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📌 Sommaire
📷 L’image de la semaine
Bayrou, le budget “choc” qui cache la forêt
43,8 milliards € d’économies qui évitent soigneusement de parler des vrais problèmes en polarisant notamment sur les deux jours fériés qui devraient disparaître, le 8 mai et le lundi de Pâques. Une proposition de François Bayrou mais surtout une attaque encore et toujours contre le contribuable qui profite de ce jour chômé pour se réunir en famille.
📰 Le dossier du jour
Pierre-Alain Cottineau, l’ancien candidat LFI et militant LGBT violeur d’enfants
Le Parisien nous a dévoilé du nouveau sur l’enquête concernant l’assistant familial de la région nantaise. Il serait à la tête d’un sordide réseau pédocriminel, dont la plus jeune victime serait un bébé de 5 mois. Une affaire que la gauche ne s’est pas précipitée de condamner et qui n’aura pas fait les grands titres sur Libération, France Info ou encore Le Monde.
💡 Les pastilles de l’info :
- La France, premier adversaire de la Russie ? Historique d'une manipulation
- Désinformation russe : l’enquête biaisée de BFMTV
- Après BFMTV, Brut bientôt racheté par un milliardaire franco-libanais ?
- Les incendies de voitures du 14 juillet dont personne ne parle !
- Intervilles : l’effondrement d’un symbole télévisuel
🔴 Conclusion
🎙️ Portrait piquant : Michel Drucker, l'inoxydable homme médiatique
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Bayrou, le budget “choc” qui cache la forêt
43,8 milliards € d’économies qui évitent soigneusement de parler des vrais problèmes en polarisant notamment sur les deux jours fériés qui devraient disparaître, le 8 mai et le lundi de Pâques. Une proposition de François Bayrou mais surtout une attaque encore et toujours contre le contribuable qui profite de ce jour chômé pour se réunir en famille.
📰 Le dossier du jour
Pierre-Alain Cottineau, l’ancien candidat LFI et militant LGBT violeur d’enfants
Le Parisien nous a dévoilé du nouveau sur l’enquête concernant l’assistant familial de la région nantaise. Il serait à la tête d’un sordide réseau pédocriminel, dont la plus jeune victime serait un bébé de 5 mois. Une affaire que la gauche ne s’est pas précipitée de condamner et qui n’aura pas fait les grands titres sur Libération, France Info ou encore Le Monde.
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NewsTranscription
00:00Le compte à rebours est lancé. La mobilisation massive doit se poursuivre d'ici le 20 juillet.
00:07Mettez TVL hors de danger.
00:30Bonjour à tous. Je suis ravie de vous retrouver dans Immédiat, l'émission qui passe au crible, les journaux et les journalistes français.
00:53Bonjour Jean-Yves.
00:54Bonjour Floriane.
00:55Alors Jean-Yves, avant de commencer cette émission, j'ai un petit message à faire passer aux téléspectateurs d'Immédiat.
01:03Il nous reste cinq jours seulement de campagne de dons. Vous voyez notre petite publicité depuis plusieurs semaines maintenant.
01:12Je voudrais m'adresser particulièrement à ceux qui ne donnent pas et qui regardent Immédiat.
01:18Il faut soutenir TV Liberté.
01:21Si vous voulez qu'une émission comme Immédiat perdure, il faut nous soutenir.
01:26Alors je vous invite à donner et à participer à cette campagne de dons pour TV Liberté.
01:31C'est notre seul apport financier.
01:34Le programme d'Immédiat, une fois que les choses sont dites, le voici.
01:38Nous allons revenir sur le budget, cette fois-ci présenté par M. Bérou.
01:43Et puis, en deuxième partie, nous reviendrons sur le scandale pédocriminel de Pierre-Alain Cotineau, un ancien militant LFI.
01:53Et vous verrez que les journaux de gauche ne se précipitent pas particulièrement pour traiter cette affaire.
01:59On reviendra ensuite sur les pastilles de l'information et le portrait piquant, bien sûr, qui sera une rediffusion consacrée à M. Drucker.
02:09L'occasion d'évoquer, bien sûr, la disparition de M. Ardisson qui ne lui a pas survécu.
02:15Si le programme vous plaît et si vous voulez soutenir Immédiat, je vous invite dès maintenant à cliquer sur le pouce en l'air, à nous laisser un commentaire juste en dessous.
02:24Certains écrivent simplement référencement.
02:27Il n'y a pas besoin d'être très créatif non plus.
02:30Cela suffit et cela permet vraiment de mettre en valeur notre émission dans l'algorithme de YouTube.
02:36Si vous êtes prêts, c'est parti.
02:39L'image, ou plutôt les images cette semaine, elle tourne tout autour de M. François Béroud, notre Premier ministre,
02:52qui a présenté un peu le budget qui cache la forêt.
02:55Effectivement, il avait une mission importante.
02:59Il lui fallait réduire le déficit en France à 4,6% du PIB grâce à 43 milliards d'euros d'économies qui ont été annoncés en grande pompe dans les médias.
03:13Avec un mot quand même qui est revenu à bien des reprises.
03:18On a Courrier international qui nous parle d'annonce choc.
03:21France Bleue qui nous parle de propositions choc.
03:23Les échos régime choc.
03:25Champagne FM, le budget choc.
03:27BFM TV, les annonces choc.
03:30Toute la presse a utilisé la terminologie choc.
03:34Alors que globalement, on est plutôt resté sur des sujets chics.
03:38Si je puis continuer sur cette allitération, Jean-Yves.
03:42Parce que ce prétendu choc, évidemment, se garde bien d'intervenir et de s'attaquer aux sujets qui fâchent.
03:47C'est-à-dire l'immigration, l'Union Européenne, la guerre en Ukraine, la fraude sociale, l'insécurité, etc.
03:54Jean-Yves, vous avez évidemment un commentaire à faire.
03:56Oui, le mot choc est tout à fait abusif pour la raison que vous avez invoquée, à savoir qu'on ne traite pas les choses fondamentales.
04:04On va raboter un peu, on va rajouter de l'impôt comme d'habitude, on va raboter un peu.
04:09Mais il n'y a pas vraiment de choc.
04:11Et notamment, on nous dit 45 milliards.
04:15Ça paraît beaucoup, 45 milliards.
04:17Mais le déficit, il est de 170 milliards.
04:20Donc, c'est à peine le quart du chemin qui reste à accomplir pour rétablir un équilibre budgétaire,
04:29ce qui serait évidemment nécessaire et qui sera nécessaire un jour.
04:35Donc, choc, oui.
04:37Moyen, moyen.
04:38Comme on va le voir en continuant, les médias ont ensuite polarisé sur une petite partie du discours de François Bayrou.
04:47Et cette petite partie, ce sont bien sûr les jours fériés.
04:51On a François Bayrou qui a proposé effectivement la suppression de deux jours fériés.
04:56Lesquels ?
04:57Eh bien, le lundi de Pâques et le 8 mai.
05:00Alors, là aussi, il y a beaucoup de commentaires à faire, Jean-Yves.
05:04Oui.
05:04Alors, je crois d'abord qu'il y a un aspect leurre dans l'affaire.
05:10L'heure, on polarise sur les jours fériés.
05:13Et pendant ce temps-là, on laisse passer la hausse d'impôts.
05:17Parce qu'il y aura quand même de la hausse d'impôts.
