, si je peux dire, présidente,
00:16
puisque vous cédez votre poste de directrice générale.
00:19
Pourquoi est-ce qu'on fait ce choix ? Est-ce que ça change quoi ?
00:22
Alors c'est un choix d'abord purement personnel.
00:24
J'ai 61 ans, j'ai fait deux mandats, une transformation réussie du groupe.
00:31
Mon mari est plus âgé que moi et on s'était promis qu'une fois que j'aurais passé 60 ans,
00:37
on allait passer un peu plus de temps ensemble.
00:39
Donc c'est un choix purement personnel que peut-être peu font, mais que nous avions décidé de faire ensemble.
00:46
Merci pour la franchise de l'explication.
00:49
Eramet, je vais le dire parce que ce n'est pas un groupe très grand public.
00:51
Vous êtes le groupe français des mines et des métaux, 3 milliards et demi quasiment de chiffre d'affaires.
00:57
Alors avec les métaux, ça bouge beaucoup les chiffres d'affaires.
00:59
Oui là, c'est un chiffre d'affaires de bas de cycle.
01:01
Vous produisez du lithium en Argentine, et peut-être en Alsace, on en parlera,
01:06
du manganèse au Gabon, du nickel en Indonésie et aussi en Nouvelle-Calédonie.
01:11
Vous êtes le premier employeur privé du caillou.
01:13
Un an après la crise sociale et politique, dites-nous Christelle Bory,
01:17
est-ce que l'usine d'Eramet produit à 100% de ses capacités ?
01:21
Alors non, elle ne produit pas à 100% de sa capacité, loin de là,
01:24
parce que le territoire est toujours bloqué.
01:29
On n'a pas accès en fait à tout le domaine minier.
01:33
Et donc l'usine est peu et mal alimentée.
01:37
Donc elle ne produit qu'à près aux deux tiers de sa capacité.
01:40
Mais je pense que ce qui se passe en Calédonie est très triste.
01:45
Moi c'est le mot qui me vient le premier à l'esprit.
01:49
C'est que le territoire a été quasiment détruit.
01:53
L'économie est totalement à bout de souffle.
01:57
Et il faut trouver une solution pour cette filière nickel,
02:00
qui est aujourd'hui totalement déficitaire.
02:03
Les usines sont totalement déficitaires.
02:05
Toutes, une a fermé.
02:07
Deux sont en survie, donc subventionnées par l'État.
02:11
C'est votre cas ?
02:11
C'est notre cas.
02:12
Donc Eramet n'est plus économiquement exposé à la SLN.
02:17
La société ?
02:18
La société, le nickel, que nous opérons en Calédonie.
02:22
Nous continuons à l'accompagner industriellement, opérationnellement.
02:26
Mais c'est l'État qui finance cette société,
02:30
puisqu'en fait il n'y a plus de modèle économique.
02:32
Et qui finance donc les salaires,
02:34
puisque, je le disais, vous êtes le premier employeur privé.
02:36
Alors, il finance toutes les pertes de la société,
02:41
et effectivement donc les salaires.
02:44
Christelle Bory, longtemps nous Français, nous Occidentaux pourrait-on dire.
02:47
Nous ne nous sommes pas vraiment préoccupés de notre approvisionnement en métaux.
02:51
Mais aujourd'hui, les observateurs nous décrivent une course mondiale.
02:54
Est-ce que vous, sur le terrain, c'est ce que vous vivez ?
02:56
Une compétition de plus en plus dure ?
02:58
Alors, c'est clairement une course mondiale.
03:00
Alors, les métaux ont toujours été au centre de la géopolitique,
03:03
pour une raison qui est assez simple,
03:05
c'est que la géologie, la nature, a mis les métaux à certains endroits.
03:11
Et il se trouve que les pays producteurs ne sont pas les pays consommateurs.
03:15
Donc, les matières premières, depuis toujours, elles doivent voyager beaucoup.
03:18
Donc, tant que le monde est ouvert, libre, fluide, ça marche à peu près bien.
