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Gabriel Attal : "La réalité, c'est que dans le quotidien des Français, les choses n'ont pas suffisamment changé"
France Inter
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27/05/2025
Gabriel Attal, député des Hauts-de-Seine, président du groupe EPR à l’Assemblée nationale, secrétaire général de Renaissance est l'invité ce mardi.
Retrouvez « L'invité de 7h50 » de Sonia Devillers sur France Inter et sur : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-7h50
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00:00
Il est 7h48, Sonia De Villers, votre invitée et députée des Hauts-de-Seine,
00:05
est président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée Nationale.
00:09
Et secrétaire générale du parti Renaissance, bonjour Gabriel Attal.
00:13
Bonjour Sonia De Villers.
00:14
82 propositions issues de la première convention thématique de votre parti
00:20
consacrée au thème régalien que sont la police, la prison, l'immigration, le voile, on va y venir.
00:25
En les présentant, vous avez déclaré qu'il n'y aura pas de France apaisée sans une république.
00:30
La République ferme, elle est molle, la République, et si oui, qui la ramollit ?
00:35
Je pense que c'est un constat que font beaucoup de Français tous les jours.
00:38
On a des règles communes qui malheureusement ne sont pas respectées.
00:42
On a une délinquance qui continue à empoisonner la vie de beaucoup de Français.
00:46
On a des frontières qui ne sont pas respectées, une immigration qui n'est pas suffisamment pilotée.
00:51
Tout ça, ce sont nos règles républicaines et c'est une réalité aujourd'hui.
00:55
Elles ne sont pas respectées.
00:57
Moi, je pense qu'il n'y a pas de fatalité.
00:58
Tout ça, c'est le bilan des années Emmanuel Macron ?
01:03
Ces dernières années, il y a eu beaucoup de renforcement de moyens.
01:05
On a recruté des policiers supplémentaires, on a augmenté les moyens de la justice.
01:10
Le fait est qu'on a une situation aujourd'hui, et ça c'est les Français qui nous le disent.
01:13
Hélas, on a encore de la délinquance qui empoisonne leur quotidien.
01:17
Constat d'échec frontal, comme l'écrit Le Figaro, constat d'échec frontal sur les années Emmanuel Macron ?
01:23
J'essaye d'avoir un peu de nuance.
01:26
Je suis lucide, encore une fois.
01:27
Vous tuez le père ?
01:28
Je pense que beaucoup de choses ont été faites.
01:30
Est-ce que vous tuez le père ?
01:31
Non, encore une fois, moi j'essaye d'être lucide.
01:33
Il y a beaucoup de choses qui ont été faites.
01:35
Mais la réalité, c'est que dans le quotidien des Français, il n'y a que ça qui doit nous obséder.
01:39
Les choses n'ont pas suffisamment changé.
01:41
Vous visez une France apaisée, je vous cite, je reprends vos mots.
01:45
Interdire le voile pour les filles de moins de 15 ans, c'est une mesure d'apaisement ?
01:49
Vous savez, moi je me bats depuis plusieurs années pour construire une bulle de protection autour de nos enfants.
01:55
On a des enfants aujourd'hui qui sont instrumentalisés de toutes parts, qui sont fragilisés de toutes parts.
02:01
C'est en ce sens que je prône, avec le professeur Ruffeau, l'interdiction des réseaux sociaux pour les moins de 15 ans.
02:06
C'est en ce sens que je lutte contre le harcèlement à l'école.
02:09
C'est en ce sens que je veux renforcer l'accompagnement en santé mentale de nos enfants.
02:13
J'ai proposé hier, par exemple, de check-up psy pour tous nos enfants avant 18 ans.
02:17
Combien il y a de filles de moins de 15 ans en France qui portent le voile à votre avis ?
02:21
Un rapport vient d'être remis au gouvernement, que j'avais commandé quand j'étais Premier ministre.
02:25
Il parle, je cite, d'un phénomène qui n'est pas encore endémique, mais qui est présent sur tout le territoire national.
02:31
Et donc, Sonia De Villers, pour reprendre les propos qui sont les vôtres, le sujet pour moi, c'est moins le voile.
02:37
Moi, je respecte le droit d'une femme qui décide librement de porter le voile.
02:41
Je suis attaché à la liberté de conscience, à la liberté de culte, évidemment.
02:45
En revanche, une jeune fille, une fillette de 5-6 ans, comme c'est décrit dans ce rapport...
02:49
Combien il y a de fillettes de 5-6 ans qui portent le voile en France ?
02:52
Je reprends les mots de ce rapport, Sonia De Villers.
02:54
Pas encore endémique, mais combien ?
02:55
Pas encore endémique, mais présent sur tout le territoire national.
02:57
Le rapport... Mais donc, ça veut dire qu'il y a encore temps d'agir ?
03:00
Aux policiers, puisqu'il faut agir concrètement, comment vous allez agir ?
03:03
Aux policiers d'arrêter des petites filles et de contrôler leur âge dans la rue,
03:08
pour savoir si elles ont 13, si elles ont 14 ans ou si elles ont 15 ans,
03:11
si elles font moins ou si elles font plus que leur âge,
03:13
pour verbaliser des petites filles de 13 ans dans la rue ?
