- 04/07/2025
Mettez vous d'accord avec Alex Darmon, Alexandra Szpiner, Arnaud Stéphan et Kevin Bossuet
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NewsTranscription
00:00Et on est ensemble avec vous sur Sud Radio pour commenter l'actualité dernier débat pour moi avant les vacances.
00:11La semaine prochaine, c'est Maxime Liedot qui sera là pour animer les grands débats d'été.
00:17Et puis à partir du mois d'août, ce sera Laurence Perrault sur les routes de l'été.
00:21Une jolie jolie grille d'été pour Sud Radio.
00:24Donc vous avez toutes les raisons du monde de nous écouter et d'écouter Sud Radio.
00:30Aujourd'hui, pour commenter l'actualité, Alex Darmon, journaliste politique, la vérité en face, c'est un peu fini.
00:37C'est un peu fini, mais est-ce que ça va reprendre ? C'est la question que tous les Français se posent.
00:40On n'a même pas posé la question à nos spécialistes médias qui étaient avec nous.
00:45Vous étiez face à Éric Tegner toute l'année et puis votre chaîne YouTube, Les Indécis.
00:49Bonjour Valérie.
00:49Bonjour à vous.
00:50Alexandre Aspiner, enseignante, déléguée spéciale en charge du décrochage scolaire à la région Île-de-France.
00:55Bonjour.
00:56Bonjour Valérie, bonjour à tous.
00:56Arnaud Séfan, bonjour, fondateur de l'agence La Note de Com.
00:59Bonjour à vous.
01:00Bonjour Valérie.
01:00Et Kevin Bossuet, professeur d'histoire en Seine-Saint-Denis.
01:03Bonjour Valérie.
01:04C'est les vacances aussi.
01:05Mais oui, ce sont les vacances.
01:07Oui, vous avez répondu, ce sont les vacances.
01:09J'ai quitté une terre de gauche.
01:11C'est-à-dire ?
01:11Que je retrouverai en septembre.
01:13Ah oui, oui, oui, absolument.
01:14Ce n'est pas facile tous les jours, vous savez.
01:15Ça y est, là, il n'y a plus de cours, c'est fini depuis un moment.
01:17Non, c'est terminé.
01:19Oui, oui, c'est fini, ça y est.
01:20Un peu de répit.
01:20Vos élèves ont eu des bons résultats.
01:22On attend les résultats avec impatience.
01:23Vous avez quoi, le brevet, c'est ça ?
01:25Oui, oui, le brevet.
01:26Au bac, ça doit être 100% à peu près, non ?
01:27Oui, à peu près.
01:29110%.
01:29Puis après, il y a tellement de trucs de rattrapage après.
01:32Je vais commencer avec cette information que j'ai lue ce matin.
01:35Je crois que c'est dans le Parisien ou Figaro, je ne sais plus.
01:40Les jeunes, aujourd'hui, ne vont plus attendre devant les panneaux pour voir les résultats.
01:45Vous vous souvenez, pour ceux qui ont passé le bac ?
01:47C'est une vraie fracture générationnelle.
01:48On allait attendre l'affichage des noms pour voir si on avait eu le bac, les mentions, etc.
01:54Maintenant, les jeunes préfèrent regarder sur Internet.
01:57Je trouve que c'est une grosse tradition, peut-être, Kevin, qui se perd.
02:01C'est aujourd'hui les résultats du bac.
02:02Je suis d'accord avec vous, Valérie.
02:04C'est la fin d'un rituel.
02:05Mais quand vous regardez, le bac a perdu de sa valeur.
02:08Et vous avez beaucoup d'élèves qui, avant de passer le bac, savent très bien de toute façon qu'ils l'auront.
02:13Et c'est exactement la même chose pour le brevet.
02:15C'est une forme de rituel républicain qui est de moins en moins important.
02:20Je suis d'accord avec vous.
02:21Et le problème, c'est qu'on donne le bac à tout le monde.
02:22On donne des licences à tout le monde.
02:24On donne des masters à tout le monde.
02:26Et à la fin, finalement, c'est le piston qui l'emporte sur la méritocratie et sur le travail.
02:31Et ça, je regrette d'être dans un pays de moins en moins égalitaire
02:35où l'égalité des chances est de plus en plus remise en question.
02:38Et notamment par la gauche qui prétend défendre l'inverse.
02:41Alors que quand vous donnez des diplômes à tout le monde, forcément, c'est les petits-fils de bourgeois qui sont favorisés.
02:49Et bonne vacance.
02:50C'est vrai.
02:52C'est vrai.
02:53C'est vrai.
02:54Hier, on avait Arnaud Bénédetti qui enseigne à la Sorbonne.
02:58Vous aussi, Alexandra, vous êtes enseignante.
03:00Qui disait qu'il fallait se poser beaucoup de questions quand même sur même l'enseignement supérieur.
03:05La fac, les grandes écoles, non.
03:09C'est pour ça qu'ils essayent de les casser, d'ailleurs.
03:11Dans la suite de ce qu'il dit, Kevin, le problème, vous savez, c'est que finalement, c'est une fabrique de frustration.
03:17On donne le bac à des jeunes en leur faisant croire que c'est un diplôme qui vaut quelque chose.
03:22C'est faux.
03:23On donne des licences à des jeunes en leur faisant croire que ce sera un outil pour entrer dans la vie professionnelle.
03:29C'est faux.
03:30C'est ça, en fait.
03:32Et le biais idéologique est très fort, évidemment.
03:34Puisque, moi, je pense que quand on respecte les gens, on est très exigeant avec eux.
03:41Et ça doit s'appliquer à l'école.
03:42Et on leur dit la vérité, surtout.
03:44Peut-être que ce sera compliqué plus tard.
03:45Il faut leur dire.
03:46Mais c'est peut-être aussi de faire croire que tous les diplômes se valent aussi.
03:50C'est-à-dire que si vous faites, en effet, une licence d'histoire du cinéma ou des spectacles d'art vivant,
03:57ça va être compliqué de trouver un travail, éventuellement.
04:00Si vous faites, en revanche, une licence, comment s'appelle, à Dauphine,
04:03qui n'est pas très loin d'ici, en économie ou en trading, en micro-trading,
04:09parce que je crois que c'est les seuls à l'Union,
04:11vous aurez moins de difficultés à trouver du travail.
04:14On ne va pas avoir que des traders non plus.
04:15Oui, il y a une diversité de talents.
04:18Il faudrait qu'on ait plus de médecins.
04:20Et vous seriez surpris de voir, par exemple, combien des étudiants en littérature,
04:25finalement, s'engagent dans des parcours complètement différents de la formation qu'ils ont reçue,
04:31parce que parfois, les arts vivants, la littérature, le théâtre, sont des formations qui...
04:38Donc c'est très bien d'avoir dépensé de l'argent de l'État pendant trois ans
04:40à ne pas faire du tout ce que nous avons été formés.
04:43Mais c'est une bonne idée, je le note.
04:45En revanche, en revanche, il y a un problème.
04:48Oh là là, c'est agité aujourd'hui.
04:50Oh, il faut qu'on...
04:51Un peu de discipline, un peu de discipline.
04:54On va se retrouver dans un instant,
04:55et puis je donnerai la parole au, je crois, le plus jeune qui nous dira...
04:59Non ?
04:59Non ?
04:59Vous êtes le plus jeune, je pense, Alex ?
05:00On se retrouve dans un instant...
05:02C'est pas moi, ça m'étonne, là.
05:04Pardon.
05:05On se retrouve dans un instant...
05:07On le prend très mal.
05:08Allez, quittons le plateau !
05:09Sur Sud Radio.
05:10Partez, Kevin, partez.
05:12Oui, oui, je crois que...
05:13Et on parlera, oui, du bac avec vous dans un instant,
05:17et puis de la cacophonie, voire des couacs au gouvernement.
05:21A tout de suite.
05:21Polif.
05:22Sud Radio.
05:22Sud Radio.
05:23Parlons vrai.
05:24Parlons vrai.
05:24Sud Radio.
05:25Parlons vrai.
05:26Sud Radio.
05:27Le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
05:31Les débats aujourd'hui autour d'Alexandre Darmon, journaliste politique,
05:36et on vous retrouve sur votre chaîne YouTube.
05:38Les indécis, Alexandre Aspiner, pardon,
05:42c'est enseignante déléguée spéciale en charge du décrochage scolaire
05:45à la région de Île-de-France.
05:47Arnaud Stéphan, fondateur de l'agence La Note de Com,
05:49et Kevin Bessuet, professeur d'histoire en Seine-Saint-Denis.
05:52Les résultats du bac, c'est aujourd'hui, vous l'avez entendu,
05:55donc j'ai lancé ce débat un peu traditionnaliste sur le fait que,
06:00bah oui, c'est triste que les jeunes aujourd'hui n'arrivent plus devant les écoles
06:02pour voir les résultats.
06:06On ne vous a pas entendu, Alex, sur le sujet,
06:07c'est un débat très animé, donc je reprends un peu sur le sujet.
06:10Pour de vrai, je me rappelle, quand j'avais été,
06:11je me rappelle très bien où c'était, quand j'avais été voir les résultats du bac,
06:15que je n'ai pas eu avec les félicitations du jury, je ne vais pas vous mentir,
06:19mais je l'avais eu, et c'est vrai que c'est un souvenir qui marque,
06:21et qui vous fait dire que vous passez une nouvelle étape de votre vie,
06:24et le fait de tout avoir dématérialisé aujourd'hui,
06:27c'est effectivement un peu le signe même de la société.
