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Punchline - «Submersion» : le PS va-t-il censurer François Bayrou ?
Europe 1
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29/01/2025
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🗞
News
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00:00
Nous avons le plaisir d'accueillir Alain Madelin, bonsoir Alain Madelin,
00:02
ancien ministre de l'Industrie, des Finances notamment, un peu enrhumé,
00:06
parce que vous tous, c'est un tout petit peu maître.
00:08
Non, le maître Salmane, il est juste à côté, c'est Sarah Salmane.
00:11
Bonsoir à vous, Gauthier Lebret.
00:13
Bonsoir Laurence.
00:13
Merci de nous faire l'honneur de votre présence dans Polstein, comme tous les soirs.
00:16
Ravi de vous accueillir.
00:17
Arnaud Benedetti, qui est avec nous, et on est heureux de vous avoir,
00:21
politologue et Geoffroy Lejeune.
00:23
Bonsoir Laurence.
00:23
Est-ce que vous avez aimé les mots bleus de Christophe ?
00:25
Bien sûr.
00:26
D'accord.
00:26
Mais est-ce que vous n'êtes pas d'accord qu'il y a des mots tabous,
00:28
qu'on n'a pas le droit de prononcer aujourd'hui ?
00:30
Ah si, sur le cas de submersion, c'est absolument...
00:32
Alors la submersion, là, c'était absolument subversif pour le coup.
00:35
Moi, ce qui me fascine, c'est les gens qui reprochent à François Bayrou
00:38
d'avoir utilisé ce mot.
00:39
Alors en plus, j'ai écouté ses explications depuis.
00:42
Dans le cas de Mayotte, s'il parlait de Mayotte, c'est vraiment incontestable.
00:44
C'est-à-dire que vous avez la moitié d'une population qui est étrangère.
00:46
Bon voilà.
00:47
Et même dans certains endroits en France, parce que c'est ce qu'il a fini par dire,
00:50
il y a aussi des endroits où on est submergé par l'immigration,
00:51
qu'elle soit légale ou illégale, mais surtout illégale.
00:53
Évidemment, c'est celle qu'on doit combattre en premier.
00:56
Je suis fasciné par le fait qu'on arrive encore à passer une semaine sur un mot
01:00
parce que des beaux esprits, ce que vous avez appelé l'intelligentsia
01:04
qui fait la loi depuis 40 ans, qui ont échoué sur tout,
01:07
qui ont eu tort sur tout et qui nous ont conduit dans la situation
01:09
dans laquelle on est, ont encore la capacité à dicter le débat
01:12
sur le plan sémantique, dire ce qu'on a le droit de dire ou de ne pas dire.
01:15
C'est absolument fascinant.
01:16
On parlait tout à l'heure en première partie de cette émission
01:18
de consensus dans la société qui ne sont pas des consensus
01:20
dans le petit monde politico-médiatique.
01:22
On est en plein dedans.
01:23
On va juste écouter Marélène Thoraval, qui était l'invité ce matin
01:26
de Sonia Mabrouk sur CNews et Europoint.
01:28
Elle ne dit même pas subversion, elle dit ras de marée.
01:31
On l'écoute, puis je vous passe la parole à la main de l'un.
01:33
Aujourd'hui, le quartier de la monnaie est un quartier qui se tient approprié,
01:36
mais je veux dire, la tranquillité d'aujourd'hui n'est pas forcément
01:39
la tranquillité de demain.
01:41
Après, je veux dire, ce n'est pas ce qui m'occupe tous les jours non plus
01:43
parce que j'ai le reste de la population et une ville à faire avancer
01:47
sur laquelle il faut investir.
01:49
Donc, c'est ce que nous faisons sur un nombre de domaines assez conséquents.
01:53
Ça veut dire aussi que moi, je suis dans une situation
01:55
où le quartier n'est pas très grand.
01:57
Mais quand je regarde ces grands ensembles,
01:58
notamment les grands ensembles qui sont dans les périphéries
02:01
des grandes métropoles, là, je me dis qu'il y a un sujet
02:03
parce que là, on n'est pas sur la submersion,
02:06
mais on est carrément sur le ras de marée.
02:08
Ras de marée avec des zones de non-droit ?
