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L'édito de Mathieu Bock-Côté : «L'institutionnalisation du mensonge au nom de la diversité»
CNEWS
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01/06/2023
Dans son édito du 01/06/2023, Mathieu Bock-Côté revient sur l'institutionnalisation du mensonge au nom de la diversité.
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00:00
On va commencer avec vous, Mathieu Beaucoup.
00:03
Allons-y d'une évidence.
00:04
L'histoire est aujourd'hui un champ de bataille au cœur de la guerre culturelle
00:08
qui traverse les sociétés occidentales.
00:11
On l'a vu récemment, et on en avait parlé à propos de la Cléopâtre noire.
00:15
On l'a vu aussi dans de nombreuses séries britanniques
00:17
qui inventaient un royaume multi-ethnique à une époque où il ne l'était pas.
00:22
On le voit désormais en Suède.
00:24
La télévision publique s'est engagée dans un immense projet documentaire
00:29
sur l'histoire du pays.
00:31
Mais le projet suscite lui aussi la controverse.
00:34
Les premiers Suédois, Mathieu Beaucoup, ceux des origines,
00:38
sont joués par des migrants extrême-européens, africains notamment.
00:42
Sommes-nous encore devant un cas de réécriture de l'histoire,
00:45
ou est-ce une réalité?
00:47
C'est la réécriture de l'histoire, version Maître Gims à la puissance 10.
00:51
Alors, de quoi parlons-nous en ce moment?
00:53
Vous l'avez mentionné, vous avez donné l'élément de contexte
00:56
de la série Cléopâtre qui, on s'en souvient, se présentait
00:59
comme une série documentaire, ce n'était pas une fiction,
01:02
à la transformation de personnages de fiction,
01:04
qui étaient historiquement vus comme des Européens,
01:06
vous pouvez penser à James Bond et le garicule Poirot,
01:08
et qui sont transformés en Africains pour les besoins de la cause,
01:11
qui est toujours la même, la visibilité des minorités
01:14
ethniques ou raciales présentes aujourd'hui en Occident.
01:17
Donc, on transforme l'iconographie, on transforme l'histoire.
01:20
Mais quand ça relève de la fiction, on peut toujours comprendre.
01:23
Mais quand on présente un projet documentaire et on décide aussi
01:26
ouvertement de changer, de basculer, non pas dans du registre
01:30
de la vérité historique, mais dans sa modification idéologique,
01:33
évidemment, ça surprend.
01:35
Vous l'avez dit, projet immense de la télévision suédoise,
01:38
300 historiens, 3 ans de travail, l'histoire de la Suède,
01:43
de l'ère glaciaire à nos jours, donc c'est une vaste histoire.
01:46
Et on s'entend que quand on présente un projet documentaire
01:49
comme celui-là, ce n'est pas pour fabriquer
01:51
des millions de petits historiens universitaires.
01:54
C'est pour s'assurer que tous s'approprient la conscience
01:57
collective du pays, la mémoire du pays.
01:59
Alors, qu'est-ce qu'on voit là-dedans?
02:01
Tout se fonde sur un mensonge initial, où on nous explique,
02:04
vous l'avez dit, que les Suédois, à l'origine,
02:07
n'étaient pas une population européenne, mais africaine.
02:11
- On en vient à douter.
02:13
- Oui, vous avez raison, on y reviendra,
02:15
parce que le rapport au vrai, au faux...
02:17
- Je me sens suédoise.
02:19
- Je suis suédois, et moi, marseillais.
02:21
C'est le dieu de la guerre, Mars.
02:23
Alors, c'est un point de départ, c'est-à-dire cette population.
02:26
On nous disait qu'ils n'étaient pas européens,
02:28
ils étaient africains. Alors, quel est l'argument utilisé?
02:31
Ça traîne depuis 2019 en Suède, ce débat-là.
02:33
C'est une suisse d'arguments un peu bancales.
02:35
On nous dit que nous venons tous, à certains égards,
02:37
de l'Afrique. Donc, puisque nous venons tous de l'Afrique,
02:39
il est naturel de présenter les premiers Suédois
02:42
comme des Africains. Sauf que là, factuellement,
02:45
si je peux me permettre, dans la mesure...
02:47
Je l'ai souvent dit, mais je le redirai,
02:49
je suis fondamentalement indifférent
02:51
à la question raciale. Mais je ne suis pas indifférent
02:53
à la question de la vérité.
02:55
Or, décider aujourd'hui de changer,
02:57
de réécrire les origines d'un pays
02:59
pour rendre l'histoire conforme
03:01
au catéchisme multiculturaliste
03:03
qui, aujourd'hui, se radicalise...