06:31Et après, sur les études, moi je trouve qu'un diplôme reste un diplôme,
06:35et le bac, c'est quand même le premier grand diplôme que vous pouvez obtenir,
06:42et même les diplômes d'après, dans les études supérieures,
06:45alors peut-être qu'il y a moins d'enjeux, moins d'authenticité qu'avant,
06:49encore que, moi je n'aime pas dire ça,
06:50parce que je pense que s'il y a des jeunes qui nous écoutent,
06:52il faut absolument les valoriser par rapport à leur diplôme,
06:55et par contre, je disais ça, il ne faut pas leur mentir.
06:58Par rapport à leur parcours, par rapport à leurs possibilités, par rapport à leurs études.
07:03Oui, mais un diplôme qui ne vaut rien.
07:04Mais franchement, moi, qui je suis pour dire qu'un diplôme ne vaut rien
07:09quand vous faites des études supérieures à 4, 5, 6 ans ?
07:12Mais par contre, ce qui est certain, c'est qu'il faudrait qu'il y ait une réflexion générale,
07:16peut-être qu'aussi l'État, la société doit réfléchir à des métiers,
07:19à des vocations à plus créer.
07:22Je disais ça en rigolant tout à l'heure, mais il nous faut plus de médecins.
07:25Bon, voilà, il faut plus de médecins, il faut forcer, entre guillemets, forcer,
07:28en tout cas inciter majoritairement les jeunes aujourd'hui à aller dans ce des études-là.
07:33Mais quand vous avez à la fac des gens qui arrivent en 3ème année,
07:37donc depuis le sens, non mais même de lettres, et je parle du contenu,
07:41je dirais atterrant des copies, je pense qu'on peut...
07:45C'est ce que disait Arnaud Bénédetti hier, qu'il a vu une baisse du niveau,
07:53donc où on se dit, mais comment des élèves comme ça...
07:56Je crois que la plus grave régression française, c'est l'effondrement éducatif.
07:59Oui, je suis d'accord avec vous.
08:01Pourquoi ? Parce qu'il touche les plus fragiles socialement.
08:04Bien sûr.
08:06Mais si, parce que les enfants des milieux favorisés s'en sortent toujours,
08:09parce qu'il y a la compensation des déjeuners dominicaux,
08:14où on parle de peinture, où on parle d'histoire, où on va voir une expo...
08:17Ben oui, mais oui, mais ne riez pas, parce que c'est ça la réalité.
08:20Moi je vais vous donner un contre-exemple, mais total.
08:22Voilà, je vais vous donner un contre-exemple total.
08:25Tour de verre et d'acier, la défense, tout le monde a fait de très bonnes études,
08:29tout le monde a fait du conseil, etc.
08:32Autour de la table, discussion, et on cite l'expression des châteaux en Espagne.
08:37Pas une seule des personnes qui étaient autour de la sable
08:40ne savait ce que c'était que des châteaux en Espagne.
08:43Euh, j'ai pas la ref.
08:44Vous parlez de n'importe quel auteur, euh, j'ai pas la ref.
08:46Des gens qui ont fait des études supérieures.
08:50Vous regardez les mecs, les tournures de français,
08:54les gens ne savent plus écrire le français.
08:56Les expressions...
08:58Parler une langue, l'écrire,
09:03et c'est pas devant des professeurs, je devrais vous dire,
09:05c'est quand même la base, quand même, de l'intégration aussi,
09:09dans une société...
09:10Vous savez, la raison critique.
09:12Comptez.
09:14Lire.
09:15Moi, je vois des jeunes gens, par exemple,
09:16qui ne maîtrisent pas le subjonctif,
09:18à un niveau d'études tout à fait correct.
09:21Donc, qui ne sont pas en capacité de formuler une hypothèse.
09:25Parce que, par le verbe, par la conjugaison,
09:28c'est l'outil premier pour raisonner, pour s'exprimer.
09:31Donc, oui, c'est tragique.
09:33Nous sommes d'accord.
09:33Moi, je suis d'accord avec Alexandra.
09:36On a une école qui accroît les inégalités
09:41au lieu de les réduire.
09:42Vraiment, c'est un constat qu'on fait au quotidien.
09:45C'est la culture générale.
09:46Vous avez des gamins qui arrivent,
09:48qui sont nés dans des milieux favorisés,
09:50qui ont déjà cette culture générale
09:51que l'école ne transmet plus.
09:53Et puis, vous avez aussi des inégalités territoriales,
09:55puisqu'il faut parler des territoires,
09:57aller à la campagne,
09:59où il y a un problème au niveau de l'orientation.
10:00La connaissance du système éducatif, c'est aussi un problème.
10:03Parce qu'il y a plein de gamins qui ne savent pas où aller,
10:06qui ne connaissent pas, par exemple, les classes préparatoires,
10:08qui ne connaissent pas où il faut aller
10:10pour faire telles ou telles études.
10:12Et puis, vous avez aussi des problèmes de revenus.
10:14Quand il faut aller trouver un logement dans la ville d'à côté,
10:17quand vous êtes d'origine populaire, c'est compliqué.
10:19Quand il faut faire 50, 60 kilomètres
10:21pour aller dans une classe préparatoire ou une université,
10:23c'est compliqué.
10:24Et le problème, c'est le cocooning.
10:25Il faut dire la vérité à ces gamins,
10:27leur dire que ce sera compliqué.
10:29Et arrêter de leur dire qu'avec un master en sociologie
10:31ou en psychologie sociale,
10:32ils vont trouver quelque chose.
10:33C'est faux, c'est leur mentir.
10:35Et ça allait à l'encontre, finalement,
10:37de l'ascension sociale et de la méritocratie.
10:39Très bien.
10:40C'est bientôt les vacances, heureusement.
10:42Mais Kevin, c'est vrai, tu as raison.
10:45Mais vous savez,
10:46Junel Jospin, il avait perdu en 2002
10:47parce qu'il a dit une vérité.
10:48L'État ne peut pas tout.
10:49Ah ça, je suis d'accord.
10:50Et l'État, en fait,
10:51on ne peut pas dire reproche à l'État
10:52de ne pas dénoncer les choses aux étudiants.
10:56Il y a aussi des parents,
10:57il y a aussi des familles.
10:58Et en fait, moi,
10:59j'ai du mal à dire qu'un diplôme ne vaut rien
11:01et que donc,
11:03parce que le diplôme ne vaut rien,
11:04l'État ne fait rien non plus derrière.
11:05En fait, c'est un tel esprit général.
11:08Vous savez, il y a les discours
11:09et puis après, il y a le concret.
11:11Quand vous avez des gamins
11:12qui ont un bac plus 5 en sociologie
11:13qui ne trouvent rien,
11:15il y a une forme de révolte,
11:16notamment chez les parents,
11:17qui ont l'impression qu'on leur a menti.
11:19Et après, il y a un autre problème aussi dans ce pays.
11:21C'est-à-dire qu'il faut avoir fait
11:22telles ou telles études
11:23pour avoir tel ou tel poste.
11:24Quand vous allez dans les pays anglo-saxons,
11:26quand vous allez aux États-Unis,
11:27vous pouvez avoir un bac plus 5 en histoire
11:28ou en sociologie
11:29et vous pouvez avoir des postes à responsabilité.
11:32En France, ce n'est pas possible.
11:33C'est la loi du piston
11:33et c'est la bonne école qu'il faut avoir fait.
11:36C'est mieux d'avoir fait une bonne fac quand même.
11:38L'Ivy League, c'est pas une...
11:39Juste un mot de Véronique qui dit
11:41arrêtez de généraliser.
11:42Mon petit-fils, ça finit sa seconde
11:44avec 18 de moyenne.
11:45Ma fille est seule pour élever
11:46ma petite-fille première de la classe.
11:49Évidemment que...
11:50Mais bravo !
11:51C'est formidable.
11:53On ne dit pas du tout, Véronique,
11:55que ce n'est pas formidable.
11:56Évidemment qu'il y a des élèves
11:57qui sont formidables,
11:59qui sont talentueux,
12:00qui sont...
12:00Mais c'est notre quotidien.
12:02C'est notre quotidien.
12:03On voit tous ses talents.
12:04Mais si un élève est mal orienté,
12:06il a beau être formidable,
12:07il fera...
12:08Allez, on avance.
12:09Il finira à Sciences Po, vous imaginez.
12:10Quelle horreur !
12:11Arnaud, vous, c'est un coup de gueule ?
12:13Oui, c'est un coup de gueule.
12:15Suite aux déclarations
12:16du ministre de la Défense,
12:18M. Sébastien Lecornu,
12:19on peut d'ailleurs le féliciter
12:21d'avoir eu le courage
12:24de dire quelle était
12:25la situation de l'armée française
12:27il y a encore quelques temps,
12:29puisqu'on apprend,
12:30lors d'une intervention
12:31du ministre de la Défense,
12:33que les bâtiments
12:34de la Marine Nationale
12:35partaient en mission
12:35avec pas assez de munitions
12:37pour réaliser la mission.
12:40On apprend également
12:41que certains bâtiments
12:43ne sont pas équipés de brouilleurs.
12:44ça tombe bien,
12:45puisqu'ils escortaient
12:46le Charles de Gaulle
12:46et devaient assurer
12:47les contre-mesures électroniques
12:49pour protéger
12:50le bateau amiral
12:52de la flotte française.
12:54On apprend
12:54qu'un certain nombre
12:56de bâtiments,
12:57n'ayant pas
12:58les matériels
12:59qui normalement
13:00sont inscrits
13:01sur la fiche technique,
13:02mettaient des maquettes
13:03à la place
13:04pour faire croire
13:04que le matériel
13:05était présent.