02:10
Des zones de non-droit.
02:11
Vous savez déjà, quand vous parlez de notion de cité,
02:14
vous parlez d'un État, finalement.
02:15
Donc, ce sont des États dans l'État.
02:17
Est-ce que vous partagez le diagnostic de Marilène Thauval,
02:20
élue de Terrain, romanceur isère,
02:21
qui connaît bien, évidemment, la situation ?
02:25
Vous parlez de quoi, là ?
02:26
Alors, de la submersion migratoire.
02:28
La submersion, on s'en fout.
02:29
Ah, on s'en fout ?
02:30
Non, mais c'est un mot qui a été pris en otage par le Parti socialiste
02:34
pour renforcer sa position dans sa négociation avec Bayrou.
02:37
Alors, maintenant, sur le fond, oui, bien sûr,
02:39
il y a un sentiment de subversion.
02:41
C'est le moins qu'on puisse dire.
02:43
De submersion, bien que...
02:46
Qui vous submerge.
02:48
Bien que, en réalité, ce qui compte, c'est le nombre.
02:52
Ça a été dit 20 fois ici à Yonkers.
02:54
Et notamment par François Bayrou.
02:55
Le nombre.
02:56
Et si on regarde ce qui s'est passé depuis Macron,
02:59
le mot nombre a explosé.
03:01
Maintenant, si vous voulez regarder la réalité de l'immigration,
03:06
je dirais de façon très provoquante,
03:09
il n'y a pas de problème d'immigration.
03:12
Ça avait été reproché, je crois, à Gambetta, qui avait dit
03:16
qu'il n'y a pas de question sociale.
03:17
Et tout le monde lui est tombé dessus,
03:19
ça lui est resté pour toute sa vie.
03:20
Il avait ajouté, ce qui était juste,
03:23
il n'y a que des questions sociales.
03:25
Et donc, si je parle de l'immigration,
03:28
je dis qu'il faut parler des immigrations.
03:30
Il y a plusieurs formes d'immigration
03:32
et elles ne posent pas toutes les mêmes problèmes.
03:34
Et mettre tout ça dans un même sac, l'immigration,
03:36
à mon avis, c'est une profonde erreur
03:38
et on ne trouvera pas de solution à cette question.
03:40
Il y a eu l'immigration...
03:43
Si on ne trouve pas de solution à cette question,
03:45
éthiquement, ça va être compliqué, Alain Madelin.
03:47
Si on ne trouve pas de solution
03:49
à ces différentes questions que vous évoquez,
03:52
et pas une seule, je suis d'accord,
03:54
il n'y a pas une immigration, il y en a plusieurs.
03:56
Il y a une immigration qui, un peu comme dans les années 70,
03:58
tout au début, ne pose pas de problème,
04:00
qui s'est intégrée très bien.
04:02
Puis ensuite, vous avez eu l'immigration de passage de chômage,
04:05
puis ensuite, vous avez eu l'immigration
04:07
qui s'est installée en France,
04:08
mais dans une situation extrêmement compliquée
04:11
et qui a fait France à part.
04:14
Et puis maintenant, vous avez une immigration...
04:16
Une immigration qui...
04:19
Une immigration séparatiste.
04:21
Donc, il faut traiter cela très différemment, bien sûr.
04:23
Et ce n'est pas un continuum pour vous ?
04:25
Et cetera, et cetera.
04:27
Tout le monde connaît ça, c'est pour ça que je suggère,
04:29
lorsqu'on parle de l'immigration,
04:31
de penser à la question au pluriel.
04:33
D'accord. Alors, Gauthier Lembret.
04:35
Il y a 65 % des Français,
04:37
qui sondagent CSA pour CNews notamment,
04:39
qui pensent qu'il y a une submersion migratoire.
04:41
Donc, on assiste, depuis 48 heures,
04:44
à un espèce de psychodrame
04:46
qui n'a lieu que dans notre petite classe politique et médiatique,
04:50
la question étant tranchée dans l'opinion publique.
04:53
Effectivement, les socialistes...
04:54
Alors, vous avez vu, pour reprendre les négociations,
04:57
il faut que, publiquement,
05:00
François Bayrou aille à Canossa,
05:02
se fouette devant les caméras de télévision,
05:05
demande pardon et retire son mot de submersion
05:08
et s'engage à ne pas toucher à l'aide médicale d'État.
