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  • il y a 4 jours
Qu'est-ce qu'on attend ? avec l'humoriste Chantal Ladesou et Fabien Lecœuvre, spécialiste de la chanson française, chroniqueur télé-radio

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##QU_EST_CE_QU_ON_ATTEND-2025-08-04##

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Transcription
00:00Sud Radio, qu'est-ce qu'on attend ? 10h-11h, Laurence Perrault, Sophie Darrel.
00:06Bonjour tout le monde, ravie, ravie d'être avec vous pour ce mois d'août, pas comme les autres,
00:11car la personnalité que je vais accompagner chaque matin de 10h à 11h, du lundi au vendredi et ce jusqu'au 29 août,
00:18est la personne qui a illuminé notre petit écran dès les années 70.
00:23Elle a chanté, présenté, imité, elle a partagé la scène avec de grands noms de la chanson française,
00:29a été l'indispensable complice de Guilux et donnait leur chance à des jeunes comme Michel Lep par exemple,
00:35ou même Patrick Sébastien.
00:37Certains d'entre vous s'en souviennent avec émotion, d'autres peut-être un peu moins, c'est normal.
00:42C'est un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître.
00:45Mais elle est là, toujours pétillante, espiègle et en pleine forme.
00:49Bonjour Sophie Darrel.
00:50Ce portrait me convient tout à fait, merci beaucoup, j'adore.
00:54Quel bonheur, un, de vous avoir rencontré il y a de cela maintenant plusieurs jours pour préparer notre émission.
01:00Mais oui, on a commencé par manger ensemble, tout coup ça tout de suite nous a mis de bonne humeur.
01:04Le saumon à l'unilatéral.
01:06Et Jacques, on n'a pas.
01:08Je ne sais pas si ça intéresse nos auditeurs, mais ce n'est pas grave.
01:12Avant de vous dire ce que l'on va faire ensemble chaque matin, Sophie, j'ai envie qu'on parle de vous.
01:16C'est gentil, ça démarre bien, je trouve, sympa.
01:19Afin que des plus âgés aux plus jeunes qui écoutent Sud Radio, chacun vous reconnaisse ou vous connaisse.
01:25Pour cela, plutôt que d'avoir préparé une bio de votre incroyable vie et parcours auprès des plus grandes stars dont vous faites partie,
01:31je vous propose de vous faire écouter quelques sons, des souvenirs sonores que vous nous racontiez d'ailleurs ensuite.
01:39Est-ce que vous êtes d'accord ?
01:40Je suis complètement d'accord, je trouve que cet accueil est merveilleux.
01:43Alors on écoute le premier extrait.
01:46D'abord, d'abord, il y a l'aîné, lui qui est comme un melon, lui qui a embrouillé, lui qui ne sait plus son nom, monsieur, tellement qu'il boit.
02:07Pourquoi j'ai choisi cet extrait et cet homme, Sophie ?
02:11Parce que c'est vrai qu'il m'a donné ma chance, il m'avait remarqué et j'en suis toute fière parce qu'il n'était pas trop pour les femmes, je veux dire, il était un petit peu misogyne.
02:21Et moi, il m'a imposé dans un spectacle, j'étais toute minette, j'avais 16-17 ans, je ne sais pas ce qu'il lui a plu en moi, j'en sais rien.
02:29Enfin bref, j'ai eu cette chance, je suis très fière.
02:31Vous avez fait les premières parties de Jacques Brel ?
02:33Oui, j'ai fait les premières parties de Jacques Brel, j'ai après travaillé plus, je suis partie en tournée avec lui, etc.
02:39Donc c'était un personnage, bon, qui n'aimait pas trop les femmes, mais moi ça a été quoi, voilà.
02:45J'ai choisi ces gens-là, j'ai choisi cette chanson parce que vous me racontiez que les spectacles et les concerts de Jacques Brel, l'homme était tellement incroyable, il vivait ses chansons et on le voit à travers cette chanson particulièrement.
03:00Alors, à la radio c'est plus compliqué, mais...
03:01Ah non, mais lui c'était incroyable, en fait c'était, bon, il vivait ses chansons bien sûr, mais je veux dire qu'il était tellement passionné que tout ce qu'il faisait prenait des dimensions absolument incroyables.
03:12Il n'y avait rien de raisonnable chez Jacques. C'est ça qu'on retrouve peut-être pas trop aujourd'hui.
03:16Donc j'ai eu la chance, je le redis, qu'il me remarque et qu'il m'engage avec lui en tournée.
03:22Et pourtant je chantais des trucs qui n'étaient pas très... enfin je chantais une noix de Charles Trenet, des choses comme ça.
03:27Ça donne quoi une noix ?
03:29Une noix, qu'y a-t-il à l'intérieur d'une noix ? Qu'est-ce qu'on y voit quand elle est fermée ?
03:34Bon, maintenant ça fait un peu décalé à mon âge, mais bon, à ce moment-là c'était charmant, sans doute.
03:39Deuxième extrait, Sophie.
03:51Alors ?
03:52Oh bah ça c'est merveilleux, ça me rappelle tellement de souvenirs, mes débuts à la télé grâce à Dilux.
03:58J'avais fait avant des émissions avec Madame Mireille, des petites choses comme ça, mais le vrai démarrage ça a été en 71, où Guy Lux m'a choisie comme co-présentatrice.
04:08Et là tout d'un coup, en 15 jours, 3 semaines, j'avais toutes les unes de magazine, ça a été un bouleversement total.
04:13Et ça c'est le générique de votre première émission que vous avez faite avec lui.
04:17Ah oui, ah d'accord.
04:18C'est Cadet Roussel.
04:19Cadet Roussel.
04:20Enfin la première émission, je veux pas être désagréable, c'était Les étoiles de la chanson.
04:23Ah oui, c'est vrai, pardon.
04:24Oh mais c'est pas grave, je ne vous en veux pas.
04:27Pas du tout, pas du tout.
04:29Attention, troisième extrait.
04:31Oui.
04:31Bonsoir, stop ASVP, merci Frenchy de nous avoir rappelé que c'était aujourd'hui la plus jolie fête de l'année, la fête des mamans.
04:41Nous serons sans doute les derniers à leur souhaiter, mais c'est ça, c'est à bonnes fêtes maman.
04:45Dites-moi, entre parenthèses, on peut dire aussi bonnes fêtes à notre coproductrice Jacqueline Duforest et à quand la vôtre Sophie ?
04:51Bah écoutez, c'est pas encore pour cette année, mais si vous avez l'intention de m'acheter quelque chose, vous pouvez dès maintenant y penser, parce que dans quelques semaines c'est mon anniversaire, je préfère vous prévenir à l'avance.
04:59Où êtes-vous née aux fêtes ?
05:01Moi je suis née à Paris.
05:02Oui, oui, moi aussi, dans le douzième.
05:03Oh ça c'est abusant, alors moi je suis née dans le quatorzième, ça c'est gros.
05:07Moi je suis née dans une rue au numéro 10.
05:09Ça alors, je suis née au numéro 12.
05:11Ça m'énervait toujours d'eux de plus.
05:13Je suis née au deuxième étage.
05:15Je ne pense pas vous le dire, je suis née au quatrième.
05:18J'en étais sûr, ça.
05:20Je suis née à 6h du matin.
05:22Moi à 8h.
05:23Vous étiez déjà très espiègle, on sent ce côté hyper à l'aise.
05:28Je ne sais pas, mais j'avais fait beaucoup de scènes avant de démarrer à la télévision,
05:33donc je pense que ça m'a aidée pour être à l'aise.
05:36Cela dit, chaque fois qu'on prenait un direct avec 40 musiciens,
05:40il y avait quand même le palpitant qui bougeait un peu, malgré tout, malgré tout.
05:43Mais j'aime ça.
05:44D'ailleurs, le dernier extrait avant d'accueillir notre premier invité dans notre
05:48« Qu'est-ce qu'on attend ce matin sur Sud Radio ? »
05:50Oui.
05:51C'est celui-là.
05:52Pour une place au soleil
06:01Pour un bébé
06:05Pour une place au soleil
06:10Je ne vous en ai plus trop d'été.
06:13Vous chantez et vous chantiez merveilleusement bien.
06:17C'est trop gentil.
06:18Alors, qu'est-ce qu'elle est sympa, cette petite dame-là ?
06:20Oui, et je ne vais pas changer maintenant.
06:22Vous co-animiez avec Guilu, ce qu'on a entendu précédemment,
06:26et vous chantiez dans l'émission.
06:27Oui, pratiquement à chaque émission,
06:30Guy aimait bien que je fasse une parodie pour présenter quelqu'un, etc.
06:33Donc, tout ça a été fait en dernière minute.
06:36Il y avait quand même 40 musiciens, le Grand Orchestre de Raymond Lefebvre.
06:39Donc, c'était un peu sportif, quand même.
06:41On n'avait pas le temps de réperter, et boum, on y allait en direct.
06:45En tout cas, c'est un bonheur pour nous de vous recevoir sur Sud Radio.
06:48C'est adorable.
06:48Du lundi au vendredi.
06:49Merci.
06:50De 10h à 11h.
06:51Puis, vous m'avez l'air très sympathique,
06:53donc, normalement, on devrait s'entendre.
06:55Enfin, je pense que ça devrait marcher.
06:57Je le sens bien.
06:57Alors, dans quelques instants, si vous le voulez bien, Sophie,
06:59on va accueillir notre premier invité.
07:02Oui.
07:03Mais juste avant cela, je voudrais m'adresser à vous,
07:05vous qui écoutez Sud Radio et qui allez nous suivre tout le mois d'août.
07:09Le standard est ouvert au 0826 300 300.
07:12Vous voulez intervenir ?
07:13Posez une question à Sophie.