05:19C'est essentiellement des hausses d'impôts, les 45 milliards.
05:24Bon.
05:25Et le leur est double.
05:26Parce qu'on lance deux jours fériés.
05:30Comme ça, oui.
05:30Le 8 mai et le lundi de Pâques, en fait, pour abandonner à terme le 8 mai,
05:37parce qu'on expliquera que ce n'est pas possible, compte tenu de ce que le 8 mai commémore.
05:41Et comme ça, on supprimera le lundi de Pâques, comme on a supprimé,
05:45comme Raffarin a supprimé, ou plus ou moins supprimé, il y a 20 ans, le lundi de Pentecôte.
05:50Sauf qu'indépendamment de l'aspect religieux de ces fêtes traditionnelles,
05:57c'est aussi ce qui permet, à la fois les trois jours de Pâques et les trois jours de Pentecôte,
06:03un certain nombre de fêtes votives, de fêtes familiales, de fêtes communautaires.
06:08Et donc, finalement, ce n'est pas neutre.
06:11C'est un élément de destruction du tissu social,
06:15pour un bénéfice, en vérité, assez dérisoire.
06:18Ce n'est pas le vrai sujet.
06:22Le vrai sujet, c'est les structures de dépenses.
06:24Les structures de dépenses, c'est la transition écologique,
06:27qui coûte 25 milliards en pure perte.
06:30C'est l'immigration, qui coûte 50 milliards à minima.
06:34On y reviendra.
06:35Voilà, c'est ça, les vraies réformes qu'il faudrait.
06:38C'est le gaspillage associatif.
06:40C'est les agences d'État.
06:43Tout ça, on n'y touche pas.
06:44Et on lance dans le débat ce malheureux lundi de Pâques,
06:49qui est un élément de convivialité.
06:51En demandant, encore une fois, à la France qui travaille de participer,
06:55parce que ce sera Nicolas qui payera,
06:57et Nicolas qui ne pourra plus fêter son lundi de Pâques.
07:00Alors, les oppositions se sont déjà positionnées.
07:03Ça y est, Jean-Yves, elle commence à agiter la menace de la censure du gouvernement Bérou.
07:10Peut-être que vous avez un commentaire à faire.
07:13Alors, ça a été annoncé, pour l'instant, par la gauche et par le Rassemblement national.
07:17Oui, alors, c'est aussi du jeu politique.
07:20Parce qu'on annonce la censure, c'est le minimum, soit pour la beauté,
07:26soit pour qu'on vous donne des arguments de ne pas la beauté,
07:30en acceptant certaines de vos propositions.
07:33Donc, c'est aussi l'ouverture d'une négociation.
07:37Comme dirait le président Trump, c'est l'ouverture du deal.
07:42Voilà, j'annonce la censure pour éventuellement,
07:45ça vaut pour la gauche, pour les socialistes comme pour le RN,
07:48pour éventuellement la retirer,
07:50si j'obtiens quelques satisfactions raelles, pratiques ou symboliques.
07:55Voilà.
07:55Oui, ce sont beaucoup de tractations, finalement,
07:58qui sont cachées et recouvertes parmi tous cet univers médiatique
08:03qui prend beaucoup d'espace.
08:06Mais derrière, les politiques, ça construit, ça marchande, ça nomine.
08:11D'ailleurs, il y a une nomination à la Cour des comptes
08:13qui n'est pas passée tout à fait inaperçue dans le même temps que ce budget.
08:17C'est Najavalo Belkacem qui arrive à la Cour des comptes
08:21et la Dépêche pose cette question.
08:23Ce choix est-il un marchandage politique ?
08:25L'ancienne ministre s'en défend, naturellement.
08:27Cela avait été annoncé par le Canard Enchaîné le 8 juillet dernier,
08:32quand même, donc ils étaient un peu à la pointe de l'info.
08:36Semblerait-il que cette nomination permettrait la neutralité
08:40dans un second temps du groupe Parti Socialiste
08:43lors du vote du budget à la rentrée en septembre ?
08:47Vous avez peut-être un commentaire à faire là-dessus
08:50pour rejoindre M. Moscovici.
08:52Voilà.
08:53Dans les corps d'État, il y a les nominations qui sont des promotions
08:56pour les gens qui sont dans le corps et qu'on promeut.
09:01Il y a des tours extérieures pour les gens qui viennent d'autres administrations
09:04et qu'on nomme.
09:05Et puis il y a ce qu'on appelle les tours gouvernementaux
09:08où le gouvernement nomme un peu à sa main, à sa disposition,
09:13les gens qu'il veut nommer, en fait qu'il veut récompenser.
09:17Et donc Mme Vallaud-Belkacen, qui a prétendu passer un concours,
09:22ce n'est pas un concours, elle va être choisie par faveur gouvernementale,
09:27comme d'autres d'ailleurs ont été choisies par faveur gouvernementale.
09:30Il y a quelques années, Mme Fadela Amara,
09:33ancienne fondatrice de l'association Ni pute ni soumise,
09:37une variante de SOS Racisme,
09:39et qui avait été ministre de M. Sarkozy,
09:42avait été nommée inspectrice générale des affaires sociales.
09:47C'est un peu le même esprit.
09:48Là, évidemment, on se dit peut-être qu'il y a peut-être un cadeau
09:52à M. Vallaud, qui est le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale,
09:58et dont Mme Vallaud-Belkacen est l'épouse.
10:02Voilà, donc c'est un peu, ça paraît un peu cousu de fil blanc.
10:06Ça n'a rien de très nouveau quand même.
10:08– Oui, oui, oui, c'est habituel.
10:09Mais c'était bien de le souligner.
10:12– Il y a un autre aspect peut-être, M. Boscovici,
10:16est réputé pour nommer, promouvoir, avantager
10:21les gens qui viennent du parti socialiste.
10:23Ce n'est pas un président neutre de la Cour des comptes,
10:25c'est un président militant, c'est un président engagé.
10:28– Absolument, et c'est d'ailleurs spécifié dans le Canard Enchaîné,
10:32il commence l'article de la façon suivante.
10:34Reste une question, Jean-Yves,
10:35fera-t-elle, notre Najavalo-Belkacem,
10:39des rapports, des notes sur le coût de l'immigration
10:42depuis sa nouvelle position ?
10:44L'avenir nous le dira, mais c'est très peu probable.
10:47En tout cas, voici un petit rapport qui est passé assez inaperçu dans la presse,
10:52suite à des données d'Eurostat,
10:55qui nous révèle que le taux d'emploi des immigrés en France
10:59est le deuxième plus faible de l'Union européenne.
11:02Un article de Valeurs Actuelles aura fait le travail sur le sujet.
11:06On nous explique qu'en France, il y a 1,7 million d'immigrés
11:09qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni à la retraite.
11:14Et on nous explique que ce taux d'emploi des descendants d'immigrés,
11:18donc la deuxième génération, est de 59,7%,
11:23donc moins élevé encore que la première génération d'immigrés en France.
11:28L'estimation du manque à gagner de cette position des immigrés en France,
11:34ce serait 100 milliards d'euros par an pour l'économie française,
11:38donc ce n'est pas tout à fait rien en effet,
11:39et 45 milliards d'euros également de recettes fiscales et sociales
11:44qui sont manquantes à cause de ce taux d'emploi extrêmement faible.
11:48Alors, l'immigration, le débat est clos.
11:51L'immigration, ça coûte.