05:11
Et s'il fait tout cela,
05:12
les socialistes accepteront de reprendre les négociations.
05:16
Donc, encore une fois, c'est, si vous voulez,
05:18
la rupture entre, d'un côté, la classe politique
05:22
et la réalité de ce que vivent les Français.
05:25
Le débat, il est tranché dans la population française.
05:27
Et vous prenez chaque question migratoire et sécuritaire,
05:30
vous avez 70 % des Français qui pensent la même chose.
05:32
Ce qui est intéressant,
05:33
c'est qu'il n'y a pas 65 % d'électeurs de droite qui répondent oui.
05:37
Quand vous regardez dans l'électorat de gauche,
05:42
il y a aussi une grande partie de cet électorat
05:45
qui pense qu'il y a une submersion migratoire.
05:47
Donc, c'est intéressant de voir.
05:49
Voilà, on voit le détail.
05:50
34 % quand même, qui pensent qu'il y a une submersion migratoire.
05:54
Donc, c'est pas, évidemment, qu'à chaque fois qu'on va à droite,
05:57
bon, voilà, 85 % à droite, c'est encore plus marqué.
06:00
Majorité présidentielle, 58 %.
06:02
Donc, c'est intéressant de voir que ce débat se fait aujourd'hui
06:06
dans la classe politique sur un mot qui déclenche un psychodrame.
06:10
Oui, et après, ça fait couler beaucoup d'encre.
06:12
On en parle à longueur de plate.
06:13
Sauf que le débat est tranché.
06:15
Mais les socialistes se sont en train de faire une grave erreur, là.
06:17
Pourquoi ?
06:18
Alors, ils essaient de manier ça au niveau de l'Assemblée nationale
06:21
pour essayer d'apporter un petit avantage vis-à-vis de Bayrou,
06:23
mais vis-à-vis des Français, comme vous le disiez, très justement.
06:26
Mais ils s'enferment dans le déni.
06:29
Ils refusent, ils n'ont toujours pas compris.
06:32
Il n'y a rien de pire pour eux.
06:33
Ah oui, Arnaud Bénédicti.
06:34
Ça fait longtemps qu'ils s'enferment dans le déni, en l'occurrence.
06:36
C'est pas nouveau.
06:37
Là, ils s'enferment dans le déni, en plus, pour des raisons électorales.
06:40
Parce que, si vous voulez, le problème des socialistes,
06:42
c'est qu'ils sont dans une alliance électorale
06:44
à fond renversée de ce qu'a été l'histoire de la gauche jusqu'à maintenant.
06:47
C'est-à-dire que ce sont les plus radicaux qui sont les plus puissants.
06:50
Ce qui n'était pas le cas sous François Mitterrand,
06:51
puisque François Mitterrand avait réussi à inverser le rapport de force
06:54
avec le Parti communiste.
06:55
Donc, ils sont totalement dépendants de LFI.
06:58
Et donc, très souvent, ils s'alignent sur les positions de LFI.
07:01
Et ensuite, il y a quand même une tendance à gauche,
07:04
qui n'est pas nouvelle, à pratiquer la police des mots.
07:07
Ce n'est pas nouveau, en l'occurrence.
07:09
C'est assez ancien.
07:10
C'est celle que je dénonçais au début de l'émission.
07:13
Les mots interdits, les mots d'amour, l'immigration, l'amour.
07:16
On voit bien qu'il y a des joutes parlementaires
07:18
et qu'ils se saisissent, en effet, de...
07:20
D'ailleurs, Bayrou a parlé de sentiment, de subversion, me semble-t-il.
07:23
Oui, il a parlé de subversion, de sentiment de subversion.
07:26
Il a parlé de sentiment de subversion.
07:27
Il n'a même pas parlé de subversion, pardon.
07:30
Il n'a pas parlé de submersion, en tant que telle.
07:35
Comme il y a eu un sentiment d'insécurité, à une époque.
07:37
Donc, on parle de sentiment aujourd'hui, de...
07:39
Il n'y a pas de sentiment, là, dans la population.
07:41
Les Français, ils constatent des choses tous les jours.