07:14Vous voulez intervenir pour échanger avec nos invités ?
07:18Donnez un avis.
07:18Voilà, pour cette émission que l'on veut partager avec vous.
07:22Moi, je suis d'accord.
07:22Et alors, on commence l'émission, on va appeler qui ?
07:26Je ne sais pas, une copine, Chantal.
07:28Parce que c'est ça le concept.
07:29Rappelez-moi ce qui va se passer tous les matins sur Sud Radio.
07:32Tous les matins, on va inviter des copains à moi.
07:35Voilà, que les gens que je déteste, ils ne seront pas là.
07:38Tant pis, ils sont les quatre gentils avec moi.
07:40Il n'y en a pas beaucoup, franchement.
07:41Des stars de la chanson, des stars du cinéma, du théâtre, de la télévision, quelle que soit leur génération.
07:47Quel programme, mais quel programme, ça va être génial !
07:49Et on va leur demander ce qu'ils font cet été, mais pas seulement.
07:51Pas seulement, tout, on va tout leur demander.
07:53Il y a même des secrets.
07:54Non.
07:55Ah si, il faut rigoler un peu.
07:56Alors, on appelle qui ?
07:58Eh ben, on appelle Chantal, non ?
08:00Chantal qui ?
08:00Là-dessous.
08:09Qu'est-ce qu'on attend pour être vieux ?
08:12Ah oui, c'est vrai.
08:13Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fête ?
08:16Dans les EHPAD, il y a tout ce qu'on veut.
08:20Des couches culottes, des rouges, des blanches, des bleus.
08:23À la cantine, ça bave un peu.
08:26Et les dentiers font des claquettes.
08:30Ça rôte, ça pète, c'est très joyeux.
08:34Qu'est-ce qu'on attend pour être vieux ?
08:37Voilà, et ça, c'est une reprise que vous avez fait, réécrite par votre compagnon de vie, Jacques.
08:41Oui, Jacques, il est là, n'est-ce pas ?
08:43Qui fait des parodies.
08:44Il a beaucoup travaillé avec Bouvard et ça lui est resté, quoi.
08:47Faut qu'il parodie, voilà.
08:48Qu'est-ce qu'on attend pour être vieux ?
08:49Moi, c'est déjà un peu fait, mais bon.
08:51Oui, alors, c'est peut-être pas le cas de tout le monde encore,
08:53quoique, chaque jour, on nous amène, de toute façon.
08:55Bonjour, Chantal, là-dessous.
08:56Bonjour, Chantal.
08:57Bonjour.
08:59Oh, quelle belle voix, dynamique et tout.
09:01Tu vas-tu bien ?
09:02Ça va très bien, il y a les soleils, donc c'est formidable.
09:06Oui.
09:07Je vous entends toutes les deux, c'est encore plus merveilleux.
09:09On vous aime déjà, vous.
09:12On vous trouve formidable, on te trouve formidable.
09:15Alors, dis-moi, est-ce que tu vas nous raconter quelque chose d'intéressant ce matin ?
09:18Est-ce que tu as un projet extraordinaire ?
09:20Ou est-ce que c'est simplement...
09:21Rien du tout.
09:22Ah, ben voilà, au moins comme ça, ça gagne du temps.
09:24Rien du tout, je suis en vacances, je suis posée, je ne fais rien, c'est génial.
09:28Oh, c'est merveilleux.
09:29Mais après les vacances, tu vas bien faire quelque chose quand même, tel que je te connais.
09:34Alors, après les vacances, dès le début septembre, je vais tourner un film à Aix-les-Bains,
09:39très joli Aix-les-Bains, pendant un mois et demi.
09:42Et puis là, je me repose, en attendant la diffusion, j'entendais que vous parliez de
09:47maison de retraite.
09:48Et voilà.
09:49Et puis quand je me suis...
09:50Et figurez-vous qu'avant hier soir, j'étais joué au spectacle Son et Lumière de Saint-Fargeau,
09:55le très joli château de Saint-Fargeau.
09:57Je ne peux pas m'empêcher d'aller jouer.
09:59Donc, j'ai fait une paysanne dans le spectacle Son et Lumière de Saint-Fargeau.
10:04J'en suis ravi.
10:05Voilà.
10:05Vous voyez, même en vacances, je travaille.
10:07Ça devait être sympa quand même, ça.
10:09Je peux vous demander, toutes les deux, comment vous vous êtes rencontrées, puisque le
10:11concept, ce sont les amies de Sophie.
10:13Oui.
10:14Alors, excusez-moi, mesdames, toutes les deux devront parler d'il y a quelques années
10:17auparavant, mais Sophie, comment vous avez rencontré Chantal ?
10:19Eh bien, je l'ai rencontrée à la classe.
10:21Elle a participé dans cette émission où il y a eu plein de gens formidables.
10:25Il y a eu Jean-Marie Bigard, enfin, il y a eu vraiment.
10:27Et Chantal, voilà.
10:29C'est comme ça que nous nous sommes connues.
10:30Oui, absolument.
10:31La classe qui est animée.
10:32On se croise, moi j'adore croiser Sophie, parce que c'est un vrai soleil, elle a toujours
10:36un sourire.
10:37Oh, elle est mignonne.
10:37On se croise depuis très très longtemps, et c'est toujours un bonheur de la croiser.
10:41Franchement, c'est...
10:42Voilà.
10:43Et c'est vrai, la classe, c'était super, c'était vachement bien.
10:46Une anecdote ?
10:47Une anecdote sur la classe.
10:49Oh, ben, il y en a plein d'anecdotes.
10:51Oui, mais là, comme ça, tout de suite, t'en as une sous le coude, toi ?
10:54J'en ai une sous le coude, j'en ai une, oui, j'arrivais avec des choses comme
10:58ça, quelques fois pas préparées.
11:00Et Fabrice me mettait toujours 18, parce qu'il y avait bien quand c'était pas préparé,
11:04parce qu'il y avait des happenings.
11:05Donc, je tombais, comme ça, je me prenais le pied dans un fil des caméras, mais c'était
11:11toujours très très...
11:12Mais c'était joyeux, parce que rien n'était grave, quoi.
11:14Ah ben non, rien n'était grave dans ces émissions.
11:16Maintenant, c'est pas tout à fait la même chose, quoi.
11:18Une émission qui a été créée par Guilux, animée par Fabrice, et ça avait commencé
11:23en 87, je crois.
11:24C'est tout, elle est formidable, là, franchement.
11:27Alors moi, si vous en parlez comme ça tous les matins, Sophie, je ne vais pas dire que
11:30je vous épouse, puisque je suis très classique dans les choix, mais vous allez devenir ma
11:34meilleure amie.
11:35Bon, ben super, ça démarre très fort.
11:37Vous disiez vous-même, Sophie, que vous aussi, vous faisiez la classe, et c'est comme
11:41ça que vous aviez rencontré Chantal, là-dessous ?
11:43Oui, oui, ben j'ai faisais des imitations, enfin j'en fais toujours un petit peu, mais
11:48de moins en moins, et j'ai rencontré plein de gens à la classe, Jean-Marie Bigard, enfin
11:52c'était pas rien, finalement, ça a été... il y a eu de sacrés talents.
11:56Chantal, vous vous souvenez quand...
11:57Oui, oui, puis il y a les gens qu'on a rencontrés à la classe, c'est marrant, c'est pas des
12:02amitiés avec un grand tas, si vous voulez, mais c'est des amitiés d'enfance, mais c'est
12:06vraiment des camaraderies qui durent, c'est-à-dire qu'on se revoit, on a le même ADN, presque,
12:13on a le même...
12:14Donc, tout de suite, on est complice, tout de suite, il y a un truc qui se passe, on est
12:18les anciens de la classe, quoi, et c'est vrai, c'est vrai, c'est que tu ressens comme
12:20ça, Sophie.
12:21Il n'y avait pas de concurrence, on a l'impression qu'on s'en foutait, chacun faisait son
12:26truc, il n'y avait pas de jalousie du tout.
12:27Ce qui est peut-être un peu plus rare aujourd'hui.
12:32Ce que je vous propose, Chantal, évidemment, parce qu'on va parler aussi de votre rentrée
12:36qui va être très chargée, avec un nouveau spectacle à partir du mois d'octobre, c'est
12:39d'écouter, quand même, parce que tout le monde vous connaît, mais ça c'est pour
12:42du bonheur, simplement le petit bonbon du matin, quelque chose que vous avez commis.
12:48Ah !
12:49J'ai très peur, j'ai très peur.
12:51C'est dingue quand même, vous aussi, non ?
12:5430 ans de mariage !
12:5730 ans de mariage et sans remise de peine, monsieur le Président !
13:01Un jour, vous vous réveillez, vous avez un vieux dans votre lit.
13:05Ah ! Qu'est-ce que c'est que ce truc ? Le problème, c'est que vous avez le même
13:11as que lui !
13:13C'est cet humour, Chantal, qui vous dénote, de toute façon.
13:21C'est un humour, c'est un humour ménagère, on va dire, un reportage en live, quoi, chez
13:31moi.
13:32C'est vrai, quelquefois, comme dans les travails, je dis, est-ce que j'ai pas oublié
13:36le chiffon à poussière sur l'oreiller ? Non, c'est très méchant pour lui, mais ça
13:40le fait rire, de toute façon.
13:42Ça prouve qu'il participe au ménage, qui est quand même assez rare.
13:45Exactement, on vient de fêter nos 50 ans de mariage.
13:49Bon, donc ça va, quoi.
13:51Ah, c'est quand ?
13:51Ça va très bien.
13:53Ça y est, c'est fait, c'était le 12 avril et 50 ans, je me demande comment j'ai
13:58fait, quoi, c'est lui aussi, mais c'est passé très vite.