13:05que des bâtiments
13:07partaient avec des silos vides
13:08n'ayant pas d'exocètes
13:10pour mettre dans les silos.
13:11Que la conception même
13:13des bateaux
13:13pour faire des économies
13:14à bâtiments comparables,
13:19les Français ont entre
13:2030, 40, 50 maximum tubes
13:23pour envoyer des missiles.
13:25Quand les nouveaux bâtiments,
13:26et notamment dans le sud-est asiatique
13:28ou de certains
13:30de nos partenaires internationaux,
13:31on en 60, 80 ou 100.
13:33Donc c'est même la conception même
13:35de la défense
13:37qui est complètement
13:38à l'envers.
13:40Donc le ministre fait aussi
13:42une opération de communication.
13:43Il explique que depuis
13:44que lui est en charge
13:45depuis les trois dernières années,
13:47en revanche,
13:48il a fait le nécessaire
13:49pour que enfin
13:50nos bâtiments
13:51puissent avoir
13:52le matériel nécessaire
13:53et qu'on va enfin
13:54pouvoir se mettre
13:55à l'équerre.
13:58Mais moi,
13:58je trouve ça fascinant
13:59parce que c'est un sujet
14:00que je suis depuis très longtemps,
14:02depuis que j'ai travaillé
14:03à l'Assemblée nationale
14:03et au Parlement européen,
14:06les questions de défense.
14:08Et j'ai la chance
14:08de me rendre
14:09dans des salons.
14:11Et notamment,
14:11j'ai été au salon
14:13du Bourget
14:14il y a quelques jours.
14:15C'était très intéressant,
14:16le salon du Bourget.
14:17Pourquoi ?
14:18Parce que le salon du Bourget,
14:19cette année,
14:19c'était le salon du drone.
14:21C'est le salon de l'aéronautique.
14:22Mais alors cette année,
14:23c'était le salon du drone.
14:24Il y avait du drone partout.
14:25Et il y a un truc
14:25très intéressant à voir.
14:27C'est que vous aviez
14:27les compagnies turques
14:30qui étaient présentes
14:30avec des drones partout.
14:32Énormes.
14:33des trucs gros
14:34comme des camions.
14:36Vous aviez des sociétés italiennes
14:37qui ont des deals
14:39avec les Turcs,
14:41avec des énormes drones.
14:43Vous aviez des compagnies israéliennes.
14:44On avait fermé leur stand,
14:46mais on voyait quand même
14:46les drones qui étaient au plafond.
14:48On les voyait.
14:49On voyait quelques constructeurs
14:51de drones comme ça
14:52à travers le monde.
14:53Et puis,
14:53toutes les grandes compagnies françaises,
14:54eux,
14:55ils avaient des dessins de drones.
14:57c'est-à-dire que
14:59vous aviez
15:01de magnifiques illustrations
15:03de ce qui nous allait sortir bientôt.
15:05Mais nous,
15:06nous sommes numéro un
15:07du dessin de drone.
15:09Alors,
15:09le seul qui avait fait quelque chose,
15:10c'était Dassault.
15:12Alors,
15:12ils avaient fait une maquette.
15:14On n'avait pas un dessin,
15:15on avait une maquette,
15:15mais c'était sympa quand même.
15:17et on n'avait pas mis l'armement
15:18parce qu'il paraît
15:19que c'était un musée,
15:21c'était un musée presque,
15:22c'est un musée,
15:24mais c'était un salon
15:24où je vous rappelle
15:26qu'on a fermé
15:26les stands israéliens
15:27parce qu'ils montraient
15:29des armes offensives
15:30alors que normalement,
15:31ce sont des armes défensives.
15:32Vous m'expliquerez la différence.
15:33J'ai servi dans l'armée,
15:35je n'ai pas bien compris
15:35si à l'époque,
15:37mon FAMAS,
15:37parce que je suis un mieux.
15:39Mon FAMAS,
15:40c'était une arme
15:41défensive ou offensive ?
15:43Il faudrait m'expliquer.
15:44où les saguets
15:47qu'on avait
15:48avec des canons de 105
15:50étaient-ils défensifs
15:51ou offensifs ?
15:52Vous avez trois heures.
15:54Non, mais c'est concernant.
15:56Ça m'avait échappé.
15:56Effectivement,
15:57le ministre des Armées
15:58a mis un terme
15:59à ce secret de Polichinelle,
16:01symbole d'une époque
16:02où le combat en mer
16:03était loin des esprits.
16:05Effectivement,
16:05pendant des années,
16:06certains chefs de l'État,
16:08chefs des armées,
16:09certains ministres
16:10de la Défense,
16:11avant moi,
16:12donc,
16:12vous avez entendu,
16:13not in my name,
16:16acceptaient
16:17que le porte-avions
16:17Charles de Gaulle
16:18ou certaines frégates
16:19partent en mission
16:20avec des soutes à munitions
16:21loin de la cible
16:22normalement prévue
16:23pour recevoir la Défense.
16:24Parfois aussi,
16:24je ne sais pas s'ils le citent,
16:25mais des gilets pare-mal
16:26défectueux.
16:27Bien sûr.
16:27Alors, mieux que ça,
16:28parce que ça,
16:29c'est un témoignage,
16:30encore une fois,
16:31j'ai des réunions
16:32d'anciens camarades
16:33de mon régiment.
16:35Alors,
16:35il y avait encore
16:36quelque chose de mieux,
16:37c'est qu'on n'avait pas
16:38assez de plaques.
16:39Oui.
16:39Assez de plaques ?
16:40Bien sûr.
16:43La plaque de devant
16:44de son camarade
16:45qu'il mettait derrière
16:46et celui de devant
16:47prenait la plaque
16:48du mec de derrière
16:49pour la mettre devant.
16:50Il progresse quand il progressait.
16:52Voilà,
16:52il n'y avait pas assez de plaques.
16:54Petite pause,
16:55on va revenir.
16:56On parlera dans un instant
16:57sur Sud Radio
16:58des énergies renouvelables
17:00avec la tribune
17:02de Bruno Retailleau
17:03et puis du recadrage
17:04d'Emmanuel Macron
17:05qui appelle ses ministres
17:07à parler d'une même voix.
17:08A tout de suite.
17:10Sud Radio.
17:11Sud Radio.
17:11Parlons vrai.
17:12Parlons vrai.
17:13Sud Radio.
17:13Parlons vrai.
17:14Le 10h midi,
17:15mettez-vous d'accord,
17:17Valérie Expert.
17:18Allez,
17:18on essaye de se mettre d'accord
17:19mais aujourd'hui c'est plutôt bien parti.
17:21Alexandra Spiner,
17:22un coup de gueule ?
17:23Oui,
17:23un coup de gueule.
17:24Alors,
17:24je ne sais pas si vous avez
17:25entendu parler
17:26de cette folie absolue.
17:30Nous avons,
17:31à la région Île-de-France,
17:32mis en place
17:33un bouclier de sécurité
17:34avec Valérie Pécresse
17:36et Frédéric Péchna.
17:39Valérie Pécresse,
17:40à la suite
17:40de son élection
17:42à un moment très symbolique
17:44puisque un mois après le 13 novembre,
17:47a décidé de s'attaquer
17:48au sujet
17:49de préoccupation
17:51des Français
17:52qui est la sécurité.
17:54Elle a donc mis en place
17:55ce qu'elle a appelé
17:56le bouclier de sécurité.
17:58Alors,
17:59pour résumer,
18:00on finance auprès des mairies
18:02des équipements de sécurité,
18:04des caméras de surveillance,
18:07des gilets pare-balles
18:08dont on parlait à l'instant,
18:09des terminaux portatifs
18:11de radiocommunication,
18:13enfin,
18:13tout ce qui fait
18:14qu'une commune
18:15peut vivre en sécurité.
18:18Bien.
18:19Le mal français absolu,
18:21la judiciarisation
18:22de la politique
18:24et l'idéologie
18:26bête
18:27de la gauche
18:28régionale,
18:29ils ont donc
18:30déposé
18:31un recours.
18:33Ne rie pas,
18:34ne rie pas.
18:35C'est assez drôle,
18:36c'est même désespérant.
18:38Ils ont donc
18:38attaqué
18:40devant le tribunal
18:41les délibérations
18:42du Conseil
18:42et le rapporteur
18:43dont malheureusement
18:44l'avis est très souvent suivi
18:47considère
18:48que la région
18:48n'a pas la compétence,
18:50n'a pas la compétence
18:51sécurité.
18:52Donc,
18:54nous voilà
18:54dans une situation
18:55totalement absurde
18:56où on est en passe
18:58de priver
18:59les communes
19:00d'un outil
19:01tout à fait exceptionnel
19:03qui leur permet
19:04quand même...
19:04A quel titre ?
19:05Les compétences ?
19:07C'est toujours
19:08la compétence.
19:08C'est-à-dire que,
19:09voilà,
19:10on demande
19:11au juge
19:12d'arbitrer la politique.
19:13Alors,
19:14parfois,
19:14le juge est nécessaire,
19:15mais là,
19:15on ne voit pas tellement
19:16en quoi il peut décider
19:18si oui ou non
19:19la région a la compétence.
19:20Et puis,
19:21si je ne m'abuse,
19:22en droit français,
19:24ce qui n'est pas formellement interdit
19:26est autorisé.
19:27Bien sûr.
19:27Voilà.
19:29Donc,
19:29certes,
19:30la région n'a peut-être
19:31pas la compétence,
19:32mais en tout cas,
19:33elle le fait,
19:34c'est apprécié par les communes,
19:35mais c'est ce dont on parle
19:37finalement
19:37avec vous,
19:39Valérie,
19:39tout le temps.
