Passer au player
Passer au contenu principal
Passer au pied de page
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Commentaires
Favori
Partager
Ajouter à la playlist
Signaler
Punchline - Les agriculteurs, sont-ils les grands perdants de la censure ?
Europe 1
Suivre
11/12/2024
Catégorie
🗞
News
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
18h19 sur CNews et Europe 1, Punchline, Laurence Ferrari.
00:20
18h21 de retour dans Punchline sur CNews et sur Europe 1.
00:23
J'aimerais qu'on parle quand même de cette colère des agriculteurs.
00:26
Il y a eu beaucoup de mobilisation aujourd'hui,
00:28
il y a eu une centaine de permanences de parlementaires qui ont été dégradées,
00:31
ce que condamne d'ailleurs Yael Brunepivelle, présidente de l'Assemblée Nationale.
00:34
Et puis il y a eu des images qu'on n'aime pas voir,
00:37
c'est-à-dire des agriculteurs qui sont face à des forces de l'ordre.
00:41
Il y a eu des tensions qui ont éclaté,
00:43
comme nous l'expliquent Mahem Valami, Nathan Temim et Jean-Luc Thomas.
00:49
A l'intérieur d'un camion frigorifique fouillé par les agriculteurs,
00:52
de la viande espagnole.
00:55
La police tente de les faire descendre, mais très vite le ton monte.
01:03
Manifestants et forces de l'ordre se font face,
01:06
des bousculades éclatent.
01:11
Une réponse incompréhensible pour Karine Duc,
01:13
coprésidente de la coordination rurale du Lot-et-Garonne.
01:16
On a été accueillis de la pire des façons,
01:19
on a été parqués, on a été matraqués,
01:22
on n'a pas pu contrôler tous les camions que l'on souhaitait.
01:26
L'action se poursuit dans un supermarché.
01:29
Face aux produits à l'origine non précisée,
01:31
les agriculteurs laissent à nouveau éclater leur colère.
01:34
Il n'y a même pas eu de traçabilité, il n'y a que dalle.
01:37
Vous pouvez regarder tout le chariot, c'est soit UE, soit sans origine.
01:41
Mais l'obligation de l'origine sur la viande, c'est une obligation nationale.
01:45
Tomates, viande, des dizaines de barquettes sont retirées des rayons.
01:50
Le gérant du magasin tente de s'expliquer.
01:53
L'engagement de l'ensemble, il y est.
01:56
Vous avez vu par exemple le bœuf, et vous ne me l'avez pas vidé,
02:00
on est sûr du bœuf français.
02:02
Ce n'est pas parce que vous avez...
02:04
On n'a pas eu de référence, des axes d'amélioration, on peut en avoir,
02:07
c'est évident, mais en tout cas, l'engagement, il y est.
02:10
Les agriculteurs laissent finalement les produits au niveau des caisses
02:13
avant de quitter la grande surface.
02:15
D'autres actions sont à prévoir dans les jours à venir.
02:19
Voilà, Jean-Christophe Covey,
02:21
oui, les forces de l'ordre font leur métier,
02:23
mais là, ce sont des agriculteurs en face.
02:25
Moi, je vais être clair, je suis d'une famille d'agriculteurs aussi.
02:28
Je pense que tous autour, on a des grands-parents, etc.,
02:31
qui ont été dans l'agriculture.
02:33
On est policiers, on doit aussi respecter les lois,
02:35
et on doit respecter les uns les autres, en fait.
02:38
Et en fait, au nom de...
02:40
On n'est plus dans le cadre de la loi,
02:42
ça veut dire que des agriculteurs vont aller fouiller tous les camions
02:46
qui vont passer, déverser la marchandise,
02:48
aller dans des supermarchés pour tout vider, etc.
02:53
Il y a des choses qu'on ne peut pas non plus trop laisser faire.
02:55
Il faut encadrer.
02:56
C'est-à-dire, oui, ils ont une colère, c'est normal.
02:58
Encore une fois, les policiers ne sont pas les ennemis des agriculteurs.
03:00
Je pense qu'on l'a démontré dans les derniers mois.