14:01Ce que je vous propose, Chantal, c'est de continuer de parler de vous avec Sophie, dans
14:05quelques instants, on va faire une première pause dans notre rendez-vous, qu'est-ce qu'on
14:08attend ? Vous êtes sur Sud Radio, vous n'hésitez pas, vous pouvez nous rejoindre, si vous aussi,
14:12vous avez envie de parler, d'échanger un peu avec, ou Chantal, ou Sophie, et bien voilà,
14:17Chantal, là-dessus, est notre premier.
14:18Ou les deux, n'hésitons pas, soyons folles.
14:19Et vous n'hésitez pas aussi, 0826 300 300, vous pouvez aussi réagir sur la page Facebook
14:24de Sud Radio.
14:26Sud Radio, qu'est-ce qu'on attend ? 10h-11h, Laurence Perrault, Sophie Darrel.
14:31Et chaque matin, si vous nous rejoignez à l'instant, du lundi au vendredi, et ce jusqu'au
14:3529 août, aujourd'hui c'est la première, et bien, en compagnie de Sophie Darrel, moi je ne suis
14:40juste que son accompagnatrice...
14:42Oh bien sûr, bien sûr, mais non, mais non, tu es là, tu es bien, enfin on se vouvoit
14:46je crois, vous êtes là, vous êtes bien présente.
14:48Vous avez raison Sophie, nous invitons les copains, les copines, les amis de Sophie à
14:54l'antenne, qui nous racontent leur été, qui nous racontent ce qu'ils vont faire,
14:58on a du beau monde.
15:00Oui, drôlement.
15:01Oui, là on a Chantal Latsou ce matin.
15:03Chantal Latsou, on commence très fort ce matin.
15:05Ensuite Fabien Lecoeuf, demain on aura Michel Jonas, on a un programme.
15:08Mais c'est vraiment des belles affiches, ça fait mal, franchement.
15:12Alors si vous dites à Chantal que c'est une affiche, je ne suis pas sûre que ça va
15:14la plus plaire.
15:16Si elle est rougue, ça ne va rien, ça ne va rien, très bien.
15:19En haut de l'affiche en plus, c'est très très bien, ça lui va bien.
15:22Chantal, donc, là tu te reposes un tout petit peu, je vais comprendre.
15:26Oui, et puis après je vais démarrer la rentrée sur les chapeaux de roue, et puis
15:32il y a un film qui sort, qui s'appelle Le jour J, le 12 octobre, avec Kev Adams, Jarry,
15:40Bourdon, toute une bande de comédiens.
15:44Et voilà, c'est ça, et puis ensuite il y en aura un autre.
15:49Et puis il va y avoir la série Maison de retraite avec Michel Jonas, j'ai vu que vous
15:53l'invitez après-demain.
15:54Demain, demain, demain, on va la voir demain matin.
15:58Avec Michel Jonas.
16:00Il est super aussi.
16:02Il est formidable Michel, il sait tout faire, il chante.
16:06C'est tout faire, c'est incroyable, il est un très bon comédien.
16:09Parce que vous, pas du tout.
16:12Je ne chante pas, je suis très très mauvaise en fait.
16:16Et en plus, il est très drôle.
16:18Ah ça, il est drôle, il est vraiment drôle tout le temps dans la vie aussi.
16:21Il mange beaucoup.
16:22Ah ça oui, ah bah ça je suis d'accord.
16:24J'ai connu à ses débuts, il mangeait du chou farci, c'était pas possible, mais on
16:28n'arrivait pas à le nourrir.
16:29Eh ça tacle des copains sur l'antenne de Sud Radio.
16:32C'est plutôt une qualité pour moi de manger.
16:34Il prend tous les desserts.
16:35Ah oui, il mange tout.
16:36Il prend tous les desserts au 4h et en prend 5.
16:37Ah non mais c'est infernal.
16:39Alors moi, ce que je propose à Jamais qui réalisera cette émission, c'est de garder ce moment
16:44de l'émission qu'on fera écouter demain à Michel Jaune.
16:47Oui, il va pas être choqué, il se connaît.
16:50Moi j'ai une question, je peux être indiscrète Chantal ?
16:54Bien sûr.
16:55Ah, j'adore.
16:56Vous êtes où là exactement ?
16:58Là je suis dans Lyon.
17:00Ah.
17:01Une campagne profonde, très jolie, que j'aime beaucoup.
17:03Mon mari est originaire de cette région.
17:05Et je suis là avec mes petits-enfants, mes filles, mon fils, etc.
17:10Donc on est tous en famille.
17:12Je ne suis pas dans le sud, vous qui êtes Sud Radio.
17:14Ah oui, mais nous on est partout.
17:16Nous sommes partout maintenant, madame.
17:18Ça diffuse partout Sud Radio, partout.
17:20Paris, partout.
17:21Toutes les capitales nous captent.
17:25Très, très, très joli département.
17:26Sud Radio, c'est.
17:28Oui.
17:28Ah oui, Sud Radio, c'est une connotation sud, quoi.
17:31C'est une connotation vacances, soleil, mai, etc.
17:33Oui, c'est ça, c'est ça.
17:34Et vous, pour le coup, les vacances, pour vous, c'est ça.
17:38C'est la famille, les racines, la très belle région de France qu'est Lyon, en Bourgogne.
17:43Oui, oui, oui.
17:44J'aime beaucoup faire ça l'été.
17:46Je profite de mes petits-enfants.
17:49Je suis crevé un petit peu, attention, parce que j'en me lève très tôt, le monoclub.
17:52Je les balade, je les emmène dans des sons et lumières, je joue.
17:55Ah oui, carrément.
17:56Oui, tu participes franchement, quoi.
17:59C'est vrai.
17:59Et puis, les vraies vacances, enfin ça, c'est des vraies vacances aussi familiales.
18:03Mais je vais aller dans le sud, me reposer un petit peu, quand même.
18:06Ah oui, c'est ça.
18:07Oui, ça me paraît raisonnable.
18:09Ça critique le sud deux secondes avant, mais ça y va quand même.
18:13Non, j'adore le sud.
18:14Les gens du Nord, moi, je suis de Roubaix.
18:15Le sud, c'est extraordinaire.
18:17Les gens du Nord, elle est isotée de main à coin, toi.
18:20Et dis donc, pardon.
18:21Oui.
18:22Sophie ?
18:26Oui, donc je voulais savoir, toi, en dehors de ce projet particulier, est-ce que tu as
18:31dans ta tête une chose que tu aurais envie de faire et qui ne se soit pas encore réalisée ?
18:36Je voulais faire une comédie musicale l'année dernière.
18:39Oui.
18:39Et puis, l'ampleur du projet était énorme, en fait.
18:43Est-ce qu'il fallait que j'apprenne à chanter ?
18:45Est-ce qu'il fallait que j'apprenne à danser ?
18:47Ah oui.
18:47Je me suis sentie un peu paresseuse, là.
18:48Je me suis dit, voilà, non, ça va être trop dur, quand même.
18:51Mais c'est toujours dans ta tête, hein ?
18:54Ça va se faire un jour ou l'autre.
18:55Tu vas y aller, tu vas craquer.
18:57Peut-être.
18:57Il ne faut pas que j'attende trop non plus, parce que c'est bizarre.
19:01Non, mais tu es en pleine forme, il n'y a aucun problème, là, quand même.
19:04En pleine forme.
19:07Est-ce que vous reprenez l'émission que vous avez faite également, Massinger ?
19:12Ça y est, on a mis des émissions en boîte au mois de juillet.
19:15Très bien.
19:16Donc, on vous envoie aussi sur le petit écran à partir de la rentrée.
19:19On ne voit qu'elle.
19:20C'est formidable.
19:21Quelle carrière.
19:22C'est quoi cette émission pour vous, parce qu'elle est quand même très originale ?
19:26Vous avez beaucoup fait parler de vous.
19:29C'est un jeu où je ne comprends pas grand-chose, comme souvent, d'ailleurs.
19:34Et c'est un jeu où j'essaye de deviner.
19:39Je ne reconnais absolument pas les voix qui sont dans les peluches.
19:42Et j'essaye d'être bien et d'aider le public.
19:47Que je n'aide pas du tout, parce que je ne trouve rien.
19:50Mais cette année, j'en ai quand même trouvé un.
19:52Ah, ben ça va.
19:53Un ou deux, je crois.
19:54Oui, ça va.
19:55Mais je ne gagne jamais.
19:57Je suis toujours un peu sur la corde raide.
20:00Mais c'est vrai que j'enquête.
20:02J'enquête, mais souvent dans le mauvais sens.
20:08Bon, écoute, c'est super.
20:10On est ravis de t'avoir en tout cas ce matin.
20:13J'aimerais qu'on parle du spectacle qui va commencer.
20:15Ah oui, alors tu fais un nouveau spectacle.
20:17Encore, tu n'arrêtes pas.
20:18Mais quelle femme extraordinaire.
20:20Alors, je vais vous dire, les filles, je vous le dis à vous,
20:22mais ne répétez pas, elle n'est pas encore écrite.
20:23Ah, je vais débordre.
20:25Mais non.
20:26Mais première date, c'est en octobre, Chantal, là-dessus.
20:29Oui, mais ça va être du rodage.
20:31Je vais écrire avec le public, en fait.
20:32Je pense que je vais faire ça.
20:34Ah oui, d'accord.
20:34Je vais mettre des choses en place.
20:36Tout est en place sur des petits carnets, des machins, des feuilles volantes.
20:39Il faut que j'en trouve.
20:39Et ensuite, je vais me poser, parce que là, je serai toute seule avec mon mari.
20:44Et je pense que là, je vais me poser, je vais développer des choses.
20:47Et les premières dates sont forcément des relâches avec un grand air.
