00:00Il est 16h37, nous partons à Saint-Michel-Chef-Chef, nous partons pour Noirmoutier, nous partons pour Sanary, nous partons, vous l'avez compris, en vacances.
00:09Est-ce que tu viens pour les vacances ?
00:13Tu viens pour les vacances ?
00:14Moi je n'ai pas changé d'adresse.
00:17C'est encore du bar bolivien.
00:19C'est du bar bolivien.
00:21C'est du bar bolivien.
00:23Médine, bar bolivien.
00:24Médine.
00:24Bon, est-ce que tu viens pour les vacances ?
00:27Énorme cube.
00:27Et figurez-vous qu'on est avec le professeur Michel Lejoyeux, qui est psychiatre, pour nous parler.
00:37Mais oui, le professeur Lejoyeux, et on a toujours plaisir, parce que, monsieur le professeur, vous portez bien votre nom d'abord, c'est vrai que vous êtes très agréable,
00:46et on aime vous recevoir dans nos émissions, les fameuses vacances en famille, avec les beaux-parents, les oncles, les tantes, les frères, les soeurs, les conjoints.
00:54Est-ce une bonne ou une mauvaise idée ?
00:56Les trois premiers jours, généralement, ça peut aller.
00:58Mais qu'est-ce qui est compliqué, évidemment, de déjeuner ou de dîner à la même heure ?
01:01Qu'est-ce qui est compliqué ? C'est de partager, parfois, une salle de bain.
01:05Tout le monde n'a pas cinq salles de bain.
01:07Donc, comment vivre ensemble, avec des rythmes différents, pour le petit-déjeuner, le déjeuner ou le dîner, les ados qui veulent se lever tard, les grands-parents qui ne sont pas contents, parce que les ados, précisément, ne se lèvent pas tard, se lèvent tard, les tables qui ne sont pas débarrassées.
01:22Est-ce que tu peux aider ta mère, s'il te plaît, à débarrasser la table ?
01:24Ne parle pas comme ça à ta mère, ne parle pas comme ça à ton père, etc.
01:28Voilà les vacances que tout le monde a, plus ou moins, monsieur Le Joyeux.
01:34Oui, absolument.
01:35Déjà, je suis très content de votre invitation.
01:38Je vous en remercie beaucoup.
01:40Vous savez, il y a un psychiatre qui avait parlé de la petite névrose du dimanche et de la grande névrose des vacances.
01:45Donc, on va avoir une grande épidémie d'angoisse, de névrose, à l'occasion de ces vacances.
01:51Je suis d'accord avec vous.
01:52Vous nous avez bien plombé là-dedans, je vous remercie.
01:55On est très très très joyeux.
01:56Je vous disais que vous êtes hyper formidable.
01:59Non, merci, monsieur Le Joyeux.
02:01Allez, à l'année prochaine !
02:02On se revoit à Noël !
02:05Rassurez-vous, quand même.
02:08J'ai envie que vous nous donniez des petits conseils, forcément.
02:10D'abord, peut-être qu'il y a un moment, il ne faut pas être trop non plus.
02:15En tout cas, il y a deux, trois idées toxiques dont on peut essayer de se prémunir.
02:22La première, c'est de se dire que tout doit être parfait pendant les vacances.
02:27Il faut tout maîtriser, tout organiser.
02:30Accepter l'idée qu'une bonne partie de ce qu'on va faire va échapper à notre organisation, à notre maîtrise,
02:37déjà va détendre les choses.
02:39Il y a quand même une part d'improvisation, de liberté et puis de tolérance aux petites anicroches.
02:45Moi, je crois que plus on est dans ce qu'on appelle une pensée souple, pas un raisonnement tout ou rien,
02:51tout le monde a fait exactement ce que j'attends de lui.
02:54Ça, ça n'existe pas.
02:55Je suis d'accord avec vous, mais il faut être plus précis que ça, parce qu'on est un peu large.
02:59Par exemple, est-ce que vous préconisez que tout le monde doit dîner ensemble ?
