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  • 03/06/2025
Le rappeur franco-algérien Kaotic747 invité dans "Morandini Live" sur CNews - VIDEO

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News
Transcription
00:00Je voulais qu'on commence avec un appel qui fait beaucoup parler sur les réseaux sociaux, un appel qui est lancé par le rappeur Chaotique 747
00:08qui demande finalement aux personnes issues de l'immigration de parler, de sortir de leur silence et de dénoncer au fond tous ceux qui cassent aujourd'hui,
00:18tous ceux qui donnent une mauvaise image de cette immigration. Il l'a fait dans une vidéo où il appelle les gens à se lever et à sortir du silence et à parler, à parler, à dire les choses.
00:30Chaotique 747 est en direct avec nous. Bonjour. Merci beaucoup d'être avec nous. Et c'est vrai que cette vidéo, moi, j'ai trouvé assez touchante parce que vous, vous êtes d'origine algérienne.
00:38Et j'ai envie de dire, vous vous permettez de dire des choses que toute autre personne, sans votre origine qui aurait prononcé ces mots-là, on aurait dit c'est un raciste.
00:47Vous, aujourd'hui, vous dites les choses. Alors d'abord, en quoi consiste précisément votre appel ?
00:52Bonjour, M. Morondini. Et avant de prendre la parole, merci encore à votre média du coup de me permettre de mettre en lumière ce projet.
00:59Et j'aimerais vraiment adresser, en tout cas, un message de condoléence, bien sûr, à la famille de Benoît, à la famille aussi de ce policier qui est toujours entre la vie et la mort,
01:06et également à la famille de cette personne tunisienne qui a été tuée il y a quelques jours en arrière.
01:11Aujourd'hui, c'est simple. On se retrouve confronté face à des faits, face à des faits divers, extrêmement graves.
01:17Moi, je suis d'origine algérienne. Mon pays, aujourd'hui, est la France. Je l'aime. Il y a quelques mois ou quelques années en arrière,
01:22ce sont les mêmes propos que j'ai tenus lorsqu'on a sorti le clip Projet 18.
01:25J'ai été traité de facho, de raciste et autres, et de collabos.
01:29Aujourd'hui, lorsque nous voyons sur tous les médias français ces images, ces images de magasins pillés, de policiers, pompiers tabassés, qu'est-ce qu'on voit ?
01:36On voit des personnes commettre ces faits, ces délinquants, ces monstres avec des drapeaux d'Algérie sur le dos, de Maroc, de Tunisie.
01:44Moi, je suis d'origine algérienne. J'aime mes origines et j'aime la France.
01:49Le fait de faire ça, déjà, c'est cracher sur notre pays d'origine et le fait de faire ça, c'est cracher sur la France, sur les valeurs de la France.
01:56La France est un pays qui nous a ouvert les bras. D'accord ?
01:59Aujourd'hui, nous, Français d'origine immigrée, on se lève. Pourquoi ?
02:04Parce qu'aujourd'hui, vous, les procureurs, vous, les magistrats, vous, je vous pointe du doigt parce que vous êtes coupables,
02:12pas un d'eux, ce soir, ne sera en prison. Vous avez mis quoi ? Des tiges.
02:17Des tiges et du sursis, alors que certains s'en sont pris à nos pompiers, à nos policiers, toujours à pompiers,
02:23entre la vie et la mort. Ils ont brisé des magasins, ils ont brûlé des voitures.
02:27Et vous, vous, la justice soit disant indépendante, vous mettez quoi ? Des tiges et du sursis.
02:32J'aimerais avoir votre nom et venir vous voir en bas chez vous.
02:36Parce que le fait de faire ça, un pays sans justice, ne sera jamais un pays fort.
02:42Quant à ceux qui sont allés dans la rue avec tous ces drapeaux, le trois quarts du temps,
02:47non, c'est pas raciste que je dis, c'est réaliste.