03:24
Quand il commence à y avoir des tensions, et on a beaucoup de tensions actuellement,
03:28
ça marche moins bien.
03:30
Et puis, ces matières premières, certaines d'entre elles, sont absolument critiques
03:35
pour un certain nombre de chaînes de valeurs stratégiques pour nos pays,
03:39
que ce soit la défense, l'aérospatiale, maintenant, toute la transition énergétique,
03:44
l'électronique, les aimants permanents, donc les batteries.
03:50
Et les Chinois, notamment, ont une conception totalement intégrée de la chaîne de valeurs,
03:57
c'est-à-dire qu'ils ont très vite compris que s'ils voulaient maîtriser ces industries stratégiques,
04:03
il fallait qu'ils maîtrisent toutes les étapes de la chaîne de valeurs,
04:07
y compris la partie minière.
04:08
Ça veut dire que, maintenant, la Chine a des mines, et elle va jusqu'au raffinage,
04:14
et il me semble que pour les terres rares, elle domine.
04:16
Elle va beaucoup plus loin, je prends l'exemple de la batterie BYD,
04:19
que tout le monde connaît, le plus grand constructeur de voitures électriques chinois,
04:27
qui a toutes les étapes de la chaîne de valeurs, c'est-à-dire qu'il fait ses batteries,
04:31
il fait ses matériaux pour cathodes, il fait ses précurseurs, il raffine le métal,
04:34
et il a des investissements dans des mines.
04:36
Et il fait tout ça pour être certain de parfaitement maîtriser sa chaîne de valeurs
04:42
et de ne dépendre de personne pour son alimentation.
04:45
Il se trouve que la Chine, depuis 20 ans, investit sur la mine et les métaux.
04:52
Elle est partout, ça veut dire qu'elle est partout dans tous les pays ?
04:54
Sur les 20 dernières années, elle a dépensé 230 milliards en dehors de son territoire
04:59
pour sécuriser des gisements miniers.
05:02
230 milliards en 2023, c'était 20 milliards sur une seule année.
05:06
Donc, elle a effectivement sécurisé des mines en Afrique, en Amérique latine,
05:12
en Indonésie énormément pour le nickel.
05:14
Et donc, elle maîtrise cette première étape.
05:17
Et puis après, elle maîtrise fortement la seconde étape qui est le raffinage.
05:21
Aujourd'hui, sur les matières critiques, la Chine raffine.
05:23
Les matières critiques ?
05:24
70% et 90% de ces matières.
05:27
Alors, les matières critiques, c'est justement ces métaux qui sont considérés critiques
05:33
parce qu'ils alimentent des chaînes de valeurs stratégiques.
05:35
Est-ce que ça veut dire...
05:36
Je vois l'Agence internationale de l'énergie qui alerte le reste de la planète
05:40
sur une dépendance qui ne cesse d'augmenter à la Chine
05:43
pour les métaux critiques dont vous venez de parler.
05:45
Est-ce que ça veut dire qu'on est en risque de pénurie ?
05:48
Que s'il y a quelque chose qui se passe mal avec la Chine,
05:52
on risque de voir nos approvisionnements coupés ?
05:55
Alors, il y a un vrai risque, effectivement.
05:58
On n'est pas en risque de pénurie parce qu'on manque de métaux dans le monde.
06:01
En fait, il y a suffisamment de métaux disponibles sur la planète
06:06
pour alimenter nos chaînes de valeurs.
06:08
Le problème, c'est dans quelles mains sont-elles ?
06:10
Et ça s'est beaucoup concentré sur les dernières années.
06:13
Juste donner l'exemple du nickel.
06:15
Aujourd'hui, quand on prend le raffinage de nickel,
06:18
il est à 60% en Indonésie détenu par des Chinois.
06:22
Et si on rajoute la Chine, 75% est raffiné par des Chinois.
06:27
Si les Chinois décident de ne plus vendre ce nickel,
06:31
on est coupé de cette alimentation.