03:02Ah, il faut que je fasse des ordonnances, disant à quelle heure vous devez dîner.
03:07Pas à quelle heure, mais est-ce que...
03:09Peut-être un repas.
03:10Par exemple, j'ai l'impression que si on vit tous en famille, le déjeuner, chacun fait un peu ce qu'il veut,
03:16parce qu'autrement, c'est l'enfer.
03:18Mais en revanche, peut-être que le soir, on peut imaginer un repas qui...
03:24Rassemble tout le monde.
03:25Qui rassemble tout le monde, comme le dit Isabelle et Caroline Litturbide.
03:29C'est dingue !
03:29C'est pas possible !
03:30Isabelle, Isabelle, c'est pas possible !
03:32Et qu'est-ce que vous en pensez, monsieur Le Joyeux ?
03:35Écoutez, j'en pense en tout cas que sur ce sujet-là, comme sur plein d'autres, il ne faut pas être trop rigide.
03:41Si vous posez qu'en vacances, à chaque dîner, tout le monde doit dîner en même temps,
03:45on va tout d'un coup passer dans du stress.
03:49Vraiment, il faut être le plus économe possible en objectif précis.
03:54Il n'y a rien de plus sympa qu'un dîner qui va être un tout petit peu improvisé.
03:57Et puis, la possibilité de ne pas dîner, vous savez, c'était cette phrase de Woody Allen,
04:02j'adore avoir une famille pour les appeler et leur dire, je ne rentre pas ce soir dîner.
04:06Il faut aussi que certains...
04:07Bon, on va marquer une pause.
04:10Et puis, il y a des choses aussi qui sont parfois délicates, disons-le.
04:13Parce que s'il y a des jeunes couples, peut-être ont-ils parfois envie de faire un câlin la nuit.
04:19Donc, il y a les parents qui sont à côté.
04:22C'est les grands-parents qui vont faire ça.
04:25On l'a dit sur la table.
04:29On l'a dit sur la table.
04:31Non, mais pardon.
04:32Non, je n'ai pas dit ça.
04:33Vous arriviez...
04:34On arrive quelque chose, on est barassé.
04:36Tu peux te contenir.
04:37Vous n'arrêtez pas de parler de table.
04:39D'un coup, il me dit le jeune couple.
04:41Mais non, mais en fait, ce qui est difficile, quand tu reviens comme ça chez tes parents...
04:45Par exemple, Gautier, vous êtes un jeune couple.
04:48Oui.
04:48Bon, vos vacances, vous les passez en famille ?
04:51Absolument.
04:52Mercredi, on va être nombreux.
04:54Mercredi, on part chez mes grands-parents.
04:56Il y aura mes parents, il y aura ma soeur, il y aura les parents de ma femme et il y aura son frère.
05:00Et il y aura mes grands-parents de 90 ans.
05:02D'accord.
05:03Parce que c'est chez eux.
05:05Et là, vous êtes donc une petite quinzaine, vingtaine, manifestement.
05:08Je fais le calcul.
05:09Et vous restez combien de jours ?
05:1010 jours.
05:11Ah oui, c'est long quand même.
05:13Tous ensemble.
05:13Vous avez un jeune organisation.
05:15Comment ça se passe ?
05:16Avec plaisir.
05:16C'est en Auvergne ?
05:17C'est en Auvergne, absolument.
05:19Écoutez, c'est avec votre grand-père qui roule au milieu de la route ?
05:22C'est le tranquille, il nous a écoutés.
05:23En plus, il m'a appelé après ce que j'ai dit sur l'heure des pros.
05:25Ce que vous aviez dit sur le grand-père.
05:27Ah oui, c'est lui qui l'a dit.
05:28Non, non, moi je l'ai dit.
05:29En plus, je l'ai dit avec tendresse.
05:30Mais vous, vous l'a dit de sans tendresse.
05:31Je dis qu'il faut lui retirer ses clés.
05:33C'est pas sans tendresse.
05:34Il est 16h40.
05:36Voilà ce que je dis.
05:37Quelqu'un qui roule au milieu de la route.
