Avec Kaotik 747, rappeur français d'origine algérienne
Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12h à 14h sur #SudRadio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75...
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?...
▪️ Instagram : / sudradioofficiel
▪️ Twitter : / sudradio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————
☀️ Et pour plus de vidéos de Bercoff dans tous ses états : • 😤 Bercoff dans tous ses états
##CA_BALANCE-2025-06-12##
Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12h à 14h sur #SudRadio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75...
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?...
▪️ Instagram : / sudradioofficiel
▪️ Twitter : / sudradio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————
☀️ Et pour plus de vidéos de Bercoff dans tous ses états : • 😤 Bercoff dans tous ses états
##CA_BALANCE-2025-06-12##
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Chaotique 740 sec, il est à Nice, on est à Paris, mais on y arrive quand même.
00:07Oui, Chaotique, vous vouliez dire quelque chose, même en début d'entretien ?
00:14Oui, alors bonjour M. Bercoff, et en tout cas merci à toute la rédaction de Sudrasou de m'accueillir.
00:19Mais avant de débattre avec vous, j'aimerais vraiment en tout cas avoir une pensée à la famille de Mélanie,
00:24sa petite fille de 4 ans, et également ne pas oublier Benoît, Hicham, et ce policier dont à l'heure où nous parlons
00:31se retrouve toujours dans le coma, je sais qu'il a été opéré de l'œil.
00:35Nous n'avons pas encore de retour, mais j'espère de tout cœur qu'il s'en sortira, voilà.
00:40Alors, je voudrais vous citer, Chaotique, nous, personnes issues de l'immigration,
00:47nous nous levons contre ceux, comme nous, issus de l'immigration, qui ne respectent pas la France.
00:54Et vous avez eu ce hashtag il y a quelques jours, la semaine dernière, Lève-toi.
00:58Ce hashtag Lève-toi, effectivement, et vous êtes très très présent, effectivement,
01:04aussi bien en musique, en rap, et aussi sur X et les autres canaux sociaux.
01:10Mais je voudrais vous poser la question, c'est quoi ne respecte pas la France ?
01:14Parce que, est-ce qu'il y a un devoir de respecter la France ?
01:18Et d'autres peuvent vous dire, je me fais ici l'avocat peut-être d'un certain nombre de gens,
01:22qui disent, oui, d'accord, la France, la France, on ne va pas parler toujours de la France,
01:26ça va, c'est un acquis.
01:28Or, vous vous dites, non, non, ce n'est pas un acquis.
01:30Vous dites, il y a des priorités, et pour vous, la priorité, c'est justement le pays.
01:39Alors, écoutez, le respect de la France, ça doit être quelque chose de naturel
01:42pour l'ensemble des Français et des compatriotes que nous sommes.
01:44Je suis franco-algérien, certains connaissent ma vie, je suis un gars de l'ADAS,
01:49ma mère est morte dans la rue, elle était SDF,
01:52et moi, c'est la France qui m'a donné une chance énorme,
01:54c'est le système français avec l'ADAS.
01:56Ma famille était française d'origine polonaise et espagnole,
02:01et mon but aujourd'hui, en tant que père de famille,
02:04qu'artiste rave, ce que vous voulez,
02:06c'est d'essayer de rendre à la France ce que la France m'a donné,
02:10tant dans la bienveillance, tant dans l'éducation et l'amour.
02:13Je suis ici d'un quartier HLM, j'habite au 11ème étage dans une cité,
02:17et je m'y sens super bien, M. Bercoff, et on y est bien, on se respecte ici.
02:21Mais à un certain moment, quand je vois le monde tourner,
02:24vous savez, je me dis, qu'est-ce que je peux faire ?
02:26Moi, lève-toi, l'îné ici, 2 mètres carrés, c'est mon petit studio.
02:30Quand je voyais cette minorité, parce qu'il faut parler de minorité,
02:33de personnes comme moi, issues de l'immigration,
02:36qui tabassaient du flic, du pompier, qui cassaient des vitrines,
02:39je l'ai dit, mais je pèse mes mots.
02:41Vous vous faites du mal à vous, à l'éducation que vos parents ont essayé de vous donner,
02:45du mal à moi et à tous les immigrés de France
02:47qui demandent juste à travailler et à vivre ensemble.
02:50Alors, j'ai fait cette vidéo,
02:53hashtag lève-toi, sur mon compte Twitter, TikTok, partout.
02:56J'ai vu des millions, des milliers de réactions, des millions de vues,
03:00et je me suis dit, Karim, là, t'as peut-être une chance
03:03pour enfin rendre à la France ce que la France te donne.