03:02
On a tous le même but, c'est de vivre heureux
03:04
et d'être ensemble, justement, en coexistence.
03:08
Mais il faut aussi, à un moment donné, avoir une ligne claire.
03:12
Et ça, c'est un problème.
03:14
En même temps, s'ils en sont là, c'est aussi qu'il y a une raison.
03:17
Et ce n'est pas la police qui en est la raison.
03:19
Donc il faut aussi qu'on se parle.
03:21
Mais ce que je veux dire, c'est que la vraie raison,
03:23
c'est aussi les politiques qui, à un moment donné, ont laissé faire,
03:25
ont donné des bonnes paroles.
03:26
Et c'est normal qu'il y ait aussi cette colère.
03:28
Mais une colère doit s'exprimer, mais attention.
03:30
Encore une fois, dans les règles de la loi,
03:32
et ne pas déborder des lignes rouges.
03:34
Moi, ce sont des images qui me font de la peine.
03:35
Ça me fait penser, vous savez, à l'époque des gilets jaunes,
03:37
quand on voyait des policiers et des gilets jaunes
03:39
qui gagnaient à peu près la même chose,
03:40
qui avaient à peu près les mêmes problèmes,
03:42
qui avaient à peu près la même manque de considération
03:44
de la part du politique, qui s'affrontaient,
03:46
parce que c'est ce qui s'est passé,
03:47
parce que le politique ne savait pas répondre à cette colère.
03:49
J'ai l'impression d'en revivre la même chose.
03:51
Comment dire ?
03:52
Ça, c'est la première chose que ça m'inspire.
03:54
Et j'aimerais bien que ça n'existe pas.
03:56
Et en même temps, comment ne pas le renvouloir ?
03:58
Jean-Christophe a raison de dire que les vrais responsables de tout ça
04:00
sont les politiques.
04:01
Là, par exemple, en ce moment,
04:02
Herschel Havonderleyen, qui est allé signer le Mercosur,
04:05
alors que c'était quand même leur revendication première
04:08
au moment où ils sont descendus, il y a un an,
04:10
sur les ronds-points et sur les routes.
04:12
L'objet de leur colère devrait être à ce niveau-là.
04:15
Et vis-à-vis de tous ceux qui ont fermé les yeux
04:17
ou qui ont fait semblant de ne pas savoir qu'elles le feraient,
04:19
parce qu'en vérité, c'était prévisible.
04:21
Et la deuxième chose que ça m'inspire,
04:23
c'est, vous savez, on parlait en tout début,
04:24
de première heure de l'émission,
04:25
avant d'arriver sur Europe 1,
04:27
de ce régime politique finissant, agonisant, etc.
04:30
La quatrième République dont on parlait
04:32
a été balayée par la guerre d'Algérie.
04:34
Je ne sais pas quelle sera la raison
04:36
qui fera vaciller notre régime actuel,
04:38
mais les agriculteurs pourraient, par exemple,
04:39
être ce détonateur, parce que, pour le coup,
04:41
ce n'est pas une petite colère catégorielle et ponctuelle,
04:45
c'est vraiment quelque chose de très profond
04:47
qui nous remet en question largement.
04:49
Qui vient des profondeurs du pays.
04:50
Thomas Brunet, il y a la question du Mercosur aussi,
04:52
qui les inquiète énormément.
04:53
La France a beau dire qu'elle va s'opposer
04:55
à la ratification du Mercosur,
04:56
en l'instant, on n'a pas rallié assez le pays
04:58
pour s'opposer à la ratification.
05:01
Non, c'est l'illustration d'une perte de souveraineté
05:03
de la France sur ces questions-là.
05:04
On a mis notre destin entre les mains
05:06
de la Commission européenne,
05:07
et elle est en mesure de ratifier
05:08
des traités de libre-échange,
05:09
malgré l'opposition de la France.
05:11
Ce qui est intéressant aussi dans ces images,
05:13
c'est que vous voyez, ils visent l'origine
05:15
des produits qui ne sont pas que d'Amérique du Sud,
05:18
qui sont aussi de l'Europe.