20:52Mais ça se fait à se faire.
20:53Ça se fait toujours.
20:54Je suis un petit peu toujours à la bourre, mais ça va y aller.
20:57C'est comme ça que vous travaillez, généralement ?
21:01Je suis toujours un peu en urgence.
21:03Mais je pense que je ne suis pas la seule, en fait.
21:04J'ai remarqué que les one-man-schistes, quelquefois, se mettaient en urgence.
21:09Ils travaillent le dernier mois.
21:11Je pense qu'ils ont des choses en eux, déjà, dans leur tête.
21:13Ils travaillent le dernier mois pour bourrer au dernier mois.
21:16Puis quand on est comme ça, on est sur le feu, quoi.
21:19On trouve des choses.
21:20C'est génial, ça.
21:21On traîne un peu, on traîne un petit peu, on se promène.
21:25J'aime bien promener, je veux dire.
21:27Mais je trouve des choses en me promenant.
21:29Ah, mais ça ne m'étonne pas.
21:30Et dis donc, est-ce que tu es superstitieuse ?
21:33Est-ce que tu m'es...
21:33Complètement.
21:34Ah oui.
21:34Voilà, c'est ça.
21:35C'est-à-dire...
21:36Il ne faut pas en mettre un slip à l'envers, parce que vous avez un affront.
21:38Est-ce que vous mettez des slips, vous, Chantal ?
21:41Bien sûr.
21:42Dans ça, en coton.
21:44Avec la poche kangourou.
21:45Il ne faut pas le mettre à l'envers, sinon vous faites un affront dans la journée.
21:49Oui, ce n'est pas vrai.
21:51Ah bon ?
21:52Ça, je ne sais pas, alors.
21:54Et tu as d'autres superstitions que ça ?
21:56Un chat noir qui traverse la rue.
21:58Attention, il faut être prudent.
21:59Ah bon ?
22:00Passer sous une échelle, ça, c'est connu.
22:03Ah oui, oui.
22:04Ma grand-mère avait très peur de l'orage.
22:05Et quand il y avait de l'orage à la maison, elle se tournait autour de la table avec une branche de je ne sais pas quoi.
22:12Puis elle met des gens de jeter de l'eau bénite sur tout le monde.
22:14Et c'était efficace, alors ?
22:16Ou en brushing, je ne sais pas.
22:17Non, non, l'orage continue.
22:19L'orage continue.
22:22Et tu as des manies aussi avant d'entrer en scène, ou je ne sais pas quoi, pour te porter bonheur ?
22:27Toujours, je suis pleine de tiques.
22:30Mais beaucoup moins, maintenant.
22:31Parce qu'il y a la maladie de Lyme avec le tique.
22:34Bah oui, je sais, j'ai été piqué par un tique sur un tournage dans les vacances, l'année dernière.
22:41Et mon médecin m'a mis tout de suite, tout de suite aux antibiotiques.
22:44Très, très fort.
22:45Ça m'a niqué mon été, je ne pouvais pas me mettre à ça.
22:46Ah, c'était formidable.
22:48Joli souvenir.
22:49On a bien fait de parler de ça.
22:52Pour éviter la maladie de Lyme.
22:54Pour ne pas non plus casser l'ambiance.
22:55Ah bon, d'accord.
22:56Avant de vous quitter, Chantal, d'ici quelques minutes, malheureusement, maintenant,
23:00je voudrais vous faire écouter un autre extrait que j'ai trouvé et qui, à mon sens,
23:04je me trompe peut-être, vous définit bien dans votre façon de réagir et d'improviser.
23:08Oh putain, des people !
23:10Oh, les people, ils vont voir tout le spectacle de profil, dis donc !
23:14C'est dingue !
23:14Oh, Karine, ma copine !
23:16Ça va, ma chérie ?
23:17Il paraît que tu reprends l'ambition intime.
23:20Hein ? Avec les politiques.
23:21Tu vas pouvoir pécho du jeune, maintenant.
23:23Comme tous les vieux sont en rencard.
23:26Ça va, Darmon ?
23:27J'aurais pas dû emmener mon mari, finalement.
23:30Ah, il y a alibi.com aussi, il y a la chou, il a emmené sa femme aussi, c'est dommage.
23:35Faux photo, elle est plus connue que celle avec qui elle danse.
23:39Ça va, chérie ?
23:40Regarde comme je suis belle en rouge !
23:41C'est sublime !
23:42Hein, ça paie comme jamais !
23:46Coco, Coco Chanel !
23:47Loulou, Louboutin !
23:50Louboutin, glace, la semelle rouge !
23:52T'as vu le prix ? J'ai dit au mari que j'avais écrasé un baby-bell.
23:55Ça, c'est que de l'impro, c'était au Marrakech du rire.
24:00Ouais, c'était rare, c'était de l'impro, oui.
24:06Qu'est-ce qui vous fait...
24:07Bon, ben, j'amuse, écoutez.
24:08Qu'est-ce qui vous fait...
24:09Pas vous lever tous les matins, parce que ça, c'est votre corps, vous n'y pouvez rien, mais...
24:13Qu'est-ce qui vous motive encore ?
24:15Qu'est-ce qui vous émeut ?
24:17Qu'est-ce qui vous fait lever le matin ?
24:17Oui.
24:18Le café, le café...
24:20Le café, le café, le café...
24:21Le café chicoré du Nord !
24:24Pas chicoré, le café pur.
24:26Ah, bon, ah bon !
24:28Elle croit y avoir un scoop, elle tombe à côté.
24:31Rien, voilà.
24:33En tout cas, c'était un bon...
24:34Non, non, mais ce qui...
24:35Oui.
24:36Pardon, oui, ce qui vous fait, pardon.
24:38Non, non, il ne faut pas se couper à la radio.
24:40Quelquefois, je vais vous parler d'une autre chaîne, enfin d'une autre radio qui est pas loin de chez vous.
24:46Mais quelquefois, je coupe, c'est vrai, il faut faire attention.
24:48Non, mais vous n'êtes pas grand.
24:50Je ne suis pas comme ça, moi.
24:53Non, nous ne sommes pas du tout comme ça, moi.
24:55Alors, qu'est-ce qui vous fait vous lever le matin, alors ?
24:57Oui, elle voulait savoir, qu'est-ce qui te fait te lever le matin ?
25:02J'aime être la première levée tout le temps, j'aime le matin de bonne heure, même si je me couche à 14h du matin.
25:07J'aime bien me lever à 7h, 8h pour, je ne sais pas, j'aime bien la maison d'or, ou alors quand je suis toute seule, tout est vide, etc.
25:16Et je me joue à la fenêtre, j'adore ça.
25:19J'aime le matin.
25:20Ah oui, d'accord.
25:20Et j'aime la nuit.
25:21Je ne dors jamais.
25:23Comment tu fais, alors ? Tu ne dors jamais ?
25:25Je fais des siestes.
25:27Ah oui, c'est ça.
25:29Ah oui, parce qu'il est venu chez moi, il y a une dame qui me parlait, je me suis endormie.
25:33Et là, elle me dit, moi je vais dormir.
25:35C'était pas une journaliste au moins ?
25:37Non.
25:39Chantal, on va vous souhaiter encore de belles vacances avec toute votre jolie famille dans Lyon.
25:44Je vais rappeler quand même les premières dates de votre spectacle, ça sera Chantal Latsou le retour ?
25:48Ou comment il va s'appeler celui-là ?
25:50Oui, ça va Chantal Latsou, je ne sais pas encore, je cherche.
25:53On aura le plaisir de venir vous voir à Nantes, ce sera du 21 au 24 octobre.
25:59Il y aura aussi Deauville en novembre, il y a aussi Lille qui est prévue évidemment.
26:03Vous savez où vous allez être à Lille ? Au casino ?
26:06Au Sébastau.
26:07Au Sébastau, mais oui, vous direz un grand bonjour à notre ami commun, alors qui tient le Sébastau.
26:12Et puis, il y aura d'autres dates que je vous propose à tous évidemment de découvrir sur Internet.
26:16On est ravis Chantal et impatientes.
26:18On était drôlement contentes de t'avoir au téléphone, franchement.
26:20C'est gentil, je suis en train de réfléchir, est-ce que je n'ai pas dit une connerie ?
26:24Sébastau au casino, je ne sais plus.
26:25Je crois que c'est le casino barrière, il me semble, Lille, mais ce n'est pas grave.
26:28D'accord.
26:28On vous repasserez au Sébastau.
26:30Ce n'est pas grave, ce n'est pas grave.
26:32On va vérifier.
26:32Embrasser Michel !
26:33Bon, plein de gros bisous, bonne journée.
26:37Michel est allé chercher du pain, il est gentil quand même.
26:39Donc il est tout dépouché déjà.
26:41Pas de croissant, juste du pain, alors.
26:43Bon, d'accord.
26:44Je vous souhaite une bonne émission.
26:46Merci.
26:46Sophie, bonne émission.
26:48Merci.
26:48Merci de m'avoir m'appelé, je vous embrasse toutes les deux.
26:52Nous aussi, on t'embrasse bien fort.
26:54Bisous, belle journée.
26:55Sophie, on ne va pas s'arrêter là.
26:57Oh ben non !
26:58On va accueillir qui dans quelques instants ?
26:59Qu'est-ce qu'on pourrait...
27:00T'as eu une idée ?
27:01Moi, oui.
27:02Mais vous aussi.
27:03Ah bon ?
27:04Vas-y, il s'appelle Fabien ?
27:06Ah ouais, attends, ce n'est pas un mec qui cause à la télé, ça ?
27:09Il cause dans le poste.
27:11Tous sont les chanteurs français ?
27:12Il sait tout, il sait tout, il sait tout.