06:33
Et ce qui est embêtant, c'est que les Chinois ont commencé il y a 20 ans,
06:38
ont sécurisé, comme je l'ai dit.
06:40
Mais maintenant, les Etats-Unis, on se rattrape et on voit que Trump le fait très rapidement.
06:48
Vous devancez ma question.
06:50
Quand on voit que Donald Trump, je le rappelle pour les auditeurs,
06:53
il s'intéresse aux ressources naturelles, au sous-sol du Groenland.
06:56
Il a obtenu un accès aux minerais ukrainien.
06:58
En ce moment, il y a des discussions avec la RDC, le Congo,
07:01
qui a tellement de richesses dans son sous-sol.
07:05
C'est une nouvelle donne qui vous inquiète, Christelle Bory ?
07:07
Alors, c'est effectivement inquiétant parce qu'il va très vite,
07:11
alors avec des méthodes critiquables.
07:14
Mais il va très vite, il fait effectivement des deals.
07:17
Donc on avait déjà la Chine qui en avait pris une moitié au niveau minier
07:21
et 70% à 90% au niveau raffinage.
07:25
Les Etats-Unis essayent de prendre ce qu'il reste.
07:29
Donc si l'Europe ne bouge pas, il ne va plus rester grand-chose
07:32
et on va être dépendant soit de l'un, soit de l'autre
07:34
pour notre alimentation en matière critique.
07:37
Et ça, c'est un problème de souveraineté majeur pour l'Europe.
07:41
Une question encore sur Trump quand même.
07:43
Un des auteurs du rapport Cyclope, qu'on a entendu dans le reportage,
07:47
dont on a parlé dans le reportage,
07:49
explique que la course actuelle aux métaux et minéraux ravive, je le cite,
07:52
l'histoire dans sa forme la plus crasse,
07:54
avec un retour des empires et des annexions de territoire.
07:58
Est-ce que Trump a fait tomber des tabous au sujet des métaux ?
08:01
Moi, je trouve dans les interactions que je peux avoir
08:05
avec un certain nombre de pays producteurs
08:07
qu'effectivement, ça a désinhibé un certain nombre de gouvernements
08:16
qui se disent, en fait, finalement, dans ces deals,
08:19
moi j'ai une arme, ça s'appelle mes matières premières,
08:22
jusqu'à présent je les vendais normalement sur les marchés.
08:25
Maintenant, je peux en faire vraiment un outil de négociation, d'autre chose.
08:30
Et donc, on voit monter des nationalismes,
08:35
mais aussi, j'allais dire, des bras de fer liés aux matières premières.
08:39
Et ça, ça peut être inquiétant.
08:41
Christelle Bauri, l'Europe est au niveau ?
08:43
Vous nous avez décrit la Chine, les Etats-Unis.
08:46
L'Europe, elle a des listes.
08:47
Elle veut ouvrir des sites, des mines en Europe,
08:50
mais aussi des sites de recyclage pour ces métaux.
08:54
Est-ce que c'est réaliste ? Est-ce que c'est au niveau ?
08:56
Alors, l'Europe, déjà, elle n'avait pas pris conscience du problème.
09:02
Maintenant, elle a pris conscience du problème.
09:05
La prochaine étape, c'est d'avoir les outils et les financements pour rattraper.
09:10
Et là, on n'y est pas encore.
09:11
Sur l'extraction minière en Europe,
09:15
d'ailleurs, le Critical Romaterial Act, dont vous parliez tout à l'heure de l'Europe,
09:20
vise un objectif de 10% en 2030.
09:24
Donc, déjà, 10%, c'est ambitieux,
09:26
l'extraction de nos besoins sur le territoire européen.
09:29
Mais ça veut dire que 90% doit venir d'ailleurs.
09:32
Et donc, il faut que ces 90%, l'Europe les sécurise,
09:36
soit via des accords commerciaux, diplomatiques, avec des pays producteurs,
09:41
soit en finançant des investissements miniers dans les pays en question.
09:48
Et là, on n'a pas les outils de financement, aujourd'hui, en Europe, pour le faire.