05:19
Et c'est un sujet qu'on évoque assez peu,
05:20
mais la concurrence, elle est aussi,
05:22
et peut-être même surtout,
05:23
au sein de l'Union européenne.
05:25
Et la question, c'est évidemment
05:26
les marges de la grande distribution,
05:28
les centrales d'achat,
05:29
c'est là aussi qu'il faut interroger.
05:31
Une loi avait été prévue,
05:32
la loi Egalim.
05:33
On voit que ça n'a pas du tout réglé.
05:35
Elle a été votée.
05:36
Il devait y avoir un deuxième volet,
05:38
qui lui n'a pas prévu.
05:39
L'entrée de l'Ukraine dans le Nord.
05:40
Et l'entrée de l'Ukraine,
05:41
et le fait que les produits,
05:42
déjà ukrainiens,
05:43
arrivent sur le marché français.
05:44
Plus le fait qu'ils ont délocalisé
05:45
à l'intérieur de l'Europe
05:46
les centrales d'achat.
05:47
Donc la loi Egalim a été contournée.
05:50
Il faut rappeler quand même,
05:51
le Mercosur s'est négocié depuis 1999.
05:54
Ça nous a pas échappé.
05:55
Par ailleurs, il y a un an,
05:58
la revendication, c'était déjà le Mercosur.
06:00
Donc pour réveiller trois semaines
06:02
avant la signature du traité,
06:04
en disant on est contre,
06:05
ça paraît incroyablement hypocrite.
06:07
De même qu'expliquer que c'est
06:08
de la faute de la motion de censure.
06:10
C'est intéressant,
06:11
1999, c'est l'année où Michel Barnier
06:14
est commissaire européen
06:15
pour la première fois.
06:16
Il le sera plusieurs fois ensuite.
06:18
Il sera même ministre de l'Agriculture.
06:19
Donc s'il avait voulu s'y opposer,
06:21
il aurait pu le faire.
06:22
Est-ce que je peux vous faire rêver ?
06:23
Je vous amène du rêve de Suisse.
06:25
C'est que la Suisse a signé
06:27
les accords du Mercosur.
06:28
Et qui a signé ?
06:29
C'est un conseiller fédéral
06:30
paysan au Vigneron.
06:31
Et maintenant,
06:32
le premier parti du pays,
06:33
qui est une partie de droite dure,
06:35
dirigé par un paysan aussi,
06:37
a engagé des négociations
06:40
pour un accord de libre-échange
06:41
avec les États-Unis.
06:42
Et pourquoi ?
06:43
Tout ça dans le meilleur des mondes.
06:45
En Suisse, effectivement,
06:46
les paysans ne râlent pas
06:47
parce qu'on leur donne
06:48
beaucoup de sous et du pouvoir.
06:49
C'est exactement comme les syndicats.
06:50
Ils font partie.
06:51
Je viens de dire qu'on a
06:52
un conseiller fédéral vice-président
06:54
de la Confédération qui est paysan.
06:57
Le premier parti du pays
06:59
est tenu par des paysans.
07:01
Mais la Suisse a négocié directement
07:04
avec le Mercosur.
07:05
Oui, mais ça ne change rien.
07:06
Ah non, mais si, ça change.
07:08
Le Mercosur,
07:09
ce n'est pas le centre du problème.
07:11
Le centre du problème,
07:12
c'est le traitement.
07:13
Effectivement,
07:14
nous, on a des paiements directs
07:16
pour les paysans.
07:17
On a aussi des investissements énormes.
07:19
Si vous construisez une serre
07:20
de 10 millions,
07:21
5 millions sont pris en charge
07:22
par la Confédération.
07:23
Et ça calme tout de suite
07:24
tout le monde.
07:25
Je peux vous dire.
07:26
Comme pour les syndicats,
07:27
les syndicats en Suisse
07:28
sont associés au pouvoir.
07:29
Ça donne une responsabilité.
07:30
Encore une fois,
07:31
l'année passée,
07:32
il y a des paysans
07:33
qui ont commencé à manifester,
07:35
à râler.
