Passer au player
Passer au contenu principal
Passer au pied de page
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Favori
Partager
Ajouter à la playlist
Signaler
Elisabeth Lévy : "Metoo est une milice idéologique qui avance par la terreur"
Sud Radio
Suivre
08/05/2024
Retrouvez "Lévy sans interdit" avec Élisabeth Lévy tous les matins du lundi au jeudi
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOffi...
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradiooff...
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##LEVY_SANS_INTERDIT-2024-05-08##
Catégorie
🗞
News
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
Lévi Sans Interdit, bonjour Elisabeth !
00:02
Bonjour Benjamin, je rigole parce qu'elle m'a énervé avec les JO,
00:05
mais je crois que je vais l'énerver avec ma chronique !
00:08
Ça commence déjà !
00:10
Oui parce qu'on va parler de la flamme olympique tout à l'heure Elisabeth !
00:12
Oui, oui, en attendant...
00:15
En attendant, on parle d'un autre sujet !
00:17
C'est dans une semaine, le festival de Cannes, la croissette, les paillettes, le glamour !
00:21
N'y comptez pas Benjamin, parce qu'en guise de glamour,
00:24
vous aurez le droit à une sinistre liturgie à mi-chemin
00:27
entre le rituel expiatoire et le congrès du parti communiste de l'Union Soviétique de Staline,
00:33
puisque quelques ennemis du peuple seront accusés, jugés et condamnés,
00:38
maintenant c'est la même chose, ça se fait d'un coup en place publique !
00:41
Alors je ne me rappelle pas que Godrèche ait triomphé à Cannes,
00:44
mais cette année, Sainte Judite, Vierge et Martyr,
00:48
ouvrira le bal avec un court-métrage présenté en ouverture de la sélection "Un Certain Regard"
00:53
et en sélection officielle "Excusez du Peu", le titre de ce court-métrage.
00:57
Très attendu, c'est moi aussi, moi aussi je veux qu'on me regarde,
01:01
et d'ailleurs pas pour mes hauts talents, pour mes malheurs, malheurs que je ne nie pas d'ailleurs.
01:06
Toutes victimes, donc tous coupables, un vent de terreur souffle donc sur la grande fête et sur la grande famille du cinéma.
01:13
Je vous renvoie à un excellent article de Lena Lutho dans le Figaro,
01:17
on a vu Dominique Besnéard en une de Télérama, donc Besnéard c'est un agent, vraiment l'agent des stars.
01:24
Une liste noire de 10 noms circule par WhatsApp et par SMS,
01:29
des comédiens, des cinéastes, des producteurs de premier rang,
01:33
alors comme je n'ai eu que cette liste comme ça sous le manteau, je ne vais pas vous citer de nom,
01:37
mais c'est vraiment du haut du panier.
01:40
Une enquête Mediapart serait en préparation, des projets sont suspendus sur la base de ces rumeurs,
01:46
et la direction du festival a déjà, c'est ce qu'elle dit au Figaro, un plan de crise.
01:51
Les hommes dénoncés, donc il ne s'agit évidemment pas de jugés condamnés,
01:55
dénoncés, seront invités à aller monter les marches ailleurs,
01:59
les films concernant ces hommes dénoncés seront déprogrammés, c'est ce qu'ils disent,
02:05
donc ils assument leur cancel culture, il est vrai qu'il n'est pas question de culture et encore moins d'art,
02:10
le festival de Cannes est désormais un concours de vertu.
02:14
- Bon, vous ne pouvez pas non plus nier les abus, Elisabeth, dans le cinéma.
02:18
- Alors il y a des abus dans la vie dès qu'on est deux, Benjamin, il y a des abus, des risques d'abus,
02:24
cela en fait partie, maintenant bien entendu il y a des abus sanctionnables par la loi,
02:29
et il y en a dans le cinéma, notamment évidemment dans le cinéma,
02:33
puisque le cinéma c'est à la fois un art et un business, dont le carburant et le désir,
02:38
donc l'emprise qui va avec, parce que oui, il n'y a pas de désir, sans une certaine forme d'emprise.
02:44
Le schéma est le schéma unique, donc il y a évidemment des choses, des viols,
02:49
des choses qui ne devraient pas se passer, qui doivent être punies,
02:52
mais le schéma unique qu'on essaye de nous vendre entre des jeunes femmes victimes de vieux mâles prédateurs,
02:58
des victimes innocentes d'un côté, des méchants, des salauds de l'autre,
03:02
et bien ce schéma ne me satisfait pas, parce qu'il suppose que les femmes ne sont jamais les sujets de leur histoire,
03:09
elles ne sont que des victimes, des objets, elles n'ont aucune prise sur le réel,
03:15
et je ne crois pas que ce soit vrai, en plus pour ça il faut mettre dans le même sac la blague poète-poète,
03:20
et le viol, la séduction et le harcèlement, le désir et la perversion.