07:44
Et maintenant, ils ont bien dépassé le stade du sentiment.
07:46
C'est la merde de Jérôme Venturisère, qui a un ras de marée.
07:49
Mais après, on voit bien qu'en effet,
07:51
dans la négociation où ils sont, finalement, avec François Bayrou,
07:55
il s'agit, quelque part, de se servir de cette polémique
08:00
pour pouvoir, éventuellement, tirer profit
08:03
et, finalement, justifier une éventuelle dixième non-censure
08:07
par rapport au vote d'abord à l'organisme.
08:08
Je veux bien qu'on parle du Parti socialiste pendant toute la soirée.
08:09
Mais l'éléphant dans la pièce, c'est l'immigration.
08:11
Et c'est de ça dont on va parler.
08:12
Écoutons juste Nicolas Poivre-Monti,
08:14
directeur de l'Observatoire d'Immigration et de la Démographie sur les Chiffres.
08:17
Le factuel, c'est que l'immigration, en France,
08:19
n'a jamais été aussi élevée qu'aujourd'hui.
08:22
Un immigré, c'est une personne qui est née étrangère à l'étranger.
08:25
C'est ce qu'on appelle, trivialement, mais à juste titre, la première génération.
08:29
Ces immigrés, aujourd'hui, en France, ils sont au nombre de 7,3 millions.
08:32
Nous dit l'INSEE, c'est 10,7 % de la population.
08:35
À cela, on peut ajouter 11 % de descendants d'immigrés de deuxième génération.
08:39
Donc, sur deux générations, l'immigration en France, c'est environ 22 % de la population.
08:45
Qu'on parle en pourcentage de la population
08:47
ou qu'on parle en population d'immigrés globale,
08:49
ce sont là des niveaux historiques.
08:50
C'est-à-dire que la population immigrée au sens strict en France
08:53
a augmenté de 40 % depuis le milieu des années 2000.
08:56
Pour les chiffres de Nicolas Pouvrot-Monti,
08:59
chez l'immigré Pablenko, ce matin.
09:00
La vraie question, c'est que fait-on ?
09:02
Parce qu'une fois qu'on a débattu sur est-ce que c'est un sentiment ou une réalité,
09:06
maintenant, les Français attendent des solutions.
09:07
Que fait-on pour réguler cette immigration, notamment illégale ?
09:11
Parce que là, finalement, ça ne cesse d'augmenter
09:13
et on n'est même pas d'accord sur le diagnostic.
09:15
Donc, ça va être compliqué de trouver des solutions.
09:17
Geoffroy Lejeune, sur ces questions.
09:20
Je suis complètement d'accord avec ce que vient de dire Sarah.
09:23
Ce qui me fait peur, c'est que malgré le consensus dans l'opinion publique,
09:28
malgré la réalité qui nous saute un peu au visage,
09:30
on a encore des gens qui contestent ce constat.
09:34
Ce qui veut dire qu'on ne risque pas de trouver de solution assez rapidement.
09:37
Et par ailleurs, on a une situation politique qui est tellement bloquée
09:39
qu'aujourd'hui, quand vous regardez,
09:41
on a eu cette discussion au journal du dimanche
09:43
avec le ministre de l'Intérieur et son prédécesseur Gérald Darmanin.
09:46
Les deux vous disent exactement la même chose.
09:48
Aujourd'hui, avec l'équation politique telle qu'on la vit aujourd'hui,
09:50
ils ne peuvent agir que sur le domaine réglementaire.
09:52
Il y a assez peu de chances qu'une loi passe à l'Assemblée nationale sur le sujet.
09:56
Et le domaine réglementaire, en réalité,
09:58
c'est bouger des curseurs à droite à gauche.
10:00
Avec toute la meilleure volonté du monde,
10:02
vous pouvez peut-être empêcher la fameuse submersion,
10:05
empêcher qu'elle s'accroisse,
10:06
mais vous ne pouvez pas inverser la donne.
10:08
Alors c'est ça qu'il faudrait faire aujourd'hui.
10:09
On fait une petite pause.
10:10
On va continuer ce débat dans un instant,
10:11
parce qu'on voit qu'il y a deux Français sur trois
10:13
qui partagent le constat de François.
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