07:36
Et le parti du pays,
07:37
parce qu'ils sont dirigés
07:38
par des paysans,
07:39
on dit maintenant stop,
07:40
vous arrêtez,
07:41
parce qu'on vous donne déjà
07:42
assez de subventions, etc.
07:43
Donc, on se calme.
07:44
Donc, la participation au pouvoir
07:45
est la deuxième clé
07:46
avec l'argent et avec les intérêts.
07:47
Et je rappelle, Laëtitia,
07:48
que la Suisse,
07:49
il y a 42 ans,
07:50
travaille par semaine,
07:51
retraite à 65 ans,
07:52
4 semaines de congés.
07:54
Et que quand on leur a demandé
07:55
de voter pour passer de 4
07:56
à 6 semaines de congés,
07:57
nos amis suisses,
07:58
on votait non.
07:59
Elles bichonnent des paysans
08:00
qui sont extrêmement logisés.
08:01
C'est ce que vous voulez que je dise.
08:02
Vous voulez plus travailler,
08:03
vous voulez avoir moins de...
08:04
C'est déjanté.
08:05
Je voudrais juste rebondir
08:06
sur ce qu'il vient de dire,
08:08
justement, Laëtitia.
08:09
Le problème,
08:10
c'est qu'on a déjà
08:11
un marché européen
08:12
qui amène une concurrence déloyale
08:15
envers nos paysans.
08:17
Déjà ça.
08:18
Il y a une transposition des normes.
08:20
Est-ce que vous imaginez
08:21
ce qui est injuste ?
08:22
Je pense que les écolos
08:23
sont passés par là.
08:24
Donc, on va être plus royalistes
08:25
que le roi,
08:26
même au sein de l'Europe.
08:27
Donc, même ce marché européen,
08:29
il est injuste envers nos paysans.
08:32
Et quand vous voyez
08:33
tous ces produits
08:35
qui viennent de notre pays
08:36
à qui on n'applique pas,
08:38
justement, les...
08:40
Comment dirais-je ?
08:41
Les normes phytosanitaires,
08:43
c'est injuste.
08:44
C'est pas possible.
08:45
Comment un pays peut laisser
08:47
aussi son paysan dans cette escroix ?
08:48
On n'accepte pas n'importe quelle viande,
08:49
n'importe quel produit.
08:52
Il y a des normes qui sont respectées.
08:54
Prenez, par exemple,
08:55
la volaille qui vient d'Ukraine.
08:57
Mais même eux le disent.
08:59
Même eux le disent,
09:00
nos paysans le disent.
09:01
Pour ce qui est du mercosur,
09:02
il y a des normes.
09:04
Ce qu'ils disent,
09:05
c'est qu'on n'arrive pas
09:06
à tout contrôler
09:07
et que vous avez énormément
09:08
de produits qui rentrent
09:09
alors qu'on n'applique pas les normes.
09:11
Et puis, ensuite,
09:12
c'est la surtransposition.
09:13
C'est ce qu'ils disent.
09:14
À partir du moment
09:15
où ici, en France,
09:16
on dit
09:17
qu'il faut en faire encore plus,
09:19
du coup, vous créez
09:20
une concurrence déloyale.
09:21
Très bien.
09:23
On a fait l'Europe du fric
09:25
et de l'économie
09:26
avant de faire l'Europe des hommes.
09:27
Et on voit aujourd'hui
09:28
cette problématique,
09:29
justement,
09:30
c'est-à-dire que
09:31
je discute souvent
09:32
avec des paysans
09:33
qui me disent, par exemple,
09:34
en ce moment,
09:35
il y a eu beaucoup d'eau
09:36
qui est tombée.
09:37
On ne peut même pas récupérer
09:38
de l'eau pour la mettre
09:39
dans les méga-bassines.
09:40
Excusez-moi,
09:41
je dis un gros mot.
09:42
Ils en auraient besoin
09:43
alors qu'en fait,
09:44
ça déborde de partout.
09:45
En Vendée, par exemple,
09:46
il y a des marécages
09:47
qui sont pleins
09:49
Il y a un arrêté,
09:50
il faut s'y tenir.