03:07Donc, à partir de là, j'ai commencé à travailler sur des propositions.
03:11Il y a deux, trois jours, j'ai eu la chance de participer à une grande émission
03:15sur une chaîne de vos confrères BFM TV,
03:18et j'ai fait face à madame la ministre chargée de la ville,
03:22madame Juliette Meadal.
03:23Alors, autre chose, l'émission, on parlait d'autorité et de sécurité.
03:28Donc, avec beaucoup de respect, j'ai quand même dit à madame la ministre
03:31que ce n'est pas à elle que je souhaitais parler.
03:33C'est à monsieur Dermanin et à monsieur Rotaillot,
03:35et qui de plus est, à monsieur Macron, et ça, je vous en reparlerai après.
03:39Vous avez parlé à quelques secondes d'une révolution.
03:42Cette révolution, elle est là devant nous, déjà,
03:44de voir des jeunes issus de quartiers se mobiliser,
03:48et parler, rassembler les gens au-delà des partis politiques ou des religions.
03:52C'est déjà un signe de révolution.
03:54Nous avons été observateurs du printemps arabe.
03:58Je vous garantis que demain, on sera tous acteurs du printemps français.
04:04Dans les propositions, vous voyez, à chaque fois que j'interviens,
04:07je sais que je suis conscient de la responsabilité qui est la mienne,
04:09parce qu'après cette vidéo, elle fera le tour des réseaux sociaux.
04:12Donc, il est important d'être pertinent et d'être intelligent.
04:14Alors, si vous le voulez bien, vous voulez une révolution ?
04:17Elle est sur ce papier.
04:19Lorsque nous parlons du...
04:20Chaotique, attendez, juste une question.
04:22Avant, je vais vous laisser tout à fait le temps de donner les propositions.
04:26Est-ce que, quand même, vous avez parlé, et on a parlé hors antenne,
04:30est-ce que, au fond, vous dites,
04:33moi, ce n'est pas tellement Juliette Méhadel qui avait dit, d'ailleurs,
04:36juste un mot, je ne sais pas si vous étiez encore sur le plateau,
04:39quand elle a dit,
04:40ben oui, un jeune qui a fait trois coups de couteau,
04:43est-ce qu'il faut le mettre en prison ?
04:44Parce qu'elle a dit ça.
04:45Je ne sais pas si vous avez entendu ça.
04:46Je veux dire, par là, est-ce que le fait,
04:51est-ce qu'on a une classe politique, quelle qu'elle soit,
04:53de gauche, de droite, du centre, d'ailleurs,
04:55qui ne se rend pas compte de ce qui se passe ?
04:57Moi, je voudrais avoir quand même votre sentiment là-dessus.
04:59Parce qu'on a l'impression, on parle toujours de déconnexion de la réalité,
05:02déconnexion de la réalité, très bien.
05:04Mais enfin, ces gens-là, ils ont un cerveau,
05:06ils ont une tête, ils vivent en France,
05:08comme vous, comme moi.
05:09Et pourquoi il y a cette espèce de mur,
05:13en tout cas, de surdité ?
05:16Je voudrais avoir votre avis là-dessus.
05:18– Alors, merci.
05:18Alors, Mme Meadal, Mme Juliette Meadal,
05:21et donc ancienne porte-parole du Parti socialiste en 2014,
05:25Mme Meadal, son papa a été directeur de cabinet d'Edith Cresson
05:29entre 1980 et 1982.
05:31Mme Meadal a fait l'ENA.
05:32C'est-à-dire qu'en fin de compte, j'ai beaucoup de respect,
05:34et moi, je ne veux pas le classe, c'est-à-dire que je veux être entendue.
05:36Mme Meadal, moi, on n'a pas la même vie.
05:42Et c'est très pertinent de dire ça, c'est factuel.
05:45Moi, je fais partie des gens qui, lorsqu'ils vont faire le plein d'essence,
05:48on essaie de s'arrêter à 30 euros,
05:49parce que derrière, on doit essayer d'acheter de la viande,
05:52je l'ai bien essayé, ou d'acheter du poisson,
05:54ou offrir des activités à nos gamins.
05:56Est-ce qu'il y a deux mondes ?
05:59Oui.
05:59Il y a le monde de certains élus de la République,
06:01de certains députés, et ceux-là, je le dis bien,
06:03dans tous les partis politiques,
06:05et il y a les gens comme moi qui travaillons,
06:10qui galiront, parce que, juste une parenthèse,
06:13cette parenthèse, je vais la faire.
