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  • 23/07/2025

Ne manquez pas votre émission Hard Talk, ce mercredi 23 juillet à 17h30 sur TOP FM. Thème: Environnement et Développement Durable. Rudy Veeramundar reçoit : • Manoj Vaghjee, Président de Fondation Ressources et Nature (Forena). • Sébastien Sauvage, CEO de Eco Sud. Participez à l’émission en appelant le 213 7777. Suivez également l’émission en direct sur : • L’application TOP FM • La chaîne 10 de Parabole Maurice • Facebook (Top FM Mauritius) • YouTube (Top TV Mauritius)

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00:00:0024 heures a day
00:00:04Hard Talk, Hard Talk
00:00:19Bonsoir à toutes et à tous et bienvenue dans cette édition de Hard Talk sur Top FM.
00:00:31Nous sommes ensemble jusqu'à 19h pour une émission entièrement consacrée à l'environnement et au développement durable.
00:00:38Ici à Maurice, mais aussi à l'échelle régionale et même mondiale.
00:00:41Le AI Grave, les dernières données publiées par le Bureau des recherches géologiques et minières,
00:00:47en collaboration avec les autorités mauriciennes, font état d'une situation alarmante.
00:00:53Le niveau de la mer autour de notre île monte plus vite que la moyenne mondiale, 4,7 mm par an.
00:00:59D'ici 2100, certaines plages mauriciennes pourraient perdre jusqu'à 160 mètres de sable.
00:01:05Des zones comme Maïbou, Grand Bé ou encore Rivière-des-Galais sont en première ligne face au risque de submersion
00:01:10et à la disparition progressive du trait de côte, l'érosion, la bétonisation, la dégradation des courroux
00:01:18et la perte des mangroves aggravent ce phénomène.
00:01:21Face à ce constat, les Nations Unies, par la voix de leur secrétaire général, Antonio Guterres,
00:01:27ont lancé mardi dernier un appel urgent à la communauté internationale.
00:01:31L'air des combustibles fossiles est à bout de souffle, a-t-il déclaré dans un discours fort prononcé à New York.
00:01:38Il a salué l'essor des énergies renouvelables, tout en rappelant que cette transition reste trop lente et trop inégalitaire.
00:01:47Moins de 2% des capacités installées se trouvent en Afrique.
00:01:50L'appel est clair, renforcer les plans climatiques, investir massivement dans les pays du Sud
00:01:55et garantir une transition juste, inclusive et rapide.
00:01:59Alors, dans cette émission consacrée à l'environnement et au développement durable,
00:02:03nous avons le plaisir d'accueillir deux invités engagés sur le terrain,
00:02:08deux invités aux avant-postes.
00:02:10Alors, Sébastien Sauvage, le CEO de l'ONG Écosud.
00:02:13Bonsoir Sébastien.
00:02:14Bonsoir, bonsoir à tous, bonsoir aux auditeurs.
00:02:17Alors, nous avons aussi Manoj Vagji, président de Forena,
00:02:20expert en environnement, coach en gouvernance durable et en consultant pour les institutions publiques et privées.
00:02:26Bonsoir Manoj.
00:02:27Bonsoir Rudi, bonsoir chers auditeurs.
00:02:30Alors, merci d'avoir accepté l'invitation.
00:02:32Merci d'être là ce soir avec nous, justement, pour nous guider sur les actions.
00:02:37Ensemble, nous ferons le point sur l'état de nos écosystèmes,
00:02:40sur les politiques publiques en matière de développement durable,
00:02:43le rôle des entreprises, la mobilisation citoyenne, les perspectives régionales.
00:02:48Et nous évoquerons aussi l'importance de l'éducation ancrée dans les valeurs environnementales,
00:02:54le leadership climatique et le rôle essentiel des jeunes dans cette transition.
00:02:59Qu'à l'avenir pour Maurice face au défi climatique ?
00:03:01Quelle vision pour les 10 à 15 prochaines à venir ou plus ?
00:03:05Que faire, ici et maintenant ?
00:03:07Autant de questions au cœur de notre débat, ce soir, dans Hot Talk.
00:03:10Une émission que vous suivez sur Top FM, Top TV, la chaîne Deer de Parable Maurice.
00:03:15Si vous souhaitez aussi participer à l'émission,
00:03:18alors appelez-nous sur le 213 77 77, 213 77 77,
00:03:23à partir de 18h15.
00:03:26Messieurs, bonsoir, à nouveau.
00:03:29Commençons par une question très globale.
00:03:33Quel portrait dressez-vous de la situation environnementale à Maurice, aujourd'hui ?
00:03:39Et quelles sont, selon vous, les principales menaces qui pèsent sur nos écosystèmes ?
00:03:44On commence par Sébastien.
00:03:45Oui, je pense que je ne vais pas aller dans le sens facilement très positif.
00:03:56La situation à Maurice, vous l'avez énoncé dès votre introduction,
00:04:01on nous pérente dans un...
00:04:04Maurice, situé dans l'océan Indien.
00:04:05L'océan Indien, c'est l'océan qui peut subir plus violemment les effets du changement climatique.
00:04:12L'ouest de l'océan Indien, plus encore.
00:04:17Et aujourd'hui, nous nous pétrouvé, mais...
00:04:22Nous pétrouvé qu'il y a un écosystème qui est mort.
00:04:27Il y a 60% de notre wetland qui est fragmenté.
00:04:3290% de notre mangrove est coupée,
00:04:36depuis que l'homme arrive à Maurice.
00:04:39Nous construireons l'océan Indien.
00:04:43Nous pétrouvé énormément de pollution dans nos lagons.
00:04:47Reste moins ce qui dépoussant des forêts endémiques.
00:04:51Nous pétrouvé qu'il y a une vitesse énorme.
00:04:56Je pense que Maurice est dans les top 10 de nos pays,
00:05:01quand le taux d'urbanisation est le plus élevé.
00:05:04Et nous, le taux de cancer peut monter.
00:05:09Nous l'attèrent morts.
00:05:11Nous pécèrions des pesticides.
00:05:14Donc nous capables effectivement,
00:05:17dire à nous que la situation est grave.
00:05:20Et nous pensons que la situation est urgente.
00:05:23Et d'autant plus urgente que
00:05:28je ne pense pas qu'il y a une réelle
00:05:31prise d'action
00:05:36par rapport à ce qu'il nous peut bien faire.
00:05:38Donc oui, il est assez négatif
00:05:43quand on est clairement comme ça.
00:05:45Maintenant,
00:05:47il y a une autre manière
00:05:48que c'est un nouveau gouvernement
00:05:51qui est arrivé là
00:05:52pour les droits de la nature,
00:05:53pour les Just Transitions,
00:05:55pour les ISA Act.
00:05:59Il accueille une association,
00:06:01une société civile
00:06:03dans différents comités.
00:06:04Par exemple, au ministère de l'Environnement.
00:06:06Donc, je pensais que c'est grand temps
00:06:10que la porte-là est ouverte
00:06:12et qu'il nous peut commencer
00:06:13à mettre ça dans le sujet-là,
00:06:14là, à la table.
00:06:17Et je me suis dit,
00:06:17la question, c'est comment nous apprenons
00:06:19à travailler ensemble.
00:06:20Parce que je me suis dit,
00:06:22il nous sent qu'il y a une grosse difficulté
00:06:24encore pour que la société civile
00:06:28et que l'autorité travaillent ensemble.
00:06:29Et je me suis dit,
00:06:30nous sommes capables d'apprendre vite
00:06:31et travailler à la résilience
00:06:34du pays et des écosystèmes.
00:06:36Très bien.
00:06:37Bien sûr, nous vous révinions pas mal de thèmes
00:06:39qui nous ont évoqué à la base
00:06:41d'ici pour sa émission-là.
00:06:43Manu, je crois que j'ai eu le constat global
00:06:45de la situation environnementale à Maurice.
00:06:49Pour développer une explication
00:06:53ou expliquer un petit peu
00:06:54comment un pays était,
00:06:55développer un profil environnemental,
00:06:57un pays,
00:06:57ce n'est pas une affaire simple.
00:06:59C'est difficile pour une dialine
00:07:00dans deux minutes, trois minutes,
00:07:01parce qu'il ne finit pas
00:07:02avec un cliché,
00:07:03il ne finit avec une anecdote
00:07:05plus qu'autre chose.
00:07:07Nous vous inquiétons comme ça.
00:07:08Maurice, c'est un petit état insulaire.
00:07:11Donc, de par définition,
00:07:12c'est un petit état
00:07:13qui est un écosystème unique.
00:07:16aujourd'hui, nous connaissons
00:07:21qu'il y a une quantité
00:07:22d'une espèce endémique
00:07:23qui est unique
00:07:24et seulement à Maurice.
00:07:27Ceci dit, c'est vrai
00:07:29que c'est ce que Sébastien peut dire.
00:07:32Apparemment, il y a moins de 2%
00:07:34de nos forêts indigènes originelles.
00:07:37Certains peuvent dire même
00:07:38peut-être 1,3% seulement
00:07:39qu'il ne restait.
00:07:41Nous ne perdons des centaines
00:07:42d'espèces qui ont été uniques
00:07:44à Maurice.
00:07:47Il y a une qualité de l'air
00:07:48qui est quand même pas mal.
00:07:50Il nous respire un bon l'air.
00:07:52Effectivement, il y a des pics
00:07:53de pollution
00:07:55dans une zone urbaine,
00:07:56dans une zone industrielle.
00:07:57L'accès à l'eau,
00:08:01il est bien établi,
00:08:03bien que l'eau ne part couler
00:08:05tout le temps
00:08:05et ne part couler tout le temps.
00:08:08Ben, ouais.
00:08:10Mais l'accès à l'eau,
00:08:11il y a une différence
00:08:11entre l'accès à l'eau
00:08:12et avoir l'eau 24h24.
00:08:15Maurice, nous n'avons accès à l'eau.
00:08:17Nous n'avons pas un pays
00:08:18du tiers monde,
00:08:20autre,
00:08:21qui ne part même de l'eau,
00:08:22ne part même de l'eau.
00:08:23Nous n'avons pas gagné de l'eau
00:08:25là correctement,
00:08:25nous n'avons pas gagné de l'eau
00:08:26là tout le temps.
00:08:27Certaines régions
00:08:28très mal fournies,
00:08:31certaines régions
00:08:31un peu mieux,
00:08:32mais nous n'avons accès à l'eau.
00:08:34Nous n'avons pas la terre
00:08:35qui est arabe,
00:08:36qui est fertile dans Maurice.
00:08:39Malheureusement,
00:08:40nous n'avons à peu près
00:08:4045 000 hectares
00:08:42qui est sous couverture végétale
00:08:44et de là,
00:08:44dans 10-20%
00:08:45qui peut produire
00:08:46un produit alimentaire.
00:08:49Donc,
00:08:51est-ce que ça veut dire
00:08:52que Maurice
00:08:53est dans une situation difficile
00:08:54ou pas ?
00:08:56Mais quand Maurice
00:08:57est un pays
00:08:58où l'environnement
00:08:59n'est pas mauvais,
00:09:01ceci dit,
00:09:01est-ce que tout est parfait ?
00:09:02Non.
00:09:03Est-ce qu'il nous peut faire
00:09:04tout ce qu'il faut
00:09:05pour qu'il nous faut
00:09:05pour qu'il nous faut
00:09:06faire un petit peu mieux ?
00:09:07Moi,
00:09:07il y a beaucoup
00:09:08d'intentions,
00:09:09que ce soit
00:09:10des gouvernements,
00:09:11que ce soit
00:09:12des parties civiles,
00:09:15que ce soit
00:09:15le secteur privé aussi.
00:09:16il y a un danger
00:09:19qui nous peut faire face,
00:09:20un petit état insulaire,
00:09:22forcément,
00:09:23nous avons un risque
00:09:24terrible
00:09:25avec le réchauffement
00:09:26de la terre,
00:09:27le réchauffement
00:09:27de l'eau,
00:09:28la montée des eaux,
00:09:29Sébastien,
00:09:30il y a encore
00:09:30ou même un fait
00:09:33qu'il y a l'air,
00:09:34il y a l'air,
00:09:34voilà,
00:09:35nous peut trouver
00:09:35qu'il développe
00:09:36le monde
00:09:36de plus vite,
00:09:39il y a 15 ans,
00:09:4020 ans,
00:09:40cela nous peut croire
00:09:42vraiment
00:09:42que c'est le cas,
00:09:43alors qu'il nous connaît,
00:09:44il peut venir,
00:09:45aujourd'hui,
00:09:46nous peut commencer
00:09:46à trouver ça.
00:09:48Il y a un gros problème
00:09:49avec les flooding,
00:09:51nous trouvons
00:09:52les heavy floods,
00:09:54l'appliquement
00:09:55de manière extraordinaire
00:09:57dans certaines régions,
00:09:58c'est un autre danger
00:09:59avec qui nous pouvons
00:09:59faire face,
00:10:01nous avons un problème
00:10:01avec nous,
00:10:02nous avons la terre
00:10:02fertile,
00:10:03parce qu'il ne développe
00:10:04pas comme on a besoin,
00:10:05et quand il tombe,
00:10:05il tombe trop beaucoup,
00:10:07nous avons aussi
00:10:08un autre souci,
00:10:09c'est que nous la terre
00:10:09est très, très appauvrie,
00:10:11aujourd'hui à Maurice,
00:10:13nous la terre
00:10:14est fertile,
00:10:15il est encore fertile,
00:10:16mais il y a un problème,
00:10:18nous peut-être
00:10:18ajouter beaucoup
00:10:19de choses dedans,
00:10:19c'est pour ça
00:10:20que nous avons une plante
00:10:20qui utilise beaucoup
00:10:21de fertilisants chimiques,
00:10:25qui utilise beaucoup
00:10:26d'autres produits chimiques,
00:10:29que ce soit des pesticides,
00:10:31que ce soit des herbicides,
00:10:32parce qu'il est terriblement
00:10:33affecté par un parasite,
00:10:35Maurice ne croit qu'il y a une
00:10:38cilille,
00:10:38donc l'herbe bouge vite,
00:10:40bouge partout,
00:10:41ce n'est pas vrai,
00:10:42nous l'apprends,
00:10:42depuis qu'il n'est pas un cyclone,
00:10:44il y a beaucoup de maladies
00:10:45qui ne rentraient,
00:10:46qui ne restaient,
00:10:46qui ne vont se vigner maintenant,
00:10:47qui ne sont pas tés dans avant,
00:10:49il n'est pas nettoyé,
00:10:50donc c'est vrai aussi,
00:10:52si nous avons une cyclone,
00:10:54c'est une autre menace
00:10:55qui nous n'est dans nos pays,
00:10:57nous avons une période cyclonique,
00:10:58et si nous avons une grosse cyclone,
00:11:00nous avons une génération complète
00:11:02aujourd'hui,
00:11:03qui connaît que ça veut dire
00:11:03une cyclone,
00:11:05donc nous avons un danger
00:11:08qui fait face à tout notre état,
00:11:10notre petit état insulaire,
00:11:12en particulier,
00:11:12notre six îles,
00:11:13comme nous,
00:11:13et bien sûr,
00:11:16nous avons le problème
00:11:17des plantes envahissantes,
00:11:20nous avons souvent,
00:11:21des fois,
00:11:22une espèce dans notre valise,
00:11:23sans réaliser
00:11:24qu'il n'y a pas de détour
00:11:25dans notre environnement,
00:11:30c'est une blague,
00:11:32il y a des lézards,
00:11:34des caméléons,
00:11:35qui sont là aujourd'hui,
00:11:37qui ont un déco,
00:11:40endémique,
00:11:41nous avons un peu plus
00:11:45de sensibiliser
00:11:47par rapport à ça.