19:40C'est-à-dire que c'est
19:40totalement absurde.
19:41Voilà quelque chose
19:42qui fonctionne bien.
19:43Bien sûr.
19:43ça fonctionne.
19:45Les maires sont très contents,
19:46c'est plébiscité
19:47par de nombreux maires
19:49en Ile-de-France
19:50et je dois le dire
19:51non sans ironie,
19:53y compris par des maires communistes
19:55et on a une gauche régionale,
19:56les communistes,
19:57qui contestent cela.
19:59C'est une folie
19:59parce que c'est purement
20:01par idéologie.
20:02Je suis parfaitement d'accord
20:03avec ce qui a été dit
20:04et il faut souligner le fait
20:06que cela vient des communistes,
20:08c'est-à-dire ces gens
20:09qui sont censés porter
20:10les aspirations
20:11des classes populaires,
20:13qui trahissent
20:13ces classes populaires
20:14finalement en ne luttant plus
20:16pour une sécurité collective
20:18et en ayant troqué
20:20finalement leurs aspirations
20:21premières
20:23pour des logiques identitaires.
20:26Et moi, ce qui me choque,
20:27c'est que les communistes
20:28sont ultra minoritaires
20:29alors que Valérie Pécresse
20:30a été réélu priemment
20:33avec son bouclier sécuritaire
20:35et comme ces communistes
20:36sont minoritaires,
20:38ils vont saisir la justice
20:39en espérant avoir gain de cause.
20:41Donc si la justice administrative
20:43donne raison
20:44notamment à ces communistes,
20:46ce sera une entorse
20:47à la démocratie extrêmement grave.
20:49Moi, en tant que francilien,
20:51je ne peux pas accepter
20:52cette chose-là.
20:53Vous avez une élue,
20:54Valérie Pécresse,
20:54qui a décidé de prendre
20:56la question de la sécurité
20:57à bras le corps
20:58avec des résultats
20:59qui sont concrets.
21:00concrets et clélicités par le maire.
21:02Comment ces communistes
21:03peuvent remettre en cause
21:04ce bilan,
21:04tout ça dans une course
21:05à l'échalote
21:06avec la France insoumise.
21:07C'est vraiment bas,
21:08c'est scandaleux
21:09et voilà ce que c'est devenu
21:11le parti communiste français.
21:13Bon.
21:14Il se trouve qu'il y a quelques années,
21:16je me suis occupé
21:17d'une campagne
21:17européenne aussi,
21:20mais régionale,
21:22en PACA.
21:22Ils ont eu le même sujet.
21:26On nous expliquait,
21:26pas à l'époque,
21:28parce que justement à l'époque,
21:29la liste pour laquelle
21:31je conseillais en communication
21:32et en stratégie
21:33avait expliqué que,
21:35certes,
21:36la sécurité n'était pas
21:38toute écrite,
21:39mais qu'il y avait
21:40certains moyens
21:42de pouvoir faire
21:43de la sécurité
21:43avec la région.
21:44Et on les a expliqués,
21:45M. Christian Estrosi
21:46à l'époque,
21:46mais ça change beaucoup
21:47avec M. Christian Estrosi.
21:48Un coup, c'est oui,
21:49un coup, il est à gauche,
21:50un coup, c'est le résistant,
21:50un coup, c'est un mec de droite,
21:52enfin, bravo,
21:53c'est difficile de le suivre.
21:55Nous expliquait que,
21:56pas du tout,
21:57là, il n'y avait pas
21:58de compétence,
21:59et puis, la semaine d'après,
22:00nous expliquant que,
22:01s'il y avait une compétence,
22:02mais que, d'ailleurs,
22:02il fallait mettre des portiques
22:03dans les gares,
22:04dans les gares,
22:05les gares de TER.
22:07Alors, en revanche,
22:07la sécurité pour la région,
22:09ça marche pour les transports.
22:10C'est-à-dire que la région
22:11a le droit
22:13de faire de la sécurité
22:14sur tout ce qui est transports,
22:16puisque c'est elle
22:17qui gère ce genre de choses.
22:18Ça commençait par là,
22:21puisque les caméras de sécurité,
22:22à la base,
22:22pour les régions,
22:24les budgets,
22:25venaient du fait
22:25qu'ils avaient le droit
22:26pour les transports,
22:28et donc,
22:28on pouvait aussi filmer
22:30en dehors des transports,
22:31etc., etc.
22:32Ce qu'a cassé aussi les juges,
22:33en expliquant qu'on ne pouvait pas
22:34filmer en dehors des gares.
22:36Mais les juges n'ont pas à décider.
22:38Je sais bien.
22:39C'est une décision politique,
22:40et c'est donc aux électeurs
22:41de fonctionner ou pas,
22:43ou de plébisciter.
22:44Bon, on va avancer.
22:44La droite a été au pouvoir
22:46pendant très longtemps.
22:47Elle avait la possibilité,
22:48mais elle n'avait pas les régions
22:49à l'époque,
22:49donc elle s'en foutait.
22:51Elle n'avait pas permis
22:52d'avoir la compétence
22:53de la sécurité pour les régions.
22:54Il fallait mettre
22:55la compétence de la sécurité
22:56aux régions.
22:57Ce n'était pas compliqué.
22:58Et vous avez un ministre
22:58de l'intérieur,
22:59me semble-t-il,
22:59qui est de la même couleur politique,
23:01on ne cessera de le rappeler,
23:02que Mme Valérie Pécresse.
23:05Il suffit de pouvoir faire quelque chose.
23:07Très bien.
23:07Est-ce que vous ne trouvez pas
23:08que c'est ridicule,
23:09j'imagine que c'est vers cela
23:10qu'on s'oriente,
23:12mais qu'il faille faire une loi ?
23:13Je veux dire,
23:13le rapporteur nous dit
23:14que ce n'est pas dans
23:15les compétences de la région.
23:16Mais qu'est-ce qui interdit
23:18à la région de le faire ?
23:19C'est totalement bien.
23:20Est-ce que vous imaginez
23:21pour les Français,
23:22de façon pour qu'on...
23:23Mais qui a laissé les juges le faire ?
23:25Valérie,
23:25pour qu'on délocalise ce débat,
23:27qu'on étende un peu
23:29à toute la France.
23:29Comment voulez-vous
23:30que les Français comprennent
23:32qu'une collectivité
23:33qui a les moyens de protéger
23:34n'ait pas le droit de le faire ?
23:36C'est catastrophique, en fait.
23:38En pleine crise démocratique,
23:40c'est insupportable.
23:41Les Français,
23:42ils veulent qu'on agisse.
23:43Et encore une fois,
23:44ils ont l'impression
23:44d'un système
23:45qui empêche les élus
23:47de faire ce pourquoi
23:48ils ont été élus.
23:50Vous décentralisez encore plus
23:51les régions ?
23:52Regardez, en Italie,
23:54par exemple,
23:55les régions n'ont pas
23:56du tout les mêmes budgets,
23:57n'ont pas du tout
23:57les mêmes compétences.
23:58Moi, je vous écoute.
23:59Après, il ne faut pas s'étonner
24:01que les classes populaires
24:02votent pour le Rassemblement National
24:04ou décident de ne plus voter.
24:05Voilà, c'est ça.
24:07La fracture démocratique
24:08qu'on parle, Alexandre.
24:09Désolée.
24:09Juste un mot,
24:13résultat du bac
24:13avec des taux de réussite
24:15à plus de 97%.
24:17Certaines académies
24:18frôlent le sans faute.
24:20J'adore le sans faute.
24:21Nous sommes une nation de génie.
24:22Sans faute,
24:23j'aimerais quand même
24:24rencontrer un des mecs
24:25qui l'a raté quand même.
24:26Voilà.
24:28Celui-là,
24:29on l'embauche tout de suite.
24:30C'est juste qu'il y a
24:30les contrôles continus
24:31sur le bac.
24:32Il y a le contrôle continu maintenant,
24:33c'est ça ?
24:33Rennes arrive en tête,
24:3594% de réussite.
24:37Nantes, 93%.
24:38Toulouse, bravo Toulouse,
24:3993,3%.
24:41Etc.
24:43Alors, je regarde
24:44la queue du peloton.
24:45Non, je n'y arrive même pas.
24:45Qu'antale, 94%.
24:47Et l'Île-de-France,
24:48je crois qu'on n'a pas encore
24:49les résultats.
24:50Oui, c'est mieux.
24:51Oui, vaut mieux.
24:52Mais c'est plutôt...
24:54Qu'on récompense les jeunes
24:57au terme de leur scolarité
24:58par un diplôme
24:59qui est le bac.
25:01Si, à la suite de cela,
25:04on avait la possibilité
25:05de leur proposer quelque chose
25:07de qualité,
25:09mais on sait très bien
25:10que malheureusement,
25:12beaucoup d'entre eux vont...
25:14Moi, dans ma délégation,
25:15je vois des gamins
25:16qui ont été mal orientés,
25:18qui sont perdus
25:20dans une formation
25:21qui n'est pas celle
25:22vers laquelle ils auraient dû
25:23s'orienter.
25:24Mais les outils ne sont pas
25:24mauvais non plus.
25:25Mais on a des outils formidables
25:26et notamment nous, on a...
25:27C'était l'idée...
25:28Vous allez croire que je fais exprès,
25:30mais ce n'était pas l'idée
25:31du baccalauréat.
25:32Le baccalauréat,
25:33ce n'était pas ça à la base.
25:34Mais c'est bien.