11:53L'immigration, ça coûte cher.
11:55C'est un élément fondamental du déficit.
11:57Et on en rajoute tous les ans.
11:59Parce que cette année, comme l'année dernière d'ailleurs,
12:04il va rentrer 500 000 étrangers supplémentaires.
12:08Et 500 000 étrangers supplémentaires, c'est potentiellement 50 milliards d'euros.
12:15Pourquoi ? Parce qu'à chaque fois qu'un étranger entre,
12:18il faut créer des places dans les écoles, dans les hôpitaux,
12:23il faut créer des logements, il faut créer des places dans les transports.
12:26Alors, on ne le crée peut-être pas immédiatement,
12:28mais si on ne le crée pas, on appauvrit l'ensemble de la population.
12:35Et c'est bien ce qui se passe.
12:36Mais je n'ai pas entendu une seule fois le mot immigration
12:40dans le discours de M. Bérou.
12:42C'est l'éléphant au milieu de la pièce.
12:44C'est ce qu'on ne veut pas voir.
12:46Et tant que ce tabou ne sera pas brisé,
12:48il n'y aura pas de solution budgétaire en France.
12:51– Place maintenant à notre dossier du jour
12:55qui est consacré à la sordide affaire, très sordide affaire,
12:58même Pierre-Alain Cotineau.
13:01– L'affaire débute en février dernier,
13:06lors de la révélation de faits de viol particulièrement odieux,
13:11puisque ce sont des viols sur une fillette handicapée de 4 ans,
13:17dont Pierre-Alain Cotineau avait la garde.
13:20Ça a été révélé par le Parisien dans un premier temps.
13:24Ce sont eux vraiment qui auront fait le boulot sur cette affaire.
13:28Ils viennent de publier maintenant les suites de cette enquête
13:31qui nous plonge dans les actes de cet ancien militant LFI,
13:37mais également militant LGBT,
13:39très engagé dans l'ensemble du tissu militant et associatif.
13:43– Organisant des gay pride.
13:46– Organisant des gay pride, etc.
13:47– Dans LGBT d'ailleurs, LGBTQ+,
13:49et dans le plus-plus, on n'exclut pas la pédophilie.
13:54– Alors la deuxième partie de cette enquête nous révèle
13:57que Pierre-Alain Cotineau était à la tête d'un réseau pédocriminel,
14:01qu'il publiait des images,
14:03on nous parle de viol et de soumission chimique sur un enfant de 3 ans,
14:08mais également on revient sur un bébé de 4 ou 5 mois
14:11qui aurait été victime de ces agissements,
14:14des enfants qui ont été mis en laisse,
14:17enfin vraiment le sordide du sordide.
14:20Je n'ai rarement entendu pire que cette affaire pédocriminelle.
14:25La photo que le Parisien a choisi de mettre,
14:29elle n'est pas tout à fait neutre,
14:30parce que les internautes ont évidemment retrouvé la source de l'image.
14:33Et la source de l'image, c'est Pierre-Alain Cotineau
14:36qui pose à côté de Manon Aubry.
14:38On a également d'autres photos qui ont circulé de Pierre-Alain Cotineau
14:43sur les réseaux sociaux.
14:45On a Pierre-Alain Cotineau qui organise une manifestation
14:48contre le harcèlement anti-LGBT
14:51et qui demande plus d'inclusion dans les programmes pour les enfants.
14:58L'un des membres qui porte la banderole derrière M. Cotineau
15:02qui fait le discours,
15:03donc il était vraiment un personnage central de Loire-Atlantique,
15:08Eh bien, c'est Andy Kerbrat.
15:10Andy Kerbrat, si le nom ne vous dit rien,
15:12il s'agit du député de Loire-Atlantique,
15:15de la deuxième circonscription.
15:17Il a été interpellé le 17 octobre dernier
15:20pour achat de 3 MMC,
15:24c'est-à-dire une drogue qui est fréquemment utilisée
15:27pour pratiquer le chemsex.
15:29Et avec quel argent a-t-il acheté cette drogue ?
15:32Bien sûr, avec son enveloppe parlementaire,
15:34parce qu'on n'est jamais à quelques économies près,
15:38sur le dos des Français.
15:3925 000 euros quand même d'argent de son enveloppe,
15:43d'avance de frais qui ont été retirés en liquide
15:45ou vers son compte personnel.
15:47Donc, ce n'est pas tout à fait rien.
15:50Pierre-Alain Cotineau, je vous le disais,
15:51ancien militant LFI, ancien candidat.
15:55Est-ce que Libération fait un article sur Pierre-Alain Cotineau ?
16:00J'ai cherché sur Google, il n'y a rien qui ressort
16:02lorsqu'on tape Pierre-Alain Cotineau, Libération.
16:06Je suis allée plus loin, je me suis rendue sur le site de Libération.
16:10Et j'ai cherché dans la barre des mots-clés.
16:13Aucun article de Libération.
16:15Très étonnant, vous me direz.
16:17On a France Info également,
16:19sur lequel j'ai recherché Pierre-Alain Cotineau.
16:22Zéro réponse, zéro résultat,
16:25sur monsieur Pierre-Alain Cotineau
16:27à la tête d'un réseau pédocriminel.
16:30Et le monde non plus n'en parle pas.
16:32C'est étrange tout de même, cet omerta.
16:35La gauche ne s'est réellement pas précipité
16:37pour parler de cette affaire.
16:40Pourquoi ?
16:41Eh bien, il faudra répondre à cette question.
16:44Le seul article qui existe dans la gauche,
16:47c'est l'article de l'Humanité
16:48qui revient sur cette affaire
16:52en titrant des vidéos abjectes
16:53témoignent du terrifiant réseau pédocriminel
16:56de Pierre-Alain Cotineau.
16:57Il mentionne bien que c'est un candidat
17:00de la France Insoumise.
17:02Mais à la fin de cet article,
17:03ce qui m'a particulièrement intéressée,
17:06c'est qu'il parle de condamnation unanime
17:08de ces actes barbares.
17:10Je viens de vous démontrer,
17:11chers téléspectateurs,
17:12que c'était très loin d'être unanime.
17:15Parce que Marianne aussi nous dit
17:17qu'il y a eu un choc à la France Insoumise.
17:20Enfin, personne ne s'est réellement positionné
17:21sur cet ancien candidat si le seul positionnement
17:26de la France Insoumise, c'est un communiqué de presse
17:29pour dire stop aux provocations indignes
17:32et aux insinuations écœurantes sur les réseaux sociaux
17:36par le groupe LFI du pays d'Annecy.
17:39D'Annecy, pardonnez, j'ai ma langue à fourcher,
17:43dont était membre Pierre-Alain Cotineau.
17:45Donc il y a eu un coup de gueule,
17:46mais personne n'a dénoncé...
17:48Un coup de gueule pour se plaindre...
17:49Pour se plaindre d'être assimilé...
17:51D'être assimilé à l'homme qui les représentait.
17:55Sauf que personne n'a condamné les actes de ce monsieur.
17:58C'est très dérangeant.
18:00Pourtant, la gauche est assez coutumière
18:03de pointer du doigt certaines personnalités qui dérangent.
18:07France Info, pas d'article sur Pierre-Alain Cotineau,
18:10mais un article sur Ludivine Daoudi
18:14qui était candidate RN à Caen
18:16et dont on a fortuitement retrouvé une photo d'elle
18:20en train de porter une casquette nazie.