27:14Un genre Fabien Lecoeur ?
27:16Allez, allez !
27:17Sud Radio, qu'est-ce qu'on attend ?
27:1910h-11h, Laurence Perrault, Sophie Darrel.
27:23Et qu'est-ce qu'on attend avec Sophie qui est avec nous tous les matins et qui appelle régulièrement,
27:28enfin tous les matins, on va appeler deux copains et copines chaque matin.
27:32Ah oui, il ne faut pas hésiter.
27:33Et le copain qu'on appelle là, c'est qui, c'est qui ?
27:36C'est Fabien, mais juste avant.
27:37Ah, juste avant.
27:38Puisque vous le savez, vous qui nous écoutez dans Qu'est-ce qu'on attend ?
27:41Eh bien, vous pouvez nous joindre au 0826 300 300, Manu est au standard, si vous voulez,
27:46échanger avec Sophie Darrel.
27:47Mais oui, je suis là, je ne demande que ça.
27:50Personnalité de l'entrée.
27:50Échangeons, échangeons.
27:51Ou même avec les invités.
27:53Ah oui, on peut aussi, absolument.
27:55Et puis, j'ai ouvert aussi le Facebook, c'est-à-dire que vous qui nous écoutez par Facebook
27:59et qui nous regardez, puisque vous pourrez aussi retrouver l'émission en replay intégralement,
28:03soit sur la chaîne YouTube de Sud Radio, soit en ce moment en direct sur Facebook
28:07pour voir nos mines absolument sublimes du mois d'août.
28:09Alors franchement, ça vaut le coup, moi je vous le dis.
28:12La Bachère qui nous dit, Sophie Darrel, je l'avais vu à Handaï avec Guilux en 73,
28:17avec Mike Brandt, Julien Clerc.
28:19Mike Brandt, c'est quelqu'un que vous avez bien connu aussi.
28:21Oui, je l'ai bien bien connu, voilà.
28:25C'était une jolie histoire quand même.
28:27C'est quoi, bien bien bien connu ?
28:29C'est bien bien connu.
28:30Vous êtes sortis ensemble quoi.
28:32Oui, et rentrés après.
28:39Voilà.
28:41Il était trop beau quand même, ça aurait été dommage de passer à côté.
28:46Jacques, qui est son mari actuel, il mourut de rire dans le studio.
28:49Oui, il connaît.
28:50C'était avant.
28:51C'était avant quand même.
28:53Bien avant.
28:54Comment était Mike Brandt ?
28:55Mike, il était adorable.
28:56C'était quelqu'un d'extrêmement gentil, mignon comme tout.
29:00Il était vraiment...
29:01Il ne savait pas trop ce qui lui arrivait avec toutes ces femmes qui étaient folles de lui, etc.
29:04Il ne comprenait pas.
29:06Et comme moi, je n'étais pas d'accord au début, alors là, il comprenait encore moins.
29:09Il s'est donné un mal pour me séduire.
29:11Le pauvre, ça a été terrible.
29:12Puisqu'il s'est dit, elle, elle ne veut pas.
29:13Pourquoi ?
29:13Il y a eu une anomalie quelque part.
29:15Elle tombe toute.
29:16Pourquoi elle ne tomberait pas ?
29:17Voilà, ça s'est fait quand même.
29:20Je voulais le rassurer, il y a quand même le pauvre.
29:22Et vous vous êtes rencontrée la première fois sur un plateau télé, j'imagine ?
29:25À la télé ?
29:25Oui, parce que moi, je faisais des émissions toutes les semaines en direct avec Tonton Guilux.
29:30Et évidemment, j'ai connu la terre entière de chanteurs dans tous les domaines.
29:36Chanteurs, chanteuses, toutes les stars de l'époque.
29:39On peut rappeler à tous ceux, les jeunes générations d'aujourd'hui, qui sont nés avec des écrans,
29:43que quand on faisait de la télé dans les années 70, ce n'était pas comme on l'a fait maintenant.
29:46Ah ben, ce n'est pas tout à fait la même chose.
29:48Déjà, nous, quand on prenait l'antenne, on ne savait pas quand on allait la rendre.
29:51C'est-à-dire que normalement, l'émission devait durer une heure, parfois elle durait une heure, trois quarts, deux heures.
29:56On disait, ah mince, on a dépassé.
29:57Aujourd'hui, ce ne serait plus possible.
29:59Il faut dire qu'à l'époque, il n'y avait pas de sponsors, il n'y avait pas tout ça.
30:02Enfin, tout ça a été complètement différent.
30:04Aujourd'hui, c'est beaucoup plus, entre guillemets, commercial.
30:07Ce n'est plus du tout la même télévision.
30:10Et puis, dans les années 70, quand vous avez commencé, il y avait une chaîne.
30:13Oui.
30:13Oh, c'est pour me faire mal qu'elle dise ça.
30:15Non, ce n'est pas ça.
30:16C'est pour tous nos jeunes qui nous écoutent.
30:19Ils vont se dire comment ça existe, qu'il n'y ait qu'une chaîne.
30:21Ce n'est pas possible.
30:22Il n'y avait qu'une chaîne.
30:23Oui, il n'y avait qu'une chaîne.
30:23Comme ça, ils étaient obligés de nous regarder.
30:25Ils n'avaient pas le choix.
30:26C'était nous ou rien du tout.
30:27Donc, c'était nous, forcément.
30:29On a parlé de Mike Brandt.
30:30Celui qu'on accueille maintenant est un passionné et un grand expert de la chanson française.
30:34Ah, mais qui ça peut bien dire ?
30:36C'est de radio.
30:36Qu'est-ce qu'on attend ?
30:3810h-11h.
30:40Laurence Perrault, Sophie Darrel.
30:42Fabien Lecoeuvre, bonjour.
30:43Bonjour, mon petit Fabien.
30:44Bonjour.
30:45Bonjour, Sophie.
30:46Bonjour, Laurence.
30:48Comment vous êtes connus tous les deux mois ?
30:49Je veux tout savoir.
30:50Comment on s'est connus ?
30:52On s'est connus sur les plateaux télé, en fait.
30:54Je ne me souviens pas, disons.
30:56Moi, j'ai commencé ma carrière, j'étais jeune attaché de presse.
30:59Et puis, Sophie faisait déjà des émissions, encore des émissions avec Guilux.
31:03Et puis, Patrick Sébastien.
31:05Ah oui, oui, Patrick, bien sûr.
31:07Et donc, c'est comme ça qu'on s'est connus la première fois.
31:09Et puis, on s'est tout de suite reconnus.
31:11Oui, très vite.
31:12Parce qu'elle a un esprit vif, drôle.
31:17Elle a un recul sur ce métier comme personne.
31:20Et qu'on avait le même.
31:21Et donc, voilà comment on s'est plus, finalement.
31:24Et puis, on est devenus amis pour toujours.
31:26Ah oui, ça pour toujours.
31:28C'est une affaire qui marche très, très fort depuis un moment.
31:30Il n'y a pas de raison que ça change, forcément.
31:32Ben oui.
31:33Ben oui.
31:34Et pourquoi ?
31:35Pourquoi pas ?
31:35Mais c'est ça, en fait, l'histoire.
31:37Et c'est des belles histoires, c'est des belles rencontres.
31:39Parce que ce métier, qu'on soit connu, pas connu,
31:41c'est quand même des rencontres incroyables.
31:43Tout repose là-dessus, souvent.
31:44Ah ben oui, c'est vrai.
31:45Mais on ne fait pas toujours des rencontres
31:47qui donnent les mêmes résultats que toi et moi, quand même.
31:49Franchement.
31:50Bien sûr.
31:51Je suis d'accord.
31:51Je suis d'accord, complètement d'accord.
31:53Est-ce qu'on peut tout de suite parler de votre actualité, Fabien ?
31:55Puisqu'on vous retrouve également cet après-midi
31:58sur une chaîne de télévision pour une émission particulière.
32:01Qu'est-ce que tu fais ?
32:02Oui, je suis régulièrement, et pour la neuvième année,
32:05je suis sur CNews,
32:07et je raconte nos années bonheur en chansons.
32:11Clin d'œil à mon ami Patrick Sébastien, évidemment.
32:14Et puis, je raconte tous les grands succès
32:16qui ont vendu plus d'un million d'exemplaires en France.
32:19Alors, ça va aussi bien aujourd'hui.
32:20Par contre, c'est la boom reality de Richard Sanderson
32:23qui a fait plus d'un million d'exemplaires en France.
32:26Mais 31 millions dans le monde entier.
32:2931 millions, la boom ?
32:30Oui, 31 millions dans le monde entier.
32:32C'est un film qui a obtenu des millions et des millions de spectateurs.
32:37Et donc, le disque s'est vendu autant.
32:39C'est autant que les Bee Gees ou les Rolling Stones, souvent.
32:41Ah, c'est dingue, ça ne gère pas français.
32:43C'est une des plus grosses ventes françaises.
32:45Musique de Vladimir Kosma, qui est important de rappeler.
32:47Et puis, ça va aussi bien, on prend aussi bien des histoires de Dorothée
32:50avec Oulamanteuse, qui a fait aussi un million d'exemplaires.
32:53La fête au village avec les musclés.
32:54D'accord.
32:55Mais aussi, le lundi au soleil, le tempérament de Feu de Chella,
32:58que ce soit Sylvie Hartan-la-Marisa, que ce soit...
33:01Enfin, Jean-Jacques Goldman, encore un matin.
33:03Enfin, voilà.
33:04Donc, c'est-à-dire qu'on a...
33:05C'est ça l'idée, c'est de raconter comment sont nés ces grands tubes.
33:09Et ce qui est important de dire, c'est qu'il n'y a pas une chanson
33:12qui ressemble à une autre chanson.