25:34Ce n'était pas un high school gradation
25:36où on dit,
25:36tiens, c'est bien,
25:37tu as fini,
25:37tu es ton école,
25:37tu tiens, tu as un papier,
25:38tu rentres chez Watt.
25:39Ce n'était pas ça l'histoire.
25:40C'était le baccalauréat,
25:42c'était, il me semble-t-il,
25:42le premier diplôme supérieur.
25:44Le point de départ.
25:45Le point de départ de son étude.
25:46Oui, c'est ça.
25:47Donc, c'était autre chose quand même.
25:49Allez, on se retrouve dans un instant.
25:50On a pris beaucoup de retard.
25:51Je voudrais vraiment
25:51qu'on parle de cette...
25:52Mais c'est intéressant.
25:54Je voudrais quand même
25:55qu'on parle de cette volonté
25:58du gouvernement
25:59de supprimer l'exonération fiscale
26:01pour les dons aux associations.
26:04Encore une fois,
26:05on cherche des économies.
26:07Où est-ce qu'on les cherche ?
26:08Chez les plus faibles.
26:08A tout de suite.
26:09Voilà.
26:09Sud Radio.
26:10Sud Radio.
26:11Parlons vrai.
26:12Parlons vrai.
26:12Sud Radio.
26:13Parlons vrai.
26:14Le 10h midi.
26:15Mettez-vous d'accord.
26:16Valérie Expert.
26:18Avec vous sur Sud Radio.
26:19Allez, on avance un petit peu.
26:21Alex, coup de gueule.
26:23Coup de gueule.
26:24Oui, c'est un coup de gueule
26:24contre Jean-Noël Barraud,
26:26le ministre des Affaires étrangères
26:28que je trouve fade
26:30en dessous de tout,
26:31dans toutes les situations.
26:32Si c'était que fade,
26:33ce serait bien.
26:34Oui, mais c'est parce que
26:35je ne suis pas autant énervé
26:36que Kevin aujourd'hui.
26:37Moi, je suis très calme.
26:39Aujourd'hui, il est calme.
26:40C'est les vacances, il est calme.
26:44Alors, je ne suis pas aussi calme
26:46que Kevin aujourd'hui.
26:47Non, mais je pourrais employer
26:49ces vrais d'autres mots
26:50que fade.
26:51Parce que je le trouve
26:52en dessous de tout.
26:53Hier, on apprend
26:54que les deux otages français
26:57en Iran subissent trois chefs
27:00d'inculpation qui valent
27:01la peine de mort.
27:02Et sa seule réponse,
27:03c'est de dire qu'il exige
27:04expressément la libération
27:06de Jacques Paris
27:07et Cécile Collère
27:08qui sont donc enfermés
27:09en Iran.
27:10On ne l'a pas trop vu
27:11sur la libération
27:12des otages à Gaza.
27:14On n'entend pas beaucoup plus.
27:15sur, malheureusement,
27:16la libération aussi
27:17de Boalem Sansal
27:18et Christophe Glaze
27:19en Algérie.
27:21En fait, je trouve
27:22qu'il n'est pas du tout
27:23à la hauteur du moment
27:24et à la hauteur de l'instant
27:26qui voudrait que la France
27:28se batte
27:28pour aller chercher
27:29ses otages
27:29comme Nicolas Sarkozy
27:30l'avait fait à l'époque.
27:32Et c'était effectivement,
27:33à l'époque,
27:33je trouve,
27:34l'honneur de la France.
27:34C'était quelque chose
27:35qui était important.
27:36Et la diplomatie française
27:38aujourd'hui,
27:39elle est en dessous de tout.
27:40Donc, c'est juste
27:41une attitude
27:42et se donner
27:42une sorte d'image
27:45de fermeté
27:45qui n'existe absolument pas.
27:47Et je vais même
27:48vous dire autre chose.
27:49Vous savez que j'ai été bloqué
27:49pour le travail
27:50à Tel Aviv
27:51il y a quelques jours
27:51et que j'ai mis du temps
27:52à rentrer.
27:53Bah, pareil,
27:54je trouve qu'on a été
27:54laissés à l'abandon complètement
27:56alors qu'on voulait
27:57être rapatriés
27:58à ce moment-là.
27:58Et que le quai d'Orsay
28:00est franchement,
28:01pardon,
28:02mais en dessous de tout
28:03sur ses missions premières.
28:04Est-ce que c'est vrai
28:05que vous avez dû payer
28:06que les gens
28:08qui étaient coincés
28:08en Israël
28:10ont dû payer
28:11leur retour ?
28:12Mais moi,
28:13je ne suis pas fait rapatrier,
28:14Valérie.
28:14Oui, non,
28:15mais ceux qui ont...
28:15Ça, je ne sais pas,
28:16il faut leur demander,
28:16mais moi,
28:17j'ai payé pour rentrer.
28:18J'ai payé pour rentrer,
28:19j'ai pris des risques,
28:20je suis passé par l'Égypte.
28:22Oui, parce que vous deviez rentrer.
28:23Oui, je devais rentrer
28:24et à un moment,
28:25je devais rentrer
28:25et je ne servais à rien là-bas.
28:27Je devais rentrer,
28:27donc je suis passé par l'Égypte,
28:29je me suis organisé tout seul
28:30et je vais même aller plus loin.
28:33Il y avait des choses
28:33qui avaient été mis en place
28:34par le consulat en Égypte,
28:36le consulat français
28:37qui est venu nous chercher
28:38à la frontière.
28:39L'État ne nous avait même pas informés.
28:41Et le consulat,
28:42les gens du consulat là-bas
28:43en Égypte nous disaient
28:44bah ouais,
28:45mais non,
28:45on a pourtant informé l'État
28:47mais l'État ne vous l'a pas dit.
28:48Mais on voit aussi
28:49Christophe Gleiz
28:51qui a été assigné à résidence
28:53en Algérie pendant un an.
28:54Il ne fallait pas en parler,
28:55on l'a juste découvert là
28:57pour vraisemblablement
28:58laisser faire la diplomatie.
29:00Force est de constater
29:01que la diplomatie...
29:02C'est une autre question.
29:04Vous savez très bien
29:05que c'est une autre question.
29:05Oui.
29:06Voilà.
29:07Il suffit de lire
29:08quelques ouvrages
29:09bien informés.
29:11Oui, oui, mais...
29:12Les gens ont touché
29:12beaucoup, beaucoup,
29:13beaucoup,
29:13beaucoup d'argent
29:14de l'Algérie.
29:15Donc, on a du mal
29:16à dénoncer des gens
29:18qui pourraient ressortir
29:19des vieilles photos
29:19ou de vieux relevés
29:22qui mettraient...
29:23Regardez, aujourd'hui,
29:24c'est bien d'apprendre
29:24que le PSU
29:25et M. Rocard,
29:27qui a été quand même
29:27Premier ministre de la France,
29:28qui a été un des leaders
29:29du Parti Socialiste,
29:30a émargé au fond algérien
29:33pendant 30 ans.
29:35Pendant 30 ans,
29:36c'est l'Algérie
29:37qui a payé le PSU.
29:38Je veux dire,
29:40arrêtez de vous poser
29:40des questions.
29:42Moi, je partage
29:43le coup de gueule
29:44d'Alex.
29:45Je trouve que ce ministre,
29:47si tenté qu'on puisse dire
29:49qu'il est ministre,
29:50il incarne à l'envie
29:52en même temps
29:53macroniste.
29:54C'est-à-dire qu'on ne sait pas
29:55trop ce qu'il pense,
29:56on ne sait pas trop
29:57où il va.
29:58Le lundi,
29:59il nous parle
30:00d'un sujet
30:01et puis le lendemain,
30:02il nous dit le contraire.
30:04Je trouve que,
30:05au-delà du côté sympathique
30:08de l'évoquer ici,
30:10je trouve que c'est terrible
30:11pour l'image de la France.
30:13C'est quand même
30:13cet homme-là
30:14qui incarne
30:15l'image de la France.
30:17Pour moi,
30:18je ne m'en remets pas,
30:20en fait.
30:20Je trouve ça effrayant.
30:21Rapprends-nous
30:22ce qui s'est passé
30:22la dernière fois
30:23qu'il est allé au Tchad aussi.
30:24Il est reparti,
30:26on avait une base en moins.
30:27On a un continu avec vous,
30:28Kévin,
30:29coup de cœur
30:29pour Bruno Retailleau.
30:32Pas pour Bruno Retailleau,
30:33même si je l'aime beaucoup,
30:34mais disons un coup de cœur
30:35pour la tribune
30:36qui est parue
30:36dans le Figaro,
30:38qui a été signée
30:39par Bruno Retailleau,
30:41qui a été signée
30:42par Julien Aubert,
30:43qui a été signée
30:43par François-Xavier Bellamy,
30:45notamment sur les éoliennes
30:47et le photovoltaïque,
30:48puisque là,
30:49maintenant,
30:49la ligne chez LR est claire.
30:52Aucune subvention
30:53en provenance de l'État
30:54pour les éoliennes
30:55et le photovoltaïque.
30:57C'est vrai que jusque-là,
30:58ce n'était pas forcément clair.
30:59Les députés LR ont voté
31:00pour le moratoire
31:02sur les éoliennes
31:04à l'Assemblée nationale,
31:04alors que les sénateurs
31:05avaient notamment
31:07voté contre.
31:08Alors là,
31:08évidemment,
31:09on a vu
31:09la majorité,
31:10entre guillemets,
31:11présidentielle
31:12se diviser.
31:12M. Attal
31:14est monté
31:14sur ses grands chevaux
31:16en racontant
31:17que c'était
31:17un contresens
31:18historique
31:19et scientifique.