03:25
Mais surtout, pour sanctionner les abus, il y a une institution qui s'appelle la justice,
03:31
avec des règles, en particulier au premier chef la présomption d'innocence,
03:35
et bien MITOU, ce n'est pas une institution, c'est une milice privée idéologique qui avance par la terreur,
03:41
qui prône une justice expéditive, c'est-à-dire le lynchage symbolique et médiatique.
03:47
Elles ne veulent pas la justice, enfin il et elle d'ailleurs, il n'y a pas que des femmes,
03:51
elles veulent des places, et en fait c'est une génération qui se bat la coulpe sur la poitrine de ses aînés
03:56
pour leur montrer le chemin de la sortie.
03:58
À nous d'en croquer, à nous d'en lumier, à nous la lumière, à nous les subventions,
04:02
à nous les contrats publics, reste à savoir si le public se laissera acheter
04:07
un coup de jérémiade et de bon sentiment.
04:09
- Merci à vous Elisabeth Lévy.
04:11
Et Françoise de Bois est là pour réagir, pas mal de choses.
04:20
- Oui, alors plusieurs choses, parce que je ne suis pas du tout d'accord avec la fin,
04:24
je pense qu'il y a toujours une part de vouloir piquer la place de l'autre,
04:27
mais je pense qu'il y a aussi une part réelle dans tout ce qui se passe de profonds sentiments
04:33
et d'injustice et de désir de parler.
04:36
Mais je vais vous étonner Elisabeth, je suis d'accord avec vous sur quelque chose
04:40
que vous avez peut-être assez insupportable pour moi, c'est-à-dire que vraiment la liste noire,
04:44
on a tous les noms qui circulent, d'ailleurs ils sont sur Twitter, sur Facebook, sur les réseaux sociaux.
04:49
- Je n'ai pas voulu les citer, votre unique semelle parait, vous avez raison.
04:54
- Je ne les citerai pas, je suis accablée par cette méthode.
04:56
- Je le suis vraiment, ça me met dans une rage.
05:00
Non mais comment est-ce qu'on peut présupposer, comment est-ce qu'on peut,
05:03
comment dirais-je, faire ce type de teasing ? On parle quand même de la vie de gens.
05:07
Moi je ne sais pas qu'a fait Pierre, Paul, Jacques ou Jaco,
05:11
non pardon, il y a Benoît Jaco dedans, donc quelle bêtise de ma part.
05:15
Je ne sais pas ce qu'ils ont fait.
05:16
- Vous ne savez pas non plus, ils n'ont pas été jugés.
05:18
- Nous ne savons rien et je pense que ce climat, et là je rejoins ce que vous dites,
05:23
je ne suis pas d'accord avec vous sur MeToo qui sème la terreur, etc.
05:27
Vous savez très bien, on ne va pas refaire le débat.
05:29
Mais par contre, je vous rejoins sur cette méthode-là,
05:32
je trouve ça effarant, effrayant et ça m'angoisse profondément en fait.
05:37
En réalité, ça m'angoisse maintenant, c'est-à-dire que moi je suis prête absolument,
05:41
contrairement à vous, à soutenir Judith Gaudrech,
05:43
à soutenir tout ce qui fait que les femmes se libèrent de l'emprise et puissent exprimer.
05:50
Je ne suis pas d'accord avec cette méthode qui consiste à dire,
05:53
"attendez-vous à savoir que... attendez-vous à savoir quoi... à savoir quoi..."
05:58
- Mais c'est la méthode...
05:59
- Mais non, non, non, il y a une différence entre témoigner comme l'a fait Judith Gaudrech,
06:04
ou les témoignages sur MeToo, les témoignages sur Twitter,
06:07
et cette mise en scène de "attendez-vous à savoir que..."
06:12
ça c'est absolument pathétique, c'est inacceptable.
06:14
- Mais parce que vous Judith Gaudrech, qui arrive, excusez-moi,
06:18
mais moi je suis effaré, si vous voulez, je suis nabré.
06:22
Quand on nous explique, j'ai entendu ce matin à propos de l'interview d'Emmanuel Macron,
06:25
sur notre antenne au Demeurant,
06:27
j'ai entendu que je ne sais plus qui disait,
06:30
"oui mais il y a des plaintes qui sont classées sans suite".
06:33
Mais qu'est-ce qu'elles veulent ?
06:34
Si les plaintes sont classées sans suite, c'est qu'il n'y a pas les moyens de juger et de condamner.
06:38
- Ça dépend la raison où on les classe sans suite.
06:40
- Non mais non ! Quand une plainte...
06:41
Pardon, François, je viens de vous écouter, alors soyez gentil, vous allez me laisser aller au bout d'une phrase.
06:46
- Vous voyez bien ensuite, François.