18:23Voilà, donc elle a même sa photo dans France Info,
18:25cette brave dame.
18:26Alors, c'est assez intéressant l'affaire
18:27parce que je ne sais pas extrêmement fin ni de bon goût
18:31de se déguiser ainsi, mais ça relève du carnaval.
18:35Et à l'époque, on en avait fait un scandale
18:37absolu dans toute la presse, on avait dénoncé.
18:41Alors bon, c'est tout à fait regrettable,
18:45mais entre un déguisement de carnaval
18:49et le viol d'enfant avec acte de barbarie
18:53dans un réseau pédocriminel,
18:56c'est quand même pas tout à fait la même chose.
18:58Et or, médiatiquement, le viol avec barbarie
19:03dans le cadre d'un réseau pédocriminel d'un candidat et les filles,
19:07c'est l'occultation dans beaucoup de médias,
19:11en tout cas dans les médias de gauche,
19:12et cet acte de carnaval,
19:15c'est un scandale absolu.
19:17Et donc vous voyez le biais,
19:19le biais dans l'information.
19:20Quand on vous dit que l'information n'est pas une opinion,
19:23mais si, bien sûr,
19:24l'information qu'on ne traite pas,
19:27c'est en fonction de l'opinion de celui qui ne la traite pas,
19:29et l'information qu'on traite,
19:31c'est aussi en fonction de l'opinion de celui qui la traite.
19:34On a également Caroline Parmentier,
19:37qui a été largement criblée par les journalistes,
19:40et Libération qui dernièrement a pointé du doigt
19:44la députée RN, Laure Lavalette,
19:47en disant qu'elle rejoignait le troupeau des brebis-galeuses
19:51parce qu'elle aurait des positions anti-De Gaulle et pro-OAS.
19:56Voilà, c'est le terme de brebis-galeuses.
19:58Il vaut toujours mieux parler des brebis-galeuses chez les autres
20:01plutôt que dans son petit troupeau.
20:02Alors, en l'occurrence, s'agissant de Caroline Parmentier,
20:07elle a eu des écrits quand elle écrivait dans le quotidien présent,
20:10évidemment, qui est un quotidien catholique,
20:12donc elle a pu écrire des choses qui sont actuellement choquantes
20:16par rapport à la vision de la gauche.
20:19Quant alors, Lavalette, c'est une femme, je crois, de grande qualité.
20:24La qualifiée de brebis-galeuse est absolument honteuse,
20:28même si le mot a été utilisé très maladroitement
20:31par M. Bardella lors des élections de 2024.
20:36Et puis, Mme Lavalette va être candidate
20:39à Toulon, elle est candidate dans le Var.
20:42Et dans le Var, il y a quand même une tradition pied-noir
20:46qui garde quand même un assez mauvais souvenir
20:49de la fin de la guerre d'Algérie,
20:51où il faut quand même rappeler
20:53qu'il y a un million de personnes
20:55qui ont eu le choix entre la valise et le cercueil.
20:58C'est pas absolument choquant
21:00de rappeler cet épisode quand même assez triste
21:03de l'histoire française.
21:06Et Mme Lavalette a sans doute bien raison de le faire.
21:10Mais ça, c'est scandaleux, évidemment.
21:11C'est une opinion, c'est scandaleux.
21:13Voilà.
21:15Place maintenant au passif de l'information.
21:17On débute ces passifs de l'information
21:23avec un petit historique d'une manipulation bien française.
21:27Vous allez voir, la France est, elle,
21:29le premier adversaire de la Russie.
21:32C'est ce qu'a évoqué le SEMA,
21:36le général Burkard.
21:38Jean-Yves, avant qu'on l'écoute,
21:39peut-être une petite présentation de ce personnage
21:41qui est le chef d'état-major des armées françaises.
21:44Oui. Alors, on peut dire qu'il y a deux carrières,
21:46comme beaucoup chez les officiers.
21:48Il y a eu d'ailleurs une carrière opérationnelle
21:50dans un régiment de Légion.
21:53Et puis après, il a fait beaucoup une carrière
21:54d'état-major.
21:56Et notamment, c'est assez intéressant de le noter,
21:58une carrière dans la communication.
22:01Il a d'abord été adjoint pendant deux ans
22:03du chef de la communication,
22:05du chef d'état-major de l'armée de terre.
22:08Et puis après, il a été pendant trois ans
22:11le chef de la communication,
22:13du chef d'état-major de l'armée de terre.
22:15Vous voyez que c'est assez intéressant
22:16puisque qu'est-ce qui permet de devenir
22:17chef d'état-major de l'armée de terre
22:19et même de l'ensemble de l'état-major,
22:23des armées,
22:24c'est d'avoir fait une carrière dans la communication.
22:28Eh bien là, le général Burkard,
22:30il a fait de la communication
22:31sur commande de M. Macron.
22:33Eh bien, vous allez l'écouter.
22:34Il avait donné une conférence de presse
22:36assez exceptionnelle,
22:37le 11 juillet dernier,
22:40juste avant notre fête nationale.
22:43Je vous propose qu'on l'écoute.
22:44C'est très intéressant.
22:45Vous allez voir.
22:46Enfin, il y a la Russie
22:48et qui constitue la dernière partie
22:50de mon exposé.
22:51Un autre grand compétiteur
22:52qui a ouvertement désigné la France
22:55comme son premier adversaire en Europe.
22:57Moi qui l'ai dit.
22:58C'est la Russie qui l'a dit.
23:00Alors, la Russie,
23:01elle est partie prenante
23:03de toutes les menaces
23:04que je viens de décrire
23:05depuis le début de la fin.
23:06et elle constitue à ce titre
23:08une menace,
23:09ou presque toutes,
23:10une menace durable,
23:12proche
23:12et qui est pour moi
23:13la plus dimensionnante.
23:15Tout d'abord,
23:16la Russie,
23:16c'est une vraie puissance militaire,
23:18conventionnelle et nucléaire
23:20et c'est quelque chose
23:20qui est assumé.
23:21En fait, la Russie est construite
23:22sur son système de force
23:24et elle y consacre aujourd'hui
23:26encore des efforts énormes,
23:28colossaux,
23:28qu'on a du mal à imaginer.
23:30Elle a tous les attributs
23:31d'un État totalitaire.
23:32C'est un univers
23:33qui est relativement fermé.
23:34Quand je dis ça,
23:35je ne choque personne.
23:35une capacité de décision
23:37très centralisée
23:39et également
23:40un conditionnement
23:41de la population
23:41dès le plus bas âge
23:42qui est quelque chose
23:43qui est à bien prendre en compte.
23:45Un conditionnement
23:46de la population
23:46dès le plus bas âge,
23:47ça n'est évidemment
23:48pas le cas en France
23:49où les livres pour enfants
23:52sont idéologiquement orientés
23:55ou dès la maternelle
23:57et dès l'école primaire
23:59ont fait la formation de GIC.
24:00Mais c'est en France.
24:02C'est le problème,
24:03c'est en Russie,
24:03c'est pas en France.
24:04La France, tout va bien.
24:04C'est juste en Russie, ça ne va pas.
24:05Petite précision,
24:06j'ai dit qu'il avait été
24:06chef de la communication
24:07du chef d'État-major
24:08de l'armée de terre.
24:09Non, c'est chef de communication
24:10du chef d'État-major
24:11de toutes les armées.
