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Transcription
00:00Bien sûr, l'humain n'existe pas. Et le politique peut-il reprendre la main là-dessus, selon vous Stéphanie ?
00:06Est-ce qu'ils peuvent, les hommes, une garde des Sceaux, ministre de l'Intérieur, Premier ministre, restaurer l'autorité ?
00:12Alors non seulement ils le peuvent, mais ils le veulent. Ils sont déterminés.
00:15Bruno Rotaillot, Gérald Darmanin, c'est des hommes de terrain.
00:19C'est des hommes rigoureux, des hommes déterminés.
00:23Et ils ne s'arrêteront pas, ils vont continuer et nous, nous allons les soutenir.
00:30Nous, on peut œuvrer de notre côté en tant que victime et en tant que citoyen.
00:37On va certainement mettre en place un collectif citoyen parce que notre parole, elle est aussi importante.
00:44Et je pense que leurs actions, ils vont y arriver. De toute façon, quelque part, ils n'ont pas le choix.
00:51Il faut qu'ils réussissent. Alors ça prendra du temps. J'espère pas trop de temps.
00:57Ça prendra. Il y aura probablement des petits chocs et des chocs politiques, mais des discussions, des controverses.
01:07Mais j'ai confiance en eux et j'ai confiance en la société.
01:12Les Français veulent que ça change. Donc si les Français veulent que ça change et qu'on a des politiques qui veulent que ça avance...
01:19Et vous avez le sentiment que certains politiques choisissent leurs victimes ?
01:23Oui.
01:24Il y a entre guillemets les bonnes et les moins bonnes victimes ?
01:27Alors, pour moi, une victime est une victime.
01:30Bien sûr. Pour nous aussi.
01:31Une victime, c'est des parents qui perdent leur enfant, une famille qui est brisée.
01:37Toutes les victimes se valent.
01:39Par contre, ce qu'on a découvert depuis le meurtre d'Elias, avec effroi, c'est que les politiques choisissent leur mort.
01:52Et on a pu constater que certaines personnalités politiques n'avaient pas versé de larmes pour le meurtre d'Elias.
02:00Et ça, ça nous a blessés aussi.

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