33:14C'est-à-dire, dans la création.
33:15C'est ça qui est assez magique avec les artistes.
33:18C'est toujours un rendez-vous manqué.
33:20C'est une chanson que quelqu'un avait refusée.
33:22Je parlais de Claude François, qui a beaucoup enregistré
33:24sur la région de Toulouse et a beaucoup chanté aussi dans le coin.
33:29Le lundi au soleil, ça s'appelait La Maman Rossignol, au départ.
33:31Ah bon ?
33:32Ça ne s'appelait pas Le Lundi au soleil.
33:33C'était La Maman Rossignol.
33:35C'est rigolo.
33:36C'est Franck Thomas qui avait fait le texte
33:38et quand il l'a amené à Claude François, il n'y en a pas voulu.
33:40Il a dit, je ne vais pas chanter La Maman Rossignol.
33:44Donc voilà comment après, ils ont changé d'idée.
33:46Ils sont partis sur les fameux Blue Monday
33:47pour faire Le Lundi au soleil.
33:49D'accord.
33:50Donc voilà, je raconte tout un tas de petits secrets.
33:54La boum, ce n'était pas
33:55Richard Sanderson.
33:56La lumière Cosma.
33:57Alors, ce n'était pas lui qui devait chanter au départ,
33:59mais ce n'était pas non plus La lumière Cosma
34:01qui devait faire la musique,
34:02puisque c'était au départ Michel Polnareff
34:03qui n'a jamais rendu sa copie.
34:04Ah oui, d'accord.
34:05Finalement, le producteur du film
34:08et Tony Marshall, entre autres la scénariste,
34:10elle a dit, on va appeler tout simplement
34:11Vladimir Cosma.
34:14Voilà, donc il y a des choses comme ça.
34:16Très bien, dans l'après-midi,
34:17donc c'est tous les après-midi
34:18où on vous retrouve, Fabien.
34:19Maintenant, j'aimerais qu'on parle de vous un peu, jeune homme.
34:21Oui, parle-nous de nous, de toi.
34:23Parle-nous.
34:25Moi, je suis pour le moment en repos, en vacances.
34:28Où ça ?
34:29Alors, je suis en Normandie.
34:30Dans sa maison.
34:32Je suis en Normandie, là encore pendant une semaine,
34:35une maison en Normandie.
34:36Je vais à l'île d'Oléron à partir de...
34:40Je suis à Cailleux-sur-Mer d'abord le 9 août
34:42pour une conférence.
34:43Le 11, je serai à l'île d'Oléron
34:45parce que le 15, j'inaugure une expo sur la chanson française.
34:48Très bien.
34:48Où j'ai la bonne idée de rassembler
34:50beaucoup de costumes de scène originaux
34:51des grandes stars françaises.
34:52Oh, c'est rigolo, ça.
34:54C'est bien.
34:54Le Jodafin, à Johnny-Hanidée, à Clo-Clo...
34:57Il y a des idées incroyables.
34:58Mais Fabien, c'est une exposition qui va tourner en France
35:01ou qui va rester juste sur l'île d'Oléron ?
35:02Alors, qui tourne en France,
35:04qui était à Saint-Raphaël jusqu'au 19 juillet,
35:08qui sera à l'île d'Oléron du 15 août au 28 septembre
35:10et qui sera à Metz après jusqu'au 10 octobre.
35:13Et les gens qui viennent voir ça,
35:15ils ont envie de toucher les vêtements
35:16qui ont porté nu à des gens ?
35:18Évidemment.
35:19C'est de l'ADN qu'on met au mur.
35:21Il y a des costumes de scène, des manuscrits,
35:22des artistes originales, des disques d'or, des trophées.
35:25C'est très émouvant, en fait.
35:27Alors, ça va de Brassens à Mike Brandt,
35:29dont tu parlais tout à l'heure.
35:31Ça va de Clo-Clo à Mylène Farmer,
35:34de To Be Free à Pascal Obispo.
35:37C'est ça qui est intéressant,
35:39c'est que tous les artistes sont représentés
35:41dans cette expo.
35:42Toutes les générations, presque.
35:43Quelle que soit la génération,
35:45comme je dis toujours,
35:46il n'y a pas de mauvais artistes,
35:47il y a tout simplement des publics différents.
35:49Est-ce que vous avez déjà entendu chanter Sophie, Fabien ?
35:53C'est-à-dire que je l'ai même vue sur scène
35:55quand j'étais adolescent, voire enfant.
35:57Oui, ne rajoute pas,
35:59parce que là, ça devient désagréable.
36:00Je t'en prie.
36:02Je l'ai vue sur scène,
36:04parce qu'il faut rappeler de Sophie Darelle,
36:06elle ne le dit jamais,
36:07parce qu'elle a beaucoup de modestie.
36:08C'était la première femme imitatrice en France.
36:11C'est-à-dire que dans une époque
36:13où il y avait Claude Véga,
36:14il y avait Thierry Le Luron,
36:15un peu Yves Lecoq,
36:17et pas encore Patrick Sébastien.
36:18Et encore Thierry,
36:19Fabien, et encore Thierry,
36:21je crois que c'est vous
36:21qui l'avez un peu découvert.
36:22Vous avez fait les premiers sketchs avec lui.
36:25Oui, j'ai fait beaucoup de...
36:26Celui que j'ai vraiment découvert,
36:29c'est Patrick Sébastien.
36:30J'ai vraiment amené à la télé, Patrick.
36:31Ça s'est passé comment, Sophie ?
36:33Ça s'est passé avec Patrick.
36:36Comme j'étais très populaire,
36:38comme beaucoup d'artistes à cette époque-là,
36:40on faisait des dédicaces
36:41dans les grandes surfaces.
36:43C'était un moyen pour nous
36:44de rencontrer des milliers de gens.
36:47Il est venu me voir
36:48pendant cette dédicace à Brive,
36:50évidemment, puisqu'il est de Brive.
36:52Et il m'a dit,
36:52est-ce que je pourrais essayer
36:53de faire une émission avec vous ?
36:55Et c'est comme ça, en fait,
36:56je l'ai reçu à Paris.
36:58J'ai sélectionné un peu ses imitations.
36:59Et c'est comme ça que, Patrick,
37:01on a fait des duos ensemble.
37:02On a fait Bourville-Dalida.
37:04C'était le premier duo
37:05qu'on faisait ensemble.
37:06Vous faites Dalida ?
37:07Oui, je faisais Dalida.
37:08C'est possible de la faire maintenant ?
37:10Oui.
37:10Allez.
37:11Les yeux as-tu,
37:12la mille triste,
37:13les jouvelèmes.
37:14Tu ne dors plus,
37:15tu n'es que l'ombre de toi-même.
37:17Peu de mal, le matin.
37:18Comme ça, pour moi,
37:19c'est le matin.
37:19Je suis un peu dure, pardon.
37:21C'est vrai.
37:22Donc, voilà,
37:24c'est comme ça que Patrick a démarré.
37:26Tout de suite,
37:27je me suis dit,
37:27lui, c'est un génie,
37:28il est formidable.
37:29Et je l'ai présenté à Guilux,
37:32évidemment,
37:32ce n'est pas moi qui le programmais.
37:35Et Guilux m'a dit,
37:36ton imitateur,
37:37je n'ose pas dire ce qu'il m'a dit,
37:38mais il ne vaut rien,
37:38parce qu'il m'a dit quelque chose
37:39de beaucoup plus grossier.
37:41Et je n'en veux pas.
37:42Voilà.
37:42Donc, ça a été le démarrage
37:43de Patrick à la télé.
37:45Mais après,
37:46ça s'est arrangé très nettement.
37:47Voilà.
37:47Puisqu'on parle d'histoire passée,
37:51Fabien Lecoeuvre,
37:52j'aimerais bien que vous me racontiez
37:53quand même,
37:54parce que vous êtes attachée de presse.
37:55Il y a pas mal de réactions
37:55sur Facebook également pour vous.
37:57Et je remercie tous ceux
37:58qui écoutent Sud Radio en ce moment
37:59aussi de donner des réactions.
38:01Et vous pouvez nous appeler
38:01au 0800...
38:02Au 0...
38:03Ça y est,
38:04j'ai 826 300 300.
38:07Il y a des fois,
38:07mes neurones de blonde,
38:090826 300 300.
38:11On me dit,
38:12par exemple,
38:13pour vous,
38:14j'adore Fabien Lecoeuvre.
38:16C'est vrai.
38:16Voilà.
38:17Il y a plein de gens qui réagissent.
38:18Racontez-moi votre première histoire
38:19quand vous étiez taximan,
38:22chauffeur de taxi.
38:23Ah bon ?
38:23Je ne savais même pas.
38:24Ah bon ?
38:24Ah bon ?
38:24Non, je n'ai jamais été
38:25chauffeur de taxi.
38:26Avec Madonna.
38:27C'était quoi cette histoire
38:28de taxi avec Madonna ?
38:29Ah alors,
38:30non, non.
38:31C'est surtout
38:31cette histoire incroyable.
38:32C'est-à-dire que
38:34il se trouve
38:34que le producteur
38:36à l'époque
38:37de Karine Sherrill,
38:38Meme Ibach,
38:38il était 13 années
38:42avec un autre producteur
38:43qui produisait lui Madonna.
38:46Et il se trouve
38:47que Madonna,
38:48elle venait régulièrement
38:49à Paris.
38:50Elle bossait
38:50parce que d'abord
38:51c'était une très grande choriste
38:52avant d'être chanteuse.
38:54Elle faisait les coeurs.
38:54Elle s'était installée
38:55entre à Paris
38:56puis après à Lille
38:57parce que c'était
38:58la plateforme du disco
38:59dans ses années,
39:00à la fin des années 70.