02:49Vous étiez quoi ? Comme moi. On a vu quoi ? Des Noirs et des Arabes.
02:53Maintenant, vous nous faites honte à nous, parce que nous, on travaille, on paye nos impôts,
02:56on éduque nos enfants, on exerce la responsabilité parentale, chose que beaucoup de parents,
03:02aujourd'hui, n'exercent plus, vu qu'on balance nos gamins à l'école,
03:05et puis on se dit que c'est l'école de la République qui doit faire ce travail-là.
03:08C'est faux. Aujourd'hui, il faut mettre des points, il faut toucher du doigt,
03:12vraiment, vraiment le problème.
03:14au niveau de ce qui est en train de se passer.
03:18– Juste d'un mot, je redonne la parole, mais d'un mot.
03:21Ce que vous dites aujourd'hui, c'est que ces gens-là, finalement, vous desservent.
03:24Vous, qui êtes d'origine étrangère, et vous, c'est au sens large,
03:27c'est pas vous en particulier, mais tous ceux qui sont d'origine étrangère,
03:31qui aiment la France, qui sont bien intégrés,
03:33et en fait, ces quelques abrutis qui tapent du flic,
03:37qui tapent des pompiers, qui cassent, finalement, ça vous desserve.
03:40Et c'est contre eux que vous êtes en colère.
03:42Et c'est ça que je trouve très fort, finalement,
03:44parce que vous leur dites, vous faites du mal à la France,
03:46vous faites du mal à votre pays d'origine, vous faites du mal à tout le monde.
03:49Parce que vous, vous faites partie de ceux qui osent dire,
03:52mais j'emploie volontairement le mot « ose »,
03:55qui osent dire, j'aime la France, j'aime ce pays.
04:00– Monsieur Morandini, on m'a traité de raciste et de fasciste
04:03parce que j'ai dit que j'aimais la France.
04:06Quand je vois des mecs comme moi, issus de quartier,
04:08en train de brûler la France, ils brûlent mon cœur,
04:10mais ils brûlent aussi vous, ils brûlent tout le monde.
04:12Certains ont oublié pourquoi aujourd'hui, en France, on peut jouir de la liberté ?
04:17Parce qu'il y a des personnes qui se sont battues pour cette liberté,
04:20nos anciens, nos anciens combattants.
04:22Les Français, les tirailleurs sénégalais, ensemble, dans ces tranchées,
04:26pour qu'aujourd'hui, on puisse être libres de créer, libres d'avancer.
04:30Quand je vois ces petites merdes dans la rue,
04:32vous avez craché sur moi, vous avez craché sur nos anciens,
04:34vous avez craché sur toute la France,
04:36sur ce peuple juif, musulman, catholique et athée, vous nous divisez.
04:39Cette division actuellement, elle se réacquit à certains hommes politiques,
04:44parce qu'ils ont besoin de ça pour vivre.
04:46Mais le jour où en France, il y aura quelqu'un qui arrivera
04:49à rassembler le juif, le musulman, le catholique, l'ancien, le jeune,
04:54là, un mouvement naîtra en France.
04:58Ces gens-là, je leur en veux terriblement.
05:00La France, c'est mon pays, tu ne touches pas.
05:02Dernier truc, vous faites les fous en France,
05:05parce que vous savez très bien que la justice française,
05:07il n'y en a pas.
05:08La justice française, même moi, je ne la respecte pas,
05:10je ne vous respecte pas, les magistrats et les contueurs.
05:12On ne peut pas dire qu'on ne respecte pas la justice.
05:15On ne peut pas dire qu'on ne la comprend pas,
05:17qu'on n'est pas d'accord, mais pas qu'on ne respecte pas la justice.
05:21Vous vous décervez en disant ça.
05:22Quand on tabasse un flic, vous savez, tous ces gens-là,
05:31en Tunisie, au Maroc, en Algérie, c'est des petits chiens,
05:34c'est des petits toutous.