00:11:48C'est une mal raison
00:11:51pour vulgariser,
00:11:54ou pas dire sensibiliser
00:11:55tout ça qu'il nous a besoin de faire.
00:11:58Sébastien Sauvage,
00:11:59mon permette-moi,
00:11:59rebondit l'eau,
00:12:00une déclaration
00:12:01qui m'a juste fait faire.
00:12:03Par exemple,
00:12:04oui,
00:12:06l'environnement,
00:12:07à Maurice,
00:12:08c'est plutôt correct,
00:12:10mais il est quand même
00:12:11et c'est pas assez relatif
00:12:12par rapport à d'autres pays,
00:12:14mon pensée.
00:12:16À d'autres pays?
00:12:17Non, par exemple,
00:12:19je peux dire
00:12:19que quand on va mourir,
00:12:21le problème environnemental
00:12:22est assez correct,
00:12:24mais c'est assez relatif.
00:12:25tout le monde qui m'a amené
00:12:28sur l'activité
00:12:29que l'on vit,
00:12:31je veux dire,
00:12:33si l'agriculture
00:12:36peut servir
00:12:37à faire de 6 ans,
00:12:38c'est parce que
00:12:39la terre
00:12:40a un problème.
00:12:4160% de l'agriculture
00:12:44peut avoir
00:12:44l'agriculture.
00:12:46Et ça,
00:12:47on peut faire
00:12:47compost.
00:12:48On ne peut pas
00:12:48du tout
00:12:49investir
00:12:50au-delà
00:12:51par rapport
00:12:52à la régénération
00:12:54de la terre.
00:12:57Je veux dire,
00:12:58nous,
00:12:58la terre,
00:12:59on peut mettre
00:12:59MOL,
00:13:00on peut mettre
00:13:00Smart City,
00:13:01on peut mettre
00:13:01Villa Deluxe,
00:13:03on peut mettre
00:13:03RES,
00:13:04PDS,
00:13:04IRS,
00:13:05un tas,
00:13:05ce qu'il y a.
00:13:06et ça peut prendre
00:13:08l'espace
00:13:08des êtres vivants.
00:13:10Nous,
00:13:10dans une crise mondiale
00:13:12qui nous appelle
00:13:12la sixième extinction
00:13:13massive des espèces.
00:13:16Ça,
00:13:16il y a des animaux-là
00:13:17et nous aussi,
00:13:18nous,
00:13:18là-dedans,
00:13:20on peut disparaître
00:13:21parce qu'ils sont
00:13:22malades,
00:13:22malades,
00:13:23parce que c'est
00:13:24notre modèle
00:13:25de société,
00:13:26c'est notre rapport
00:13:27au monde,
00:13:28c'est la manière
00:13:28qui nous peut exploiter
00:13:30la vie
00:13:30qui nous cause ça.
00:13:33Le changement climatique,
00:13:34pareil,
00:13:35il n'y a pas une vie,
00:13:36comment dire,
00:13:36la Terre,
00:13:37il n'y a pas une vie,
00:13:37c'est parce qu'il y a une activité humaine,
00:13:41il met le climat
00:13:42en bas là-haut
00:13:43à cause de la production
00:13:44de CO2.
00:13:45Et aujourd'hui,
00:13:46ça CO2-là,
00:13:46si tant est un CO2,
00:13:47il peut être dissoudre
00:13:48dans l'océan
00:13:49et là,
00:13:49nous ne fais que dépasse,
00:13:51un scientifique
00:13:52peut être l'eau-là,
00:13:53je pense que depuis 5 ans,
00:13:55mais c'est assez
00:13:55que je peux dire ça,
00:13:56parce que c'est assez
00:13:56que je ne peux pas
00:13:57mes yeux ça,
00:13:58je pense que depuis 5 ans,
00:13:59nous ne dépasse
00:14:00la limite planétaire
00:14:02qu'on appelle
00:14:03l'acidification des océans.
00:14:06Il veut dire
00:14:07que le pH
00:14:07de l'océan
00:14:09peut être acidifié.
00:14:11Ce n'est pas un scientifique
00:14:12qui peut dire ça,
00:14:13qui peut aller à l'eau-là.
00:14:14Ce qui fait le pH-là
00:14:15peut être acidifié
00:14:15parce que le CO2
00:14:16qui est dans l'atmosphère
00:14:17peut être dissoudre
00:14:18dans l'océan.
00:14:19L'océan,
00:14:20c'est un puits de carbone.
00:14:22Donc tout ce dioxyde-là
00:14:23rentre dans l'eau
00:14:24et il acidifie
00:14:26tout l'océan.
00:14:27Là,
00:14:27quand l'océan
00:14:28a un acide
00:14:28qui peut arriver,
00:14:29il trouve ça
00:14:30en Méditerranée,
00:14:31il est un plancton
00:14:32qui est fait
00:14:33de carbone carboné,
00:14:35de calcium carboné,
00:14:36peut souffrir
00:14:37de corail,
00:14:39aussi peut souffrir.
00:14:40Donc nous connaissons
00:14:40de corail
00:14:41et peut souffrir
00:14:41à cause température.
00:14:43OK ?
00:14:43Développé,
00:14:45souffé.
00:14:46Là,
00:14:46maintenant,
00:14:47on a un autre problème
00:14:47c'est l'acidification
00:14:48des océans.
00:14:49Donc,
00:14:50toute la relativité
00:14:52qu'ils nous ont envie
00:14:53de mettre,
00:14:54le fait est que
00:14:55l'activité humaine
00:14:57peut rendre
00:14:59la planète
00:15:00pas accueillante
00:15:03pour l'espèce vivante,
00:15:05pour toutes les espèces vivantes.
00:15:07Donc,
00:15:08et comment tu peux dire,
00:15:09secrétaire général
00:15:10des Nations Unies,
00:15:11hier,
00:15:12il y a une vintière
00:15:12la cloche d'alarme.
00:15:14On ne peut pas connaître
00:15:14si on ne prend note,
00:15:15mais l'indier,
00:15:16les accords de Paris,
00:15:17à 1.5 degré,
00:15:20sans avancer,
00:15:21nous, tu peux bien,
00:15:22limite-nous à 1.5 degré,
00:15:24nous ne sommes pas
00:15:24pour qu'on ne peut pas
00:15:24pour qu'on ne peut pas.
00:15:25OK ?
00:15:26Les autres scientifiques
00:15:27disent clairement
00:15:27nous ne sommes pas
00:15:28pour qu'on ne peut pas.
00:15:29Je vous dis,
00:15:29le modèle
00:15:30qui nous peut penser,
00:15:31c'est 2-3 degrés.
00:15:332-3 degrés
00:15:34n'a plus plus
00:15:34une accorail.
00:15:37Donc,
00:15:38nous,
00:15:38dans une situation
00:15:39d'urgence
00:15:40extrême,
00:15:42parce que c'est le vivant
00:15:43qui est en jeu,
00:15:45et là,
00:15:46il faut
00:15:47repenser
00:15:48toute la politique,
00:15:51toutes les relations
00:15:52humaines,
00:15:53toutes les relations
00:15:54qu'on a avec la nature,
00:15:56on ne peut pas
00:15:56croire que...
00:15:59Et c'est là
00:16:00que je trouve triste
00:16:01qui,
00:16:03secrétaire général
00:16:03des Nations Unies,
00:16:04hier,
00:16:05en fin de compte,
00:16:07ce...
00:16:08ce...
00:16:08ce...
00:16:09ce...
00:16:10assumption,
00:16:10ce...
00:16:11ce...
00:16:11ce...
00:16:11ce...
00:16:12ce...
00:16:12ce...
00:16:12ce...
00:16:13c'est-à-dire qui,
00:16:13de toutes les manières,
00:16:15nous,
00:16:15nous,
00:16:15nous,
00:16:15nous,
00:16:15nous,
00:16:16consommerons de plus en plus
00:16:17d'énergie.
00:16:18Oui.
00:16:19Moi,
00:16:19je pense que ça,
00:16:19c'est un problème.
00:16:20Je pense que nous,
00:16:21nous,
00:16:21au contraire,
00:16:23sommes dans une société
00:16:24que nous,
00:16:24nous,
00:16:25nous,
00:16:26revois à la sobriété,
00:16:29nous,
00:16:29sommes sobres,
00:16:30nous,
00:16:30nous,
00:16:30nous,
00:16:31baissons nos quantités
00:16:32d'énergie
00:16:32qui nous peut faire,
00:16:35parce que même,
00:16:36même,
00:16:37dans l'énergie renouvelable,
00:16:38dans la batterie,
00:16:40il y a de lithium,
00:16:41il y a de la terre rare,
00:16:43il y a de ça,
00:16:44il y a de ça,
00:16:45il y a de ça,
00:16:45il y a de ça,
00:16:46il y a de ça,
00:16:46beaucoup,
00:16:47dans l'écosystème.
00:16:48Donc,
00:16:49moi,
00:16:49je pense que nous,
00:16:50bien,
00:16:51nous,
00:16:51nous,
00:16:51nous,
00:16:52un mot qui fait peur
00:16:54à tout le monde,
00:16:54c'est la décroissance,
00:16:56nous,
00:16:56nous,
00:16:56nous,
00:16:56nous,
00:16:57nous,
00:16:58nous,
00:16:58nous,
00:16:58nous,
00:16:59nous,
00:16:59nous,
00:17:00nous,
00:17:00nous,
00:17:00nous,
00:17:00nous,
00:17:24nous.
00:17:26En effet,
00:17:27nous,
00:17:27nous,
00:17:27nous,
00:17:29nous,
00:17:29Et ce n'est pas mal que nous répopulations.
00:17:33Nous ne produisons rien.
00:17:35Smart City ne produit rien.
00:17:37Donc, moi, mon pensée, c'est que nous sommes capables de comprendre.
00:17:42Et nous sommes capables, honnêtes intellectuellement, nous sommes capables de poser le problème sur la table.
00:17:48Et écoute ce problème-là dans ses racines.
00:17:52Je veux dire, ce modèle de société, manière dont nous valorise l'échange,
00:18:00manière dont nous exploitons la nature avec l'homme,
00:18:07c'est un problème énorme.
00:18:10Nous vivons là.
00:18:13Après, qu'est-ce que nous faire ?
00:18:15Ou si nous continuons de ne pas mettre ça en face,
00:18:22nous pouvons gagner ça dans une grosse vague,
00:18:25qui peut écraser le brisant là.
00:18:27Et ça peut écraser la côte.
00:18:29Ce qui nous peut dire, il y a beaucoup de projets de restauration du littoral, des zones côtières.
00:18:38Je pensais avant qu'il y avait une logique pour mettre des revêtements durs dans la côte,
00:18:47pour prothèses dans la côte.
00:18:49Mais ce n'est pas pour construire une miralle,
00:18:51ce n'est pas une miralle devant la côte qui est pour prothèses dans les mauriciens.
00:18:55Donc, une azodie est une nécessaire humilité
00:19:00qui nous est capable de développer face à la nature.
00:19:03Nous est capable de réquiller.
00:19:05Nous est capable de réfléchir.
00:19:07Ce n'est pas le mot qu'il nous a dit.
00:19:08Nous est capable de « manage, retreat ».
00:19:10Comment nous pouvons réquiller face à cette grosse vague-là ?
00:19:14Et quand nous pouvons réquiller, ce qui peut arriver,
00:19:16nous laisse la dine d'Issab reprendre un peu sur le power,
00:19:21nous laisse les mangroves refaire cette action,
00:19:24nous permet d'un écosystème régénéré pour prothèses nous.
00:19:29Donc, ce n'est pas le meilleur rapport face à ce problème du changement climatique.
00:19:34là, ce n'est pas casse qui l'Union Européenne,
00:19:37ou pas qu'on est qu'il est pays dans l'Europe ou des nous.
00:19:40C'est nous qui nous prenons soin, nous par l'écosystème.
00:19:43Et ça, si les peuples ne peuvent pas « voice out »,
00:19:46sa nécessité-là, que c'est ça qui nous envient,
00:19:49ça fait la part pour s'encher.
00:19:51Tout nous tombe dans un gros trou.
00:19:53Très bien.
00:19:54Manu, justement, cette prise de conscience que Sébastien peut dire,
00:20:00justement, est-ce que vous sentz-il qu'il y a une prise de conscience
00:20:03parmi les gens qui vous jouent et dans l'île ?
00:20:08On m'a dit « oui, les affaires ».
00:20:09À ça, de façon aussi prononcée qu'il est Sébastien,
00:20:13il n'est pas à dire qu'on m'a dit que l'environnement,
00:20:16c'est juste qu'on m'a dit qu'on m'a dit qu'on m'a dit qu'on m'a dit qu'on m'a dit qu'on m'a dit qu'on m'a dit qu'on m'a dit.
00:20:18Non.
00:20:19C'est une urgence climatique.
00:20:20Comment le secrétaire général Vincel dit hier, nous pourrons dire,
00:20:24justement, que Sébastien dit qu'il y a un désaccord avec le secrétaire général des Nations Unies.
00:20:31Et effectivement, il a senti ce discours de dire « oui, l'alternative à fossiles,
00:20:38c'est parce qu'il y a une énergie renouvelable qui prend les devants
00:20:43et que Sébastien a fait le confronter avec un argument.
00:20:47Même sa énergie renouvelable, sa vie patrie, elle peut se dire,
00:20:52et ce n'est pas sans conséquences.
00:20:54Je reviens sur ma question.