03:05
Non seulement il faut désormais adopter
03:07
les mœurs des populations nouvelles
03:09
qui nous rejoignent pour se montrer
03:11
accueillantes à leurs endroits,
03:13
mais on doit même réécrire l'histoire
03:15
et, d'ailleurs, on peut même mentir sur les origines
03:17
pour faire une histoire diversité,
03:19
compatible en Suède. Mais notez que c'est vrai
03:21
un peu partout ailleurs. On aurait pu parler
03:23
aussi de l'exemple un peu plus culotté
03:25
en Finlande, où il y a une série, il y a quelques années,
03:27
qui présentait le général de Gaulle local,
03:29
Karl-Mannherr Heim. C'était joué par un Africain.
03:31
C'est un peu audacieux, quand même.
03:33
C'est comme si, demain ou après-demain,
03:35
Omar Sy jouait le rôle du général de Gaulle.
03:37
Enfin, ça viendra. Donc, on peut aller plus loin.
03:39
Il y a cette idée. Qu'est-ce qu'on nous dit?
03:41
On a la visibilité des populations
03:43
qui sont arrivées. Il faut donc leur accorder
03:45
une visibilité maximale dans l'espace public.
03:47
Donc ça, ça témoigne de quoi?
03:49
D'une importance accordée à la question raciale
03:51
par les racialistes d'aujourd'hui. Mais à ce compte-là,
03:53
il y a une forme de paradoxe. Parce que ce qu'ils nous disent,
03:55
c'est qu'il faut gommer l'origine "raciale"
03:57
du peuple suédois pour lui en substituer,
03:59
lui en le remplacer
04:01
par une nouvelle identité raciale d'origine,
04:03
qui serait celle des Africains. C'est un peu
04:05
étrange, en fait, soyons honnêtes,
04:07
mais ça témoigne surtout d'une chose,
04:09
d'une histoire désormais étrangère à la vérité.
04:11
L'histoire bascule
04:13
aujourd'hui dans l'exigence idéologique.
04:15
La science, la recherche
04:17
historique bascule du côté de l'idéologie.
04:19
Et tout ça nous rappelle ce qu'on appelle
04:21
souvent le "lysinquisme".
04:23
- Vous parlez souvent, et même
04:25
très souvent, justement, de Lysinko,
04:27
du Lysinkim. Qu'est-ce que vous entendez par là?
04:29
- Il est temps de préciser cette formule
04:31
parce que souvent on l'utilise par "croyant que ça va de soi",
04:33
mais ça ne va pas de soi pour tous.
04:35
Lysinko, qu'est-ce que c'est? On pourrait dire que c'est le savant
04:37
officiel de référence en URSS
04:39
sous Staline.
04:41
Et que disait Lysinko?
04:43
Globalement, il voulait soumettre la biologie
04:45
et la génétique au marxisme.
04:47
Il disait... sa thèse, globalement,
04:49
l'hérédité n'existe pas, les gènes n'existent pas,
04:51
tout est conditionné par l'environnement.
04:53
Globalement, c'était la biologie et la génétique
04:55
revisitées par le marxisme.
04:57
Donc, on entend que c'est faux.
04:59
C'est-à-dire, je peux décréter
05:01
que les gènes n'existent pas, mais les gènes auront
05:03
ce culot incroyable de ne pas tenir compte
05:05
de mon avis de continuer d'exister.
05:07
Et on l'a promu figure centrale
05:09
de la science soviétique.
05:11
Et ce qui était paradoxal, c'est qu'il faisait la promotion
05:13
d'une science fausse, d'une science mensongère,
05:15
d'une science qui était soumise
05:17
à l'idéologie. Donc, en gros, tout devait être
05:19
une construction sociale, la biologie,
05:21
l'hérédité, rien de tout cela n'existait.
05:23
Et si vous affirmiez, parce que vous savez, on change pas,
05:25
si vous affirmiez que la génétique
05:27
existait, eh bien, Lysinko vous disait
05:29
la génétique, elle est fasciste. Et si vous étiez
05:31
en désaccord avec lui, il vous expliquait
05:33
que vous étiez contre-révolutionnaire,
05:35
que vous étiez d'extrême droite. Alors, ça, c'est pas mal,
05:37
mais vous étiez trotskiste, en fait. Il faut comprendre que dans
05:39
l'imaginaire du stalinisme, le trotskisme,
05:41
c'est l'extrême droite dans l'extrême gauche.
05:43
Quoi qu'il en soit, les méthodes n'ont pas changé jusqu'à aujourd'hui.
05:45
Si vous êtes en désaccord avec l'idéologie officielle
05:47
du moment, vous êtes un fasciste.