05:35Pourquoi ? Parce que là-bas, il y a une justice qui est extrêmement ferme.
05:40Et ça, ce n'est pas du racisme.
05:42Aujourd'hui, les politiciens ne sont pas capables de faire ça,
05:46malgré le travail en place actuellement de M. Bruno Rotaillot,
05:49le travail aussi de M. Dermanin, que je salue,
05:51le travail des policiers sur le terrain.
05:54Aujourd'hui, le coupable en France, pour moi, c'est la justice.
05:58La justice, et ce sont les parents.
06:00Parce que vous, parents, quand vous le laissez traîner dans la rue,
06:02vos gamins, à l'âge de 11, 12 ans, dans la rue,
06:04c'est la minuit, une heure du matin.
06:07Est-ce que vous trouvez ça normal ?
06:08Vous n'exercez même plus votre responsabilité parentale.
06:11Oui, la France aide. La France nous aide.
06:14La France est un grand pays.
06:15Mais ce pays, vous êtes en train de le réduire à néant.
06:18Et dans quelques mois, lors des élections municipales,
06:21et dans deux ans, lors de l'élection présidentielle,
06:24lorsque vous allez voir arriver la vague bleue déferlée partout en France,
06:28vous serez les premiers à dire non, il faut faire barrage.
06:31Mais nous, on vous aura averti, Français, sur l'immigration,
06:34italien, espagnol, marocain et autres.
06:36Et j'ai un dernier mot encore.
06:38Parce que là, je m'en prends à ces gens-là
06:39qui ont plié la France lors de la finale de la Ligue des Champions.
06:42Mais à toi, si toi, je ne connais pas ton nom, je ne veux pas le connaître,
06:47mais le soi-disant tumoriste, pareil,
06:49lorsque dans tes spectacles, tu dis, ouais, les gouères, les gouères, les blancs.
06:53Sauf que les gouères, comme tu dis, c'est mes frères.
06:56Les gouères, c'est mes frères.
06:57Le blanc, le français, c'est mon frère.
06:58Le musulman, c'est mon frère.
07:00Le juif, c'est mon frère.
07:00Et toi, mine de rien, tu participes à ça.
07:04Et lorsque la vague bleue viendra frapper à ta porte,
07:07tu feras des vidéos en disant tout le monde,
07:08vite, vite, vite, unissez-vous contre le RN.
07:11Et nous, on te dira quoi ?
07:13C'est ta faute.
07:15Tu prends tes responsabilités.
07:16Parce que nous, on a toujours créé notre amour pour la France
07:19et toujours notre amour pour nos origines.
07:21Et aujourd'hui, force est de constater que c'est CNews qui nous donne la parole.
07:25Et que les autres médias ferment les yeux.
07:27Parce que peut-être que nos propos, nos paroles,
07:30ne respectent pas une certaine doxa, une certaine ligne éditoriale.
07:34Mais la ligne éditoriale, aujourd'hui, je m'en fous.
07:37Parce qu'il y a un policier dans le coma.
07:39Il y a un monsieur d'origine tunisienne qui est mort à cause de ça.
07:41Il y a Benoît qui est mort.
07:43Et aujourd'hui, le futur, ce n'est pas les politiciens.
07:46Le futur, c'est nous, les jeunes issus de l'immigration.
07:50On va continuer le combat de façon intelligente et sans violence.
07:54Et tout en respectant, une fois de plus, la mémoire de nos anciens
07:57qui se sont battus pour qu'aujourd'hui, nous pouvons, nous, jouir de cette liberté.
08:03– Chaotique.
08:03Alors, deux choses.
08:04D'abord, quand vous parliez d'humoriste, vous parliez de Moustapha El Atrassi.
08:08Vous ne voulez pas dire son nom, mais moi, je le dis, il n'y a aucun souci.
08:10– Je ne respecte pas cet humoriste.
08:11– D'accord, d'accord.