00:20:56Est-ce qu'il y a une prise de conscience mauricienne
00:20:59par rapport à l'aspect environnemental et à l'urgence climatique ?
00:21:03Difficile pour répondre à une question de ce genre.
00:21:06Si nous demandons n'importe qui dans la route, dans le chemin,
00:21:09est-ce que l'environnement est important ?
00:21:11Personne ne va vous dire non.
00:21:12Est-ce qu'il y connaît qu'il y a un changement climatique ?
00:21:15Pour cause de tout, aujourd'hui, pour dire oui, il y a un changement.
00:21:18Il y a un changement.
00:21:19Il y a un changement qui fait sauf, qui fait frais, il y a un changement climatique, etc.
00:21:22Donc, mon pensée a une conséquence du changement climatique aujourd'hui,
00:21:25est ressentie.
00:21:27Et donc, la population l'y comprend.
00:21:30Et toutes les populations du monde.
00:21:32Ça qui peut arriver aujourd'hui.
00:21:34Par contre, c'est qu'il ne faisait pas comprendre les affaires.
00:21:37C'est le résultat de ce qui se passe aujourd'hui.
00:21:40Il y a une minorité de personnes riches qui ont la capacité d'investir.
00:21:49Ils ne pensent qu'à faire des profits.
00:21:53Ils ne veulent pas réfléchir à long terme.
00:21:58Vous trouvez que l'humain, en général, il y a un exploitant.
00:22:02Pour tout ce que l'humain, c'est qu'il n'y a pas quelque chose.
00:22:05Si il y a la terre, c'est qu'il y a la terre qui a donné.
00:22:08Si il y a du monde qui travaille pour lui, c'est qu'il y a du monde qui va faire pour lui.
00:22:12Si il y a un travail qui fait plus encore.
00:22:14Il y a l'eau, il y a le cuivre, il y a tout ça, il y a de plus.
00:22:18Il y a un humain qui dit qu'il est satisfait.
00:22:23Ou alors peut-être il y en a, mais il y en a très peu, c'est une minorité.
00:22:27La majorité des humains, je te l'ai toujours avancé, je te l'ai toujours gain plus.
00:22:32Et ça, c'est ce qu'il fait aujourd'hui qu'il nous paye une série de conséquences.
00:22:37Il nous connaît qu'il y a 1% de la population mondiale qui utilise 50% de l'énergie du monde aujourd'hui.
00:22:44Ou alors le double de ce que 50% de la population mondiale utilisait.
00:22:50Quand on pose la question, qu'est-ce que ça veut dire ?
00:22:54Ça veut dire tout simplement qu'il y en a du monde qui pense qu'il souhaite.
00:22:57Ils ont oublié les risques.
00:22:59Aujourd'hui, nous, nous sommes partie de ceux qui peuvent payer les conséquences
00:23:04de la décision qu'il nous prend depuis des dizaines d'années.
00:23:07L'eau, l'investissement non durable.
00:23:11Alors, est-ce qu'il...
00:23:13Vous parlez à Maurice ou à Angers ?
00:23:14En général, dans le monde entier.
00:23:15Ok.
00:23:16À Maurice, Maurice est trop jeune pour nous avoir discuté ça.
00:23:19Maurice n'est pas une industrie lourde.
00:23:23À part, nous avons un petit peu de stockage de l'huile,
00:23:26de produire l'électricité.
00:23:28Ça, c'est ma industrie la plus lourde.
00:23:29En fait, la grosse majorité de ce qui produit des gaz à effet de serre, Maurice,
00:23:35c'est l'industrie énergétique.
00:23:37Donc, c'est toutes les entreprises qui produisent l'énergie pour nous casser la vie.
00:23:42Et utilise moins d'énergie, mais pas trop ça peut venir.
00:23:46Parce que nous avons de plus en plus d'équipements.
00:23:49Dans nous, dans la case, dans nous, dans le bureau.
00:23:51Nous avons une climatisation aujourd'hui.
00:23:53Personne n'est pas prêt pour arrêter cette climatisation là.
00:23:55Nous avons une loto qui vient de plus en plus de gros cylindres.
00:23:58Nous avons de plus en plus de Saint-Maurice.
00:24:00Donc, il utilise encore de plus en plus d'énergie.
00:24:02Nous avons du monde qui peut aller de plus en plus moins de produits.
00:24:05Et quand longtemps tu peux aller faire réparer, aujourd'hui nous n'est censé.
00:24:11Il y a une mentalité qu'il met en place aujourd'hui qui dit,
00:24:14Eh, nous tous.
00:24:15Nous tous gagnés.
00:24:16Nous tous à se dire.
00:24:17Ok.
00:24:18Trouvez ?
00:24:19Comme un pays européen, tu peux faire moins d'affaires.
00:24:21Nous, tu peux trouver.
00:24:22Eh, nous payons l'essence nous.
00:24:23Nous ne sommes pas capables de faire ça nous.
00:24:24Nous ne sommes pas gagnés ça nous.
00:24:26Aujourd'hui, nous avons des investissements, il arrive nous tous.
00:24:28Donc, nous aussi nous l'a.
00:24:29C'est pour ça que tous les pays du tiers monde,
00:24:31peuvent gagner la même phase,
00:24:33qui vont les autres pays passer avant eux.
00:24:35Aujourd'hui être riche.
00:24:36Ils sont riches parce qu'ils exploitent beaucoup de ressources naturelles.
00:24:40Aujourd'hui, nous retrouvons nous dans une situation que nous n'est trop exploitées.
00:24:44Nous voulons nous dans la mer,
00:24:46et nous avons la pêche illégale en grand volume.
00:24:49Ce n'est pas qu'il y a plus de manger dans certains pays.
00:24:52Pas partout.
00:24:53Eh, où est-ce qu'il y a une mine dans le pays ?
00:24:56Il y a une mine dans le pays.
00:24:58Si vous avez une mine dans le pays,
00:24:59si vous venez,
00:25:00si vous venez,
00:25:01si vous venez,
00:25:02de manière à ce que personne n'a pas gagné une mine avec.
00:25:04Et puis, il laisse un gros trou avec une grosse série de pollution derrière.
00:25:08C'est ça, le problème aujourd'hui.
00:25:10Est-ce que le monde est sensibilisé par rapport à ça ?
00:25:13Oui.
00:25:14Est-ce qu'il est prêt pour faire des efforts pour arrêter ça ?
00:25:17Ça, c'est la grande question d'aujourd'hui.
00:25:19Est-ce que la jeune génération est prêt pour payer sa conséquence de l'ancienne génération pour avoir exploité à mort tout ce qui était exploitable ?
00:25:29Est-ce que la jeune génération est plus sensibilisée par rapport aux conséquences de ce qu'il veut faire ?
00:25:42C'est ce qu'il nous a une génération avant.
00:25:46Depuis 30-40 ans aujourd'hui, la jeune génération nous dit « Stop ! »
00:25:51C'est pour ça qu'il y a beaucoup de jeunes qui peuvent se soulever aujourd'hui.
00:25:55Un adulte, quelques adultes travaillent dur pour dire « Eh, assez ! »
00:26:00Mais ça, c'est parce qu'ils sont déjà passionnés.
00:26:02Moi, je trouve un non-passionné qui vient de dire « Eh, il faut faire attention à l'environnement ».
00:26:06Tous ceux qui disent « Il faut faire attention à l'environnement »
00:26:08Ce sont des gens qui sont déjà convaincus qu'il y a un problème.
00:26:12Nous, le problème, c'est comment convaincre le reste de la population qui ne comprend qu'ils ont des nages de l'armée aussi là-dedans.
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00:29:18Voilà, de retour en studio avec nos invités Manoj Vakji de Forina
00:29:22et Sébastien Sauvage de Ecosud.
00:29:24Voilà, Sébastien, nous l'écoutes Manoj quand même.
00:29:27Il ne fait non seulement un état des dieux mais aussi un appel.
00:29:30Donc, comment réagir par rapport à ce qu'il y a Manoj ?
00:29:33Nous, moi, je trouve un petit peu intéressant, réfléchis-là sur la question des responsabilités.
00:29:41Et Zozi, Maurice,
00:29:45peut émettre 0,01% de l'émission à effet de serre au niveau mondial.
00:29:53Et donc, nous contribuons dans le problème du changement climatique qui est effectivement minime.
00:30:01Et ce n'est pas pour ça qu'il nous peut bien ne pas diminuer nos contributions.
00:30:07Mais Zozi, il nous peut bien comprendre qu'il nous est capable d'agir et qu'il nous est capable de faire pour protéger nos populations.
00:30:15Et nous allier pour être survivants de ce changement climatique-là, c'est la nature.
00:30:23C'est les écosystèmes.
00:30:25Et c'est là où je dis que cette nature mauricienne,
00:30:31cet écosystème mauricien,
00:30:33ce n'est pas un état étranger qui ne crase ça dans Maurice.
00:30:37C'est nous les citoyens, c'est nous les compatriotes, c'est nous l'histoire.
00:30:41Ancré dans une douleur, ça a commencé depuis l'esclavage.
00:30:47On a exploité les bois précieux, on a mis la monoculture de la canne à sucre.
00:30:53Il y a une histoire douloureuse à travers l'exploitation de l'homme et de la nature à Maurice.
00:30:59La question aujourd'hui, c'est qu'est-ce qu'on fait et comment on se met dans une dynamique
00:31:03pour permettre à ces écosystèmes, à cette nature de nous protéger.
00:31:09Je trouve intéressant aussi, mettre dans cette réflexion-là,
00:31:15le fait que les esclavés, les esclaves marrons,
00:31:21quand ils sont sauvés, ils sont sauvés dans la nature.
00:31:25Ils sont sauvés dans la montagne, dans la forêt.
00:31:29Et je dis que c'est cette nature-là qui est capable de protéger nous.
00:31:33C'est cette nature-là qui est capable de protéger nos enfants.
00:31:37Et ça, c'est notre responsabilité d'arrêter d'écraser cette nature-là.
00:31:45Il n'y a pas de financement depuis le haut, qui peut nous arrêter d'écraser la nature.
00:31:51Si nous, nous continuons d'essayer de faire l'hôtel au wetland,
00:31:57comment ça peut faire aux salines à rivières noires,
00:32:01l'hôtel au wetland n'est pas bon.
00:32:03Il n'est pas bon de mettre l'hôtel au wetland.
00:32:06Il n'est pas bon de mettre l'hôtel costé, costé avec le wetland.
00:32:09Il faut laisser notre buffer zone, il faut laisser notre écosystème respirer.
00:32:15Donc, qui est responsable de ça ?
00:32:20Ce n'est pas les autres, c'est nous.
00:32:23C'est nous, ça.
00:32:24C'est nous, le modèle de développement.
00:32:25C'est nous, notre autorité, qui peut donner notre IA.
00:32:28C'est nous, notre promoteur, qui peut vendre notre projet comme ça.
00:32:31C'est nous, les développeurs, qui peut penser à nous mettre ça à l'hôtel, dans ce wetland.
00:32:36Il n'y a pas de responsabilité, il n'y a pas de bien loin.
00:32:39Il y a de nous-mêmes.
00:32:41Donc, ça, c'est un point qu'il m'a un petit peu envie de dire.
00:32:46La responsabilité, là, il est intéressant.
00:32:47Une cause, par exemple, il y a eu.
00:32:49Ou peut dire, par exemple, c'est la responsabilité.
00:32:51Et nous, nous promettons que nous faisons le business, mais aussi l'autorité.
00:32:54Mais bien sûr.
00:32:55Tous les membres.
00:32:56Mais bien sûr.
00:32:57Et qu'au sud, il n'y a un risque de prévenir à l'hôtel,
00:33:02pour essayer de défendre notre wetland à l'hôtel du village.
00:33:07Et donc, il est aussi nécessaire pour dire que dans nos pays, nous payons un pétrole.
00:33:18Nous payons un diamant, comme Manoj peut dire.
00:33:22Mais seulement, nous connaît qu'il y a beaucoup d'investisseurs mauriciens.
00:33:26Et ça nous peut demander à ce que le ministre de l'Agro-Industrie et de la Pêche, Blue Economy,
00:33:32vienne positionner clairement là.
00:33:36Nous entendons dire, Big Ocean State, Big Ocean State.
00:33:39Nous parlons d'un nodule à Sayadémala, sur le joint continental shelf entre Seychelles et Maurice.
00:33:49Et qu'on va dire, nous sommes capables.
00:33:51Enfin, moi, ce qui m'entendait, c'est de nous faire sustainable development avec ça.
00:33:56Mais nous ne sommes pas capables de faire sustainable development avec Deep Sea Mining.
00:34:01Il n'est pas soutenable du tout.
00:34:04Et je vous dis, ça c'est une crainte qui nous est là, nous.
00:34:08Quand nous t'enons, à cause que nous sommes en Big Ocean State, nous pouvons le faire...
00:34:14En fait, nous avons un camarade séchélois, en avril de cette année-là,
00:34:18ils votent ce special marine planning plan, on ne peut pas dire ça bien là,
00:34:25qu'ils permettent là-dedans, à certaines conditions, d'explorer, d'apprendre ce module-là,
00:34:33d'apprendre l'exploitation pétrolière.
00:34:36Donc, toujours aujourd'hui, en 2025, il y a des promoteurs, des investisseurs, des industriels,
00:34:44qui peuvent faire un lobby très fort avec des politiques,
00:34:49pour avoir une ressource d'énergie fossile là,
00:34:54qui peut avoir un gros impact sur l'écosystème que ça a été.
00:34:57Nous, même, connaissons un écosystème-là, comme en Autriche,
00:35:01et qui part pour aider nous au niveau du changement climatique.
00:35:04Donc là, moi, je peux faire un appel.
00:35:06Je suis content que le ministre Boullelle, avec ce junior ministre,
00:35:10vous positionne ça clairement par rapport à Deep Sea Mining,
00:35:15par rapport à le potentiel d'exploitation pétrolière.
00:35:19Et ça, moi, c'est bien important.
00:35:22Il y a un autre point qui m'a dit,
00:35:24j'ai envie de dire,
00:35:28les neuf dernières années,
00:35:30un véhicule privé a augmenté de 80%.
00:35:3580%.
00:35:37Nous, c'est à 180 000.
00:35:38Nous, on arrive à 350 000.
00:35:40Grosso modo.
00:35:42Et c'est énorme.
00:35:44Et ça, c'est aussi une dépendance énergétique à l'énergie fossile.
00:35:48Nous sommes pas capables.
00:35:49Nous avons dit, nous, depuis fin 2024,
00:35:52nous avons à peu près 800 000 véhicules à Maurice.