31:20Et Otmat Nassrou
31:21lui a répondu
31:22en disant
31:22que de toute façon,
31:23ce pauvre Gabriel Attal
31:24venait de la gauche
31:25et qu'il avait appelé
31:26à voter pour LFI
31:28au second tour
31:29des législatives.
31:30Il est vrai
31:30que la part
31:31de l'éolien
31:32dans la consommation
31:33électrique en France
31:34n'a fait qu'augmenter
31:35puisqu'en 2018,
31:37dans la production
31:38d'électricité,
31:39l'éolien,
31:39c'était 5,6%.
31:41Aujourd'hui,
31:41on est à plus de 11%.
31:42Et ce qu'il faut dire,
31:44c'est que c'est
31:44une escroquerie écologique
31:47et c'est une arme
31:48de destruction massive
31:49aussi bien pour nos oreilles
31:50que pour nos yeux.
31:52Parce que la vérité,
31:53c'est que les éoliennes
31:54ne sont pas du tout
31:55écolo.
31:56D'ailleurs,
31:56les éoliennes
31:57fonctionnent
31:58de manière intermittente
31:59donc on est obligé
32:00de compléter cela
32:01notamment en utilisant
32:03des énergies
32:03qui sont polluantes.
32:05On pourrait voir
32:06par exemple les Allemands
32:07qui rouvrent
32:09leur vieille centrale
32:10à charbon.
32:11Les éoliennes
32:12également sont un problème
32:13pour la faune.
32:14On estime qu'une éolienne
32:15peut tuer par an
32:16jusqu'à 18 oiseaux.
32:18Ça défigure
32:19évidemment
32:19nos paysages.
32:21Moi,
32:22je suis allé
32:22dans les Ardennes,
32:23j'ai vu à quel point
32:24finalement nos paysages
32:25étaient saccagés
32:26à cause
32:26des éoliennes.
32:28Les pales
32:28ne sont même pas
32:29recyclables
32:30et quand vous installez
32:31une éolienne,
32:32vous êtes obligé
32:32notamment de déverser
32:33600 à 800 tonnes
32:35de béton
32:36pour que l'éolienne
32:38puisse tenir.
32:38et même la population
32:39est absolument
32:40compte
32:40puisque 70%
32:42des autorisations
32:43délivrées
32:43pour l'implantation
32:44des éoliennes
32:45font l'objet
32:46notamment de recours
32:47face aux tribunales
32:48administratives.
32:49Je pense que moi,
32:50la seule,
32:51enfin l'une
32:51des sources énergétiques
32:54les plus écolos,
32:55c'est évidemment
32:55le nucléaire
32:57qui est une énergie
32:58propre
32:59qui produit
32:59très peu
33:00de CO2.
33:02Plus vous réduisez
33:03la part du nucléaire,
33:04plus vous augmentez
33:05les émissions de gaz
33:06à effet de serre
33:06donc il ne faut pas
33:07que du nucléaire,
33:08il faut un mix énergétique
33:09notamment avec
33:10de l'hydraulique
33:10et peut-être au niveau local
33:12avec du solaire
33:13mais vive le nucléaire
33:14il faut le dire
33:15à bas les éoliennes
33:16et j'espère que Marine
33:17Tondelier
33:18ne nous écoute pas
33:19sinon je vais me faire
33:20traiter évidemment
33:21d'extrême droite
33:22il faut dire que je ne ressemble
33:23pas à ces électeurs
33:24qui sont des bobos
33:25déracinés
33:27prêts à tronquer
33:28nos paysages
33:29nos intérêts économiques
33:31sur l'hôtel
33:32d'une idéologie
33:32réactionnaire
33:33et des balsatrix
33:34et pour le coup
33:34ce sont les écolos
33:36les réactionnaires
33:36ce n'est certainement pas moi
33:37qui voient l'intérêt
33:38de notre pays
33:39tu as la clime
33:40non j'ai des ventilateurs
33:42mais j'adore aller en plateau
33:43parce que
33:44à Céneau
33:45j'adore à la Céneau
33:46il y avait la climatisation
33:47au moment où il faisait
33:4738, 38 degrés
33:48ici c'est un peu bas
33:50il faut dire à monsieur Patrick Roger
33:51qui nous la monte un petit peu plus
33:52merci Patrick
33:53je suis d'accord avec vous
33:54un peu frais
33:55Valérie juste peut-être
33:56pour vos éditeurs
33:57qui le voient bien
33:58certains paysages
34:01en France
34:02sont complètement
34:03détruits
34:04détruits
34:05par ces éoliennes
34:06je veux dire
34:07il faut aussi le dire
34:09et puis là aussi
34:09il y a eu
34:10on a évoqué hier
34:11à chaque fois
34:11qu'il y a des
34:12tous ces détournements
34:14qui ont pu être faits
34:15beaucoup d'argent
34:16des fournisseurs
34:18me dit
34:18une auditrice
34:19qui s'enrichit
34:20c'est tout ce qui compte
34:21et des tonnes de béton
34:22pour fabriquer
34:22des socles d'éoliennes
34:24et pour rappel
34:26quand même
34:26les éoliennes
34:27et le photo
34:27volcanique
34:28est quand même
34:29complètement dominé
34:30par les importations chinoises
34:32vous ne pouvez pas
34:34construire les moteurs
34:35des alternateurs
34:36des éoliennes
34:38sans des terres rares
34:39qu'on n'a plus
34:39et avec beaucoup de cuivre
34:41et c'est très difficile
34:42d'en trouver
34:42bref
34:43ok c'est vrai
34:45que c'est dégoûtant
34:45etc etc
34:46moi ce qui me marque le plus
34:48c'est en période d'économie
34:49en période de
34:50il ne faut plus donner d'argent
34:52aux associations
34:53il faut faire attention
34:54ça coûte
34:55300 milliards
34:56c'est à dire que
34:58le raccordement
34:59des énergies
35:00de ces énergies
35:01des énergies dites
35:02alternatives
35:04et voilà
35:05et verte
35:07ça coûte
35:07300 milliards
35:08d'euros
35:09voilà c'est tout
35:10et en plus
35:10c'est une particularité
35:11on ne le redira
35:12jamais assez
35:13c'est que
35:14quand vous avez du vent
35:15et quand vous avez du tout d'un coup
35:16ou du soleil
35:17vous surchargez le réseau
35:19avec une énergie
35:20que vous ne prévoyez pas
35:21puisque
35:22on ne sait pas
35:23quand est-ce qu'il va y avoir
35:23vraiment du soleil
35:24ou quand il va y avoir du vent
35:25ce qui fait que
35:27vous êtes obligé
35:28de baisser
35:29la production
35:31des centrales nucléaires
35:32parce que sinon
35:32vous surchargez le réseau
35:34donc on favorise d'abord
35:35l'entrée
35:36sur le réseau
35:37de l'électricité
35:38faite par les éoliennes
35:40et par le solaire
35:40sauf que cette énergie
35:42elle est sponsorisée
35:43et elle coûte
35:43extrêmement cher
35:44en vérité
35:44deuxième coup
35:45et dernière chose
35:46c'est que vous fatiguez
35:48le matériel nucléaire
35:49puisque ce matériel nucléaire
35:51n'est pas fait
35:52pour monter
35:53descendre
35:53en capacité
35:54donc vous le fatiguez
35:55et pendant ce temps-là
35:56on rappellera
35:56c'est le vieux combat
35:57de mon camarade
35:59et je pense à lui
35:59en ce moment
36:00Loïc Lefloc-Prigent
36:02également sur
36:03tout ce qui était
36:03l'électricité
36:04de Bordeaux
36:05au bord de l'eau
36:06c'est-à-dire qu'on a fermé
36:08station après station
36:09de cette électricité
36:11qui était faite
36:11avec nos rues
36:13et nos fleuves
36:14et nos rivières
36:14alors il y a un aspect
36:15politique aussi
36:16dans tout ça
36:16il y a un aspect
36:17idéologique
36:18quand vous entendez
36:19Clément Beaune
36:20qui nous explique
36:21qu'est-ce qu'il a dit
36:22anti-patriotique
36:23non mais au sein
36:24du gouvernement
36:24écoutez Agnès
36:26Pannier-Runacher
36:27c'est dramatique
36:29c'est irresponsable
36:30c'est du populisme
36:32le plus
36:32je dirais
36:34basique
36:34c'est-à-dire que
36:35au fond
36:37peu importe
36:38l'intérêt des français
36:39pourvu qu'on aille récupérer
36:40des voix
36:41à droite
36:42et au-delà
36:43et c'est irresponsable
36:45quand on prétend
36:45être un homme d'état
36:47pour vous
36:47est-ce que Bruno Retailleau
36:48doit rester au gouvernement
36:50compte tenu
36:50de cette dissonance ?
