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  • 23/06/2025
L’avocate et cofondatrice de l’association Femme Azadi, Me Shaparak Saleh, révèle que selon ses informations, très peu de soldats sont postés à la frontière entre l’Iran et la Turquie, ce qui offre une fenêtre pour fuir le pays. Toujours selon l’avocate, les seuls soldats présents sont jeunes et n’ont pas d’instructions, ce qui induit que les têtes pensantes du pays se cachent. «Il n’y a presque personne qui surveille la frontière, les soldats n’ont pas d’instructions». 

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Transcription
00:00On a été totalement coupé de mercredi jusqu'à samedi, ça s'est rétabli depuis.
00:06Et moi j'ai réussi à avoir des informations de personnes qui ont quitté le pays dans la nuit.
00:13Et je trouvais cette information extrêmement importante et c'est pour ça que je la partage avec vous.
00:17Ils ont quitté le pays, arrivés au stade de la frontière, c'est l'endroit où ils avaient le plus peur, vers la Turquie.
00:23Ils se sont rendus compte qu'il n'y avait presque plus personne qui surveille et que ceux qui sont là n'ont pas d'instruction.
00:29Ce sont les jeunes et ils ne savent pas quoi faire.
00:31Donc il y a un appel d'air, c'est le moment pour certains de tenter de partir.
00:35Tout le monde ne veut pas partir, parce qu'évidemment il y a beaucoup d'Iraniens qui veulent rester sur place.
00:41Mais ça vous en dit long sur l'état actuel des choses, c'est-à-dire que les principales têtes pensantes, elles se cachent.

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