00:35:57Et nous pouvons souffrir de ça.
00:35:59Nous pouvons souffrir de ça à plusieurs niveaux,
00:36:02au niveau des bouchons, au niveau de la pollution, au niveau de...
00:36:05Donc, bon, bon.
00:36:06Et ça qui m'a envie qu'il soit aussi,
00:36:08vienne dire, c'est...
00:36:10Comment...
00:36:11Comment nous...
00:36:13Nous faire pour que...
00:36:16Nous, ben, compatriotes,
00:36:18comprendre un enjeu.
00:36:22Ben, compatriotes de toute échelle d'âge.
00:36:26Comment nous faire pour qu'il nous redresse là-bas ?
00:36:31Parce que quand nous pouvons aller là, nous pouvons rentrer dans un trou.
00:36:33Nous pouvons rentrer dans une planète étuve.
00:36:35Nous pouvons rentrer dans l'île Maurice quand il ne va pas faire bon vivre.
00:36:38Et quand il y a une pression, comme ça, environnementale,
00:36:42ça aggrave les pressions sociales.
00:36:45Ça exacerbe les crises sociales.
00:36:47Quand il y a des gens qui peuvent manger,
00:36:49il y a des gens qui peuvent manger avec tout.
00:36:51Il y a des gens qui peuvent manger avec moi.
00:36:53Il y a des gens qui peuvent manger avec les autres.
00:36:55Et si nous ne pouvons pas réfléchir sérieusement,
00:37:00ben, nous risquons rentrer dans une société qui pourrait aller,
00:37:04au contraire, vers une violence.
00:37:07Donc, je dis, vous pensez,
00:37:09nous avons la nécessité d'adresser cette bonne crise environnementale-là,
00:37:16d'adresser cette question des crises sociales aussi,
00:37:20parce qu'il y est...
00:37:21Nous avons toujours le temps.
00:37:22Il y est.
00:37:23Non, je ne vais pas me dire, je dis dans l'émission.
00:37:24Non, je veux dire, nous avons les temps pour agir.
00:37:26Vous connaissez.
00:37:27Nous avons les temps.
00:37:28Nous encore vivons, nous avons les temps.
00:37:29Oui.
00:37:30Ou pour moi, ou pour gagner les temps.
00:37:31OK ?
00:37:32Moi, ça m'aiment pas une vie de Top FM.
00:37:33Je suis bien content de vous dire, vous invite-moi.
00:37:35Et, ben, c'est une première interaction.
00:37:38Interaction.
00:37:39Interaction.
00:37:40Interaction.
00:37:41On est.
00:37:42Il y a une relation.
00:37:43Il y a une relation.
00:37:44Il y a une relation et il y a une potentielle...
00:37:45Collaboration.
00:37:46Il y a une collaboration.
00:37:47Et c'est ça aussi la question, et nous faisons un workshop intéressant la semaine dernière, quand nous réfléchissons sur la justice environnementale, et c'est quoi cette justice environnementale-là, parce que c'est justement prendre en compte cette crise environnementale, cette urgence environnementale sur l'impact de la communauté vulnérable, parce qu'ils ont dit, cette crise-là,
00:38:12peut exacerber la situation déjà difficile devant une communauté vulnérable. Donc il y a tout, nous faisons qu'apparence nos pays, au niveau de sa justice écologique, au niveau de sa justice démocratique, au niveau de sa justice sociale et économique.
00:38:31Et moi pensez, moi, mon Mauritien, il y a la capacité de mettre ça en chantier pour faire ça dans une grande réflexion nationale stratégique.
00:38:43Qui nous peut faire avec nous dans le littoral ? Est-ce qu'il nous continue le bétonisme dans le littoral ? Qui nous peut faire avec nous dans l'hôtel ?
00:38:51Je vous dis, il y a un hôtelier, il y a une problématique intense, il peut surf ce prime site-là, et nous peut dire que les autres, il est bien récupéré, mais ce n'est pas possible, ce n'est pas envisageable, je ne suis pas capable de compuyer ça.
00:39:11Donc nous sommes bien capables d'être ensemble avec les autres pour dire, mais si vous récillez un bout, si vous pouvez mettre à sa écosystème devant l'hôtel-là, bien, respire plus, qu'est-ce que l'autre bout est capable de développer pour demander à nos citoyens ?
00:39:30Et moi, mon pensée est stratégiquement une repensée complète de mon activité économique dans ce pays-là.
00:39:39Nous sommes pas capable, enfin, là, nous, en Paul-Louis, nous trouvons dans le studio, nous avons une photo de Paul-Louis, mais nous sommes pas capable de continuer d'investir dans le béton, béton, béton, nous sommes bien capables d'investir dans les autres modèles, et moi, je pense que nous sommes capables, moi, quelquefois, je suis un peu naïf, ou trop optimiste, mais je pense que nous sommes capables d'amener une dynamique différente, et c'est ça le challenge aujourd'hui.
00:40:06Comment nous amène cette dynamique différente, là, dans nos sociétés, dans notre relation qui nous est là avec nos compatriotes, dans notre dynamique politique, dans notre dynamique d'échange et de partage ?
00:40:20Il n'est pas capable de réfléchir sérieusement, là, et la porte est ouverte, parce que sa camarade, secrétaire général des Nations Unies, il a une cause de sa concept de « just transition ».
00:40:33Ils ne m'ont pas connu si je vous rappelle, mais gouvernement, ça, nouveau gouvernement, là, ils mettent dans ce engagement, dans ce discours-programme, qu'il est pour travail, là, ou ça, de mettre en place une « just transition » commission.
00:40:47Mais il est bien fait ça rapidement, parce que c'est d'actualité de mettre en place sa commission-là pour justement réfléchir comment nous pouvons bouser d'une façon juste.
00:40:58Il y a une urgence.
00:41:28Pour rien de créer, parce que nous trouvons qu'il y a une quantité de projets qui calent de la vente à mon risque, mais qui ne peuvent pas aller, pour un certain nombre de raisons.
00:41:42Un, c'est que tout projet qui concerne la protection de l'environnement, c'est un projet à long terme.
00:41:49Il n'y a pas qu'à dire que dans six mois, nous pouvons créer une forêt.
00:41:52Ce n'est pas possible.
00:41:53Il n'y a pas qu'à dire que dans six mois, nous pouvons refaire la côte, diminuer l'érosion, recréer les récifs, etc.
00:42:01Donc, première chose qu'il y a de constater, c'est qu'il est difficile pour qu'il y ait un projet long terme à l'avant.
00:42:07Donc, il y ait un projet environnemental tout le temps pour une faillite.
00:42:11Il y a un secteur privé qui prépare pour financer un projet lors d'un an, puisque c'est un budget annuel.
00:42:18Un gouvernement qui prépare pour aller de l'avant avec un projet, mais il y a cinq ans pour qu'il n'y ait pas de faire tout ce travail qu'il y ait fait.
00:42:25C'est-à-dire qu'il y a des bailleurs de fonds internationaux, il y a des finances dans la société civile, entre un an et trois ans.
00:42:36Comment nous sommes-nous capables de refaire l'environnement, comment nous refaire la forêt, comment nous refaire le récif dans deux ans, trois ans ?
00:42:45Donc, ça, c'était la première constatation que tu as.
00:42:48Et à ce moment-là, Tiena a l'idée, effectivement, tu as l'air de nous causer, il y a de plus en plus de gens qui avaient un cancer,
00:42:56nous faisons trop beaucoup de produits chimiques dans le manger, est-ce qu'il n'est pas capable de faire produits bio à Maurice, organiques ?
00:43:04Et, à l'époque-là, donc, mon Pécos, à peu près, mon Pécos, 15 ans de cela, je ne suis pas capable de faire bio à Maurice,
00:43:14parce qu'il y a une couvée à Maurice avec de la canne à sucre, et dans la canne à sucre, je tout connais, il utilise beaucoup de produits chimiques.
00:43:20À ce moment-là, nous nous disons, non, pas possible, nous nous prenons contact avec Ecosert,
00:43:27et là, on a besoin de dire, il y a le GFSGP de UNDP, qui est là depuis 30 ans maintenant, je peux faire mon projet,
00:43:37et ils nous disons, ouais, je crois dedans, et ils sont prêts pour identifier un certain nombre de planteurs
00:43:42qui sont capables à produire mon plante organique, donc faire une culture légume organique de Maurice.
00:43:48Nous ne sommes pas de planteurs, aucun planteur n'est pas d'accord, c'est-à-dire qu'il y a trop de risques là-dedans,
00:43:53pas si attention, il n'y a pas de résultats.
00:43:55Trop beaucoup d'informations gagnées qui disent, non, mais quand vous faites organique,
00:43:59ou diminution récolte, ou yield diminué, ou quantité qui vous gagnez pour diminuer,
00:44:03bien nous, nous vivons, ça nous comprends, hein.
00:44:06Et donc, les premières organisations qui sont d'accord pour participer dedans, c'était des ONG,
00:44:10de type APIM, qui typaient 8 ban jeunes handicapés,
00:44:17et pour eux, la terre, s'il est contaminé, il y a un effet, il y a un effet beaucoup plus fort de leurs autres handicaps.
00:44:25Et donc, c'est une organisation comme ça qui nous est identifiée.
00:44:28Le GFS du pays, il finance sa bande-là, pour eux être capables, mettre et amèner tous les équipements qui sont nécessaires,
00:44:34et Forena, il amène Ecosert, qui est une organisation internationale de certification pour la production bio.
00:44:41Ça, il prend nous 12 ans, pour nous montrer qu'il est capable de faire du bio à Maurice et à Rodrigue.
00:44:49Il y a un petit petit parcours, où il y a 10 mètres carrés, il est capable de faire bio,
00:44:54où il y a 100 mètres carrés, il est capable de faire bio, où il y a 1000 mètres carrés, il est capable de faire bio.
00:44:57Et c'était un travail qu'il nous a fait pour refaire du monde qu'on ne prend qu'à pas faire bio.
00:45:02Aujourd'hui, on parle tous les équipements de faire bio.
00:45:06Peu faire, pas peu faire, ça c'est autre chose, parce qu'il est capable de faire certification là.
00:45:09Nous, on a réussi à faire certifier 20 sites à Maurice et à Rodrigue.
00:45:1320 sites qui sont certifiés par Ecosert, chaque année, on a l'audit.
00:45:17Qui peut-on dire, ou pas ça ?
00:45:20C'est si on est réussi aujourd'hui dans ce monde-là, dans le monde de la protection de la biodiversité,
00:45:26dans la protection de l'environnement, faire face au changement climatique,
00:45:30ne pas qu'à pas invest, ne pas qu'à mettre leurs ans pour des 3 ans.
00:45:34Ne pas qu'à pas avoir la courage, mettre leurs ans pour 10 ans, 20 ans, 30 ans.
00:45:38C'est là-là qui nous commence trop au résultat.
00:45:40Le problème avec un financement, quand on gagne un financement,
00:45:43qui nous finance là, il y a des 3 résultats, là, rapidement.
00:45:46Il y a la même qu'il y a beaucoup d'erreurs,
00:45:50beaucoup de fausses manœuvres, pour pouvoir donner un résultat rapide,
00:45:54alors qu'il n'est pas pu être à long terme.
00:45:57Donc ça, c'est la première réussite qu'il y a au niveau foreign,
00:46:00aujourd'hui, c'est de toutes les causes bio.
00:46:01Nous, le même travail avec le ministère de l'Agro-Industrie,
00:46:05avec le GFSJP, nous travaillons pour préparer la loi,
00:46:09pour protéger le mot bio.
00:46:11Vous connaissez ? Tout le monde dit un mot bio.
00:46:13Il y a beaucoup d'efforts aujourd'hui dans Maurice.
00:46:16Pour faire Smart Agriculture, pour diminuer produits chimiques.
00:46:19Il y a beaucoup d'efforts.
00:46:21Mais quelle quantité nous peut diminuer ?
00:46:22Est-ce que nous pouvons diminuer pour 10% ?
00:46:24Moi, quand je veux diminuer, je vais servir moins de produits chimiques.
00:46:27Je vais servir 10% moins de.
00:46:29Mais je vais déjà servir 180%, ça qui est bizarre.
00:46:32Je vais servir des fois plus, trois fois plus.
00:46:35Aujourd'hui, je vais diminuer un ticket.
00:46:37Non.
00:46:38Vous trouvez ?
00:46:39Il prend le temps pour comprendre.
00:46:41Aujourd'hui, je peux faire attention à ça.
00:46:43Deuxième projet qu'on travaille, c'est le projet de la citadelle.
00:46:47Juste un moment qu'on bouge.
00:46:48Oui.
00:46:48C'est un banc de planté qui s'est réfracté au départ.
00:46:51Là, là.
00:46:51Pendant ça, deux ans.
00:46:53Est-ce qu'on réussit à convaincre ?
00:46:54Ben, à cette terre, je t'ai même pas intéressé.
00:46:57Il y en a pas mal qui peut intéresser.
00:46:59Qui l'intéressait.
00:46:59Donc, depuis maintenant pas mal de temps.
00:47:01On démarre le projet en 2010.
00:47:03Donc, aujourd'hui, tout est bien.
00:47:07Et je comprends qu'il ne peut pas faire bio.
00:47:09Et il y a un récit montré parce qu'il y a beaucoup de documentation.
00:47:12La FAO, il montré qu'il y a de faire bio.
00:47:14La récolte est augmentée.
00:47:16Alors qu'il tout peut penser qu'il y a de faire la récolte.
00:47:19Et la récolte pour diminuer.
00:47:21Vous connaissez qu'il y a une population qui a une culture de cultivation traditionnelle.
00:47:27Aujourd'hui, si vous êtes l'heureux à l'époque,
00:47:30Faré, aujourd'hui, je ne peux écrire un livre.
00:47:32Un livre, vous montrez comment vous vous implantez.
00:47:34Il dit, avant vous préparez la terre,
00:47:36qui produit vous vous mettez.
00:47:37Pendant que vous vous plantez, qui produit vous vous mettez.
00:47:39Ou la graine, comment vous vous traitez.
00:47:41En fait, c'était que des produits chimiques.
00:47:43Parce que, traditionnellement, c'était comme ça que ça se faisait.
00:47:48À ce moment-là, ce qu'il nous montrait, c'est qu'il n'a pas fait autrement.
00:47:51C'est la même chose qu'il faut passer avec la transition énergétique.
00:47:53Mais laisse-moi donner une deuxième réussite qui nous est là.
00:47:55C'est la citadelle.
00:47:56Le projet de la citadelle.
00:47:58La citadelle, c'est une forteresse.
00:48:01Elle retrouve en haut d'une petite montagne.