09:51
Donc, en fait,
09:52
on est bouffé par les normes.
09:53
On est trop cadré,
09:54
effectivement,
09:55
par rapport à d'autres pays
09:56
qui ont un peu plus de liberté
09:57
et qui savent gérer.
09:58
Et je vois la Suisse,
09:59
effectivement,
10:00
ils ont cette autonomie
10:01
entre eux
10:02
de pouvoir changer
10:03
les choses très rapidement.
10:04
C'est de la tactique, en fait.
10:05
Et nous, on ne peut pas
10:06
parce qu'à chaque fois,
10:07
on est très normé.
10:08
Encore une fois,
10:09
on est gigantesque.
10:10
Mais on ne pourra jamais être
10:11
un État fédéral
10:12
comme les États-Unis,
10:13
comme certains veulent nous emmener.
10:14
Ce n'est pas possible.
Recommandations
19:54
|
À suivre
Punchline - Marine Le Pen, grande gagnante de la censure ?
Europe 1
12/12/2024
11:55
Punchline - Le gouvernement Bayrou déjà menacé de censure ?
Europe 1
24/12/2024
1:13
Menace de censure du gouvernement Barnier: l'inquiétude des agriculteurs
BFMTV
02/12/2024
1:10
Censure du gouvernement : qu'en pensent les agriculteurs ?
CNEWS
05/12/2024
1:22
Les agriculteurs sont-ils écrasés par les normes ?
CNEWS
28/01/2024
3:22
RTL ÉVÉNEMENT - Crise politique : les agriculteurs sont-ils les grands perdants ?
rtl.fr
05/12/2024
1:43
Incendie de tourbière : les agriculteurs seront-ils dédommagés?
CIMT-CHAU
26/06/2020
1:14
Colère des agriculteurs : les nouvelles annonces du gouvernement sont-elles suffisantes pour l’apaiser ?
Capital
21/02/2024
1:27
Manifestation des agriculteurs : pourquoi leur colère était-elle inévitable ?
Capital
23/01/2024
10:16
Punchline - «Submersion» : le PS va-t-il censurer François Bayrou ?
Europe 1
29/01/2025
15:58
Punchline - Un Salon de l'Agriculture sous haute tension ?
Europe 1
21/02/2025
7:29
Punchline - Les prisons françaises sont-elles des passoires ?
Europe 1
17/02/2025
14:38
Punchline - Motion de censure rejetée : est-ce un résultat logique ?
Europe 1
16/01/2025
1:25
Nouvelle-Calédonie : un accord «historique» signé entre indépendantistes et non indépendantistes
CNEWS
aujourd’hui
52:37
Face à Michel Onfray (Émission du 12/07/2025)
CNEWS
aujourd’hui
20:29
Saint Bonaventure, un géant du catholicisme : Les Belles Figures de l'Histoire (Émission du 12/07/2025)
CNEWS
aujourd’hui
1:08
Au large de Brest, une mission scientifique a découvert 3.000 fûts radioactifs immergés
BFMTV
aujourd’hui
1:26
Crash du Boeing 787 d'Air India: l'alimentation en carburant "coupée" peu après le décollage
BFMTV
aujourd’hui
1:10
Nouvelle-Calédonie: un accord "historique" signé entre les indépendantistes et non-indépendantistes
BFMTV
hier
11:02
Le journal RTL de 9h du 12 juillet 2025
rtl.fr
hier
9:14
Le journal RTL de 12h30 du 12 juillet 2025
rtl.fr
hier
8:09
14 JUILLET - Laurent Nunez, préfet de police de Paris, est l'invité de Agnès Bonfillon
rtl.fr
hier
1:25
Coupe du monde des clubs : contre Chelsea, le PSG veut aller chercher le cinquième titre d'une saison déjà historique
Europe 1
aujourd’hui
16:40
«LFI déstabilise à la fois la métropole...comme la Nouvelle-Calédonie», souligne Nicolas Metzdorf, député Ensemble pour la République
Europe 1
aujourd’hui
1:40
Toulouse : contre les cambriolages, le dispositif « Voisin référent » en première ligne
Europe 1
aujourd’hui