05:39Il ne roulera pas.
05:40Si je fais la paix à mon grand-père.
05:41Moi, il m'a appelé.
05:42Il m'a demandé si Pompidou était toujours président de la République.
05:4516h43.
05:46J'ai trouvé que c'était quand même...
05:50Je me suis inquiété.
05:51Je me suis inquiété.
05:52Pascal Praud revenait la saison prochaine.
05:55Nul ne sait ni le jour ni l'heure.
05:5816h43.
05:58A tout de suite.
05:59Les vacances en famille avec les beaux-parents, les oncles, les tantes, les frères et sœurs,
06:03leurs conjoints.
06:04Est-ce une bonne ou une mauvaise idée ?
06:06Vous nous appelez au 01 80 20 39 21
06:08pour répondre à cette question après le nom sort d'accès sur Europe 1.
06:13Il est de 16h49.
06:17Nous sommes avec le professeur Michel Lejoyeux qui est psychiatre
06:20parce qu'on parle des vacances en famille.
06:22Avec les beaux-parents, les oncles, les tantes, les frères, les sœurs, etc.
06:25C'est vrai qu'il peut aussi avoir des problèmes financiers, M. Lejoyeux.
06:30C'est-à-dire que lorsqu'on fait les repas,
06:32est-ce que chacun doit mettre à la pâte
06:34ou est-ce que c'est les grands-parents qui payent, qui invitent, etc.
06:37Il y a plein de petits soucis.
06:38Parfois, dans les familles, il peut y avoir des revenus inégaux.
06:43Ce qui peut arriver aussi.
06:45Donc, tout cela fait des petits conflits en germe, peut-être, M. Lejoyeux.
06:51Oui, sans doute.
06:52Et probablement qu'il faudra être capable de les dire, de les parler.
06:56Il y a deux invités auxquels, quand même, il ne faudrait pas laisser trop de place.
07:02Il y en a un premier, c'est le téléphone et l'Internet.
07:04Vous voyez, si tout le monde est autour de la table et que personne ne quitte des yeux son téléphone,
07:09finalement, quel que soit le nombre de personnes autour de la table,
07:12ça ne va pas tellement changer la dynamique du dîner, par exemple.
07:18Parce que vous disiez que c'était bien d'avoir un dîner tous ensemble.
07:21C'est convivial, un dîner, c'est sympathique.
07:23C'est l'été, on est dehors, un petit barbecue.
07:26Tutut !
07:27Oui, à condition qu'on ne soit pas.
07:29Tutut !
07:29Un petit peu de rosé, ça.
07:32Oui, et bien justement, mon deuxième sujet, c'était le rosé.
07:35Un petit peu me va bien.
07:36Oui, oui.
07:37Les petites difficultés dont vous parliez, financières ou relationnelles,
07:43vont être extraordinairement grossies.
07:45Et ça, c'est une réalité médicale indiscutable.
07:47S'il y en a, par exemple, un qui est trop alcoolisé,
07:49qui va avoir des effets...
07:51Je ne t'ai jamais aimé !
07:52C'est bien, c'est bien.
07:53Ça, on fait scène.
07:55Je voulais te le dire !
07:57J'aurais pas dû vous lancer là-dessus.
08:01Leur pas de Noël.
08:02Non, mais c'est horrible.
08:03Non, mais les gens s'aiment quand même, j'espère, en famille.
08:05Ce n'est pas un règlement de compte.
08:07On n'est pas là pour dire des horreurs.
08:10Oui, on s'aime d'autant plus qu'on n'est pas ivre, quand même.
08:13Oui.
08:14Ah, parfois, lorsqu'on est ivre, on est calme.
08:18Vous savez que moi, j'ai lu un chiffre que je trouve hyper inquiétant.
08:20Il y a seulement 41% des Français
08:22qui estiment que les vacances, c'est justement un moment familial où on se retrouve.
08:26C'est très peu.
08:27Ça veut dire qu'il y a plus de 50% des Français, un Français sur deux,
08:31que ça fait chier de passer des vacances en famille.