06:15Vous savez, et je suis très content de ce qui se passe dans ma vie,
06:17parce qu'on essaie de lutter pour les océans,
06:19vous savez, on essaie de lutter pour les océans,
06:21parce que c'est la vie.
06:21Bien sûr, bien sûr.
06:23Moi, je vous dis un truc, si vous voulez lutter pour les océans,
06:25et si vous voulez aussi faire une certaine révolution,
06:28il va falloir payer un peu plus les Français sur les salaires,
06:30parce que je vais vous dire quelque chose,
06:31on ne peut pas lutter pour les océans et voir une France,
06:34des gens qui travaillent, qui ne gagnent pas un salaire mirobolant,
06:38et ces gens-là sont obligés d'acheter des vêtements
06:41sur le site Shine, qui vient de Chine, à moindre coût.
06:45Et ces vêtements sont venus comment ?
06:46Ces vêtements viennent en supercargo,
06:48et ces supercargo, messieurs, mesdames,
06:50les députés et autres,
06:51c'est ce qui pollue l'atmosphère.
06:53Mais si moi, je veux acheter français,
06:55mais payez-moi, payez-moi plus,
06:57payez les gens qui travaillent.
06:58Arrêtons, regardez le décalage entre le brut et le net.
07:02Donc, laissez-moi acheter français.
07:04Laissez-moi manger français.
07:06Mais on n'a pas le pouvoir financier pour ça.
07:09Donc, oui, il y a une déconnexion.
07:11Et quand ces gens-là, comme sur le plateau TV de BFM,
07:13se retrouvent avec quelqu'un, avec mon polo rose,
07:15je sais, je suis désolé pour ma tenue vestimentière,
07:17mais j'ai voulu venir comme je suis dans la vie de tous les jours,
07:19à ma casquette Jordan,
07:21et qui a ce censoratoire,
07:22ces gens-là commencent à bégayer.
07:23Parce que madame a dit,
07:25madame Juliette Méadelle, vous avez dit,
07:27moi, ces quartiers populaires,
07:29j'y vais trois fois par semaine.
07:31Eh bien, moi, madame Méadelle, madame la ministre,
07:33j'ai envie de vous dire que moi, mes potes, et nous tous,
07:35et dans toute la France, quartier nord, Saint-Denis, autres,
07:38les gens, ils vivent tous les jours.
07:39Et c'est ça la différence.
07:41Et cette phrase,
07:41ce que vous faites en termes de communication pour les gouvernements,
07:44vous montrez encore que du coup,
07:45vous n'êtes pas dans la proximité,
07:46juste quand il y a des élections municipales,
07:48législatives, présidentielles.
07:50Et je pense que ces choses-là, madame Méadelle,
07:52ça exprime aussi le taux de 29% d'abstentionnistes
07:56lors du second tour de la...
07:58Le second tour, oui, d'accord.
08:00Et moi, madame Méadelle, ces abstentionnistes,
08:03sont en train de tous me rejoindre sur mes réseaux sociaux,
08:05chaotiques, 747,
08:06et je peux vous dire, je veux juste élever la voix.
08:09Maintenant que j'ai répondu,
08:11j'ai des propositions pertinentes.
08:13Allez-y, synthétisez-les et allez-y.
08:17Très vite, très rapidement.
08:18On parle du SNU qui a été voulu par M. le Président de la République en 2007,
08:21mis en place par M. Gabriel Attal en 2019,
08:24sous la base du volontariat.
08:25M. Gabriel Attal veut donc généraliser,
08:28je le redis, dès la rentrée 2016,
08:30le SNU pour toucher 800 000 jeunes.
08:32Ce sont des jeunes de 15 à 17 ans,
08:34et en fin de compte, c'est juste un centre de colonie
08:35où on parle de biodiversité,
08:36où on fait du sport et on parle d'éducation civique.
08:39Si, alors ça a été épinglé par la Cour des comptes
08:41pour un manque de lisibilité,
08:42un manque d'horizon,
08:43il s'en m'excitait,
08:43et ça coûterait la bagatelle de 6 milliards d'euros.
08:49On fonce dans un mur à l'heure
08:51où on nous parle de la dette abyssale de 3 300 milliards.
08:53Moi, mon idée, la première,
08:54parce qu'il y en a d'autres,
08:55moi, mon premier,
08:57je lutte pour le service militaire obligatoire,
08:59pour le retour au service militaire obligatoire
09:01pour les jeunes hommes de 18 à 25 ans.