09:53
Sur l'extraction, en Europe, il y a effectivement quelques matières,
09:59
mais la géologie n'est pas très riche pour tous ces matériaux critiques en Europe.
10:04
Et 10%, ça correspond à peu près à la réalité géologique.
10:08
Et on voit que même les quelques projets aujourd'hui,
10:12
il y en a au Portugal, il y en a en Serbie, il y en a en France,
10:15
ils ont quand même beaucoup de problèmes d'opposition des populations locales.
10:20
Donc, ouvrir des mines en France, ouvrir des mines en Europe,
10:23
aujourd'hui, c'est compliqué.
10:25
Ça prend du temps.
10:26
Donc, on n'y est pas.
10:26
Mais c'est peut-être à juste titre, Christelle Bory,
10:29
parce que je vois aussi, par exemple, votre projet au Sénégal.
10:31
Je vois toute la presse locale sur les atteintes à l'environnement.
10:35
Est-ce que la mine responsable, est-ce que l'extraction de richesses naturelles responsables, ça existe ?
10:43
Alors, la mine responsable, ça existe.
10:45
Et d'ailleurs, au Sénégal, je pense qu'on est exemplaire.
10:48
C'est une de nos premières mines qui sera certifiée IRMA,
10:53
qui est le plus exigeant standard international en termes de mines responsables.
10:58
Il y a eu des polémiques, honnêtement, totalement erronées au Sénégal,
11:04
où on fait les choses de manière extrêmement responsable en termes de gestion de l'eau,
11:12
de biodiversité, de relations avec les communautés.
11:14
Et la mine responsable, ça existe.
11:16
C'est vrai que les mines n'ont pas bonne réputation,
11:20
parce qu'il y a beaucoup de petits mineurs artisanaux, notamment,
11:24
qui ne font pas les choses correctement.
11:26
Historiquement, la mine a fait beaucoup de dégâts environnementaux.
11:30
Mais on peut faire de la mine responsable.
11:32
Ça coûte un peu plus cher, ça prend un peu plus de temps, mais c'est possible.
11:36
Une dernière question sur le projet que vous aviez,
11:39
que vous avez suspendu sur le recyclage des batteries pour faire des métaux.
11:45
Ça se passe à Dunkerque.
11:46
Suspendu, est-ce que c'est une manière polie de dire que vous l'avez enterré ?
11:50
Non, on l'a suspendu, parce que pour faire du recyclage,
11:53
il faut qu'il y ait des matières à recycler.
11:56
Donc, c'était du recyclage de batteries lithium-ion.
11:59
Aujourd'hui, comme le décollage de la voiture électrique est lent,
12:04
il n'y a pas, pour le moment, beaucoup de batteries usagées à recycler.
12:08
Il faut, ou alors qu'il y ait ce qu'on appelle des scrapes, des déchets de production.
12:12
Et les usines de production de batteries,
12:15
elles ont quand même, pour le moment, un peu aussi du mal à démarrer.
12:18
Donc, il n'y aurait pas beaucoup d'alimentation.
12:19
Et puis surtout, on n'a pas de clients,
12:21
parce que les étapes de la chaîne de valeur derrière le recyclage
12:25
ne sont pas localisées en Europe aujourd'hui.
12:27
J'aurais des produits issus du recyclage aujourd'hui,
12:30
je devrais les vendre en Asie.
12:31
Donc, ça ne fait pas beaucoup de sens.
12:33
Il faut, pour le recyclage, qu'il y ait une chaîne de valeur complète,
12:36
ce que je disais tout à l'heure des Chinois.
12:38
Et ces chaînes de valeur complètes n'existent pas encore en Europe.
12:41
Donc, nous avons suspendu notre projet
12:43
tant que ces chaînes de valeur n'existent pas.
12:46
Christelle Bory, la PDG d'Eramet.
12:49
Merci d'avoir accepté l'invitation d'On n'arrête pas l'écho.
12:51
Merci.
12:52
Merci.
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