24:13Voilà, ça porte la précision.
24:15Alors, évidemment,
24:16BFM TV, en diffusant cet extrait,
24:18le titre de la façon suivante,
24:20il titre
24:20« La Russie a ouvertement désigné
24:22la France comme son premier adversaire
24:24en Europe.
24:25Toute la presse a repris. »
24:27Tant et si bien
24:27qu'à un moment,
24:29on s'est demandé
24:30si réellement la Russie
24:31avait réellement tenu
24:33ce genre de propos.
24:34Cela a été vérifié
24:35par TF1 Info et LCI.
24:38D'ailleurs, ils disent
24:39que c'est plutôt vrai.
24:40Vous allez voir cette assertion.
24:41Donc, on pose la question.
24:42Voilà, Vladimir Poutine
24:44a-t-il vraiment désigné
24:45la France
24:45comme son adversaire
24:46principal en Europe ?
24:48Eh bien,
24:50le texte commence
24:51de la façon suivante.
24:51S'il n'existe pas
24:52de déclaration officielle
24:54en ce sens,
24:54Moscou a pris Paris
24:56pour cible
24:56à plusieurs reprises.
24:58Tiens, bon,
24:59dans le cadre
25:00de campagnes
25:01de désinformation.
25:02Moi, j'ai cru presque
25:03qu'on s'était pris
25:03des roquettes
25:04quand ils annoncent cela.
25:06Mais dans quel contexte
25:07et à quel moment
25:07le chef d'État
25:08a-t-il tenu ses propos ?
25:09Donc, voilà,
25:10on continue de dérouler
25:11l'article.
25:11« Nous n'avons retrouvé
25:13aucune trace
25:14d'une telle déclaration
25:15par Vladimir Poutine
25:16ni sur les réseaux sociaux,
25:17ni dans la presse russe,
25:18ni dans les agences de presse,
25:20ni dans les déclarations
25:20officielles du Kremlin. »
25:22Bon, c'est embêtant
25:23tout de même, tout ça.
25:23Le général Ajoute
25:26semble s'être inspiré
25:28d'un récent sondage
25:29auprès de la population russe
25:32qui indique que la France
25:33à 48%
25:34est le pays
25:35qui entretient
25:35les relations tendues
25:37et hostiles
25:38avec la Russie,
25:39ceux devant le Royaume-Uni,
25:40l'Allemagne,
25:41l'Ukraine,
25:41ça, on pouvait s'en douter,
25:42et les États-Unis.
25:44Voilà.
25:45Donc, en fait,
25:46on passe d'un propos
25:47qui s'inspire, en fait,
25:48d'un sondage
25:49qui n'a pas été tenu
25:51ni par le président...
25:54Enfin, c'est de la fumisterie.
25:56Le ministère des Armées,
25:57d'ailleurs,
25:57a été contacté
25:58par les vérificateurs
25:59et il a confirmé
26:00qu'il s'agissait
26:01d'une figure rhétorique
26:02et que le général
26:04avait employé
26:05le nom Russie
26:06pour dire Poutine
26:07ou l'inverse,
26:08on ne sait plus.
26:09Mais le général
26:09qui est un spécialiste
26:10de la communication
26:11et donc de la désinformation.
26:15On a deux problèmes,
26:16en fait,
26:17qui s'exposent à nous.
26:18Maintenant, Jean-Yves,
26:19ce propos
26:21qui a été largement
26:21diffusé dans la presse...
26:23Mais qui est efficace
26:24parce que c'est
26:24ce que l'opinion retient.
26:25Bien sûr.
26:26L'opinion retient,
26:27on lui dit
26:27la Russie nous désigne
26:28comme ennemis
26:29alors qu'en vérité,
26:30c'est Macron
26:30qui passe son temps
26:31à titiller la Russie
26:34avec d'ailleurs
26:35des conséquences
26:36assez graves
26:36sur le plan diplomatique
26:37puisque l'Indonésie
26:40qui a participé
26:40au défilé militaire,
26:42le président indonésien
26:43n'a pas participé
26:45au dîner
26:45qui a suivi
26:46ni aux présentations
26:47de matériel militaire
26:48à cause précisément
26:50des positions
26:51de géopolitique
26:52de Macron
26:53alors que c'est un pays
26:54qui nous achète
26:55des rafales.
26:56Donc, c'est absolument fou.
26:58C'est compliqué.
26:59Alors, ça signifie
27:00quand même
27:00que le chef d'État
27:01major des armées
27:03présente
27:04des versions
27:05manichéennes
27:07de la réalité
27:07pour servir
27:08son propos
27:09et deuxièmement
27:11cela signifie aussi
27:12que la presse
27:13dès lors qu'elle a
27:14quelque chose
27:15qui vient servir
27:15son narratif
27:16elle reprend
27:17l'information
27:18sans la vérifier
27:19ce qui est quand même
27:20me semble-t-il
27:21le premier boulot
27:21d'un journaliste.
27:23La vérification
27:24dans TF1
27:25elle finit
27:26de la façon suivante
27:27Vladimir Poutine
27:28de toute façon
27:29a déjà tenu
27:30des propos menaçants
27:31à l'égard de la France
27:33et il rappelle
27:33donc la réponse
27:34de Poutine
27:35à Emmanuel Macron
27:36qui avait proposé
27:37de protéger l'Europe
27:38par le parapluie
27:40nucléaire français.
27:41À cette époque
27:42on se souvient
27:43Vladimir Poutine
27:43avait fait référence
27:45à l'issue
27:46de la campagne
27:46de Napoléon Bonaparte
27:47contre Moscou
27:48c'était en 1812
27:50qui s'était conclue
27:52par une retraite
27:53française désastreuse
27:54moi ça me fascine
27:55qu'on parle
27:55de propos menaçants
27:56quand il s'agit
27:57en réalité
27:58du rappel
27:59d'une défaite.
28:00Voilà
28:00c'est pas très agréable
28:01mais c'est pas menaçant
28:03et il conclut
28:04de la façon suivante
28:05la Russie
28:06mène régulièrement
28:07des campagnes
28:08de désinformation
28:08visant la France
28:09ce qui nous mènera
28:10à notre deuxième pastille
28:12juste après
28:13Jean-Yves
28:13si vous n'avez pas
28:14de commentaire à faire.
28:15Non.
28:15Très bien
28:16deuxième pastille.
