En Nouvelle-Calédonie, l'accord, qualifié d'historique par l'Élysée, signé entre indépendantistes et loyalistes est déjà fragilisé... L'Union Calédonienne, principale composante du Front de Libération nationale Kanak et socialiste, a finalement annoncé son rejet.
Ses négociateurs avaient pourtant accepté l'accord signé à Bougival dans les Yvelines le 12 juillet dernier.