08:33Et c'est quand même hyper triste.
08:35Ça veut dire qu'est-ce qu'on fait, justement, de la famille.
08:37Et je vais vous dire un dernier truc, c'est que quand on n'a plus l'occasion de le faire,
08:40on n'a plus l'occasion de se retrouver.
08:41On est triste.
08:41Soit parce qu'il y a des problèmes financiers dans la famille,
08:44parce qu'il n'y a plus de maison de famille,
08:45parce qu'il n'y a plus d'endroits pour se regrouper.
08:47Et bien, à ce moment-là, on n'a plus que nos yeux pour pleurer.
08:48Et c'est hyper triste.
08:50Donc, c'est bien d'y penser un peu avant,
08:52en se disant que ça reste quand même...
08:53Il faut faire une sorte de trêve.
08:54C'est un peu comme Noël.
09:03Le père, la mère, et puis les deux enfants.
09:04Et moi, ce qui m'étonne toujours, M. Le Joyeux,
09:06c'est lorsque j'entends parfois des parents qui vont dans un club,
09:09précisément pour dire,
09:11je ne vois pas mes enfants de la journée.
09:14Donc, tu as envie de leur dire,
09:15mais pourquoi vous avez eu des enfants,
09:16si c'est pour ne pas les voir de la journée ?
09:19Il faut aussi, ce moment-là, peut-être créer des souvenirs.
09:21Et c'est bien de créer des souvenirs avec son père.
09:24Aller à la pêche, par exemple, à 6h du matin.
09:27On a ce type de souvenirs.
09:28Ou commencer un sport avec son père sur la plage,
09:31ou avec sa mère, faire les courses avec sa mère.
09:33Des choses simples, d'ailleurs,
09:35mais qui resteront toute la vie, peut-être, M. Le Joyeux.
09:38Je remarque que c'est avec la mère
09:39qui fait les courses avec le père.
09:40Je vous fais des activités sur la plage.
09:42Je remarque comment ça se passe.
09:44Je remarque comment ça se passe.
09:47Avec les mères, on va faire les courses avec le caddie aussi.
09:52Vous voulez un souvenir de vacances ?
09:54Vous voulez un vrai souvenir de vacances ?
09:56Mais un truc qui est vrai, vous n'allez pas me croire.
09:58Ma grand-mère s'appelait Sylvanie.
09:59Elle était donc à Bretignolles-sur-Mer.
10:03Et on était allé à Saint-Gilles-Croix-de-Vie,
10:05qui était la grande ville de Vendée,
10:08à côté de la Sauset et de Bretignolles-sur-Mer.
10:12On est le 12 juillet, 13 juillet.
10:14Je pense que j'ai 10 ans.
10:15Mais ma grand-mère, elle était curieuse parfois.
10:17C'est bondé de monde.
10:19Bondé de monde.
10:20Vous rentrez dans un intermarché ou un escale à l'époque.
10:24Bondé de monde.
10:25Bondé de monde.
10:25Elle arrive vers la caissière.
10:27Je vous donne ma parole d'honneur que c'est vrai.
10:29Elle arrive vers la caissière et dit
10:30« C'est ouvert ? »
10:32Bon, voilà.
10:34C'était très bizarre.
10:36Ça, c'est un souvenir.
10:37Parce que tu faisais avec elle.
10:38Et elle n'avait pas de voiture.
10:39Donc, tu prenais le car pour aller à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, etc.
10:44Donc, c'était une autre époque.
10:45C'était dans les années 70, 72, 73.
10:48Bon, mais je ne vous ai pas beaucoup fait rire.
10:50Mon effet n'a pas été bien rire.
10:51Non, non, non.
10:52Je pensais que je ne veux pas.
10:54C'était malin.
10:54On s'attendait à un truc un peu plus.
10:56Je ne sais pas.
10:56Je suis un peu plus.
10:57On a suivi, mais ça ne s'entend pas à la radio.
10:59Monsieur le Joyeux.
11:00Monsieur le Joyeux, je vais vous remercier.
