Black blocs : «Quand on les interpelle, ça chouine, ça couine», lance Jean-Christophe Couvy

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00:00Je dis en fait, quand on les interpelle et effectivement on les démasque,

00:03tout de suite ça chouine, ça couine, et c'est mon doudou, j'ai mon doudou.

00:06Et sur les doudous, d'ailleurs, il y a le numéro de téléphone des avocats militants.

00:12Parce qu'en fait, ils viennent, ils ont même tatoué au stylo sur leur avant-bras.

00:15Mais je vous rappelle qu'il y a des syndicats magistrats

00:18qui publient régulièrement le fascicule du manifestant arrêté.

00:25Face à la police, face à la justice.

00:26Donc voilà le climat dans lequel on est aujourd'hui.

00:29Oui, c'est peut-être pour ça que malheureusement,

00:30les manifestations sont trop régulièrement pourries par des minorités.

00:36Parfois, ils sont très nombreux.

00:37Sur certaines manifestations, on a pu avoir 1000, 2000 éléments radicaux qui se retrouvent.

00:42En fait, c'est très gazeux.

00:43Il n'y a pas de responsable.

00:45Merci Emili, merci beaucoup.

00:47Il vient de toute l'Europe aussi.

00:48Oui, il vient de l'Europe.

00:49En fait, il n'y a pas de responsable, comme par exemple sur l'extrême droite.

00:53Il n'y a pas d'hierarchie.

00:53Il y a une hiérarchie bien déterminée.

00:57Là, chacun a ses réseaux sociaux, se donne rendez-vous.

01:00C'est très compartimenté.

01:02Donc, c'est beaucoup plus dur à suivre.

01:03Après, c'est pour ça d'ailleurs qu'on élargit le cercle sur les contrôles.

01:08Parce qu'on sait qu'ils prennent les métros, les RER.

01:11Ils viennent un peu partout et on peut les contrôler en avant.

01:13Merci.

01:14Merci.

01:15Merci.

01:16Merci.

01:17Merci.