36:51moi je suis
36:52membre du gouvernement
36:53je ne suis pas
36:53premier ministre
36:54mais ce que je dis
36:54c'est que c'est une position
36:56qui est totalement contraire
36:58à celle portée
36:59par le gouvernement
37:00merci pour les EDL
37:02parce que les éléments
37:02de langage
37:03c'était la machine
37:04à débiter
37:05il n'y a aucune sincérité
37:07dans ce qu'elle vient de dire
37:07je ne sais pas
37:09mais oui
37:11c'est aussi très politique
37:13on ne peut pas
37:14se voiler la face
37:15c'est politique
37:15et idéologique
37:16pardon
37:16mais excusez-moi
37:17même chez LR
37:18ce n'est pas hyper clair
37:19leur position
37:20tu dis qu'il y a une
37:21qu'elle est très claire
37:21mais quand tu entends
37:22Jean-François Copé
37:23ou Michel Barnier
37:25non mais Alex
37:25alors laissez-le terminer
37:27pardon
37:28c'est tout neuf en fait
37:29je suis d'accord
37:30c'est tout neuf
37:30et c'est politique
37:32c'est avoir une position
37:33pour pouvoir s'affirmer
37:34et se différencier
37:35et pardon aussi
37:37on a toujours à droite
37:37défendu le nucléaire
37:38je suis d'accord
37:38oui et ça
37:39on peut renvoyer
37:40à la commission d'enquête
37:41avec Sarkozy et Hollande
37:43et effectivement
37:44vous avez toujours défendu le nucléaire
37:45mais pas au sein du parti
37:47en tant que tel
37:48Jean-François Copé
37:49aujourd'hui
37:49qui est remis en première ligne
37:51on ne sait pas trop
37:51ce qu'il pense
37:52et on ne sait pas trop
37:53vraiment s'il dit
37:54vraiment ce qu'il pense
37:54d'ailleurs
37:55donc par conséquent
37:56c'est politique
37:57c'est un coup politique
37:58c'est aussi une façon
37:59de se démarquer
38:00de la part de Bono Retailleau
38:01moi je pense que là
38:02en faisant ça
38:02il sort du gouvernement
38:04à moyen long terme
38:05il sort du gouvernement
38:07non mais Alex
38:07juste une chose
38:08il est pour 2020
38:08juste une chose quand même
38:09quand on regarde
38:10l'histoire de la droite française
38:11la droite française
38:12a toujours été
38:13pro-nucléaire
38:14et même s'il y a des débats
38:16en son sein
38:17autour des éos
38:22Bruno Retailleau
38:29dérange évidemment
38:30à la droite de la droite
38:31Bruno Retailleau
38:32dérange au sein du gouvernement
38:33puisque c'est le ministre
38:34le plus populaire du gouvernement
38:36c'est quelqu'un
38:37qui a l'amour
38:38de la France chevillée au corps
38:39c'est quelqu'un
38:40qui n'hésite pas
38:41à mettre ici
38:42c'est la même chose
38:42parce qu'on veut le faire passer
38:44pour un affreux réactionnaire
38:49de droite extrême
38:50alors qu'il l'est
38:51non c'est pas vrai
38:52alors qu'il l'est
38:53il n'est que le représentant
38:56notamment des aspirations populaires
38:58il n'hésite pas
38:59à dire
39:00mais c'est la vérité
39:01l'écologie
39:02ce n'est pas le monopole
39:04de la gauche
39:04et les éoliennes
39:05c'est anti-écolo
39:06ça parle beaucoup
39:07mais c'est insupportable
39:08quand la ministre
39:10dit que
39:12c'est aller à l'encontre
39:14des intérêts des français
39:15c'est ce qu'elle a dit
39:15j'ai bien compris
39:16mais pas du tout
39:17parce que
39:17la conséquence
39:19clairement
39:20c'est l'explosion
39:21des factures d'électricité
39:22pour les français
39:23les paysages
39:25complètement défigurés
39:26c'est un problème
39:28pour les français
39:28donc c'est
39:29c'est totalement
39:30idéologique
39:31politique
39:31tout ce que vous voulez
39:32mais c'est pas
39:33ténable comme position
39:35je vais venir
39:35un petit peu
39:36au soutien
39:37de mon camarade Alex
39:39il faut avoir
39:41de la mémoire
39:41parce que la politique
39:42c'est pas
39:43la réflexion
39:44sur ce qui s'est passé
39:45avant-hier
39:45d'accord
39:46c'est ce qui s'est passé
39:47il y a très longtemps
39:48et pour comprendre
39:49la crise du nucléaire
39:50aujourd'hui
39:50et le fait
39:51qu'on ait laissé
39:51ces énergies
39:53dites renouvelables
39:55en vérité
39:57perdurer
39:58et aujourd'hui
39:59essayer de prendre le pas
40:00sur le nucléaire
40:00c'est aussi
40:01le sous-financement
40:04du nucléaire
40:05pendant des années
40:05et ça c'est la droite
40:06c'est à dire que
40:07on peut faire
40:08de très beaux discours
40:09on peut faire
40:09un tas de trucs
40:10mais le manque
40:12de courage
40:13l'insincérité politique
40:14de la droite
40:15pendant très longtemps
40:16sur ces questions
40:17sur le financement
40:19comme pour la défense
40:19parce qu'aujourd'hui
40:20tout le monde se met
40:21avec le bouclier
40:22vive l'armée
40:22etc
40:23pendant des années
40:24ils n'ont pas mis un flèche
40:24et moi je me souviens
40:26aussi de l'attitude
40:27de monsieur Nicolas Sarkozy
40:30envers l'armée
40:31qui n'aimait pas
40:31et il l'avait dit d'ailleurs
40:32et sur le nucléaire
40:33je suis désolé
40:34mais il y avait
40:35il y avait le
40:36comment dire
40:37il y avait
40:37Superphénix
40:38ça n'a jamais été soutenu
40:39le projet Astrid
40:41on a laissé tomber
40:41on a sous-financé
40:42le parc nucléaire
40:43on n'a pas redéveloppé
40:44on ne l'a pas amélioré
40:45on n'a rien fait
40:46et pendant
40:47je suis désolé
40:48mais Fessenheim
40:48pendant très longtemps
40:49c'était la région Alsace
40:50qui était tenue
40:51quand même par la droite
40:52qui n'était pas vraiment
40:53pour la continuation
40:54de Fessenheim
40:55voilà
40:56très bien
40:57mais maintenant
40:57on fait quoi ?
40:58premier thème de campagne
40:58moi je pense
40:59moi je pense que c'est
41:00le premier thème de campagne
41:01de 2019
41:01c'est l'époque
41:02c'est les poches des français
41:02c'est fini
41:03pour cette première
41:04c'est pas encore fini
41:05mais moi
41:06je vous dois
41:12encore un quart d'heure
41:13jusqu'à midi
41:14allez on se retrouve
41:15dans un instant
41:16avec vous sur Sud Radio
41:17Sud Radio
41:19Parlons Vrai
41:19Parlons Vrai
41:20Sud Radio
41:20Parlons Vrai
41:21Sud Radio
41:21Parlons Vrai
41:22Cette semaine
41:23écoutez Sud Radio
41:24tous les jours
41:25entre 17h et 19h
41:26pour tenter de remporter
41:27votre bon
41:28pour un séjour
41:29d'une valeur de 1200€
41:30pour vos prochaines vacances
41:31dans les clubs et hôtels
41:32Bellembra
41:33en famille
41:34ou entre amis
41:34choisissez parmi
41:3545 clubs et hôtels
41:37situés dans les plus
41:38beaux endroits de France
41:39en club
41:40vous profiterez d'équipes
41:41aux petits soins
41:42des clubs enfants
41:43de 4 mois
41:44à 17 ans
41:45des repas
41:46où vous n'aurez qu'à
41:47mettre les pieds
41:47sous la table
41:48et des animations
41:49pour tous
41:49Bonnes vacances
41:51avec Sud Radio
41:52Léry Expert
41:52Donc on cherche
41:54des économies
41:54et où va-t-on chercher
41:55les économies ?
41:56Vers ce qui fâche
41:57les français
41:58je pense
41:59en tout cas
42:00pris comme ça
42:01ce rapport
42:02de 60 pages
42:03qui a été commandé
42:04par Michel Barnier
42:05qui a été remis
42:06au nouveau gouvernement
42:08projette
42:10de réduire
42:11l'avantage fiscal
42:13qui est fait
42:14quand on fait
42:14un don
42:14à une association
42:16réduction fiscale
42:18liée aux dons
42:18qui profitent
42:19dont profitent
42:20quelques 5,5 millions
42:22de foyers
42:22ce matin
42:23une interview
42:25d'un dirigeant
42:26d'association
42:27expliquait que
42:2793% de leur budget
42:29de fonctionnement
42:29était dû à ces dons
42:30c'est-à-dire que
42:31si vous donnez
42:31100 euros
42:32il y a 66%
42:34d'abattement fiscal
42:35donc c'est sûr
42:35que ça coûte
42:36très cher à l'Etat
42:36imaginez pour le Téléthon
42:38par exemple
42:38ce que ça signifie
42:39donc c'est toujours étonnant
42:41non vous étiez
42:42un peu plus
42:42perplexe
42:44je me posais la question
42:45de savoir s'ils vont
42:46faire ça aussi
42:46pour les dons
42:47pour les partis politiques
42:48pour les partis politiques
42:49et pour les campagnes
42:50là je suis pour
42:50non mais moi je ne suis pas pour
42:52parce que
42:53étant donné que ça ne sera pas
42:55corrigé par le fait
42:56qu'on permettra
42:57à des particuliers
42:58de donner plus
42:58à des campagnes
42:59ou qu'on réautorisera
43:01les partis politiques
43:05à gérer leurs finances
43:06de manière un peu plus
43:07comment dire
43:09un peu plus facile
43:10pour les campagnes électorales
43:12moi je me pose vraiment
43:14des questions
43:14est-ce que c'est une réduction
43:15ou c'est une suppression
43:17parce que ce que je dis
43:18c'est une réduction
43:19c'est-à-dire qu'au lieu
43:20de passer à 66%
43:21on passerait à 54%
43:24non c'est ça
43:24non c'est pas ça
43:26mais il faut savoir
43:29qui est touché
43:29si c'est les associations
43:30en général
43:31mais à mon avis
43:33sur les partis politiques
43:33ils vont hésiter
43:34ils vont hésiter
43:35je ne pense pas
43:36qu'ils iront sur ce terrain
43:37voilà
43:38on est d'accord
43:39on est d'accord
43:40on rappelle qu'on n'a pas
43:42le droit de donner
43:43on peut donner
43:45jusqu'à 7500 euros
43:467500 euros
43:47par année
43:48à un parti politique
43:49et 4500 euros
43:50à une campagne
43:50les auteurs du rapport
43:51préconisent de réduire
43:52ce plafond
43:53donc de 66%
43:54à 2000 euros
43:55quel que soit
43:56le niveau de revenu imposable
43:57cette mesure
43:58ferait donc payer
43:59plus d'impôts
44:00environ 225 000 foyers
44:01parmi les plus aisés
44:02c'est un peu différent
44:04c'est un petit peu différent
44:05mais il y aurait un plafond
44:06de 2000 euros
44:06mais qu'est-ce que ça veut dire ?