11:02Je vais vous remercier, monsieur le Joyeux.
11:06Vraiment.
11:07Vous passez un bon été.
11:08Vous avez vous-même des enfants.
11:10Vous avez une famille.
11:11Vous recevez tout le monde.
11:12Eh bien oui.
11:13Eh bien oui.
11:14On les reçoit même bientôt, là.
11:15Vous voyez, donc même avant les vacances, quoi.
11:17Donc voilà.
11:18Ah oui.
11:19Ben écoutez, comme ça, c'est...
11:21Et les vacances, c'est après sans les enfants.
11:23C'est ce que vous voulez nous dire.
11:24Non, non, non.
11:26Merci, monsieur le Joyeux.
11:28Il est 16h54.
11:29Donc, je vous avais dit, cher Gauthier,
11:31de nous raconter comment ça se passe chez vous.
11:33Parce que manifestement, c'est un cas d'école.
11:34Là, vous êtes très nombreux par exemple.
11:36Est-ce qu'il y a un dîner tous les soirs, à la même heure ?
11:38Alors, vous savez, je suis né le 2 juillet.
11:39J'étais en Auvergne chez mes grands-parents
11:41pour la première fois le 6.
11:43Donc, j'y vais tous les étés, sans discontinuer,
11:47à l'exception de l'année de mon mariage,
11:49depuis 1995.
11:50Donc, depuis 30 ans.
11:51Donc, comment ça se passe ?
11:52Le dîner, évidemment, c'est tous ensemble.
11:55Tout le monde ne loge pas dans la maison de mes grands-parents.
11:57Parce que, par exemple, la famille de ma femme,
11:58ils se sont pris un gîte à côté.
11:59Ils viennent pour les barbecues ou pour les dîners.
12:02Donc, tout le monde ne loge pas avec...
12:05Ils viennent pour des toyers.
12:06Mais pas du tout, enfin.
12:08Ils viennent pour...
12:08Ça va pas.
12:11Ils viennent pas pour des toyers.
12:12Ils viennent pour des toyers.
12:13Ils viennent pour des toyers.
12:13Ils viennent pour des toyers.
12:16C'est normal qu'ils ne logent pas.
12:18Ils n'avaient pas envie.
12:19Ils ont une indépendance comme ça.
12:20Ils peuvent faire ce qu'ils veulent.
12:21D'accord.
12:21Mais vous savez combien la famille de votre femme ?
12:23Il y a beaucoup de gens qui viennent ?
12:24Non, il y a ses parents.
12:26Il y a des caravanes.
12:28C'est pas l'or.
12:28Il y a des caravanes.
12:30Bon, mais ils viennent.
12:31Il y a les parents de ma femme.
12:32Il y a son frère.
12:33Ils sont trois.
12:34Ils sont trois.
12:34Donc, ça, ils ont trouvé...
12:36Ils ont pris un gîte à côté.
12:37Dans la grande maison, il y a moi, ma femme, mes soeurs, mes parents et mes grands-parents.
12:42Il y a un peu de discipline.
12:44Par exemple, vous vous aidez tous.
12:46Vous mettez la main à la pâte, comme on dit.
12:48Vous vous levez pour débarrasser la table.
12:50Toutes ces choses qu'on fait.
12:52Ou vous êtes...
12:52Je vais être hyper honnête avec vous.
12:53Oui.
12:54Il va nous dire qu'il n'y a qu'une nana qui font...
12:55Il y a du personnel.
12:56Il y a du personnel.
12:57J'étais sûr.
12:58J'étais sûr.
12:59Je cherche un job d'aider.
13:06On manque un pisciniste cet été.
13:10Il pourrait être serveuse chez vous, peut-être.
13:13Il y a deux personnes à plein temps, si je suis hyper honnête.
13:17Non, mais on est là.
13:18Ça enlève une grosse partie des problèmes.
13:21Du village, en plus, vous les prenez dans le village.
13:23Vaut mieux que les prendre à Paris, parce que ça serait compliqué, il y a 500 kilomètres.