28:19La désinformation
28:20par la Russie
28:22on continue
28:23un peu
28:23sur la même thématique
28:25l'enquête
28:25du 20h
28:26de BFM TV
28:27a fait un gros dossier
28:29là-dessus
28:30la Russie
28:30dépenserait
28:311,5 milliard d'euros
28:33rendez-vous compte
28:33par an
28:34pour inonder
28:35la France
28:36et le monde
28:37de fake news
28:38je vous propose
28:39d'écouter
28:39les journalistes
28:40de BFM TV
28:41guerre de désinformation
28:43que mènent
28:44les Russes
28:45et comment
28:45ce mode opératoire
28:47est devenu
28:47un vrai business
28:48pour la Russie
28:49oui et les chiffres
28:50donnent le tournis
28:51le Kremlin
28:51dépenserait
28:52autour
28:52d'1,5 milliard
28:54d'euros
28:55par an
28:56pour inonder
28:57le monde
28:57en général
28:58et la France
28:58en particulier
28:59de fake news
29:00ces entreprises-là
29:02elles sont financées
29:03par le Kremlin
29:03mais pas que
29:04oui et par nous aussi
29:05indirectement
29:06puisque tous les faux sites
29:07les vidéos YouTube
29:09et les publications
29:10sur les réseaux sociaux
29:11occidentaux
29:12font du clic
29:13beaucoup de clics
29:14et donc beaucoup de pubs
29:15selon une étude sérieuse
29:172,6 milliards de dollars
29:19par an
29:19alors selon une étude sérieuse
29:21c'est fabuleux
29:22il est trop mignon
29:24il est trop mignon
29:24il cite une étude
29:26une étude sérieuse
29:27alors c'est quoi
29:29il faut surprendre le propos
29:29c'est quoi
29:30c'est quoi cette étude sérieuse
29:32c'est une étude
29:33de l'organisation
29:35NewsGuard
29:35et qu'est-ce que c'est
29:36que NewsGuard
29:37c'est une organisation
29:39dont le principal
29:41acteur
29:42du comité
29:43du conseil
29:44consultatif
29:45du conseil de direction
29:46et l'ancien
29:47Michael Hayden
29:48ancien directeur
29:49de la CIA
29:50donc c'est dire
29:51s'il n'y a pas de risque
29:52de désinformation
29:54ni de manipulation
29:55c'est quand même
29:57assez extraordinaire
29:58d'ailleurs il ne cite pas
29:59il dit une étude sérieuse
30:00une étude sérieuse
30:01mais on ne cite pas
30:02c'est quand même plus sûr
30:03alors que l'honnêteté
30:04consistera à dire
30:06d'après une étude
30:07de NewsGuard
30:07et de dire
30:08NewsGuard
30:09qui est une officine
30:10américaine
30:11une officine américaine
30:13voilà
30:13il n'y a pas
30:13il n'y a pas de mal à ça
30:14d'ailleurs
30:15mais il vous y a des choses
30:16d'ailleurs je me suis rendue
30:18sur NewsGuard
30:19moi pour vérifier
30:20son chiffre
30:21de 2,6 milliards
30:23de financement
30:24de la désinformation
30:25parce que
30:27en réalité
30:28l'étude de NewsGuard
30:29elle dit ceci
30:30aucune entité
30:32n'est en mesure
30:32de déterminer
30:33le montant exact
30:34de la pub
30:35sur des sites
30:35de mésinformation
30:37pardonnez-moi
30:37les plateformes numériques
30:39ne rendent pas publiques
30:40leurs données
30:41sur le montant
30:42des recettes
30:42donc en réalité
30:43il s'agit en plus
30:44d'une estimation
30:45totalement fumeuse
30:47de la part de NewsGuard
30:48qui sont bien sûr
30:50eux des spécialistes
30:51là où les autres
30:52ne peuvent pas le faire
30:53enfin c'est de la magie
30:54bon il faut dire
30:55quand même
30:56que la désinformation russe
30:57on nous la sert
30:58quand même
30:58tous les mois
30:59à peu près
31:00dans cette petite revue
31:01de presse
31:02que j'ai pu faire
31:03on voit qu'en mai
31:04on nous en parlait
31:05en juin
31:05on nous en parlait
31:06et en juillet
31:07on nous en remet une couche
31:08on en a tout le temps
31:10tout le temps
31:10comment est-ce que
31:12la désinformation russe
31:14nous empoisonne
31:16nous bombarde
31:16de fake news
31:17ce serait peut-être
31:19d'une certaine façon
31:20par des outils
31:21d'intelligence artificielle
31:23puisque le principe
31:24de cette désinformation
31:26apprend-on par exemple
31:28sur les sites
31:29de la défense.gouv
31:30donc c'est très sérieux
31:31et tout ça
31:32est expliqué par Viginum
31:34c'est très très sérieux
31:35et c'est financé
31:36par le contribuable français
31:37on vous en parlait
31:38dans un précédent immédiat
31:39que je vous invite
31:40à aller voir
31:41Viginum
31:42il nous explique
31:43qu'il y a
31:45des dispositifs
31:46de désinformation
31:46comme Portal Combat
31:48par exemple
31:49qui est aussi connu
31:50sur le nom
31:50de Pravda Network
31:52qui publie
31:54des millions
31:55d'articles
31:56depuis par exemple
31:56janvier 2025
31:58et qui cumule
31:5955 millions
32:01de vues
32:01sur ces millions
32:03d'articles
32:03alors
32:04ils nous disent
32:05que ce volume
32:06colossal
32:06illustre l'ampleur
32:07et la persistance
32:08des campagnes
32:08de désinformation
32:09ciblant la France
32:10et ses institutions
32:12effectivement
32:12on nous parle
32:13de millions
32:13comme ça
32:14c'est intéressant
32:14mais juste un petit
32:15rapide calcul
32:161 million d'articles
32:1755 millions de vues
32:19ça fait 55 vues
32:20par article
32:21c'est quand même
32:22pas énorme
32:23donc là on a encore
32:24un bel enfumage
32:25un bel enfumage
32:26alors la thèse
32:26c'est que les articles
32:27si tout ça est vrai
32:29c'est à vérifier
32:29c'est que ces articles
32:31nourriraient
32:31les intelligences artificielles
32:33qui se nourrissent
32:34de manière
32:34qui pompe un peu tout
32:36et plus vous avez
32:37d'articles
32:38mais je ne suis pas sûr
32:39que les intelligences
32:39artificielles
32:40pompent beaucoup
32:41des articles
32:42qui ne sont pas vus
32:43qui ne sont pas sourcés
32:45je ne sais pas
32:46ça dépend des intelligences
32:48artificielles
32:48et ça dépend des barrières
32:49qu'on a mises
32:50sur les intelligences
32:50artificielles
32:51et alors
32:52vraiment
32:53je continue un petit peu
32:54là-dessus
32:54il y a aussi des actions
32:55marquantes
32:57nous explique Viginum
32:58sur ce site
32:59de la défense.gouv
33:00donc très officiel
33:01notamment des vidéos
33:03terribles
33:03de prétendument
33:05publiés par le groupe
33:06djihadiste
33:06Ayad Tahir Al-Sharam
33:08qui menacent
33:09d'incendier
33:10la cathédrale
33:11Notre-Dame
33:11si la France
33:12ne libère pas
33:13un auteur
33:14d'un attentat
33:15de la basilique de Nice
33:16en 2020
33:17mais aussi
33:18d'autres vidéos
33:19truquées
33:19qui affirment
33:20que le président
33:21ukrainien
33:21Volodymyr Zelensky
33:22a racheté