05:49
Ce qui est intéressant, c'est que quand on parle
05:51
de lysinkisme, donc la formule, ça,
05:53
c'est détaché du personnage Lysinko,
05:55
qu'est-ce que c'est? C'est une science soumise
05:57
à l'idéologie. C'est une science qui
05:59
sacrifie le critère de vérité, qui sacrifie
06:01
le principe de vérité, qui sacrifie le désir
06:03
de vérité pour se mettre au service
06:05
d'une idéologie et démontrer
06:07
ce qu'affirme cette idéologie,
06:09
quels que soient les faits, quels que soient
06:11
les raisonnements. Alors,
06:13
on pourrait dire qu'aujourd'hui, Lysinko aurait sa place au collège
06:15
de France, j'en doute pas.
06:17
Alors, quels sont, aujourd'hui, on pourrait donner,
06:19
quels sont quelques exemples du
06:21
lysinkisme contemporain? La démographie,
06:23
évidemment. Lorsqu'on nous explique qu'il n'y a pas
06:25
de submersion migratoire, qu'elle n'existe pas,
06:27
que c'est une vue de l'esprit, que c'est
06:29
purement imaginaire. La biologie,
06:31
les sexes n'existent pas, l'homme-femme
06:33
n'existent pas. La sociologie,
06:35
la nature humaine n'existe pas, tout est
06:37
pur, construction sociale. Et désormais,
06:39
l'histoire en Suède, mais pas seulement,
06:41
où on nous explique que les premiers
06:43
suédois étaient des
06:45
Africains. Ou encore, en France, on pourrait
06:47
appliquer la même thèse, j'imagine, on raconterait
06:49
l'histoire de la France détachée du peuple
06:51
français, détachée de la culture française, détachée
06:53
de l'identité française. On ferait l'histoire
06:55
d'un territoire arbitraire qui ne se définirait
06:57
que par les rencontres et le métissage qu'on y trouve,
06:59
mais qui ne se définirait pas par sa culture,
07:01
pas par son identité. Ça aussi, ce serait du
07:03
disenchisme et ça aussi, ce serait au Collège de France.
07:05
Et, je dirais que tout cela, finalement,
07:07
qu'est-ce que ça nous annonce? C'est une société
07:09
qui consent à ce que j'appelle l'institutionnalisation
07:11
du mensonge.
07:13
- C'est pas la première fois que vous parlez, justement,
07:15
d'institutionnalisation du mensonge.
07:17
Qu'est-ce que vous entendez par là? Pourquoi est-ce que vous
07:19
tenez vraiment à cette formule?
07:21
- Parce qu'elle est exacte. Parce qu'elle est exacte,
07:23
tout simplement. Alors, je l'ai écrite, je me suis dit,
07:25
je vais la formuler, histoire de ne pas m'égarer,
07:27
je vais me dire comment je l'entends.
07:29
Donc, que nous vivons dans un mensonge officiel,
07:31
que nous savons être un mensonge,
07:33
mais que nous sommes obligés
07:35
de traiter comme la vérité, en plus de devoir
07:37
dénoncer ceux qui crient au mensonge
07:39
en les accusant de désinformation
07:41
ou d'autres semblables vilainies. En gros,
07:43
on sait tous que c'est faux. Nous savons que les
07:45
premiers Suédois n'étaient pas africains. C'est comme ça.
07:47
Nous savons qu'il y a une submersion démographique.
07:49
C'est comme ça. Nous savons que les hommes
07:51
et les femmes existent et que le nom binaire
07:53
n'est pas l'identité de référence de l'espèce humaine.
07:55
C'est comme ça.
07:57
Mais qui prend le risque de l'affirmer
07:59
publiquement risque la mise
08:01
à l'écart sociale, le bannissement social.
08:03
On pourrait même dire,
08:05
il y a différents registres, individuellement,
08:07
on va chercher à casser votre carrière. Si vous dites ça
08:09
dans une institution, on va peut-être menacer de fermer
08:11
cette institution. On va peut-être menacer de fermer
08:13
un journal. On va peut-être menacer de fermer une chaîne télé.
08:15
Si vous défiez, si vous défiez
08:17
l'idéologie officielle, eh bien,
08:19
on va vous punir. Et ce qui est fascinant,
08:21
c'est que regardez toujours ce qui se passe.
08:23
On connaît ça, on connaît ces conversations-là.
08:25
À Paris, des gens qui vous disent, vous savez, je suis vraiment d'accord
08:27
avec vous en privé, mais on ne peut pas le dire publiquement.
08:29
Ce n'est pas possible. - Absolument.
08:31
- Et ce qui est drôle, c'est que publiquement, ensuite,
08:33
cette personne va dire le contraire de ce qu'elle pense.