09:03– Service militaire obligatoire ?
09:06Attendez, combien de temps, à votre avis,
09:08combien de temps chaotique,
09:10ce service militaire obligatoire ?
09:12Un an, deux ans ?
09:13– Alors moi, je suis à tout bout,
09:15un service militaire obligatoire d'un an,
09:17ce qui toucherait 300 000 jeunes français
09:19de 18 à 25 ans,
09:20ce qui remettra en place le patriotisme,
09:24la fraternité,
09:25apprendre les choses,
09:27répondre, faire savoir son lien au carré,
09:28devenir un homme pour sa famille
09:30et pour ce pays,
09:31et grandir ensemble,
09:32juifs, musulmans, catholiques.
09:33Le prix, il est de 7,2 milliards
09:36selon le Haut-Commissariat au plan
09:37et la France Stratégie.
09:39Ça s'appelle un investissement sur l'avenir.
09:41On oublie le SNU,
09:42M. le Président de la République,
09:43et aujourd'hui, on crée la fraternité.
09:45Deuxième place, ensuite,
09:47je suis pour quelque chose.
09:48Aujourd'hui, les détenus, c'est vous,
09:50c'est nous, les Français qui payons,
09:52qui payons les détentions en moyenne,
09:54c'est 105 euros par jour.
09:55On a 79 300 détenus en France.
09:58Eh bien moi, aujourd'hui,
09:59j'opte pour quelque chose de simple,
10:00comme au Danemark.
10:01Tu as fait n'importe quoi,
10:02tu es en prison,
10:03c'est à toi de payer.
10:0779 300 détenus à 105 euros en moyenne,
10:10ça fait une bagatelle de 8 326 500 euros
10:13en moins que nous économisons.
10:16C'est eux qui payent en travaillant,
10:18en faisant des travaux.
10:20Peu importe, moi, ce n'est pas mon souci.
10:22Ce n'est pas aux Français l'ordre
10:23de payer alors qu'on nous parle de dette.
10:26Et cet argent-là,
10:27c'est 8 326 000 euros.
10:28Eh bien, on les réinjecte,
10:30on les réinjecte dans l'éducation.
10:32Et ça, c'est faisable.
10:33Il suffit juste d'avoir la volonté politique
10:35et de regarder ce qui se passe au Danemark.
10:37Au niveau du narcotrafic,
10:39j'ai étudié.
10:40Je n'ai pas retrouvé...
10:41Ma question était
10:42combien la France investit
10:43des milliards d'euros
10:44dans la lutte contre le narcotrafic.
10:46C'est une source
10:47que je n'arrive pas à avoir.
10:49D'où mon entretien
10:50avec M. Dermannien
10:51au M. Rotaio
10:52et au M. le Président
10:53de la République.
10:54Mais selon mes études,
10:55en 2023,
10:56on se retrouve avec 315 faits d'homicide.
10:58C'est plus 60%
10:59par rapport à l'année 2022.
11:00Alors moi,
11:01j'ai une idée qui est très simple.
11:02Allez-y.
11:03Je vais la dire
11:03avec beaucoup de courage.
11:05Aujourd'hui,
11:06je propose
11:08à M. le Président
11:08de la République
11:08qu'il vous reste
11:09deux ans de mandat.
11:10Deux ans de mandat.
11:11M. le Président,
11:13soyez fort.
11:14Je vous ai envoyé
11:14un mail en courrière.
11:15J'ai parlé aussi
11:16à mon conseiller
11:16parce que j'ai demandé
11:17un rendez-vous en privé
11:18avec vous,
11:18sans caméra.
11:19Oui, mais attendez.
11:20Les mondanités,
11:21on s'en fout.
11:22Dites-nous ce que vous voulez faire.
11:23Moi, je m'en fous
11:24de vos histoires
11:26avec le Président
11:27de la République
11:27et machin.
11:29Chaotique,
11:29qu'est-ce qu'il faut faire ?
11:30Arrêtez de nous dire ça.
11:32Vous savez très bien
11:33que depuis 40 ans,
11:34droite et gauche confondue,
11:35ils disent n'importe quoi,
11:36ils ne promettent rien.
11:38Alors arrêtez de me dire
11:39que vous avez rendez-vous
11:40avec machin ou machin.
11:41Je m'en fous.
11:42Je n'ai pas rendez-vous.
11:43Alors, je sais.
11:44Alors, qu'est-ce que vous voulez faire ?
11:45Je me fous de vos...