33:23le nid d'aigle
33:24d'Hitler
33:25enfin voilà
33:25tout ça est très sérieux
33:26moi j'appelle ça
33:27du trollage en fait
33:28pas de la désinformation
33:29si jamais on reste
33:31vraiment dans les termes
33:32d'internet
33:32donc je ne sais pas
33:33si on a réellement
33:34des si grands spécialistes
33:36de ça
33:36qui s'occupent
33:37de nous en France
33:38Jean-Yves
33:40d'ailleurs en France
33:41en réalité
33:41on surveille aussi
33:43les réseaux sociaux
33:44il faut quand même
33:45le rappeler
33:46bon je vous parlais
33:46de Viginum
33:47mais il y a aussi
33:48maintenant
33:49tout un faisceau
33:50d'associations
33:50on en parlait
33:51la semaine dernière
33:52comme SOS Racisme
33:53la LICRA
33:54qui vont être financées
33:55encore plus
33:56par le contribuable
33:57pour être en lien
33:58direct avec l'ARCOM
33:59ces sites là
34:00en 15 ans
34:01ils ont déjà touché
34:0260 millions d'euros
34:03mais on va les payer
34:04encore plus
34:05pour qu'ils puissent
34:05dénoncer
34:06directement
34:07avec l'ARCOM
34:08les propos
34:09de la haine
34:10en ligne
34:11on paye aussi
34:124 milliards d'euros
34:13quand même
34:14un service public
34:15déplorable
34:15dont 2,5 milliards
34:18de cette somme
34:19reviennent directement
34:20à France Télévisions
34:21et à sa patronne
34:22Delphine Ernot
34:23je rappelle aussi
34:25pour avoir
34:26des éléments
34:26de comparaison
34:27qu'aux Etats-Unis
34:29l'UCED
34:30elle a arrosé
34:31d'argent
34:32tous les pays du monde
34:33dans lesquels
34:33elle souhaitait
34:34influer
34:35on se souvient
34:36qu'on parlait
34:37d'un budget
34:38avant l'arrivée
34:39de Donald Trump
34:39de 42 milliards
34:41de dollars annuels
34:42dont des dépenses
34:44qui avaient
34:44évidemment particulièrement
34:46augmenté
34:46ces dernières années
34:47vers l'Ukraine
34:49pour les soutenir
34:50face à la vilaine
34:52attaque russe
34:53donc voilà
34:5342 milliards de dollars
34:55pour influer
34:56dans le monde
34:56VS 1,2 milliards
34:58pour balancer
34:59des fake news
35:00dans le monde
35:00il faut avoir
35:02des éléments
35:02de comparaison
35:03dans la vie
35:03c'est toujours intéressant
35:04c'est une vision
35:06plurielle des choses
35:07voilà
35:07Jean-Yves
35:11on vient d'apprendre
35:12que le média brut
35:14va bientôt
35:15être racheté
35:16par un milliardaire
35:17franco-libanais
35:18il s'agit de
35:19Rodolphe Saadé
35:20qui est déjà
35:21propriétaire
35:23via CMA
35:23CGM
35:24notamment de la Provence
35:26et de d'autres
35:27petits médias
35:29régionaux
35:30de la presse
35:31quotidienne
35:32régionale
35:32qu'est-ce que ça
35:33vous évoque
35:35cette annonce ?
35:36si vous voulez brut
35:37c'est un peu
35:37un média alternatif
35:38de gauche
35:39c'est-à-dire
35:40qui publie des vidéos
35:41qui publie des podcasts
35:42avec un angle
35:43essentiellement
35:45très à gauche
35:46progressiste
35:47progressiste
35:48et visant plutôt
35:49une clientèle
35:50plus jeune
35:50que les médias
35:51de services publics
35:52par exemple
35:52ou BFM
35:53donc c'est important
35:55de le contrôler
35:58et de l'aider à vivre
35:59et de l'aider à vivre
36:00parce que
36:00si vous voulez brut
36:02il vit de quoi ?
36:03d'argent
36:04de milliardaires
36:06et de publicité
36:08donc il a des ressources
36:10que n'a pas
36:11TV Liberté
36:12TV Liberté ne vit
36:13que des ressources
36:15que vous lui apportez
36:16c'est pour ça
36:16que nous pouvons dire
36:17des choses
36:17que les autres
36:18ne peuvent pas dire
36:19voilà
36:19et donc aidez-nous
36:21parce que nous
36:22on ne va pas avoir
36:22l'argent de s'aider
36:24ça c'est clair
36:24et on n'en veut pas
36:25et on n'en veut pas
36:26donc ça on n'en veut pas
36:27une information
36:32que les médias
36:32n'ont vraiment
36:33pas du tout évoqué
36:35ce sont les incendies
36:37poste 14 juillet
36:38du moins entre le 13
36:40et le 14 juillet
36:41793 voitures
36:43ont été brûlées
36:44il n'y a rien
36:45dans la grande presse
36:46là aussi
36:46évidemment
36:47vous avez un commentaire
36:48Jean-Yves
36:48c'est l'occultation
36:49la meilleure des informations
36:50c'est l'occultation
36:51c'est normal
36:52qu'il y ait
36:53près de 1000 voitures
36:54qui brûlent
36:54c'est la manière
36:55de fêter le 14 juillet
36:57c'est normal
36:57c'est ça
36:59on s'habitue à tout
37:00et pour conclure
37:03les pastiches
37:04de l'information
37:05un sujet plus léger
37:06quoique
37:07vous allez voir
37:08on va revenir
37:09sur Interville
37:10un drame moderne
37:12qui a eu lieu
37:13en deux actes
37:14le premier numéro
37:16d'Interville
37:17est sorti
37:17il y a deux semaines
37:18c'est diffusé
37:19donc tous les jeudis
37:20sur France 2
37:21son grand retour
37:22ils ont déjà été
37:23présents sur TF1
37:25ils étaient avant
37:26sur France 3
37:27Interville
37:27ce sont les émissions
37:29avec les vachettes
37:29sauf que là
37:30la reprise
37:31vous allez voir
37:32elle se fait
37:33sans les vachettes
37:34il y a eu
37:34un assez franc succès
37:37je dois dire
37:37de cette émission
37:38pour sa première diffusion
37:39avec 3,4 millions
37:42de personnes
37:43nostalgiques
37:43sans doute
37:44qui ont suivi
37:44l'émission
37:45la deuxième édition
37:48d'Interville
37:49aura perdu
37:511 million
37:52de téléspectateurs
37:53entre temps
37:53puisqu'on tombe
37:54à 2,4 millions
37:56de téléspectateurs
37:57seulement
37:57qui ont suivi
37:58cette émission
37:59de jeu
38:01d'amusement
38:02et d'ailleurs
38:04ils ont été
38:05dépassés
38:06par TF1
38:07qui diffusait
38:08Les Visiteurs
38:09alors que c'est un film
38:10globalement
38:10que tout le monde
38:11a vu
38:11les gens
38:12ou 3 fois
38:13voire même 4
38:14donc les gens
38:15n'ont vraiment pas voulu
38:16regarder Interville
38:18déçus
38:19par sans doute
38:20l'absence
38:20de vachettes
38:21mais aussi
38:22l'absence
38:23des grandes villes
38:24taurines
38:24qui ont été
38:26assez agastées
38:28de cette décision
38:29de ne pas remettre
38:29les vachettes
38:30donc il n'y a
38:31ni Bayonne
38:32ni Dax
38:33ni Mont-de-Marsan
38:34qui participent
38:34à Interville
38:35c'est vraiment
38:36une première
38:36qui se fait
38:37sans ces grandes villes
38:39qui étaient fondamentales
38:40avant dans le jeu
38:41pourquoi est-ce
38:42qu'il n'y a pas
38:43de vachettes
38:43c'est Nagui
38:45le présentateur
38:46qui a repris Interville