06:47
- Donc, quand une plainte est classée sans suite, ou quand il y a prescription,
06:50
ça veut dire que la justice ne peut pas se prononcer.
06:53
Si la justice ne peut pas se prononcer,
06:55
je ne reconnais aucunement à Madame Godrej, si vous voulez...
06:59
Non, non !
07:00
Je ne lui reconnais aucun droit de se prononcer, de jeter des noms.
07:05
On ne jette pas des...
07:06
Mais quelle que soit la raison, il n'y a que la justice qui est habilitée à juger.
07:12
Madame Godrej n'est pas habilitée à juger, à sanctionner, à balancer comme ça.
07:19
En plus, excusez-moi, c'est quand même extraordinaire.
07:22
Il y a dix ans, elle donne une interview en disant que c'était une emprise géniale.
07:25
Dix ans après, elle dit que finalement c'était une emprise terrible.
07:29
Maintenant, quand on parle d'elle à 14 ans, c'était une enfant.
07:32
Excusez-moi !
07:33
Donc, une enfant a le droit de changer de sexe, en gros.
07:36
Elle a le droit de dire qu'elle veut qu'on l'appelle Pierre si elle s'appelle Judith à la naissance.
07:41
Mais en revanche, quand elle a une relation avec un homme, c'est une enfant.
07:44
Ça ne veut pas dire que c'était bien.
07:46
Je veux dire qu'on est en train de nous raconter une belle histoire,
07:49
ou même pas une belle histoire, qui ne correspond pas à la loi.
07:53
- Je vais répondre à ça, excusez-moi.
07:55
Franchement, vous avez un cerveau magnifiquement fait, Isabelle.
07:59
Vous ne pouvez pas mélanger les transgenres et Judith Godrej.
08:02
Ce n'est pas possible de faire ça.
08:04
On dirait que c'est de la mauvaise foi dans le débat.
08:06
- Répondez-moi à mon argument.
08:08
- Il n'y a pas d'argument.
08:10
Je ne vais pas répondre à un argument qui n'a pas de sens.
08:14
- À 14 ans, on n'est pas un enfant pour changer de sexe,
08:18
mais on est un enfant pour le sexe.
08:20
- Mais pourquoi vous introduisez l'histoire des transgenres là-dedans ?
08:22
- Parce que je vous dis qu'à 14 ans, c'est la question de ce qu'on est à 14 ans.
08:26
- Mais je ne suis pas d'accord avec vous.
08:28
Ce n'est pas le sujet pour Judith Godrej.
08:30
- Je vous dis que c'est extraordinaire que la chose soit telle.
08:32
- Je voudrais terminer.
08:34
- Françoise, s'il vous plaît, vous mélangez un petit peu.
08:36
- Vous le faites exprès d'ailleurs.
08:38
J'entends ce que vous dites.
08:40
Judith Godrej, cette charge que vous avez sur elle,
08:42
elle a le droit d'avoir maturé quelque chose.
08:44
Elle a le droit d'avoir une révolution personnelle
08:46
qui fait qu'elle se sent...
08:48
- Mais moi, j'ai le droit de ne pas y croire.
08:50
- Alors, vous avez absolument le droit de ne pas y croire.
08:52
- Mais j'ai le droit de la trouver exaspérante et ridicule.
08:54
- D'accord, Juliette Minoche aussi est exaspérante et ridicule.
08:58
Moi non, mais moi je suis désolé de vous le dire.
09:00
Je pense que les témoignages vont se multiplier
09:02
parce qu'il y a une libération.
09:04
Et le point sur les affaires classées sans suite,
09:06
je rejoins ce que disait Benjamin,
09:08
il y a beaucoup d'affaires qui sont classées
09:10
parce qu'il y a une extinction aussi des faits.
09:12
- Et alors ? Donc il faut condamner ?
09:14
- Non, c'est pas qu'il faut condamner,
09:16
mais il est tout à fait normal que les femmes,
09:18
par exemple, il y a des femmes qui poursuivent
09:20
Patrick Poivre d'Avort avec des faits qui sont prescrits.
09:22
Regardez le cas d'Olivier Duhamel.
09:24
Les faits sont complètement prescrits.
09:26
Est-ce que ça veut dire que la faute est effacée ?
09:28
Par exemple, je vous pose juste la question.
09:30
- Eh bien, oui. - Non, elle ne peut pas être effacée.
09:32
- Eh bien, moi je suis... - Non, elle ne peut pas être effacée.
09:34
- On a compris votre désaccord, monsieur.
09:38
On conclut avec vous, Elisabeth.
09:40
La prescription, si on a inventé la prescription,
09:42
c'est précisément parce qu'à un moment,
09:44
on ne peut plus juger.
09:46
Quand on ne peut plus juger, la faute est effacée.