00:48:03Ça s'appelle la petite montagne.
00:48:04Elle est à 11 hectares.
00:48:06Et aujourd'hui, nous, nous pouvons plante à peu près 7 à 8 hectares.
00:48:11Et nous pouvons enlever les plantes exotiques.
00:48:13Et nous pouvons émettre les plantes endémiques.
00:48:14Aujourd'hui, si vous allez visiter la citadelle,
00:48:17vous trouvez beaucoup de plantes aujourd'hui.
00:48:19Une finie poussée.
00:48:21Et ces plantes-là, c'est une plante endémique
00:48:23qui peut retenir la terre,
00:48:25qui peut diminuer sa érosion,
00:48:26qui n'est pas là.
00:48:27Et ça aussi, il nous prend à nous 12 ans.
00:48:31Il nous prend un an, deux ans.
00:48:33Et moi, j'ai eu une délégation des Nations Unies.
00:48:38Je suis venu à l'Union Européenne, etc.
00:48:40Et je suis venu à l'aider.
00:48:41Je peux quitter le faire.
00:48:42Et la mauvaise montrée, il a un pied qui nous a planté.
00:48:44C'était en 2012, 2011.
00:48:46donc aujourd'hui
00:48:49je peux donner un bien
00:48:50je peux vivre bien
00:48:53d'y prendre les temps
00:48:54ça qu'il nous aurait trouvé nous après
00:48:57parce que nous aussi
00:48:59représentons un fonds
00:49:01un fonds mondial qui s'appelle le CEPF
00:49:03le Critical Ecosystem Partnership Fund
00:49:05ce fonds là finance un certain nombre
00:49:07de projets qui concernent soit la protection
00:49:09de la biodiversité soit l'adaptation
00:49:11au changement climatique
00:49:12nous ne trouvons rien à faire
00:49:15à Maurice et à Rodrigue
00:49:17c'est que nous avons très peu de monde
00:49:19très peu d'organisation qui n'ont
00:49:21capacité d'écrire un projet correctement
00:49:23nous avons fait un appel à un projet
00:49:26et nous avons très peu d'organisation
00:49:29qui n'ont capacité de comprendre ce qu'il y a dans l'appel
00:49:31et comment répondre à l'appel
00:49:33donc nous avons une centaine
00:49:35de soumissionnaires
00:49:36et nous avons peut-être dix qui sont valables
00:49:39un point de vue
00:49:41c'est Ecosud
00:49:43Ecosud est une organisation
00:49:45qui a la capacité
00:49:46qui a la compétence technique
00:49:49scientifique
00:49:50littéraire
00:49:51pour ne pas répondre à mon appel
00:49:53aujourd'hui répondre à un appel
00:49:54n'est pas une affaire simple ça
00:49:55et d'ailleurs
00:49:57peut-être nous vous connaissons ça
00:49:57t'as l'air
00:49:58mon pays aussi peut gagner de difficulté
00:50:00pour gagner du financement international
00:50:01parce qu'il faut
00:50:02d'être qu'on écrit un projet
00:50:03et donc nous avons un gros problème
00:50:05c'est un peu dans tous les discours
00:50:06c'est la capacité d'écriture
00:50:09donc probablement ça c'est un gros défi
00:50:10qui nous est là aujourd'hui
00:50:12c'est lorsqu'il y a un appel
00:50:14est-ce qu'il ne peut pas répondre
00:50:16correctement à l'appel
00:50:17pour que les bailleurs
00:50:18qui peuvent financer
00:50:19ce projet-là
00:50:20disent qu'on comprend
00:50:20et ouais nous aussi
00:50:21nous avons gagné
00:50:22c'est pas bien des affaires
00:50:23quand quelqu'un donne l'argent
00:50:24même si c'est pour
00:50:26les meilleures volontés du monde
00:50:29je t'ai un retour
00:50:31je peux atteindre derrière
00:50:31peut-être je fais
00:50:33voilà le nombre de femmes
00:50:34qui ont fourni
00:50:35voilà le nombre de plantes
00:50:36qui ont planté
00:50:37voilà combien il est temps
00:50:39il faut durer
00:50:39je t'attends ça
00:50:42mais si vous ne pouvez pas
00:50:42mettre ça dans vos projets
00:50:43c'est pour vous financer
00:50:45donc ça c'est un gros défi
00:50:47qui nous est là
00:50:47c'est la compréhension
00:50:49c'est la montée en compétence
00:50:50la montée en puissance
00:50:52l'empowerment
00:50:53de la société civile
00:50:55aujourd'hui à Maurice
00:50:56c'est un des éléments
00:50:58sur lesquels nous faisons
00:50:59travail de plus en plus
00:51:00d'ailleurs nous finançons
00:51:01un projet de UTM
00:51:03University of Technology
00:51:05pour monter un module
00:51:07pourquoi pas
00:51:07form
00:51:08mais aussi
00:51:10n'importe qui
00:51:11qui est dans
00:51:11le sustainability area
00:51:13et aujourd'hui
00:51:14Ebony Forest
00:51:16peut faire l'IOC
00:51:17l'IOC
00:51:17est un bénéficiaire
00:51:19de ce fonds là
00:51:20entre autres
00:51:21donc
00:51:21l'idée
00:51:22c'est form
00:51:23de plus en plus
00:51:24pour comprendre
00:51:24comment monter un projet
00:51:26ça c'est un autre élément
00:51:27un troisième défi
00:51:29qu'il y en a
00:51:29c'est
00:51:30le besoin
00:51:34de travailler
00:51:34avec différents partenaires
00:51:36ça travaille
00:51:38qui nous fait
00:51:38que ce soit
00:51:39Ecosud
00:51:40que ce soit
00:51:40Ebony Forest
00:51:41que ce soit
00:51:41la vallée de Férenay
00:51:42que ce soit
00:51:42Forena
00:51:43nous faisons travailler
00:51:44avec plusieurs stakeholders
00:51:45avec beaucoup
00:51:46en partie intéressée
00:51:47il y en a un ministère
00:51:48il y en a
00:51:50la population
00:51:51qui est autour
00:51:52du projet
00:51:53Côte-Sapéale de l'Avent
00:51:54il y en a une population
00:51:56qui vive de la mer
00:51:57qui vive de la pêche
00:51:58par exemple
00:51:58et qu'il y a des autres
00:51:59il y a besoin
00:52:00de diminuer de la pêche
00:52:01pour qu'il n'y a pas
00:52:01de gagner un peu plus
00:52:02comprends ?
00:52:04et il y a aussi
00:52:04tous ceux
00:52:06les écoles
00:52:08les universités
00:52:09tout ce monde
00:52:10il y a des autres
00:52:10il y a des autres
00:52:11il y a des autres
00:52:11il y a des autres
00:52:12et puis il y a des autres
00:52:14il y a des autres
00:52:14c'est de travailler
00:52:15ensemble
00:52:16avec les autres
00:52:17qui peuvent faire
00:52:18le même travail
00:52:18c'est un gros
00:52:20problème
00:52:21qu'il y a
00:52:22aujourd'hui
00:52:22Maurice
00:52:23c'est qu'une ONG
00:52:24une organisation
00:52:25qui défend
00:52:26c'est un petit bout
00:52:28de l'espace
00:52:29je ne comprends pas
00:52:31qu'il y a besoin
00:52:32de travailler ensemble
00:52:33pour ne pas créer
00:52:33plus d'impact
00:52:34quand nous sommes trop
00:52:36petit-petits
00:52:36nous faisons petit-petits
00:52:37quelque chose
00:52:38mais quand plusieurs
00:52:39petits-petits
00:52:39nous faisons grand
00:52:41quelque chose
00:52:41ça c'est un grand
00:52:44grand défi
00:52:44qu'il y a aujourd'hui
00:52:45à Maurice
00:52:45c'est qu'il y a
00:52:47des ONG
00:52:47il y a 8000
00:52:49c'est pas 10 000
00:52:49ONG
00:52:50enregistrés
00:52:50au niveau
00:52:52du registreur
00:52:53d'association
00:52:53aujourd'hui
00:52:54à Maurice
00:52:54de là-dedans
00:52:55il y a
00:52:55plusieurs centaines
00:52:58qui sont liées
00:52:59à l'environnement
00:52:59même
00:53:00très rares
00:53:02qui s'abattent
00:53:04ONG
00:53:04de travailler ensemble
00:53:05très très rares
00:53:06qui deux ONG
00:53:07travaillent ensemble
00:53:08et ça
00:53:10c'est une affaire
00:53:10qui nous faisons
00:53:11apprendre
00:53:11sans
00:53:11nous faisons
00:53:13mettre
00:53:13l'intérêt
00:53:14commun
00:53:15en premier
00:53:15c'est refaire
00:53:17nos biodiversités
00:53:19refaire nos forêts
00:53:20refaire nos mânes
00:53:21récifs
00:53:22refaire nos mânes
00:53:22mangroves
00:53:23pour qu'il nous capable
00:53:24de dire
00:53:24hé ouais
00:53:25nous capable de faire
00:53:25quelque chose
00:53:26à ce niveau-là
00:53:27très bien
00:53:28enfin nous capable
00:53:29de continuer
00:53:29un plan
00:53:29bien sûr
00:53:30merci Manu
00:53:31justement
00:53:31la prochaine question
00:53:33qui m'a
00:53:33pour Sébastien
00:53:35il découle un peu
00:53:36de ce qu'il veut dire
00:53:36et au fin de dire
00:53:38un peu plus tôt
00:53:39par exemple
00:53:39pour qu'il convainc
00:53:41les autorités
00:53:43les opérateurs
00:53:44les sociétés
00:53:44qui nous pour qu'il
00:53:45recule
00:53:46l'eau-la-côte
00:53:46par exemple
00:53:47et là
00:53:48ma question
00:53:49est
00:53:49par exemple
00:53:50comment est-ce que
00:53:51vous trouvez
00:53:52la collaboration
00:53:53actuelle
00:53:54entre nos mnj
00:53:54les citoyens
00:53:56et les institutions
00:53:57à votre niveau
00:53:57et votre expérience
00:53:58oui moi
00:54:00moi j'ai un petit peu
00:54:00envie
00:54:01avant de répondre
00:54:02aux questions
00:54:02peut-être
00:54:03revenir sur 2-3
00:54:04points
00:54:04qui m'enlent
00:54:05d'hier
00:54:06bien sûr
00:54:06il y a
00:54:08sa nécessité
00:54:11de travailler
00:54:11ensemble
00:54:12que la société
00:54:13civile
00:54:14peut bien
00:54:14travailler ensemble
00:54:15et je dis
00:54:16m'enlent
00:54:17qui au sein de la
00:54:19CZM
00:54:19comité
00:54:20ou du
00:54:20ISC
00:54:21comité
00:54:21qui a été
00:54:22mis en place
00:54:23par le ministère
00:54:23de l'environnement
00:54:24nous trouve
00:54:25sa capacité
00:54:27de mon association
00:54:28travailler ensemble
00:54:29pour justement
00:54:30pousser la nécessité
00:54:31que mon autorité
00:54:32rentre plus
00:54:33dans mon process
00:54:35avec une solution
00:54:39basée sur la nature
00:54:40et
00:54:41nous avons aussi
00:54:43une autre nécessité
00:54:45et
00:54:45ça me croit
00:54:47qu'il y a une urgence
00:54:49, nous sommes capables
00:54:51de travailler
00:54:54avec une autorité
00:54:55conjointement
00:54:56sa nécessité
00:54:59de travailler
00:55:00ensemble
00:55:00les besoins
00:55:01sont capables
00:55:01entre
00:55:02l'autorité
00:55:04la société civile
00:55:05secteur privé
00:55:06citoyen
00:55:07tout dit
00:55:08mon ensemble
00:55:08nous ne vivons
00:55:10dernièrement
00:55:11on prend l'exemple
00:55:13au niveau
00:55:13du ministère
00:55:14de la pêche
00:55:14nous ne vivons
00:55:15une situation
00:55:16un peu
00:55:17alarmante
00:55:18quand
00:55:19le ministère
00:55:20de la pêche
00:55:21est une vignée
00:55:21avec un
00:55:22policy paper
00:55:23pour
00:55:24décider
00:55:26quelle technique
00:55:28de restauration
00:55:29ne pourra plus
00:55:30être utilisée
00:55:31à Maurice
00:55:32et
00:55:34vous êtes capables
00:55:35vous êtes capables
00:55:35vous êtes capables
00:55:36vous êtes capables
00:55:37mais
00:55:38vous êtes capables
00:55:39d'une façon
00:55:40unilatérale
00:55:41à prendre
00:55:42cette décision
00:55:43qui peut impacter
00:55:44la société civile
00:55:45qui vous dit
00:55:46en mouvement
00:55:47pour restaurer
00:55:48l'écosystème
00:55:48vous êtes capables
00:55:50à ciser
00:55:50causer
00:55:51et donc
00:55:52nous nous causons
00:55:53beaucoup l'eau là
00:55:53mais
00:55:54je pense que
00:55:55c'est
00:55:55aujourd'hui
00:55:57une urgence
00:55:58que dans
00:55:59chaque
00:56:00ministère
00:56:01chaque directeur
00:56:02de chaque
00:56:02ministère
00:56:03se mettre
00:56:04dans une dynamique
00:56:05pour que
00:56:07on collabore
00:56:09en transparence
00:56:11en partnership
00:56:13avec
00:56:14différents acteurs
00:56:15nous sommes capables
00:56:17de rester dans
00:56:18un modèle
00:56:19qu'on
00:56:19on vient
00:56:20décider
00:56:21et
00:56:22allez là
00:56:23vous êtes capables
00:56:26de causer
00:56:27nous sommes capables
00:56:27échanges
00:56:28nous avons
00:56:28data
00:56:29nous avons
00:56:30données
00:56:30nous avons
00:56:31inclus
00:56:31le citoyen
00:56:33dans
00:56:34une action
00:56:34de cogestion
00:56:35nous sommes capables
00:56:37parce que
00:56:39nous fais
00:56:39face
00:56:40à un défi
00:56:41national
00:56:42et ce n'est pas
00:56:43un des mouns
00:56:45qui est dans
00:56:45la solution
00:56:46et nous avons
00:56:48fait progrès
00:56:48tout des mouns
00:56:49donc
00:56:50il n'a rien
00:56:51pas autant
00:56:51sa collaboration
00:56:52
00:56:53et moi pensez
00:56:54le ministre
00:56:55est dans
00:56:56sa responsabilité
00:56:57
00:56:57pour
00:56:58indiquer
00:57:02fortement
00:57:02que
00:57:03la société
00:57:04civile
00:57:05l'association
00:57:05l'citoyen
00:57:06c'est nos alliés
00:57:08c'est nos alliés
00:57:10nous sommes alliés
00:57:11dans ce pays
00:57:11
00:57:12quand
00:57:13nous dénonçons
00:57:14une affaire
00:57:15qui
00:57:15ne tourne pas rond
00:57:18qui ne va pas mal
00:57:19nous sommes anti-patriotes
00:57:20nous avons envie
00:57:21qu'un pays
00:57:22progressait
00:57:23donc
00:57:23on sait
00:57:24qu'il dit
00:57:25un peu
00:57:25autant
00:57:25ça aussi
00:57:26et l'autre affaire
00:57:28juste avant
00:57:29qu'il nous
00:57:30poursuive
00:57:31Sébastien
00:57:31nous moquer
00:57:32une pause
00:57:32poursuivre
00:58:33Musique de générique
00:59:03Feel free
00:59:04Musique de générique
00:59:34Fréquences Top FM dans le nord et le sud 106.0, l'est et l'ouest 105.7 et le centre 104.4.
