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  • 09/05/2024
Eric Naulleau : «Il y a un moment où il faudrait finir de marcher sur la tête. On est prêt à tout lâcher vis-à-vis des syndicats et des salariés, mais les usagers n'entrent jamais en compte.»

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Transcription
00:00 Quoi qu'il en coûte, le retour.
00:02 -C'est quoi qu'il en coûte pour les JO.
00:04 Surtout pas que ça parasite les JO.
00:06 -Les JO passent avant tout.
00:08 C'est une caricature de dialogue social.
00:10 -Ils auraient tort de se priver.
00:12 -Je les comprends très bien.
00:14 C'est un rapport de force.
00:16 Après, j'aimerais bien qu'à un moment ou un autre,
00:19 qu'on parle des usagers.
00:20 J'ai pris le métro pour venir.
00:22 En période de vacances,
00:24 la 8, c'est 8 minutes d'écart entre les rames.
00:26 Au retour, vous n'entrez pas dans la 1re,
00:29 ni dans la 2e.
00:30 Le prix des billets va exploser pendant la période des JO.
00:33 -Il faut se confiner pendant les JO.
00:36 Ils nous conseillent de ne plus prendre les temps de camp.
00:39 -Pour ceux qui auraient l'idée de travailler,
00:42 bien peut-être qu'ils veulent les billets
00:44 à un prix normal et disons un métro toutes les 2 minutes.
00:47 Il y a un moment où il faudrait finir de marcher sur la tête.
00:51 Là, vraiment, on est prêts à tout lâcher,
00:53 en tout cas vis-à-vis des syndicats et des salariés,
00:57 et ceux qui sont à la base du système.
00:59 Les usagers n'entrent jamais en compte.
01:01 france.tv access
01:06 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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