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SMART IMPACT - Informatique : du reconditionné (re)made France
B SMART
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27/03/2025
En 2021 la loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique est instaurée. La même année, la start-up Keeep voit le jour. Elle vend aux TPE/PME et acteurs publics du matériel informatique reconditionné, entièrement sourcé en France.
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Smart Ideas avec Mirabelle Lamoureux, bonjour.
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Bonjour.
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Bienvenue, vous êtes la directrice générale de KIP
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avec 3E,
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entreprise créée en 2021 et que vous avez reprise en
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2023.
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C'est quoi le modèle de KIP, racontez-moi.
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KIP c'est très simple en fait, l'idée c'est
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d'accompagner les entreprises
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et le secteur public
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dans leur transition écologique
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en permettant de s'équiper avec du matériel informatique
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reconditionné. D'accord.
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C'est quoi, c'est une plateforme ?
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Vous mettez en relation les uns
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avec les autres, c'est quoi le principe ?
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Exactement, nous on aime bien dire qu'on a un peu l'agrégateur
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de tous les flux du reconditionné en France.
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L'idée c'est vraiment d'être la référence
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pour tout acteur professionnel qui aurait besoin d'acheter
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un smartphone, un ordinateur,
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un écran. S'il a envie d'acheter de la seconde main,
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il peut passer chez nous et on a toutes
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les références du marché français.
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Il y a justement un marché du reconditionnement
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suffisamment large,
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l'offre est importante ?
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L'offre est très importante, c'est un marché qui représente
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1 milliard d'euros en 2023 le reconditionné.
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Sur le matériel informatique.
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Sur le matériel informatique, exactement.
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Et on a de très beaux acteurs en France,
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toute une filière en fait
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qui est super active et qui est en plus très engagée
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pour l'insertion professionnelle.
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Pourquoi vous l'avez racheté cette entreprise ?
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Qu'est-ce qui vous a intéressé ?
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Je pense que comme beaucoup de gens, le Covid
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est un moment de réflexion,
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un moment de réflexion professionnelle
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et de se dire qu'est-ce que je fais dans la vie
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et comment je donne un petit peu de sens à ce que je fais.
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Je fais une école de commerce
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et je cherchais quelque chose qui soit aligné
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avec mes valeurs, notamment au niveau de l'écologie.
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Le reconditionné,
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après je suis un peu tombée dedans quand j'étais petite.
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Pourquoi ?
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C'est un milieu que je connais bien. Mon père à l'époque
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avait tenté au début des années 2000
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une boutique d'informatique de seconde main.
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Je pense que c'était un moment où le public
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n'était pas encore prêt pour tout ça.
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Depuis, il y a eu beaucoup de discours
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et de vulgarisation autour de ces sujets-là.
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Là, c'est bien aussi de pouvoir un petit peu donner
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une seconde vie à cette aventure.
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Ça veut dire que le modèle de Kip
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c'est de s'appuyer sur des reconditionneurs
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qui sont des reconditionneurs français ?
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Exactement.
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Vous ne faites pas venir de matériel de l'autre bout de la planète ?
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Non, non.
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Ça fait partie du modèle d'autres entreprises.
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Exactement, ça fait partie du modèle
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de beaucoup de revendeurs.
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Nous, on ne le fait pas pour plusieurs raisons.
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Évidemment, pour une question de valeur,
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ça n'aurait pas de sens avec notre engagement
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écologique et social.
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En plus, de façon pratique,
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sur les ordinateurs par exemple,
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avoir des claviers étrangers, c'est compliqué à gérer.
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Pour nos consommateurs finaux,
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c'est un problème.
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Autant travailler avec des machines en France
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reconditionnées par des talents français.
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Qui sont vos clients aujourd'hui ?
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Nos clients, en majorité, ça va être des TPE et des PME.
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Des professionnels qui ont ces besoins d'IT
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mais qui ne sont pas accompagnés par des grands groupes
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et ça va être le secteur public.
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De plus en plus, il y a une législation
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qui encourage la seconde main,
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qui encourage un numérique responsable.
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C'est une vraie opportunité pour nous
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et ça nous permet d'accompagner
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la transition du secteur public.
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Le secteur public qui va peut-être
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enfin commencer à donner les exemples,
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c'est ça, en la matière ?
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C'est un peu l'idée, je pense.
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Quand on regarde la loi AJEC
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pour une économie circulaire qui impose
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20% d'achats de seconde main
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d'ici 2025, ça y est, on y est.
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Il faut s'y mettre.
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L'idée, c'est de donner l'exemple et j'espère
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que les entreprises s'engageront de la même façon.
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Est-ce qu'il y a des a priori
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encore importants autour du reconditionné
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dans ce secteur particulier
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du matériel informatique ?
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Des a priori que vous devez combattre ?
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Bien sûr. Je pense que le plus gros de notre travail, c'est la réassurance.
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On a des acteurs sur le marché
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qui ont fait connaître le reconditionné
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et c'est très bien, mais qui ont aussi
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un petit peu
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terni son image parce qu'il n'y avait pas
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forcément le service, le SAV, derrière.
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Aujourd'hui, nous, on rassure
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beaucoup sur ce côté-là. On s'adresse
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à des professionnels. On sait qu'ils ont besoin d'assurer
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la continuité de leur activité.
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S'il y a quoi que ce soit, comme ça arrive
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pour le neuf aussi, on a à peu près les mêmes
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taux d'erreur, c'est-à-dire que c'est 5%
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d'erreur sur des machines.
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On met en place un modèle de remplacement.
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On est capable de réparer assez rapidement
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et de vous renvoyer votre appareil
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pour que vous ne perdiez pas de temps.
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Vous proposez depuis cette année
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une solution de leasing.
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Pourquoi vous avez mis en place cette offre ?
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Parce qu'on sait qu'une des préoccupations
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des chefs d'entreprise, c'est la trésorerie.
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Déjà, on les accompagne
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avec du matériel de seconde main
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ce qui fait que ça permet de libérer
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du budget pour des choses comme
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l'acquisition client, la recherche et le développement, etc.
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Maintenant, proposer du leasing,
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ça nous permet aussi de leur éviter
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ce moment qui est un peu compliqué
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d'acheter pour toutes ces équipes du matériel
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mais de se dire que je peux étaler cette dépense dans le temps
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et je peux, encore une fois,
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libérer du budget pour ma croissance.
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Dernier mot sur les différences de prix
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entre le neuf et le reconditionné ?
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C'est assez bluffant.
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Sur une entreprise, généralement, on divise
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le budget IT par deux et sur
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certains modèles, ça peut être jusqu'à 70%
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moins cher que le neuf.
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Merci beaucoup Mirabelle Laboureux et bon vent à KEEP.
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Voilà, c'est la fin de ce Smart Impact.
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Je voudrais remercier
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l'équipe de programmation et de production
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Alexis Mathieu et Juliette Milieri
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et puis Théo Boscar,
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Romain Luc, j'avais deux réalisateurs pour le prix d'un
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sauf que Romain Luc, il a aussi un peu fait
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le boulot de l'ingénieur du son
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et je cite Saïd Bamou qui était chargé de ce son.
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Salut !
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