00:59:53Musique de générique
01:00:23Considère et faire comprendre qu'il y a une situation, c'est un agui et non pas le contraire.
01:00:31Oui, c'est ça.
01:00:32Moi, c'est exactement ça.
01:00:34Merci pour sa réformulation.
01:00:37Il ne m'a rien pour autant.
01:00:39Nous, dans une dynamique, nous avons dit que nous pouvons consolider ça.
01:00:43Et nous avons senti qu'il y a une fragilisée.
01:00:46Dix dernières années, il est difficile pour mettre sa dynamique de collaboration en place.
01:00:53Donc là, il y a une ouverture.
01:00:55Et vous pensez que chacun prend sa responsabilité pour que cette dynamique-là permette de mettre de l'avant.
01:01:01Alors, où est-ce que tu avais avant ça, Tilo ?
01:01:06Ben, il y a des défis.
01:01:08Ben, il y a des défis.
01:01:09Ben, il y a des défis.
01:01:09Par exemple, qui est une réussite et aussi des défis qui vont faire face pendant l'année à Écosud.
01:01:16Wow.
01:01:18Nous, ça l'année-là, Écosud, il y a 25 ans.
01:01:22Donc, je trouve ça intéressant.
01:01:23C'est un joli chiffre, un quart de siècle.
01:01:26Et, ben, vous pensez que comme le 20, on est en train de mûrir.
01:01:33Et Zodino, il y a quatre objectifs stratégiques.
01:01:35Mais, mais, mais, d'ajouter déjà que si c'est une célébration de 25 ans, ça donne espoir.
01:01:41Ça dure.
01:01:42C'est une action pérenne.
01:01:43C'est une action pérenne.
01:01:45C'est une action militante, engagée.
01:01:48C'est une action d'advocatie.
01:01:51Écosud est née dans la nécessité de préserver le parc marin de Blubey.
01:01:57Et nous mobiliser par rapport à la vallée de Ferney,
01:02:02pour ne pas laisser un highway passer là-dedans.
01:02:05Nous mobiliser par rapport à le Waste to Energy,
01:02:09qui, pour nous, il ne pas make sense de brûler un déchet.
01:02:13Alors, qui ne pas du tout en a une stratégie par rapport au déchet.
01:02:18Nous nous sommes mobilisés pour bloquer un projet de City Power.
01:02:22En fait, là, l'idée, c'était de venir brûler du charbon.
01:02:26Et nous sommes capable de dire, aujourd'hui, qu'il nous peut encore rendre dans sa piège de manque de stratégie.
01:02:35Nous sommes capable de dire « powership » parce que nous sommes capable de faire face-out.
01:02:40Mais nous sommes capable de mettre en place une vision stratégique et nationale pour nos pays.
01:02:49Pas pour les 10, 15 prochaines années, mais pour les 50, 100 prochaines années.
01:02:54Parce qu'ils ont dit qu'ils connaissent qui vaut la mer en 2100.
01:02:58Je veux dire, nous pouvons vivre une situation de température en France.
01:03:04Là, il y a une canicule.
01:03:06C'était une projection pour 2050.
01:03:09Nous, en 2025.
01:03:12Donc, il y a une accélération du dérèglement climatique.
01:03:18Et si nous ne pouvons pas mettre nous en mouvement, mais d'une façon rigoureuse, d'une façon stratégique,
01:03:27nous ne sommes pas capables de battre-battre.
01:03:29Quand ça met un cyclone là, vous venez pour crasser partout, crasser partout.
01:03:33Nous ne pouvons pas manger.
01:03:35Mais il est trop tard.
01:03:36Il faut qu'il nous puisse mettre nous, aujourd'hui, en posture de résilience.
01:03:40C'est quoi la posture de résilience?
01:03:43À mon avis, il ne m'a rien pour autant pour qu'il nous pense la sobriété.
01:03:48Comment nous, sociétés, capables vivent d'une société sobre?
01:03:53Peut-être que tu as élaboré l'eau, là.
01:03:55L'eau, la sobriété?
01:03:56Oui, voilà.
01:03:57La sobriété, moi, c'est vis-à-vis de la décroissance.
01:04:03Mais, en gros, grosso modo, moi, ça qui me comprend, derrière, c'est qu'il nous est bien capables,
01:04:09utilise moins d'énergie, être plus indépendant,
01:04:13utiliser ce qu'on a besoin et ce qu'on peut produire localement.
01:04:27Redonner à la nature sa place.
01:04:30Arrêter de l'artificialiser.
01:04:31La sobriété, pour moi, ce n'est pas du tout dans un modèle de consommation à utrance dans lequel on est.
01:04:39Quand nous tous, nous avons un tas de désirs d'acheter, acheter, acheter, acheter.
01:04:43Donc, il y a une implication politique, il y a une implication économique,
01:04:50effectivement, qui, à un moment donné, nous, vous bien connaissez,
01:04:54si nous pouvons continuer, envie, importe dans l'auto,
01:05:00pour qu'il ait l'assurance,
01:05:01pour qu'il ait une casse pour assurer l'auto,
01:05:06pour qu'il...
01:05:07Donc, bon, nous nous rentrons dans une boucle.
01:05:10Aujourd'hui, nous pouvons faire la M4.
01:05:13La M4 répond à quel besoin?
01:05:15La M4 ne répond pas à 10,3 milliards.
01:05:1910,3 milliards, la M4, jusqu'à 2030, dans le budget.
01:05:24Ça répond à quel besoin?
01:05:26Ça répond aux besoins de la personne qui a besoin de valoriser ses terres.
01:05:30Il y a un terrain qui coûte un million,
01:05:32mais la M4 peut passer, mais la terre coûte 4 millions.
01:05:35Et ça, ce n'est pas la sobriété.
01:05:37Ça répond à la besoin d'aller plus vite, plus loin.
01:05:40Ce n'est pas la sobriété.
01:05:41C'est-à-dire qu'il n'y a pas besoin d'aller faire un ring-road tout autour de M4.
01:05:46Et plus on met le chemin, plus on met le bitume,
01:05:51plus on peut créer un appel d'air, plus on peut dire
01:05:53« Eh bien, on a une nouvelle route pour prendre l'auto. »
01:05:57Donc, la sobriété, c'est investir dans le transport en commun.
01:06:01La sobriété, c'est arrêter d'utiliser sa voiture quand on est seul dedans.
01:06:07La sobriété, c'est de faire du covoiturage.
01:06:08C'est ça qui m'a fait envie de dire.
01:06:12Et moi, pensez, ça, c'est...
01:06:14Nous avons besoin d'un bon incentive pour rentrer là-dedans.
01:06:17Nous avons besoin...
01:06:18Parce qu'à la fin de la journée, ce n'est pas la faute du citoyen.
01:06:22Ce n'est pas la faute de...
01:06:23C'est qu'il est capable de nous donner le monde complètement...
01:06:27Qui peut mettre la pression de nos citoyens.
01:06:30Donc, nous avons besoin d'un bon coup.
01:06:31Et moi, pensez, c'est la responsabilité de mon politique.
01:06:35De ouvrir de mon piste pour que nos citoyens sont capables de choisir une action plus sobre.
01:06:43Et nous avons besoin de la gestion des déchets.
01:06:46Mais si nous avons besoin de valoriser le plastique,
01:06:49et qu'il ne nous a pas dit tout, qu'il nous a besoin de phase-out le plastique,
01:06:53d'arrêter de produire le plastique,
01:06:55nous avons besoin de rentrer dans la sobriété là.
01:06:57Nous pouvons mettre tout en place pour créer une lysine,
01:07:00pour faire plastique, pour recycler le plastique.
01:07:03Mais ce n'est pas ça la sobriété.
01:07:04La sobriété, c'est d'arrêter de produire du plastique.
01:07:07D'arrêter d'être dépendant à cette matière
01:07:09qui aujourd'hui, on la retrouve partout,
01:07:14même dans le fœtus de Man-Mama.
01:07:18Donc, dans le placenta, sorry, dans le placenta de Man-Mama.
01:07:24Donc, comment nous inverses la machine, au fait?
01:07:29Cette machine qui nous met nous au dit que nous était,
01:07:32dans cet état d'urgence environnementale, climatique, sociale,
01:07:37comment nous inverses-les?
01:07:39Et ça, c'est pas une décision politique.
01:07:42Il n'y a rien pour autant.
01:07:43Et justement, pour inverser cette machine,
01:07:46avant qu'il me passe à Man-Mama,
01:07:47ça a l'air très important,
01:07:49et ça a l'air dans l'institution, etc.
01:07:50Est-ce qu'il a, dans le parcours,
01:07:54et là, récemment,
01:07:55vous avez gagné l'occasion, par exemple,
01:07:56c'est qu'il vous plaît.
01:07:57Moi, je vous dis,
01:07:58elle véhicule ça avec acquis du droit
01:08:01et fait comprendre qu'il nous donne une urgence
01:08:05et une bise-affaire.
01:08:06Acquis du droit, c'est qui?
01:08:07Les autorités.
01:08:09Les autorités.
01:08:09Autorités, les policiers.
01:08:10Je dis, nous sentis qu'il y a un narratif
01:08:19qui nous peut porter,
01:08:21qui nous peut développer.
01:08:25Au niveau du ministère de l'Environnement,
01:08:28je peux tendre.
01:08:29Je ne sais pas si je peux prendre les en compte,
01:08:32si je peux intégrer les,
01:08:34mais au moins je peux tendre.
01:08:35Au niveau du ministère du Blue Economy,
01:08:40la pêche, la pêche, la pêche,
01:08:41nous ne pas gagner,
01:08:43ça va un espace de dialogue.
01:08:46Et on comprend qu'il se peut,
01:08:49bientôt, là,
01:08:51je peux mettre en place
01:08:52ça va un espace de dialogue, là.
01:08:54Et je me félicite pour ça.
01:08:59Je pense qu'il est urgent
01:09:02de mettre ça un espace de dialogue, là,
01:09:04en place, aussi, au sein du ministère
01:09:06de la Blue Economy.
01:09:08Tandis que je tenais un projet
01:09:09pour faire une bonne assise.
01:09:12Et c'est là où
01:09:14je pense que je suis bien clair.
01:09:18Je suis aussi,
01:09:19quand je peux cause
01:09:20Big Ocean State.
01:09:22Pourquoi dire Big Ocean State
01:09:24toutes les 30 secondes
01:09:25et nous ne pouvons pas
01:09:27cérer, mais c'est quoi, ça?
01:09:30Parce que je dis,
01:09:31la pêche dans notre ZEE,
01:09:35il n'y a pas
01:09:36une la pêche soutenable.
01:09:37Il n'y a plus de la biodiversité.
01:09:40Maurice est complice
01:09:41de la pêche
01:09:42qui peut dérouler
01:09:43dans l'océan Indien
01:09:46à travers
01:09:47les agreements de pêche
01:09:49qui sont signés
01:09:50avec l'Union Européenne,
01:09:51le Japon,
01:09:51et les autres.
01:09:53Il n'y a plus de la pêche
01:09:55là-bas,
01:09:55il n'y a plus de la technique soutenable.
01:09:57Donc, il n'y a plus de la pêche soutenable.
01:09:59Aujourd'hui, la pêche
01:10:01n'est pas soutenable.
01:10:03Donc, quand nous pouvons dire
01:10:04nous pouvons faire
01:10:04la pêche soutenable,
01:10:05mais nous, concrètement,
01:10:06nous pouvons arrêter
01:10:07cette bande-signée là,
01:10:09comment nous pouvons faire
01:10:10la pêche soutenable?
01:10:11Nous pouvons laisser
01:10:11nos citoyens,
01:10:13pêcheurs,
01:10:13mauriciens
01:10:14à la pêche
01:10:15et nous pouvons dire
01:10:16cette bande-gros là,
01:10:17arrête la pêche,
01:10:18arrête la biodiversité
01:10:20de l'Océan Indien.
01:10:22Ça, c'est un point
01:10:23de bien clarité.
01:10:24Parce qu'à côté,
01:10:26il y a une tasse à faire
01:10:27qui est déroulé.
01:10:27Nous donnent un tas à cause
01:10:29à gauche, à droite,
01:10:30nous pouvons agrandir les pauvres.
01:10:32Nous pouvons dire
01:10:32nous pouvons agrandir les pauvres.
01:10:34Mais agrandir les pauvres,
01:10:34pourquoi?
01:10:35Ce n'est pas la sobriété, ça.
01:10:38Si nous pouvons agrandir,
01:10:40agrandir, agrandir,
01:10:41nous pouvons continuer
01:10:42à nous trouver.
01:10:44Nous vivons dans les mondes finis,
01:10:45qu'il y a des ressources finis.
01:10:49Je vous dis,
01:10:49nous pouvons arriver là, là.
01:10:52Nous pouvons arriver
01:10:52qu'il y a des ressources finis.
01:10:55En plus de tous les problèmes
01:10:57de changement climatique
01:10:58qu'il y a des limites planétaires
01:10:59qu'il y a.
01:11:00Donc,
01:11:01comment nous rendre
01:11:02dans une stratégie différente
01:11:04pour qu'on continue
01:11:06de vivre ensemble?
01:11:08C'est ça, la question.
01:11:09Mais qui peut cause ça,
01:11:10ça dit?
01:11:11Qui peut tenir
01:11:13cette vision là,
01:11:14ça dit?
01:11:15Qui peut peut-être
01:11:16ça peut causer là?
01:11:19Il y a le droit de la nature,
01:11:21il y a la Just Transition Commission.
01:11:23Je pense,
01:11:24il y a un vrai travail.