11:46Excusez-moi,
11:47je me fous de vos coups de fil
11:49avec Darmalin et compagnie.
11:51Qu'est-ce que vous proposez ?
11:52Voilà.
11:53Excusez-moi,
11:53mais ça...
11:54Parce que j'entends trop
11:55de machin.
11:57De la...
11:58Vous savez,
11:58de tohana,
11:59comme on dit au Liban.
12:00De la tchikaya.
12:01Alors, qu'est-ce que vous voulez faire
12:02par rapport au narcotrafic ?
12:04Alors, merci.
12:04En tout cas,
12:05faites-moi un sourire et un bisou.
12:06Pour le narcotrafic,
12:07c'est très simple.
12:08Je demande un référendum
12:09pour la fermeture immédiate
12:10des frontières françaises
12:11pendant 5 ans
12:12pour lutter contre le narcotrafic
12:13et le trafic d'armes.
12:15Et j'ai des exemples
12:15comme par exemple
12:16Mme Amandine Chamblin
12:18qui travaillait pour l'émission
12:19d'M6,
12:20d'enquête exclusive.
12:21Elle a jeté une arme
12:21dans les pays des Balkans,
12:23500 euros.
12:23Elle a ramené cette arme
12:24en moins de 48 heures à Paris
12:26et à la revente,
12:27elle coûte 2500 euros cette arme.
12:28Et ces armes,
12:29c'est les armes qu'on retrouve
12:30chez moi à Nice,
12:31à Marseille,
12:32à Paris.
12:32Et c'est pour ça,
12:33moi, Mme Van der Leyen
12:34et l'Europe,
12:35je ne suis pas contre l'Europe.
12:36Mais moi, je suis français.
12:37L'école,
12:38c'est l'école de la République.
12:44Je demande un référendum.
12:45Si M. le Président de la République
12:46ne veut pas le faire,
12:47je peux le concevoir.
12:48Mais à un certain moment,
12:49c'est les Français.
12:50En termes d'éducation,
12:51j'ai entendu par rapport,
12:52on va dire,
12:53les réseaux sociaux.
12:54Moi, je suis pareil.
12:55Je suis pour refuser l'anonymat
12:56sur les réseaux sociaux.
12:57Quand je roule avec ma voiture,
12:59j'ai une perte d'immatriculation.
13:00On sait qui je suis.
13:01J'ai des concerts.
13:02Tiens, en tant qu'artiste,
13:03en tant que rappeur ou influenceur,
13:04on me demande mes papiers d'identité.
13:05Je comprends.
13:06Arrêtons avec l'anonymat
13:07sur les réseaux sociaux.
13:08Chaotique.
13:09On va refaire une émission
13:10avec vous là-dessus.
13:11Moi, ce que je voudrais simplement,
13:13voilà, c'est très bien.
13:14L'histoire du référendum et tout.
13:15Mais vous savez,
13:16c'est là où vous aurez,
13:17vous avez déjà
13:17beaucoup d'influence, etc.
13:19Moi, je crois que des gens
13:20comme vous,
13:20c'est fondamental.
13:22C'est pratiquement,
13:23c'est lucide, etc.
13:24Après, on peut avoir
13:25des contacts et tout ça.
13:27Mais je veux dire
13:28que si vous ne faites pas
13:29la pression,
13:29et vous le savez très bien,
13:31en tant que citoyen,
13:32en tant que Français,
13:33en tant qu'artiste, etc.
13:35C'est là où on va vous entendre.
13:37Après, les contacts,
13:38ils se feront.
13:39Ne vous inquiétez pas,
13:40c'est la pression qui compte.
13:41Oui, un dernier mot, rapide.
13:43Un dernier mot.
13:44Mais, M. Bercoff,
13:45vous savez la pression ?
13:46On l'a fait grâce
13:46à vos auditeurs
13:47qui remorgent tous
13:48sur les réseaux sociaux.
13:49Et moi, je n'ai pas les contacts,
13:50comme je vous l'ai dit,
13:50de tel ou tel ministre.
13:51Mais je vais demander ouvertement
13:53un rendez-vous.
13:54Parce que oui,
13:54je veux mettre
13:55une pression positive
13:56pour l'avenir de la France
13:57et je suis prêt encore à lutter.
13:58Donc, merci à Sud Radio
13:59et à tous les médias
14:00de nous accueillir.
14:01En tout cas,
14:02merci à vous aussi.
14:03et on continuera d'en parler.
14:05Merci Chaotique
14:06et on se retrouve très vite.