08:12Mais je dis que pour que tout le monde comprenne bien, c'est lui dont vous parliez.
08:15Quand vous parlez de l'étranger, c'est intéressant ce que vous m'avez dit sur l'étranger,
08:19parce que moi, je vais vous dire, je viens de passer quatre jours au Maroc,
08:21alors qu'il y avait les incidents en France.
08:24Et les Marocains me parlaient, et les Marocains me disaient,
08:27mais pourquoi vous acceptez ça en France ?
08:29Pourquoi vous laissez faire ça en France ?
08:32Ils me disaient, chez nous, ça n'arrive pas.
08:33Chez nous, tous les Français qui viennent en vacances, ils se tiennent bien.
08:37Jamais ce qu'ils font en France, ils ne le feraient chez nous.
08:40Ils ne comprenaient pas.
08:41Tous les Marocains que je voyais avec qui je parlais, ils me disaient la même chose.
08:44Ils me disaient, mais vous êtes fou en France.
08:46Pourquoi vous laissez faire ça ?
08:49Oui, mais M. Morandini, je vous promets, écoutez,
08:51vous n'imaginez même pas la honte que nous avons,
08:54la honte que nous avons, mais même tous les Français de tous bords.
08:56Stop !
08:57Moi, aujourd'hui, quand quelqu'un vient nous voir,
08:58on en parlait encore à la salle de boxe hier soir avec des copains,
09:01quand quelqu'un aujourd'hui nous dit, mais je vote RN,
09:04mais qu'est-ce qu'on peut y dire à part dire pardon ?
09:07Pardon !
09:08Mais ce qu'on voit, est-ce que nous le voyons dans un autre pays ?
09:11Dites-moi le pays, s'il vous plaît.
09:12Pareil, M. Morandini, je vous suis sur les réseaux.
09:15Pareil, on va souvent sur Miami.
09:17À Miami, quand on va en prison, ou au bled, ou autre, c'est la prison.
09:21Il n'y a pas de téléphone portable, il n'y a pas tout ça.
09:23Ça fait des années qu'on nous gave.
09:25Vous nous parlez de 122 ou 127 % de surpopulation carcérale.
09:29Mais faites-les ces prisons !
09:31Et quand est-ce que vous allez remettre l'armée obligatoire en place ?
09:34Ces gens-là, ces gens-là, ne voient pas que la France est en train de prendre l'eau.
09:38Certains élus de la République, on leur dit, ne servent à rien à part faire des photos lors des inaugurations avec des sacs Chalel ou des sacs Vuitton.
09:44Ils n'ont aucune expertise du terrain.
09:46Et je suis sûr que quelque part, des mecs comme nous, nous, on n'a jamais fait l'ENA.
09:50Mais nous, premièrement, on a un amour pour la France qui est absolument énorme.
09:53On respecte ce pays.
09:54Et aujourd'hui, on commence à avoir une certaine expertise.
09:56Et je suis sûr et certain que demain, des mecs comme nous au gouvernement, ça bougera deux fois plus.
10:03Ça, j'en suis persuadé.
10:05D'ailleurs, Jules, j'ai un petit message.
10:06Monsieur le Président de la République, pareil, s'il vous plaît, mais respectez votre stature politicienne, votre stature présidentielle.
10:13Lorsque sur les réseaux, vous mettez « ouais, mon frère ».
10:17Mais frère, de quoi ?
10:19Respectez-là cette stature.
10:20Vous ne voyez pas que sur le plan de l'international, nous avons l'air ridicule.
10:24Ridicule.
10:26Samedi, vous venez à Nice, samedi et dimanche.
10:29Je vous attends chez moi.
10:31Venez chez moi.
10:31Venez débattre, Monsieur le Président de la République.
10:33Il vous reste deux ans de mandat.
10:35Ça fait huit ans que vous êtes au pouvoir.
10:37Huit ans.
10:38Huit ans.