01:11:26l'eau là
01:11:26et nous faisons
01:11:28qu'à travailler ensemble
01:11:29l'eau là
01:11:30avec tout bon acteur.
01:11:31Très bien.
01:11:32Manel,
01:11:33je suis sur le même
01:11:34un topic intéressant
01:11:36un peu plus tôt.
01:11:38C'est-à-dire,
01:11:40pour qu'on ne peut pas
01:11:40gagner un financement,
01:11:41par exemple,
01:11:42ou qu'on ne peut pas
01:11:42faire un projet.
01:11:44La bonne,
01:11:44c'est la question,
01:11:46tu as tout
01:11:47pour un pays.
01:11:48Alors,
01:11:48moi, je suis content
01:11:48où élaborer l'eau là,
01:11:50justement,
01:11:50c'est le moment.
01:11:51Mais aussi,
01:11:52répondre à un peu
01:11:52C'est-à-dire que Sébastien,
01:11:53par exemple,
01:11:55il est temps de repenser
01:11:56notre façon de fonctionner
01:11:59comme une économie.
01:12:01Et quand nous sommes
01:12:02à Sébastien,
01:12:02il disait,
01:12:02vous savez,
01:12:04nous avons perdu
01:12:05quand nous avons
01:12:06une décroissance
01:12:07d'une certaine façon
01:12:08et qu'il y a
01:12:10une certaine urgence
01:12:11climatique.
01:12:12Donc,
01:12:12voilà,
01:12:12voilà les questions
01:12:13que j'ai pour vous.
01:12:13La question de décroissance,
01:12:16c'est une question
01:12:17qui n'est pas naturelle.
01:12:20C'est pour ça
01:12:20que personne n'est pas
01:12:22périssé,
01:12:22sans se dire bien.
01:12:26Tout le monde
01:12:26a l'avancement.
01:12:29Il y a des gens
01:12:30qui disent
01:12:30que les gens
01:12:30ne sont pas le bon mot
01:12:34et n'est pas la bonne stratégie,
01:12:37n'est pas le bon concept
01:12:38non plus.
01:12:39Donc,
01:12:39c'est ce que Sébastien
01:12:41peut dire,
01:12:41c'est l'idée
01:12:42de dire
01:12:42révoir
01:12:44un petit peu
01:12:44manière
01:12:44qu'ils nous pensaient
01:12:45et
01:12:46qu'ils nous font
01:12:47les choses.
01:12:48Tu connais,
01:12:49nous avons
01:12:49un premier qui se trouve
01:12:51c'est qu'il y a
01:12:52une certain cause
01:12:53avec des gens
01:12:53qui produirent.
01:12:56Et ce qui produire,
01:12:57c'est le secteur privé.
01:13:00Alors,
01:13:01laisse-nous redéfinir
01:13:02un petit peu
01:13:02ce qu'ils appellent
01:13:03la société civile.
01:13:05Pour nous,
01:13:05la société civile,
01:13:06c'est
01:13:07tous les citoyens,
01:13:09tous les ONG
01:13:10et le secteur privé.
01:13:12qui ne font pas partie
01:13:14de la société civile,
01:13:15c'est le gouvernement.
01:13:17D'accord ?
01:13:17Pour nous,
01:13:17c'est comme ça.
01:13:18Si vous parlez avec
01:13:19UN,
01:13:19UNDP,
01:13:20vous direz,
01:13:20non,
01:13:21la société civile,
01:13:22c'est seulement les ONG,
01:13:24pas le secteur privé,
01:13:25mais aussi peut-être
01:13:26une agence
01:13:27d'éducation,
01:13:29d'université,
01:13:29etc.
01:13:30qu'il y a une réflexion
01:13:34sérieuse
01:13:35par rapport à ça,
01:13:36c'est qu'il y a du monde
01:13:36qui peut produire.
01:13:37Et du monde
01:13:37qui peut produire,
01:13:38c'est la société.
01:13:39Le gouvernement
01:13:40est là pour faciliter
01:13:40les choses.
01:13:41Le gouvernement
01:13:42ne va pas produire,
01:13:42il facilite les choses.
01:13:44Et donc,
01:13:45qui s'en va produire,
01:13:46c'est le secteur privé.
01:13:46Mais comment nous
01:13:47ne va pas convaincre
01:13:48le secteur privé
01:13:48qu'il y a de besoin
01:13:49réfléchir autrement ?
01:13:50Ou le citoyen type,
01:13:52parce qu'il y a aussi
01:13:52un consommateur,
01:13:54il y a un système.
01:13:55et il y a aussi
01:13:56peut-être produit
01:13:57parce qu'il y fait
01:13:57une partie
01:13:58de ceux qui produisent.
01:14:00D'accord ?
01:14:00Tout le travail.
01:14:01Tout à fait.
01:14:02Et donc,
01:14:02nous produire quelque chose.
01:14:04Et même un fonctionnaire
01:14:05il y a de produire
01:14:05quelque chose
01:14:06dans le gouvernement.
01:14:08Donc,
01:14:08quand on peut produire
01:14:09quelque chose,
01:14:10nous faisons apprendre
01:14:10un premier XOC.
01:14:11Est-ce qu'il y a
01:14:12une capacité
01:14:12de produire de manière
01:14:13efficace
01:14:15mais aussi efficiente ?
01:14:17L'efficacité,
01:14:17aujourd'hui,
01:14:18c'est d'un résultat
01:14:19qui peut atteindre.
01:14:20Je suppose produire
01:14:21un T-shirt,
01:14:23je peux aussi
01:14:23produire mon T-shirt.
01:14:24Est-ce qu'il peut servir
01:14:25le bon coton
01:14:26qui peut sortir
01:14:27avec un endroit
01:14:28quand il n'y a pas
01:14:28de produits chimiques dedans ?
01:14:30Est-ce qu'il peut produire
01:14:31mon T-shirt
01:14:32sans faire trop faute
01:14:34pour qu'il n'y ait pas
01:14:34de gaspillage ?
01:14:36Est-ce qu'il peut faire
01:14:37d'un seul flot
01:14:38pour qu'il n'y ait pas
01:14:39de gaspillage courant ?
01:14:41Et je peux mettre
01:14:42dans une boîte
01:14:43et je peux penser
01:14:43qu'il y a des boîtes
01:14:44et je les mets.
01:14:45Est-ce qu'il peut réfléchir
01:14:46dans un sens-là ?
01:14:48Plus nous réfléchir
01:14:49dans un sens-là,
01:14:49plus nous voulons
01:14:50efficients.
01:14:51Et cette efficience-là,
01:14:53c'est dessus
01:14:54de mettre la chose.
01:14:55C'est là qu'on nous dit
01:14:56« Eh, pas roule tout seul
01:14:57quand on roule en l'auto. »
01:14:59Roule à plusieurs.
01:15:00En fait,
01:15:01ce qui nous fait
01:15:01nous peut augmenter
01:15:02l'efficience de la voiture.
01:15:04Nous sommes efficaces,
01:15:04quand on prend l'auto,
01:15:05je peux sortir une place
01:15:06et je suis efficace.
01:15:07Je n'arrive pas
01:15:08ce que tu veux.
01:15:09C'est moi,
01:15:09je ne suis pas efficient.
01:15:11Donc,
01:15:11je pense que le monde
01:15:13aujourd'hui
01:15:13doit réfléchir
01:15:14à l'efficience.
01:15:15Et l'efficience
01:15:16est capable
01:15:17de être faite
01:15:17de plusieurs manières.
01:15:18Un,
01:15:18est capable
01:15:19de citoyen même
01:15:19qui dit
01:15:20« Eh,
01:15:21laisse-moi un coup
01:15:21pour ne pas gaspiller
01:15:22le goût de moi. »
01:15:23Il y a des affaires bêtes,
01:15:24mais il y a des affaires
01:15:25qui sont utiles.
01:15:27Et il y a aussi
01:15:27vers une entreprise
01:15:29qui dit
01:15:29« Eh,
01:15:29comment je peux
01:15:30mettre en place
01:15:31un système
01:15:31de management environnemental ?
01:15:33Comment je peux
01:15:33mettre un système
01:15:34de gestion environnementale
01:15:35qui permette
01:15:36de gaspiller
01:15:37moins matières premières
01:15:38et produire plus
01:15:41avec la même quantité
01:15:42d'énergie
01:15:42ou alors
01:15:43en diminuant l'énergie ? »
01:15:45Pas pour cause
01:15:45de décroissance,
01:15:46pas pour cause
01:15:46d'efficience.
01:15:47Utilise moins d'énergie
01:15:49pour produire la même chose.
01:15:50C'est trop la différence.
01:15:52Si je veux
01:15:53une gâte
01:15:53d'une d'une d'une
01:15:53et je veux
01:15:54servir moins d'énergie,
01:15:55je veux
01:15:55faire,
01:15:55je veux
01:15:55produire,
01:15:56je veux
01:15:56manger,
01:15:57je veux
01:15:57tout cela.
01:15:57Si je veux
01:15:58dire
01:15:58« Non,
01:15:58vous connaissez,
01:15:58nous travaillez
01:15:59une manière
01:15:59pour nous
01:16:00produire plus
01:16:00avec moins d'énergie,
01:16:02avec moins d'énergie,
01:16:04là,
01:16:04il comprend.
01:16:05Ça,
01:16:05il y a un mot
01:16:06qui a servi.
01:16:06Ah,
01:16:06ben oui,
01:16:07il y a beaucoup
01:16:07de moins,
01:16:07moins de serre
01:16:07pour produire.
01:16:09Je gagne
01:16:09un profit aussi
01:16:10et je dépense
01:16:11l'environnement aussi.
01:16:12Donc,
01:16:12il y a une quantité
01:16:13maintenant,
01:16:13il y a ISO 14001
01:16:14pour une entreprise
01:16:15qui est une norme
01:16:16internationale,
01:16:17ISO.
01:16:17Il y a un label,
01:16:18une quantité
01:16:19l'hôtel,
01:16:19il y a un label,
01:16:20un label environnemental
01:16:21type Earth Check,
01:16:23tout le groupe
01:16:23Beachcomber,
01:16:24tout le groupe
01:16:24Sun Life,
01:16:25il y a le Green Globe,
01:16:28tout le groupe
01:16:28Constance Hôtel,
01:16:30pas seulement à Maurice,
01:16:31mais aussi au Seychelles,
01:16:32au Maldives.
01:16:34Il y a un groupe
01:16:34comme ça,
01:16:35le groupe Eclosia,
01:16:36il y a le ISO 14001
01:16:37pour quasiment
01:16:37tous ces entreprises.
01:16:39Vous trouvez,
01:16:40il y a une quantité
01:16:40besoin,
01:16:41il y a une quantité
01:16:42de capacité
01:16:42à faire l'île
01:16:42autrement.
01:16:45Efficience,
01:16:45c'est le mot.
01:16:46Et donc,
01:16:46ça,
01:16:47c'est la première chose
01:16:47à faire.
01:16:48Maintenant,
01:16:48si nous les gavons
01:16:49financement,
01:16:50il est simple,
01:16:50on va dire,
01:16:51il ne faut qu'on écrire
01:16:52un projet
01:16:53et il ne faut faire
01:16:54en sorte
01:16:54que le projet
01:16:54réponde
01:16:55à nos besoins
01:16:56de nos financeurs,
01:16:57mais il ne faut aussi
01:16:58faire partie,
01:16:59et là,
01:17:00parce qu'au niveau
01:17:00du pays,
01:17:01il ne faut faire partie
01:17:02de nos forums,
01:17:04il ne faut mettre
01:17:05nous de l'avant
01:17:05un peu plus
01:17:06pour la COP,
01:17:07par exemple,
01:17:08ou pour une alliance
01:17:10des petits états insulaires,
01:17:12sa alliance-là,
01:17:13quand Maurice le don,
01:17:15nous besoins
01:17:15être un petit peu
01:17:15plus de l'avant,
01:17:16la COI,
01:17:17nous besoins
01:17:17un peu plus souvent.
01:17:20Donc,
01:17:22nous besoins
01:17:22qu'on commence
01:17:22à être présent.
01:17:24Vous connaissez,
01:17:25dans,
01:17:26dans,
01:17:27dans,
01:17:29nous n'avons
01:17:29la famille
01:17:29qui nous a dit,
01:17:30nous,
01:17:30nous faisons beaucoup
01:17:32de commerce,
01:17:33bijoutiers,
01:17:34etc.
01:17:35Il y a une cause
01:17:36qui dit à nous,
01:17:36quand il y a une
01:17:37pièce
01:17:37dans la cour,
01:17:39et qui est
01:17:3920 ans,
01:17:40où vous avez
01:17:41crié,
01:17:42faire du monde
01:17:43connaître
01:17:43où il y a un monde.
01:17:44Sinon,
01:17:45il n'y a pas
01:17:45de vendre.
01:17:47Mais Maurice,
01:17:47il vous a fait pareil.
01:17:49Il vous a dit,
01:17:49moi,
01:17:49je suis là,
01:17:51moi,
01:17:51un pays,
01:17:52moi,
01:17:52une île,
01:17:53qui est au centre
01:17:54quasiment
01:17:54de l'océan Indien,
01:17:56moi,
01:17:56il y a une capacité
01:17:57d'être le porte-parole
01:17:59de plusieurs mondes,
01:18:00que ce soit
01:18:01des Comores,
01:18:01que ce soit
01:18:02de Seychelles,
01:18:03que ce soit
01:18:03de Maldives,
01:18:05qui fait à nous
01:18:05pas besoin
01:18:05un peu plus souvent.
01:18:07Aujourd'hui,
01:18:07il y a un lien
01:18:07entre Seychelles
01:18:09avec Maurice.
01:18:09Il y a un lot
01:18:10de la coop
01:18:10qui commence à se définir
01:18:11entre Maurice
01:18:12et Maldives,
01:18:13comment vous le connaissez,
01:18:14parce qu'il y a une
01:18:15utilisation
01:18:15des eaux territoriales.
01:18:18Il est bien
01:18:19capable de mettre
01:18:19Maurice
01:18:20un petit peu plus
01:18:20de l'avant
01:18:21par rapport à ça.
01:18:22Et il est bien
01:18:23capable,
01:18:24il y a de plus
01:18:25en plus capacité
01:18:25que les bailleurs
01:18:26de fonds-là
01:18:27pour faire
01:18:27comprendre
01:18:28qu'il vaut la peine
01:18:29d'investir
01:18:30contre nous
01:18:30parce qu'il nous
01:18:31donne résultat.
01:18:32Il n'est pas capable
01:18:33de prendre l'argent
01:18:34et qu'il ne donne
01:18:35résultat derrière.
