L’avocate et cofondatrice de l’association Femme Azadi, Me Shaparak Saleh, révèle que selon ses informations, très peu de soldats sont postés à la frontière entre l’Iran et la Turquie, ce qui offre une fenêtre pour fuir le pays. Toujours selon l’avocate, les seuls soldats présents sont jeunes et n’ont pas d’instructions, ce qui induit que les têtes pensantes du pays se cachent. «Il n’y a presque personne qui surveille la frontière, les soldats n’ont pas d’instructions».