38:47qui a décidé
38:47qu'il n'y aurait
38:48plus de vachettes
38:49à la place
38:49il y a
38:50une mascotte
38:52à l'effigie
38:52d'une vache
38:53qui s'appelle
38:53Topa
38:54qui est d'ailleurs
38:57conçue
38:58par le dessinateur
38:59qui a dessiné
39:01Titoff
39:01voilà
39:02c'est assez laid
39:03et lors de la dernière édition
39:05elle a failli
39:05se retrouver pendue
39:06dans des cordages
39:07puisqu'elle a été
39:08accrochée
39:08cette pauvre mascotte
39:10sur le plateau
39:11et elle a dû être sauvée
39:13par les participants
39:14du jeu
39:15Jean-Yves
39:16vous avez peut-être
39:16un commentaire
39:17sur Interville
39:18c'est une émission
39:20qui était très populaire
39:22et qui sont en train
39:23de vachiser
39:24donc qui devient
39:24moins populaire
39:25voilà
39:25c'est aussi simple
39:26que ça
39:27et Nagui
39:28est un peu
39:30au bout du rouleau
39:31j'ai l'impression
39:31il se croit
39:33encore en pointe
39:35et il est déjà
39:35dépassé
39:37dépassé
39:38un vieux mâle blanc
39:39de plus de 50 ans
39:40qui va bien
39:41pour être renvoyé
39:42par Delphine
39:42dégagé rapidement
39:43et voilà
39:48on arrive à la fin
39:49de cette édition
39:50d'Immédias
39:51on se retrouve
39:52la semaine prochaine
39:53vous avez rendez-vous
39:54avec nous
39:55d'ici là
39:56on ne se quitte pas
39:57sans le portrait piquant
39:57Jean-Yves
39:58cette semaine
39:59c'est une rediffusion
40:00du portrait piquant
40:02de Michel Drucker
40:04qui va avoir
40:0583 ans
40:07en septembre
40:08et qui a fait
40:0962 éditions
40:1262 saisons
40:13à France Télévisions
40:14il a même survécu
40:16c'est dire
40:16à Ardisson
40:17voilà
40:18on va s'intéresser
40:19de plus près à lui
40:20si ce n'est pas déjà fait
40:22chers téléspectateurs
40:23je vous le rappelle
40:23n'oubliez pas de cliquer
40:24sur le pouce en l'air
40:25de nous laisser un commentaire
40:26et puis vous pouvez également
40:27partager cette émission
40:28à tout votre carnet d'adresse
40:31s'il n'est pas en vacances
40:33mais s'il est en vacances
40:33après tout
40:34il a le temps de nous regarder
40:35on se dit à très vite
40:36rendez-vous sur TV Liberté
40:37et d'ici là
40:38portez-vous bien
40:39l'inoxydable
40:43c'est ainsi
40:44que l'on pourrait surnommer
40:45Michel Drucker
40:4760 ans de télévision
40:49au compteur
40:50et toujours fidèle au poste
40:52Michel Drucker
40:52a commencé sa carrière
40:54de journaliste
40:55en 1964
40:5760 ans plus tard
40:59il continue de présenter
41:01l'une des émissions
41:02phares des français
41:03sur France 2
41:04en 6 décennies
41:066 décennies
41:07la télévision
41:08Michel Drucker
41:09s'est construit
41:10une image
41:10parfaitement lisse
41:12de gentil animateur
41:14proche de son public
41:16pourtant
41:16pourtant son engagement politique
41:19constant et assumé
41:20ou sa proximité
41:22avec le pouvoir
41:24financier ou étatique
41:25sont rarement évoqués
41:27Michel Drucker
41:28est né en 1942
41:30à Vire
41:31son père
41:32son père Abraham Drucker
41:33natif de Roumanie
41:35et sa mère
41:36originaire de Vienne
41:37arrivent en France
41:39en 1925
41:40et sont naturalisés français
41:42un peu plus tard
41:42en 1937
41:43bien que de confession juive
41:45le chef de famille Drucker
41:46a souhaité faire baptiser
41:48ses trois fils
41:49Abraham Drucker
41:51sera déporté à Drancy
41:52ce qui marquera la famille
41:54époux de l'actrice
41:56Dani Saval
41:57Michel Drucker
41:58aura une liaison
41:59tumultueuse
42:00avec la journaliste
42:01écrivain africaine
42:03Calixte Beyala
42:04qui dépité
42:06le décrira
42:06comme
42:07je cite
42:08un homme
42:09qui vit dans le passé
42:10d'une France
42:10raciste
42:11racialiste
42:12chevalier
42:13des arts et d'êtres
42:14officier de la légion
42:15d'honneur
42:16Michel Drucker
42:17n'a fait que
42:17de courtes études
42:18son service militaire
42:21au service
42:21de l'information
42:22des armées
42:22le rapproche
42:24de l'ORTF
42:25où il démarre
42:26comme journaliste
42:27sportif
42:28en 1964
42:29à 22 ans
42:30il commentera
42:31le football
42:32également
42:33sur TF1
42:34et Antenne 2
42:35il restera
42:36jusqu'en 1975
42:37sur la première chaîne
42:39de l'ORTF
42:40pour rejoindre
42:41alors TF1
42:42il devient
42:43impossible
42:44ensuite
42:45de rendre compte
42:46totalement
42:47d'une carrière
42:48aussi riche
42:49où les émissions
42:50à succès
42:51font flores
42:51la preuve par 4
42:53sport en fête
42:55star
42:56Champs-Elysées
42:57j'en oublie
42:58et bien entendu
42:59les rendez-vous
43:00du dimanche
43:01devenus ensuite
43:02vivement dimanche
43:03en octobre 2011
43:05il annonce
43:06voter pour la primaire
43:07du parti socialiste
43:08il déclare
43:10avoir voté
43:10pour François Hollande
43:11pour le second tour
43:12de l'élection
43:13de 2012
43:14son influence politique
43:16est réelle
43:16vivement dimanche
43:18est le talk show
43:18le plus suivi de France
43:20où il était
43:20jusqu'à une date récente
43:22avec 15%
43:23de part d'audience
43:25en moyenne
43:25une invitation
43:26dans l'émission
43:27de Michel Drucker
43:28fait donc figure
43:29de passage
43:30quasi obligé
43:32pour les politiques
43:33proche de Jacques Chirac
43:34du couple
43:35François Hollande
43:36Julie Gaillet
43:36mais aussi
43:37de Nicolas Sarkozy
43:38il refusera toujours
43:40d'inviter
43:41Jean-Marie
43:41ou Marine Le Pen
43:42alors qu'il reçoit
43:43sans sourciller
43:44Jean-Luc Mélenchon
43:46ou Olivier Besancenot
43:47nous n'avons pas le temps
43:48d'évoquer
43:49sa filmographie
43:50ses livres
43:51sa carrière à la radio
43:52ses liens
43:53avec la cause d'Israël
43:54ses animations
43:55des victoires
43:56de la musique
43:57ou ses revenus
43:58plantureux
43:59élu fréquemment
44:01comme la personnalité
44:02préférée des français
44:03il annonce
44:04en 2023
44:05sa retraite
44:06pour 2025
44:07avant de le démentir
44:09en janvier 2024
44:10considérant
44:11que son départ
44:12n'est plus
44:13d'actualité
44:14faisons un peu
44:16allez
44:16un peu de politique fiction
44:18Michel Drucker
44:19étant maintenant
44:20quasi immortel
44:22il sera toujours présent
44:23en 2027
44:24si Marine Le Pen
44:26est élue
44:27à la présidence
44:28refusera-t-il
44:30toujours de la recevoir ?
44:32Réponse
44:32dans 3 ans
44:33Merci d'avoir regardé cette vidéo !
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