39:01Oui, bien sûr.
39:03Elle travaillait aussi bien
39:03à Amsterdam,
39:04à Londres,
39:05à Bruxelles,
39:06à Paris,
39:06en Allemagne,
39:07beaucoup à Berlin
39:08où le disco est né aussi.
39:09C'est-à-dire que
39:10donc elle était là
39:11et à Paris,
39:12elle venait faire lecteur
39:13pour des télévisions
39:15que ce soit aussi bien
39:16pour Patrick Hernandez
39:16que pour Karine Sherrill
39:17sur des albums.
39:18Et il se trouve
39:19qu'un jour,
39:19je l'ai ramené
39:20à plusieurs reprises
39:21chez le producteur,
39:23chez son producteur
39:24et qui habitait,
39:26lui,
39:27boulevard de Courcelles.
39:28Rue de Courcelles,
39:29pardon,
39:29rue de Courcelles à Paris.
39:30Et c'est comme ça
39:31que je l'ai eu plusieurs fois
39:31dans la voiture.
39:32Je l'ai ramené un jour
39:32au Gare du Nord
39:33parce qu'elle habitait
39:34à l'hôtel des deux gares
39:34à Lille.
39:35C'est rigolo ça.
39:37Mais elle ne s'appelait pas
39:38encore Madonna,
39:38elle s'appelait Louise
39:39tout simplement.
39:39C'était une très grande
39:40choriste,
39:41très douée.
39:42Personne n'aurait misé
39:43deux balles à l'époque
39:45pour lui produire
39:46une carrière
39:46alors qu'elle a fait
39:47une des plus belles
39:48carrières au monde.
39:49C'est étonnant quand même.
39:50Elle était drôle,
39:51elle était d'une grande
39:51intelligence.
39:52Elle adorait,
39:53elle était fan de De Funès.
39:55Elle parlait souvent
39:55de De Funès dans la voiture.
39:57Elle avait vu
39:57tous les films
39:58de De Funès.
39:59Et donc,
40:00entre autres,
40:00et c'est ça
40:01qui est intéressant.
40:02et non,
40:03je n'étais pas taxiste
40:04et je travaillais
40:05pour une maison de disques
40:06à l'époque
40:07et la maison de disques
40:09bossait avec ses deux
40:10producteurs,
40:10les gens vendent l'eau
40:11et puis celui
40:12qui habitait évidemment
40:13Goubert-Corcelle.
40:16C'est toujours amusant
40:18de se souvenir de ça
40:20et d'avoir collaboré
40:21indirectement
40:22à ses carrières.
40:23En tout cas,
40:24c'est une jolie histoire.
40:26Moi,
40:26ce que je propose,
40:27c'est de faire une pause
40:28et puis on retrouve ça bien.
40:30Mais faisons une pause,
40:30c'est elle qui dirige.
40:31Moi, faisons une pause.
40:32Une petite pause café ?
40:33Oui, allons-y.
40:34Et vous qui nous écoutez,
40:35vous avez deux minutes
40:36pour aller prendre
40:36un petit café.
40:37Nous appelez au 0826 300 300
40:39si vous voulez réagir
40:40sur la page Facebook
40:42de Sud Radio
40:43où on vous connaît bien.
40:44Il y a Mickaël
40:45qui dit j'adore
40:46et vous étiez aussi
40:47l'attaché de presse.
40:48Vous avez travaillé
40:49avec Claude François.
40:50Voilà,
40:50c'est le rendez-vous
40:51sur Sud Radio
40:52tous les matins
40:52du lundi au vendredi
40:53jusqu'au 29 août
40:54avec Sophie Daraël
40:56et ses amis.
40:57On se retrouve
40:57dans quelques instants.
40:58Sud Radio
41:01Qu'est-ce qu'on attend ?
41:0210h-11h
41:03Laurence Perrault
41:04Sophie Daraël
41:05C'est cette émission
41:07que l'on vous propose
41:08en compagnie de Sophie Daraël.
41:10Grande dame
41:11de la télévision française,
41:12grande dame
41:12de la chanson,
41:13de l'imitation.
41:15Moi,
41:15c'est vrai que
41:16je vous connaissais quand même
41:17parce que je ne suis pas née
41:19de la dernière pluie.
41:20Mais si,
41:20vous êtes toute jeune.
41:21Oui,
41:22mais j'ai quand même
41:22eu la chance
41:23de regarder cette époque
41:25dans les fins des années 70.
41:26Ah oui,
41:28quand même.
41:28Mais là,
41:29j'étais déjà là,
41:30c'est dingue.
41:31Et en fait,
41:32depuis qu'on a préparé
41:33cette émission,
41:34parce qu'on s'est rencontrés
41:35il y a quelques semaines déjà,
41:36je découvre votre parcours
41:38et non déplaise
41:39à ceux qui sont toujours tristes,
41:41mais alors,
41:41quel parcours de vie,
41:42quel talent.
41:44Non,
41:44mais je le dis
41:44tel que je le pense.
41:45C'est gentil,
41:46c'est adorable.
41:46Moi,
41:47je n'ai pas tant d'habitude
41:48de faire de la flagornerie
41:49et je vous l'ai déjà dit
41:51en vrai,
41:51hors antenne,
41:53vous chantez merveilleusement bien,
41:55vous imitez incroyable,
41:56vous avez une carrière,
41:56vous avez rencontré les plus grands,
41:58autant vous dire
41:58que je suis très jalouse de vous.
42:00Ça ne se voit pas
42:00qu'elle est jalouse.
42:02Non,
42:02parce que moi,
42:03Mike Brandt,
42:04comment on va dire ?
42:05Mike Brandt,
42:06ah bon.
42:06Travailler avec Guilux,
42:07vous savez,
42:07moi je vous l'ai dit,
42:08j'aurais rêvé de faire l'interville.
42:10Ah oui,
42:11alors moi ça,
42:11je n'ai jamais fait l'interville
42:12parce que les jeux,
42:13je n'y comprends rien du tout.
42:14Donc moi,
42:14je n'ai fait que les grosses variétés.
42:16Je ne suis pas joueuse du tout.
42:17Les grosses variétés.
42:18Les grosses variétés.
42:19Oui,
42:19c'est ça,
42:2020h30 quoi,
42:21c'est ça,
42:22où on recevait la terre entière.
42:24On commençait l'émission,
42:26bon,
42:26sur les coups de 20h30,
42:28mais on ne savait jamais
42:29quand ça allait se terminer
42:30et qu'aujourd'hui,
42:30ce ne serait plus possible quoi.
42:32Je me souviens que pour des fins d'année,
42:34on a fini une fois,
42:36je crois,
42:36il n'était pas loin de 2h du matin quoi.
42:38Aujourd'hui,
42:39ce serait impensable.
42:40Il y avait combien de monde
42:41sur le plateau
42:41entre l'orchestre
42:42et l'équipe technique ?
42:43Il y avait beaucoup de monde quand même
42:44parce qu'il y avait déjà
42:4540 musiciens,
42:46il y avait des danseuses,
42:47il y avait tous les assistants,
42:49etc.
42:49Donc,
42:49c'était énorme.
42:50Et il faut savoir
42:51qu'on n'avait qu'une journée
42:52pour faire tout ça.
42:53Et une journée
42:54pour répéter tous les chanteurs,
42:56il n'y avait que des stars,
42:57faire le son
42:59avec le grand orchestre,
43:00etc.
43:00Donc,
43:01on se demande vraiment,
43:02à chaque fois,
43:02on se disait,
43:03mais on ne va pas y arriver.
43:04Et ça se faisait,
43:05c'était magique.
43:06Aujourd'hui,
43:06je pense qu'on ne pourrait
43:07absolument plus envisager
43:09de faire une émission pareille
43:10en une journée.
43:11L'un de vos plus grands souvenirs,
43:13des meilleurs ?
43:14C'est peut-être la première fois
43:16où j'ai présenté cette émission
43:17puisque j'étais totalement
43:18inconnue,
43:19en fait.
43:19Et quand j'ai présenté
43:20cette émission,
43:21en 15 jours,
43:223 semaines,
43:23j'avais toutes les unes
43:24de magazine
43:24et tout le monde
43:25parlait de moi.
43:26Donc,
43:26je pense que là aussi,
43:27ça ne pourrait plus se produire
43:28de la même façon.
43:29Mais à cette époque-là,
43:31bon,
43:31c'était beaucoup plus facile.
43:32Donc,
43:33ça a été pour moi
43:34un changement radical de vie.
43:36Beaucoup de messages.
43:38Adrien qui nous dit
43:38une amie,
43:39une femme extraordinaire,
43:40ma Sophie.
43:41Adrien,
43:41ça vous dit quelque chose ?
43:43Je ne vais pas vous dire
43:44le nom de Fabienne à l'antenne,
43:45mais voilà.
43:46Et puis,
43:46il y a aussi notre ami,
43:48alors attendez,
43:48parce qu'on a aussi eu des messages
43:50pour notre ami Fabien Lecoeuvre
43:51qui est avec nous également
43:52pour cette émission
43:54et qui dit
43:54un des meilleurs chroniqueurs
43:56que j'ai découvert
43:56dans TPMP à l'époque.
43:58Fabien,
43:58ça c'est pour vous,
43:59c'est cadeau,
43:59ça vient de la post-Mesbouc
44:00de Sud Radio.
44:01Merci.
44:02Donnez de compliments,
44:03mon Fabien.
44:04C'est quoi votre rentrée
44:05d'ailleurs à ce sujet-là ?
44:06Vous restez...
44:06Justement,
44:07la transition est toute faite
44:09puisque je serai...
44:10Ça s'appelle le talent.
44:12Ben oui,
44:12à partir du lundi,
44:131er septembre,
44:14je serai tous les soirs.