44:07ça veut dire que tu vas
44:08jusqu'à 2000 euros
44:09vous avez 66% de réduction
44:11mais jusqu'à 2000 euros
44:13au total de toutes les associations
44:15sur l'année
44:16voilà
44:16oui mais je vous dis
44:17encore une fois
44:17pour les partis politiques
44:18et les campagnes électorales
44:19comment ils vont faire les gens ?
44:20ça c'est une vraie question
44:21ce seront donc
44:22les grands donateurs
44:24qui seront
44:25les plus pénalisés
44:27et ceux qui se servaient aussi
44:28il faut le dire
44:29de ces dons pour défiscaliser
44:31encore une fois
44:32c'est une préconisation
44:33oui
44:33mais par exemple
44:34vous voyez par exemple
44:35quand Bernard Arnault
44:36a donné beaucoup d'argent
44:37pour Notre-Dame
44:38oui
44:39mais il n'a pas défiscalisé
44:41c'est vrai qu'il n'a pas défiscalisé
44:43il a dit qu'il n'avait pas
44:44c'est un mauvais exemple
44:44c'est un mauvais exemple
44:45parce qu'il n'a pas défiscalisé
44:46il n'a pas
44:47mais d'autres ont donné
44:48pour Notre-Dame je suppose
44:49et ont défiscalisé
44:50et ça a bien aidé quand même
44:52à un moment donné
44:52mais effectivement
44:53je n'avais pas lu en entier
44:55dons
44:562000 euros
44:57je pense que les gens
44:58qui font des dons
44:59par exemple pour le Téléthon
45:00ne donnent pas
45:01jusqu'à 2000 euros
45:02c'est des dons
45:03c'est des dons de 10-15 euros
45:04c'est des petits dons
45:05mais sur des dons plus importants
45:08parce que pour arriver
45:08à 2000 euros de dons
45:11c'est quand même
45:11vous êtes des gros donateurs
45:13quand même pour le Téléthon
45:13ou pour d'autres associations
45:15qui vont être directement impactées
45:17c'est aussi l'occasion
45:18de rappeler que les français
45:19sont très généreux
45:20on peut peut-être finir
45:21sur une note positive
45:22il y a ça
45:22et puis il y a des associations
45:23qui donnent aussi
45:24elles-mêmes
45:25puisqu'elles lèvent des fonds
45:27pour des projets
45:28et que j'aimerais savoir
45:29comment ça va se passer
45:29parce que là c'est beaucoup plus
45:30de 2000 euros
45:31et on a un tissu associatif
45:32extrêmement dynamique
45:33dans notre pays
45:34et on peut en être très fiers
45:36il y a aussi des propositions
45:38pour supprimer
45:41un certain nombre
45:42d'organismes d'Etat
45:43ce qui serait plutôt une bonne idée
45:44en partie de l'ECSE
45:46le Conseil économique, social
45:47et environnemental
45:48quelques fonctionnaires
45:49aussi on pourrait supprimer
45:50non je ne sais pas
45:50quelques aides sociales aussi
45:52injustement données
45:53tous les machins
45:54qui ne servent à rien
45:54si on pouvait les supprimer
45:56oui voilà
45:56les agences
45:56certaines agences
45:57les agences voilà
45:58c'est ça
45:58et si on pouvait laisser faire
46:00ceux qui veulent faire
46:01des choses utiles
46:02ce serait pas mal aussi
46:03et toutes les subventions
46:04de Mme Hidalgo
46:05à des associations ubuesques
46:07parce que l'augmentation
46:08de la taxe foncière
46:09on la sent
46:09non mais les agences de l'Etat
46:11c'est une vraie question
46:12c'est 80 milliards
46:13elles ne sont pas toutes
46:14à supprimer
46:15mais les agences de l'Etat
46:16c'est 80 milliards
46:16il y a beaucoup de choses redondantes
46:17en particulier dans l'écologie
46:19ce matin le Figaro
46:20fait un état des lieux
46:22il faut savoir quelque chose aussi
46:24c'est que vous êtes haut fonctionnaire
46:26vous travaillez pour une direction générale
46:28on vous fait passer dans une mission
46:30ou dans une des agences de l'Etat
46:32votre salaire change
46:33et après quand vous revenez
46:36on ne peut pas vous rebaisser
46:37donc vous vous retrouvez avec des gens
46:39qui n'ont aucun intérêt
46:41à ce que ces agences disparaissent
46:42puisque c'est aussi le moyen
46:43de traiter un certain nombre
46:45de hauts fonctionnaires
46:46qui sinon seraient bloqués
46:47à leur échelon
46:48ils n'auraient pas de fonction
46:50il faut se poser aussi
46:53la question du fonctionnement de ça
46:54il y a aussi
46:54il y a les grands chantiers
46:56il y a le pantouflage
46:58il y en a plein
46:58mais c'est quand même
47:00un marronnier à chaque fois
47:01on dit qu'on va le faire
47:02et ils ne le font pas
47:03et vous savez pourquoi
47:05ils ne le font pas
47:05bien sûr
47:06et on a vu nommer
47:08un certain nombre
47:08un certain nombre de centristes
47:11à des postes
47:12le commissariat au plan
47:14ce nouveau machin
47:16qui a été créé
47:17pour le truc des enfants
47:19où on nous dit
47:20qu'il faut se prier
47:21excusez-moi
47:22sur le truc des enfants
47:23sur le truc des enfants
47:24c'est parce que vous n'avez pas
47:25de ministère
47:26qui était attaché
47:26à la petite enfance
47:27sauf que la priorité
47:29c'est de lutter
47:29contre le no kids
47:30dans les trains
47:31et les hôtels
47:32je pense qu'il y avait
47:33d'autres priorités
47:34en l'occurrence
47:35notamment le scandale
47:37de la ZEU
47:37oui le scandale
47:38de la ZEU
47:38en particulier
47:39ben voilà
47:39c'est dernière
47:41de cette saison
47:42je voulais remercier
47:43Jamel
47:44notre réalisateur
47:45toujours vigilant
47:47toujours aimable
47:49toujours de bonne humeur
47:50et évidemment
47:51l'indispensable
47:52Juliette Rufol
47:53elle est très gentille
47:55a dit Jean-Jacques Bourdin
47:56effectivement
47:57elle n'est pas toujours
47:57très gentille
47:58en tout cas
47:59elle est extrêmement
48:00elle est extrêmement compétente
48:02c'est elle qui
48:02qui prépare
48:03les plateaux
48:04avec qui nous discutons
48:06enfin c'est plutôt
48:06elle qui discute
48:07toute seule
48:07des sujets
48:08non non
48:10des sujets
48:10elle me fait des suggestions
48:12pour les sujets de débat
48:14on n'a pas toujours le temps
48:15d'aller comme aujourd'hui
48:16traiter tous les sujets
48:18et merci à vous
48:18fidèles débatteurs
48:20qui êtes là
48:21avec toujours autant d'énergie
48:23de plaisir
48:24d'intelligence
48:25et je suis ravie
48:27de cette
48:27très heureuse
48:28de cette équipe
48:29et heureuse aussi
48:30d'être sur Sud Radio
48:31je tiens à le dire
48:31on a une petite équipe
48:35mais très dynamique
48:36et une radio
48:37très agréable
48:38où il est très agréable
48:39de travailler
48:40voilà
48:40merci à vous
48:42merci Valérie
48:43et bonnes vacances
48:44et on se voit en septembre
48:46avec d'autres
48:47j'entendais ce matin
48:48quelqu'un dire
48:49si on vous avait dit
48:50qu'il y aurait
48:50Retailleau deviendrait
48:52l'homme providentiel
48:53d'une certaine manière
48:54qu'on aurait
48:55François Bayrou
48:56comme premier ministre
48:57qu'on aurait
48:58enfin
48:58c'est vrai
49:00qu'on ne pouvait pas
49:01imaginer ce qui allait se passer
49:02alors nous à droite
49:03ça ne nous étonne pas
49:04que Bruno Retailleau
49:05soit l'homme providentiel
49:06ça vous n'avez pas toujours dit ça
49:07et je passe le relais
49:10à Maxime Liedot
49:11qui sera avec vous
49:12à partir de lundi prochain
49:14pour les grands débats
49:16de l'été
49:16très bon été à vous
49:18sur Sud Radio
49:19et à très vite
49:20Sud Radio
49:22Parlons Vrai
49:22Parlons Vrai
49:23Sud Radio
49:23Parlons Vrai
49:24Sud Radio
49:24Parlons Vrai
Recommandations
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50:53
48:13
51:30
48:02
49:03
52:30
55:19
50:04
49:09
1:09:02
53:13
50:06
50:11
48:21