01:18:36Justement,
01:18:38pour l'argent
01:18:39avec Kikanna,
01:18:39on se pose
01:18:40un peu plutôt
01:18:40sur le besoin
01:18:42de qu'on écrit
01:18:43un projet,
01:18:45exactement,
01:18:45surtout au niveau
01:18:46national.
01:18:47C'est simple,
01:18:48c'est aussi simple
01:18:49que l'ONG
01:18:51de qu'on écrit
01:18:51un projet
01:18:52quand un bailleur
01:18:52de fonds
01:18:53propose un appel
01:18:55à un projet.
01:18:56Le pays
01:18:56répond de manière
01:18:58le plus simple
01:18:59possible
01:19:00avec une clarté
01:19:02par rapport
01:19:03à ce qui est demandé.
01:19:04La deuxième chose
01:19:05qui est demandé,
01:19:06c'est...
01:19:06Vous avez des soucis
01:19:07à ce niveau ?
01:19:09Je ne sais pas
01:19:10des soucis,
01:19:10mais je pense
01:19:11qu'il y a des besoins.
01:19:12Aujourd'hui,
01:19:13nous avons une estimée
01:19:14à peu près
01:19:156,5 milliards
01:19:16qui nous besaient
01:19:17de l'or
01:19:18pour qu'on peut répondre
01:19:19à tout le besoin
01:19:20pour adapter
01:19:21au changement climatique
01:19:22à Maurice.
01:19:22Nous avons ça
01:19:23de beaucoup de discours.
01:19:25Et pourtant,
01:19:25nous ne gagnons
01:19:26à peine
01:19:27118,
01:19:28100 et quelques
01:19:29mille dollars.
01:19:30Nous ne gagnons
01:19:308 à 9% seulement
01:19:32en ces quelques
01:19:34dernières années,
01:19:35seulement 9% d'argent.
01:19:36Qui fait ?
01:19:37Parce qu'il n'y a pas
01:19:38de récit convaincre
01:19:38les bailleurs
01:19:40qui nous besoins
01:19:40à leur argent-là
01:19:41et qui ont besoin
01:19:41de nous faire
01:19:42l'argent-là.
01:19:42Moi, je ne sais pas.
01:19:43Moi, je peux dire
01:19:44simplement que
01:19:44si nous les plisent
01:19:46leur argent,
01:19:46nous besoins
01:19:47de l'avant.
01:19:48Nous besoins
01:19:48de dire
01:19:48de nous exister,
01:19:49nous là,
01:19:50nous avons la capacité.
01:19:51Comment nous gagnons
01:19:51la capacité ?
01:19:53Nous apprenons
01:19:53à écrire
01:19:54un projet correctement
01:19:55et nous mettons
01:19:56en place
01:19:56un système
01:19:57de transparence
01:19:58lors de monitoring
01:19:59et d'évaluation.
01:20:01Nous besoins
01:20:01qu'il n'y a pas
01:20:01de prouver
01:20:02à tout le monde
01:20:02qu'il nous peut
01:20:03faire une affaire
01:20:03de manière transparente
01:20:04et qu'il ne nous parle
01:20:05seulement dire
01:20:06qu'il nous peut
01:20:07utiliser leur argent
01:20:07et tout le monde
01:20:08nous pose la question
01:20:08comment vous pouvez
01:20:09servir ça leur argent-là ?
01:20:10Est-ce qu'il y a une référence
01:20:11au bureau ?
01:20:12Est-ce qu'il y a une
01:20:12affaire de nouveau loto ?
01:20:13Est-ce qu'il y a une
01:20:15fait avec ça leur argent ?
01:20:15Est-ce qu'il y a un système
01:20:18d'évaluation
01:20:19et de monitoring
01:20:19plus clé
01:20:20et plus transparent ?
01:20:22La troisième chose
01:20:22qu'il nous besoin
01:20:23c'est qu'il nous besoin
01:20:24de faire
01:20:24de manière du monde.
01:20:27Si nous ne sommes pas
01:20:27de manière du monde
01:20:28pour que nous comprenons
01:20:29qu'il y a une barrière
01:20:29de fond au lait
01:20:30nous ne sommes pas capables
01:20:30de répondre correctement.
01:20:31Et ça, il n'est pas
01:20:33de manière du pays
01:20:34il est pour tout.
01:20:35Tout est de cette manière-là.
01:20:37Vous connaissez
01:20:37une affaire qui concerne
01:20:38les gens
01:20:39c'est qu'il ne faut pas
01:20:40faire erreur de leur argent.
01:20:41Compte, il faut balancer
01:20:42mais pas juste balancer.
01:20:45Il faut servir
01:20:45comment il est supposé
01:20:46être appelé à servir.
01:20:49Nous ne devons faire
01:20:50un travail comme ça
01:20:50nous devons montrer
01:20:51de faire un travail comme ça.
01:20:53Si il nous coûte plus
01:20:53il nous faut connaître.
01:20:54Si il nous coûte moins
01:20:55il faut connaître.
01:20:56Et comment nous pouvons
01:20:56servir ça leur argent-là
01:20:57ailleurs pour gagner
01:20:58de meilleurs résultats
01:20:59de meilleurs impacts
01:21:00encore.
01:21:01Et ce qu'il nous faut
01:21:03assurer, c'est qu'il est
01:21:04Maurice est capable
01:21:06d'être le pot de parole
01:21:07des autres îles
01:21:09de l'océan Indien.
01:21:11Aujourd'hui,
01:21:11il nous faut positionner
01:21:12dans un sens-là
01:21:13pour qu'il nous soit
01:21:13capable de nous la voir.
01:21:15Demain, il y a
01:21:16toute une discussion
01:21:18et il n'y a aucun signe
01:21:19par rapport à l'utilisation
01:21:21des eaux non-territoriales.
01:21:23Des eaux internationales
01:21:24non-territoriales.
01:21:26Chaque pays,
01:21:26on connaît,
01:21:27il y a 200 marins
01:21:28qui sont à leur disposition.
01:21:30C'est ça,
01:21:30la zone économique marine
01:21:32de chaque pays,
01:21:34de chaque île.
01:21:35Mais on voit un abeure,
01:21:36ça,
01:21:36tous les restes,
01:21:37c'est la zone internationale.
01:21:38Aujourd'hui,
01:21:38il y a un accord,
01:21:39depuis quelques années déjà,
01:21:41pour dire comment nous avons
01:21:42servi une ressource
01:21:43dans ce accord-là.
01:21:44et ça,
01:21:46c'est quelque chose
01:21:46sur lequel
01:21:47Maurice
01:21:47nous a positionné
01:21:48correctement
01:21:49et solidement
01:21:50pour qu'on ne peut pas
01:21:51être une vraie force
01:21:54avec laquelle
01:21:56nous avons discuté
01:21:56si je téléutilise
01:21:57ça au territorial,
01:21:59au non-territorial,
01:22:00international
01:22:00qu'il y a
01:22:01dans l'océan indien.
01:22:04Nous sommes capables
01:22:04dans nos mots
01:22:05et comment nous pouvons
01:22:05servir ça ?
01:22:06Vous connaît,
01:22:06les eaux territoriales
01:22:07nous avons servi
01:22:08depuis la hausse,
01:22:08jusqu'en bas.
01:22:09Les eaux internationales
01:22:10nous avons servi
01:22:11d'une partie,
01:22:13nous avons pas servi tout.
01:22:15Donc,
01:22:15quand nous pouvons
01:22:16rentrer là-dedans,
01:22:17comment nous pouvons
01:22:17servir-y ?
01:22:18Donc,
01:22:18c'est là-dessus
01:22:19qu'il nous faisait
01:22:19positionner.
01:22:20Vous comprenez ?
01:22:21La hausse,
01:22:21tout gagne droit
01:22:22c'est la vie.
01:22:22C'est le fond
01:22:23qui nous peut causer là.
01:22:25C'est là que
01:22:26il peut y avoir
01:22:26une ressource génétique,
01:22:28il peut y avoir
01:22:28une ressource minérale,
01:22:30il peut y avoir
01:22:30une ressource organique,
01:22:32un poisson,
01:22:33etc.
01:22:33derrière.
01:22:34Il y a beaucoup
01:22:34de choses
01:22:35qu'il nous faisait
01:22:35apprendre,
01:22:36nous faisons
01:22:36qu'à mettre
01:22:36de plus en plus
01:22:37de l'avant.
01:22:38Et mon corps,
01:22:43encore...
01:22:44Non,
01:22:45c'est d'utilisation...
01:22:46Oui,
01:22:47mais là,
01:22:47nous n'arrivons
01:22:47dans un problème.
01:22:49Mais laisse-moi
01:22:50révéler le dépoint.
01:22:51Justement,
01:22:51avant que vous
01:22:52terminez,
01:22:53il nous reste
01:22:544 minutes.
01:22:54C'est ça.
01:22:55On passe très vite.
01:22:56Alors,
01:22:56justement,
01:22:57révéler le point
01:22:58et ensuite,
01:22:59on va dire
01:23:00l'oxydé de montagé.
01:23:00Parce qu'il m'a
01:23:00note un site
01:23:01Beachcombe
01:23:02comme labellisé
01:23:04F-Tchèque.
01:23:05Donc,
01:23:05c'est ça,
01:23:05même l'hôtel-là
01:23:06qui peut construire
01:23:07un hôtel,
01:23:10c'est le même groupe-là
01:23:11qui peut construire
01:23:11un hôtel MNH
01:23:13à les salines
01:23:14à Riviannois.
01:23:14Il n'y a pas autant
01:23:15pour ça.
01:23:16Vous vous mentionnez
01:23:16un peu plus tôt, là.
01:23:17Non,
01:23:18vous ne me mentionnez
01:23:18ça plus tôt,
01:23:19vous ne me mentionnez.
01:23:19Non,
01:23:20mais maintenant,
01:23:20je me mentionne
01:23:21que Beachcombe
01:23:22labellisé
01:23:23à F-Tchèque.
01:23:23Donc,
01:23:24je me trouve
01:23:24un peu autant
01:23:25pour la justice
01:23:26environnementale
01:23:27de s'y mentionner
01:23:28que c'est ce groupe-là,
01:23:29MNH,
01:23:30qui est en train
01:23:30d'avoir un projet
01:23:31pour construire
01:23:33un hôtel
01:23:33au saline,
01:23:34dans un wetland
01:23:35au saline
01:23:36à Riviannois.
01:23:37L'autre affaire
01:23:37qui m'a un peu mentionné
01:23:39aussi,
01:23:40c'est capacité
01:23:42d'écriture
01:23:42de projet.
01:23:43Il y a aussi,
01:23:44ce qu'il me comprend,
01:23:46c'est qu'il y a
01:23:47différents fonds.
01:23:49Adaptation Fund,
01:23:51GEF,
01:23:52il y a encore
01:23:52des autres gros fonds.
01:23:54Et je comprends
01:23:55qu'il y a un rating,
01:23:58les gars appellent ça
01:23:58le Jeff Performance Index,
01:24:01qui est un peu
01:24:03comme un Moody's,
01:24:05quelque part,
01:24:05qui donne un peu
01:24:06une note,
01:24:07un peu de notes
01:24:07de pays
01:24:07s'il y a une capacité
01:24:09d'implément
01:24:09de ce projet ou pas.
01:24:11Quand un pays
01:24:12prend un policy
01:24:14décision,
01:24:16quand il ne peut
01:24:17pas pour réussir
01:24:18d'acheter
01:24:19ce commitment
01:24:20dans NDS
01:24:21ou dans
01:24:22Nationally Determined
01:24:24Contribution
01:24:25ou ce que je veux dire,
01:24:26ça va baisser.
01:24:28Donc,
01:24:29nous devons aussi
01:24:30être cohérents
01:24:31dans,
01:24:32quand nous devons
01:24:33une casse,
01:24:34mais quelle cohérence
01:24:35nous avons
01:24:36par rapport
01:24:36à notre policy
01:24:37et nous connaît
01:24:38qu'il y a un grand
01:24:39fonds
01:24:39de l'Asie,
01:24:40c'est les Nations Unies
01:24:40qui pégèrent tout ça
01:24:41et il y a
01:24:43la nécessité
01:24:44d'inclure
01:24:45les citoyens,
01:24:47les sociétés
01:24:47civiles
01:24:48et les autres parties
01:24:49parce qu'il n'est pas
01:24:50capable
01:24:50d'avoir un modèle
01:24:53de politique
01:24:54qui n'est pas inclusif.
01:24:55voilà,
01:24:56pour mon petit point
01:24:57qui m'a dit
01:24:57pas envie de rajouter.
01:24:58Voilà,
01:24:59nous sommes arrivés
01:25:00à la fin
01:25:01de notre émission,
01:25:02monsieur qui nous
01:25:02ne peut pas
01:25:02pas passer
01:25:03encore au plus,
01:25:05mais c'est aussi
01:25:05une occasion
01:25:07pour qu'il nous
01:25:07retrouve nous
01:25:08encore,
01:25:08dans cette partie-là,
01:25:09pour les autres thèmes
01:25:10à la cause environnementale
01:25:12et aussi
01:25:13développement durable
01:25:13et qui nous
01:25:15pourra pas faire
01:25:15de façon un petit peu
01:25:16plus régulière.
01:25:17Sébastien Chevoise,
01:25:19merci d'avoir accepté
01:25:19notre invitation,
01:25:20merci d'avoir été là
01:25:21ce soir.
01:25:22Mano Jouardy,
01:25:23merci beaucoup
01:25:23d'avoir été là
01:25:24ce soir
01:25:25et aussi
01:25:26tous les dits
01:25:26pour tous
01:25:27à l'information
01:25:27qui se finit
01:25:28amener là
01:25:28et monsieur
01:25:29qui est jeune
01:25:31ou moins jeune,
01:25:32tout du monde
01:25:32finit écoute
01:25:33et non seulement
01:25:34l'émission
01:25:34mais une prise
01:25:35de conscience
01:25:36environnementale
01:25:36c'est pas si
01:25:37bien l'auditeur
01:25:37mais aussi
01:25:38bien l'opérateur
01:25:38et bien l'autorité.
01:25:40Alors,
01:25:41cette semaine,
01:25:42nous allons laisser
01:25:42la place que j'ai dit
01:25:43chez moi
01:25:43vendredi prochain
01:25:45au cours
01:25:47où notre ami Nivèche
01:25:48aura l'occasion
01:25:49de présenter.
01:25:50Quant à nous,
01:25:51nous vous retrouvons
01:25:51la semaine prochaine.
01:25:52Bonne soirée.

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