44:15Je fais les 45 dernières minutes
44:17de l'émission
44:17qui va s'appeler
44:18Tout beau,
44:19Tout neuf
44:19avec notre ami
44:20Patrick Sébastien.
44:22En fait,
44:22au-delà des chroniques,
44:23je suis plus un expert
44:25à porteur d'eau,
44:26c'est-à-dire que je suis là
44:27pour raconter des histoires.
44:28Généralement,
44:29je ne vais jamais
44:29au bout de mes histoires
44:30car les gens attendent
44:32le show
44:32de Cyril Hanouna,
44:34c'est-à-dire que c'est lui
44:34le maître d'oeuvre
44:36dans l'histoire,
44:37mais j'apporte l'eau
44:38à son moulin,
44:38en fait,
44:39tout simplement
44:39pour pouvoir faire le show.
44:41Donc,
44:42je raconte mes histoires,
44:43souvent des histoires fondées,
44:44des vraies histoires,
44:46mais qui permettent
44:47le rire
44:48et la dérision,
44:49évidemment,
44:50avant la fin de l'histoire.
44:52J'ai une manière
44:52de les raconter
44:53que Cyril adore
44:54et ça fonctionne très bien
44:55notre duo
44:56à la fin de l'émission
44:56et voilà.
44:57Tous les soirs,
44:58du coup, Fabien ?
44:59Alors,
44:59tous les soirs,
44:59mais comme depuis
45:00l'année dernière,
45:01je le faisais aussi
45:02tous les soirs.
45:03Au départ,
45:03j'étais prévu
45:04une fois par semaine
45:05le vendredi
45:06en fin de semaine,
45:07donc,
45:08et puis ça a été
45:09tellement des audiences
45:10importantes
45:11les patrons de chaîne
45:12de l'époque
45:12ont dit
45:12mais il faut le mettre
45:13tous les soirs
45:13parce qu'on voit bien
45:15la différence,
45:16les gens attendent
45:17ce moment
45:17entre Cyril Hanouna
45:19et Fabien Lecoeuvre,
45:21voilà.
45:22Donc,
45:22voilà comment
45:23je me suis retrouvé
45:23en quotidienne
45:24du lundi au vendredi
45:25et ce que je ferais
45:27encore à la rentrée
45:28aux côtés de Cyril
45:29avec Michel-Marie,
45:30bien sûr,
45:31je suis obligé de le citer
45:31parce qu'il est génial,
45:32le mec,
45:33le spécialiste
45:33des meurtres,
45:34des crimes.
45:35Ah ben ça,
45:35les gens adorent ça !
45:37Oui,
45:38surtout quand on passe
45:39de la dinde
45:40de Bradley Cooper
45:41au meurtre
45:42qu'il a pu avoir
45:43dans telle ou telle
45:43ville de France.
45:44Oui,
45:44tout à fait.
45:44Ah ben oui,
45:45c'est passionnant.
45:46C'est cocasse
45:47et ça,
45:49c'est le talent
45:50des rédacteurs
45:51en chef de l'émission
45:52parce qu'ils font
45:53ces savants mélanges
45:55qu'on n'oserait pas faire
45:56en fait,
45:56mais qui amènent
45:57cette joie
45:58et cette dérision
45:59en fin d'émission.
45:59Et nous,
46:00on avait eu la chance
46:01de partager aussi
46:01quelques plateaux
46:02avec Cyril
46:02dans La Grande Darka.
46:04Souvenez-vous Fabien ?
46:05Absolument Laurence,
46:06absolument.
46:07Reparlons de l'été
46:08de Fabien.
46:09Alors ton été,
46:10raconte-nous.
46:11Qu'est-ce que vous aimez
46:11faire pendant les vacances ?
46:13Mon été studieux,
46:14j'ai commencé
46:15puisque je sors un livre
46:15à la rentrée
46:16chez Fayard
46:17qui va s'appeler
46:18Nos années bonheurs
46:19et lui,
46:20il est incroyable.
46:22Nos années bonheurs
46:23en chanson.
46:23Mais moi,
46:24je n'aime pas les vacances.
46:24Oui,
46:25ça je savais.
46:26Je n'aime pas les vacances.
46:27J'aime les vacances studieuses
46:28parce que finalement,
46:29c'est mon enfance aussi
46:30et on ne guérit jamais
46:31de son enfance.
46:32Donc j'aime travailler.
46:34Je prépare un livre
46:34pour la rentrée
46:35qui va s'appeler
46:36Nos années bonheurs
46:36en chanson,
46:37évidemment,
46:38où je vais raconter
46:39300 histoires
46:40incontournables
46:40de la chanson
46:41avec des anecdotes
46:42croustillantes
46:42qu'on n'a pas encore entendues.
46:44Donc voilà,
46:45c'est en train de finir tout ça
46:46et puis un peu en famille
46:48entre ma fille
46:49qui aussi est journaliste
46:52au Figaro
46:54et qui fait aussi
46:55ses émissions
46:55avec Damien Canivez
46:57sur le Buzz TV.
46:58Et ça débrouille bien
46:59ta fille,
47:00formidable.
47:01Oui,
47:01elle vient me rejoindre
47:03justement là,
47:04aujourd'hui d'ailleurs.
47:06On passe quelques jours
47:07en vacances aussi ensemble
47:08et puis voilà,
47:09et puis c'est des moments
47:10en famille,
47:10des moments comme
47:11des millions de personnes
47:12en fait,
47:12mais je travaille toujours,
47:14je me lève très tôt moi,
47:15à 4-5 heures le matin
47:15et après...
47:16Oui ça je sais,
47:16il est fou celui-là,
47:17vraiment.
47:18Et vous c'est quelle heure ?
47:19Moi ce serait plutôt
47:2011h30 quoi.
47:21Sauf au mois d'août.
47:23Moi 11h30,
47:24c'est fini ma journée.
47:25Je suis plutôt une lève-tôt
47:28aussi moi,
47:29surtout l'été,
47:296h et j'adore
47:30prendre mon café dehors.
47:316h,
47:31ah oui d'accord.
47:32J'aime bien.
47:33On va essayer
47:34mais progressivement,
47:35je vais essayer 8h,
47:369h,
47:36je vais voir,
47:37enfin bon.
47:38En tout cas,
47:39ce que je vous propose Fabien,
47:40c'est quand vous revenez
47:41quand sur la région parisienne
47:43après vos vacances ?
47:44Je fais des allers-retours
47:46pratiquement tous les 3,
47:474, 5 jours.
47:49Vous passez nous dire bonjour ?
47:51Oh bah tu viens.
47:51Avec plaisir.
47:52Ah bah viens nous voir.
47:53Avec plaisir.
47:54Bah évidemment,
47:54je viendrai vous voir en studio,
47:55c'est promis.
47:56Et puis on rappelle surtout
47:57pour tous ceux qui seront
47:58du côté de la Charente-Maritime
48:00vers la mi-août,
48:02c'est ça ?
48:03Voilà,
48:03je serai,
48:04je serai à partir du 11 août,
48:06je serai au château d'Oléron
48:08pour cette exposition
48:10sur la Charente-Marie.
48:10Bah oui,
48:11allons-y.
48:12Vous faites quoi demain à 10h ?
48:15Bah rien de spécial.
48:16Bah vous venez ?
48:17Oh chouette !
48:19Je vous propose de nous rejoindre
48:21évidemment,
48:21évidemment je vous taquine un peu.
48:23Sophie,
48:23ça a été un bonheur
48:24pour cette toute première.
48:25Moi aussi,
48:25vous êtes très très bien,
48:27franchement,
48:28il faut vous garder,
48:29elle est vraiment bien la dame.
48:31Patrick,
48:31si tu nous écoutes ?
48:32Patrick étant,
48:34pour ne pas faire de blagues,
48:36pour ne pas que vous compreniez,
48:37le grand patron de ce radio.
48:37Voilà,
48:38c'est le boss.
48:39Le boss.
48:40On vous embrasse fort fort fort.
48:41Moi aussi je vous embrasse,
48:42tous les auditeurs aussi,
48:44et je suis ravie
48:45d'être avec vous tous les matins.
48:46Demain,
48:47nous aurons le bonheur
48:48de recevoir Michel Jonas,
48:50qui,
48:50et ça c'est quelque chose
48:51d'un C en particulier,
48:52ne donne plus du tout d'interview,
48:53et pour vous il a dit oui.
48:54Ah oh je l'adore,
48:55c'est mon copain depuis toujours,
48:56je suis très flattée.
48:58J'aime beaucoup son pianiste,
48:59Jean-Yves D'Angelo aussi.
49:00Et un petit clin d'œil,
49:01tiens,
49:01notre ami Yvan Cujous,
49:02qui fait la musique sur Sud Radio,
49:03il le connaît bien également.
49:05Et puis nous recevrons Eric Brunet,
49:06je vous donne aussi toute la semaine,
49:08mercredi c'est Stone qui sera avec nous,
49:10et Laurent Boyer.
49:10Que des copains !
49:11Jeudi,
49:12Nicoletta,
49:12Michel Chevalet,
49:13et vendredi,
49:14Fabienne Thibault
49:15et Didier Gustin.
49:16Mais que des potes,
49:17c'est incroyable ça !
49:18Mais qu'est-ce qu'on attend
49:19pour être heureux ?
49:20Mais qu'est-ce qu'on attend
49:20pour recevoir les potes ?
49:21Allez moi quant à moi,
49:22je continue de vous accompagner.
49:24Les routes de l'été
49:25commencent dans quelques minutes,
49:26juste après le journal de 11h,
49:28avec un joli magazine,
49:29j'ai tout quitté
49:30pour changer de vie.
49:31J'ai tout à l'heure.

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