09:48
Effectivement, on n'a pas le droit
09:50
de demander justice dans l'espace médiatique
09:52
parce que dans l'espace médiatique,
09:54
la condamnation est sans appel.
09:56
- Elisabeth, on a le droit dans l'espace médiatique
10:00
de raconter n'importe quoi.
10:02
Donc à ce stade-là, faisons un débat
10:04
sur "on raconte n'importe quoi dans l'espace médiatique".
10:06
- S'il vous plaît, s'il vous plaît,
10:08
on a des accords de fond, mais accords de principe.
10:10
- Pas de liste noire, dégueulasse.
10:12
- Pas de liste noire concernant ces accusations
10:14
dans le cinéma, notamment au Festival de Cannes.
10:18
- Oh la vache !
10:20
- Elisabeth Lely, Françoise de Gaulle, on vous retrouve dans un instant.
10:22
- Ah bon, on continue ? On va faire des échecs
10:24
pour l'énerver un peu, soyez sympas.
10:26
- On va faire une petite pause entre temps.
10:28
On va parler de Gabriel Attal face au RNF.
10:30
- J'approuve ça. J'ai trouvé sa chronique très bonne.
10:32
- Comme ça, ça va calmer un petit peu les débats.
10:34
Un petit peu plus serein.
10:36
C'est tout !
Recommandations
9:36
|
À suivre
Elisabeth Lévy : "#MeToo, c'est de la barbarie !"
Sud Radio
15/05/2024
7:40
Elisabeth Lévy : "La révolution #Metoo a engendré sa Terreur"
Sud Radio
10/01/2024
4:00
Elisabeth Lévy : "Nous nous accoutumons à la violence gratuite !"
Sud Radio
02/01/2023
3:13
Elisabeth Lévy : "Les propos d'Omar Sy sont très problématiques !"
Sud Radio
03/01/2023
8:29
Elisabeth Lévy : "Les journalistes sont en campagne !"
Sud Radio
04/07/2024
3:22
Elisabeth Lévy : "La cancel culture frappe à tour de bras, vivants et morts !"
Sud Radio
13/12/2023
7:55
Elisabeth Lévy : "On devrait se réjouir que des jeunes gens brillants comme Sarah Knafo s'engagent"
Sud Radio
30/04/2024
8:13
Elisabeth Lévy : "Le retour du service militaire obligatoire est concrètement impraticable"
Sud Radio
25/03/2024
3:35
Elisabeth Lévy - "Crépol : des lâches se la jouent caïds quand ils sont en bande et armés"
Sud Radio
21/11/2023
8:15
Elisabeth Lévy : "Les valeurs du sport, ça n’existe pas"
Sud Radio
24/04/2024
9:10
Elisabeth Lévy : "Cette addiction de masse au portable est un poison anthropologique"
Sud Radio
25/06/2024
8:40
Elisabeth Lévy - "Dissolution : Créer une majorité antifasciste me paraît totalement hors-sol"
Sud Radio
10/06/2024
9:16
Elisabeth Lévy : "Les femmes savent par qui elles se font harceler dans la rue"
Sud Radio
24/06/2024
4:34
Elisabeth Lévy - "Bureaucratisation du CNRS : l'avenir de notre pays est en jeu"
Sud Radio
06/12/2023
9:45
Elisabeth Lévy : "Le RN est peut-être le grand gagnant des législatives"
Sud Radio
08/07/2024
8:31
Elisabeth Lévy : "Critiquer les juges est un droit de l’homme. Et parfois un devoir"
Sud Radio
10/07/2024
9:13
Elisabeth Lévy : "Depuis 40 ans, on se raconte des histoires"
Sud Radio
14/05/2024
4:06
Elisabeth Lévy : "Le RN va devenir un parti de gauche comme les autres"
Sud Radio
23/03/2023
9:09
Elisabeth Lévy : " Le HLM est une usine à gaz couteuse et injuste !"
Sud Radio
04/04/2024
8:46
Elisabeth Lévy - "Sexisme : Les hommes subissent aussi des injustices"
Sud Radio
23/01/2024
4:04
Elisabeth Lévy : "Le combat contre le séparatisme s’enlise dans le pas-de-vagues"
Sud Radio
07/11/2023
3:13
Elisabeth Lévy : "Pour Boyard, la mobilisation est une teuf, une occasion pour bordéliser le pays !"
Sud Radio
06/03/2023
3:49
Elisabeth Lévy - "Gims : ce nouveau mal du siècle qu’est le complotisme fait des ravages"
Sud Radio
13/04/2023
3:32
Elisabeth Lévy : "Louis Boyard cautionne l’appel au meurtre de ses collègues"
Sud Radio
23/01/2023
6:16
Elisabeth Lévy : "Le Conseil constitutionnel accorde l'aide juridictionnelle aux clandestins..."
Sud Radio
30/05/2024