10:39Regardez l'état de la France.
10:42Monsieur Collomb avait raison.
10:43Gérard Collomb avait raison.
10:45Et c'est en train de se passer.
10:46Les anciens rappeurs comme la Fonki Family, comme IAM,
10:48tout le monde, on vous a tous avertis que tôt ou tard, la nouvelle jeunesse allait être totalement tarée.
10:53Les gamins se tuent à coups de mâche et à coups de couteau.
10:56À coups de couteau.
10:57Une certaine jeunesse.
10:59Ce n'est pas toute la jeunesse.
11:00C'est une certaine jeunesse.
11:02Oui, c'est une certaine jeunesse.
11:03C'est une jeunesse qui n'a pas été éduquée.
11:05C'est une jeunesse qui n'a pas de limite.
11:06C'est une jeunesse qui se croit tout permis.
11:08C'est une jeunesse qui n'a pas peur des sanctions.
11:10C'est ça.
11:11Monsieur Morandini, on en vient à un mot qui est vraiment important.
11:14À l'éducation parentale et à la responsabilité parentale.
11:17Et bien évidemment, mon discours, mon discours aussi, je larme de nuances.
11:21Parce qu'en France, vous n'imaginez même pas le nombre de personnes d'origine immigrée,
11:26italien, marocain, tunisien, algérien.
11:28Ce pays, la France, on le porte dans le cœur.
11:30Sauf qu'on n'osait pas parler.
11:31Parce qu'à chaque fois qu'on parlait, en fait, on se faisait...
11:33Moi, personnellement, moi, on m'a fermé les médias, les services publics.
11:38On m'a fermé les radios.
11:39On m'a traité de tous les noms.
11:40Et donc, les gens, ils suivent l'immigration,
11:42ils se disent, putain, Karim, il a pris la parole.
11:44OK, Karim, il parle bien.
11:46Mais Karim, mine de rien, il se fait mitrailler, en fait.
11:48Donc, les personnes ne veulent pas parler.
11:50Aujourd'hui, ce mouvement, le mouvement est intitulé Lève-toi.
11:53Je croise les doigts pour que ce mouvement prenne de l'ampleur.
11:56J'appelle solennellement tous les jeunes de France,
12:00et pas que les jeunes, tout le monde.
12:01Tout le monde d'origine, arabes musulmans, catholiques, juifs, peu importe.
12:07C'est à nous, maintenant, de faire avancer les choses.
12:09Comprenez-le, nous sommes tous pères et mères de famille.
12:12Tous pères et mères de famille.
12:14Et c'est vous qui, en général, souffrez le plus de ce qui se passe.
12:18Vous êtes les premiers à en souffrir,
12:19parce que ça véhicule une image qui est totalement dégradée,
12:22et tout le monde mélange tout, en fait.
12:24Et il suffit, on va dire les choses,
12:26il suffit de voir deux Maghrébins en train de casser.
12:27Pour beaucoup, ça devient, tous les Maghrébins sont des casseurs.
12:30Et c'est de ça dont vous souffrez, alors qu'on sait que ce n'est pas le cas.
12:33On sait que dans les cités, il y a des gens qui ont envie d'avancer,
12:35il y a des gens qui ont envie de travailler,
12:36il y a des gens qui ont envie de bien éduquer leurs enfants,
12:38et vous souffrez de cette image de merde qui est véhiculée par certains pour dire les choses.
12:42Merci, Chaotique.
12:43Merci beaucoup.
12:43Je vous ai longuement laissé parler,
12:45parce que je trouve très intéressant d'entendre votre discours,
12:47un discours qu'on n'a pas en général,
12:48qu'on n'entend pas dans les médias.
12:51Et voilà, là, je sais que vous êtes à Nice,
12:52mais si vous repassez par Paris,
12:53venez sur ce plateau,
12:55et on aura l'occasion d'en reparler.
12:56Merci.

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