08:35
Pourquoi? Parce qu'elle doit réprimer
08:37
le désir de vérité qui est en elle, parce que c'est
08:39
la condition de sa participation au cirque social,
08:41
au théâtre social, à la promotion sociale.
08:43
On doit répéter les bons
08:45
slogans au bon moment. Mais c'est quoi
08:47
le problème de cette institutionnalisation du mensonge?
08:49
Du fait qu'on consent à dire des choses que l'on sait fausses
08:51
pour ne pas risquer sa position
08:53
en société, quel est le danger
08:55
avec ça? C'est qu'on n'est plus capable
08:57
de distinguer le vrai du faux.
08:59
On vit dans une société où, finalement,
09:01
le réel, c'est ce que vous disiez au tout début,
09:03
le réel devient insaisissable.
09:05
Et ensuite, puisque le mensonge évolue,
09:07
ça, ça nous ramène à 1984, chez Orwell,
09:09
Orwell dit, le donne...
09:11
Quand on lit chez Orwell, il nous dit,
09:13
nous sommes en guerre depuis toujours avec, je sais pas,
09:15
le PIX. Le lendemain, il nous dit, on est en paix
09:17
depuis toujours avec le PIX.
09:19
Et si vous êtes fidèle à l'idéologie,
09:21
vous devez répéter le mensonge de la veille
09:23
et basculer le lendemain dans le mensonge du jour
09:25
et changer demain pour le mensonge de demain.
09:27
Qu'est-ce que ça veut dire, concrètement?
09:29
Ça veut dire que votre esprit n'est plus à la recherche
09:31
de la vérité. Votre esprit n'est plus à la recherche
09:33
des faits. Votre esprit ne cherche plus
09:35
à comprendre ce qui se passe. Votre esprit
09:37
cherche à s'adapter au code, on le dirait
09:39
avec les mots d'aujourd'hui, du politiquement
09:41
correct médiatique, dans l'espoir
09:43
d'être bien vu par les colleurs d'étiquettes,
09:45
dans l'espoir d'être bien vu
09:47
par les ministres serviles, dans l'espoir
09:49
d'être bien vu par les idéologues
09:51
qui donnent de bonnes réputations
09:53
ou mauvaises réputations. Et là, j'arrive,
09:55
donc le réel devient insaisissable et ça nous ramène
09:57
chez Orwell. On en revient toujours à Orwell.
09:59
Pourquoi il nous dit, à la fin de 1984,
10:01
que tout le rôle
10:03
de Big Brother, c'est de dire que 2 + 2 = 5.
10:05
Et vous devez consentir
10:07
à ce que 2 + 2 = 5.
10:09
Si vous consentez à ce que 2 + 2 = 5,
10:11
vous savez plus ce qui est réel,
10:13
vous savez plus ce qui est vrai, vous basculez,
10:15
dis-je, dans une forme de schizophrénie politique
10:17
et culturelle, vous devenez étranger
10:19
au monde réel, donc vous devenez
10:21
intégralement manipulable.
10:23
Et je pense qu'il y a quelque chose de cela aujourd'hui.
10:25
Vous savez, on parle beaucoup de Twitter en ce moment,
10:27
qui se retire des lois européennes,
10:29
les conventions européennes sur la désinformation
10:31
et tout ça. On dit, c'est terrible, Twitter,
10:33
c'est terrible, là, c'est les grandes figures de l'européisme,
10:35
de la Commission européenne, c'est terrible, Twitter,
10:37
vous n'avez pas le droit de vous retirer des machins sur la désinformation.
10:39
Très bien, très bien,
10:41
la désinformation, c'est mal.
10:43
La désinformation, qu'est-ce que c'est? C'est un mensonge conscient
10:45
au service d'une idéologie.
10:47
Eh bien, moi, j'ai l'impression qu'en ce moment,
10:49
la télévision suédoise, mais pas seulement,
10:51
lorsqu'elle nous dit "les premiers Suédois
10:53
étaient africains, les premiers Suédois
10:55
n'étaient pas européens",
10:57
elle nous livre un mensonge explicite
10:59
au service d'une idéologie.
11:01
De ce point de vue, c'est de la désinformation,
11:03
c'est de la désinformation historique,
11:05
c'est de la désinformation subventionnée,
11:07
et moi, il y en a tant dans nos pays,
11:09
et je le redis parce que c'est important,
11:11
je suis profondément indifférent
11:13
à la question raciale, je ne suis pas indifférent
11:15
à la vérité, et la vérité m'oblige
11:17
à dire, suprême transgression,
11:19
que les ancêtres des Suédois n'étaient pas africains,
11:21
ils étaient européens.
11:23
Je vous remets en excuse, messieurs les censeurs.
11:25
[Musique]
11:28
[SILENCE]
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