03:16
Pas du tout, Sonia De Villers.
03:17
Je crois qu'on a été assez clair quand on a présenté la mesure sur le fait que c'est évidemment pas...
03:20
Elisabeth Borne s'est elle-même posé la question, elle est la numéro 2 de votre parti.
03:23
Mais hier, on a présenté en conférence de presse les différentes propositions.
03:26
Il a été assez clair que c'est évidemment pas des fillettes qui vont être verbalisées ou poursuivies,
03:30
puisque la responsabilité en l'espèce, une jeune fille, une fillette de 5-6 ans, de 7-8 ans,
03:35
c'est pas son choix que de porter le voile.
03:37
Il lui est imposé par des parents, par une association, et c'est ça qui sera visé par cette...
03:42
Oui, mais vous, vous allez agir dans l'espace public.
03:43
Mais vous savez, mais bien sûr, mais ces questionnements, Sonia De Villers, c'était les mêmes au moment...
03:48
On va interpeller des petites filles dans l'espace public.
03:50
Non, on ne va pas interpeller des petites filles, puisque en général, une petite fille de 5-6 ans,
03:55
en général, elle est accompagnée de ses parents.
03:57
Mais vous savez, toutes ces questions que vous posez...
03:58
Et une petite fille de 13 ans, de 14 ans, qui n'est pas accompagnée par ses parents,
04:02
comment est-ce que des policiers interagissent ?
04:03
Je suis allé au bout de ma réflexion.
04:05
Dans l'espace public, avec des petites filles de 13-14 ans qui se promènent sans leurs parents.
04:09
Toutes ces questions que vous posez sur l'espace public, les mêmes avaient été posées en 2009,
04:14
quand la burqa était interdite dans l'espace public.
04:16
On a dit que ce n'est pas possible d'interdire le port d'une tenue dans l'espace public.
04:20
Et pourtant, ça a été fait.
04:21
Et pourtant, cette mesure, elle est appliquée.
04:23
En 2004, quand le gouvernement de Jacques Chirac avait décidé de faire respecter la laïcité à l'école,
04:28
avec une loi qui interdit le port de signes ostensibles religieux.
04:31
On a entendu les mêmes choses.
04:32
On ne va pas aller s'en prendre ou interpeller ou demander à des jeunes filles dans un établissement scolaire
04:38
de ne pas porter le voile.
04:39
Clairement, Gérard Larcher, président du Sénat,
04:42
et Elisabeth Borne, numéro 2 de votre parti ministre de l'Éducation nationale,
04:46
disent, on est à peu près certain que cette mesure sera inconstitutionnelle.
04:51
La loi de 2004, elle n'a jamais été déférée devant le Conseil constitutionnel.
04:55
La loi de 2009 sur la burqa, elle ne vise pas précisément l'islam et les musulmans.
05:03
Elle vise le fait d'avoir un visage couvert ou non couvert dans l'espace public.
05:09
Quant à l'interdiction de la baïa, c'est une circulaire du ministre de l'Éducation nationale que vous étiez à l'époque.
05:13
Que j'ai prise.
05:14
Je peux vous répondre sur ces différents points.
05:16
Sur le premier point, d'abord, il y a des personnalités qui s'opposent à cette mesure.
05:19
Beaucoup de personnalités qui s'opposent, y compris dans votre propre parti.
05:23
Mais ce que je constate, c'est qu'il y a aussi une forme de révélateur de posture politicienne.
05:26
Il y a quelques années, vous parliez de Gérard Larcher.
05:28
La majorité sénatoriale dont il fait partie a proposé cette mesure.
05:32
Vous parliez de personnalités de gauche.
05:33
Il y a quelques années, une ancienne ministre de Lionel Jospin, sénatrice communiste,
05:37
a elle-même proposé cette mesure au titre de la protection de l'enfance.
05:41
Et ensuite, pour ce qui est de la burqa, vous dites, ce n'était pas le voile qui était visé.
05:45
Effectivement, c'était une mesure d'ordre public.
05:48
C'est ça le terme juridique qui a été employé.
05:50
Et précisément, la mesure sur laquelle on a travaillé depuis plusieurs mois avec des juristes,
05:55
avec des constitutionnalistes, dont certains se sont d'ailleurs exprimés dans la presse,
05:58
c'est la protection de l'enfance.
06:00
C'est ça le terme juridique qui va être employé.
06:03
Parce que la réalité, c'est que quand vous imposez à une fillette de 5-6 ans,
06:07
comme c'est décrit dans le rapport, de se voiler,
06:10
et donc, quelque part, de dire qu'elle doit se contourner pour être respectable,
06:14
que ça provoque, je vois que, par exemple, Jérôme Gage,
06:18
qui est député PS, très attaché aux questions de laïcité,
06:22
dit que vous piétinez la lettre et l'esprit de la loi de 1905,
06:27
et que, pendant ce temps-là, le Rassemblement National ricane.
06:31
Ce qui m'intéresse, moi...
06:31
Je vous ai cité des personnalités de gauche qui ont une vision différente.
06:35
Tout le monde se pose la question, toute la presse se pose la question de savoir
06:41
si vous êtes le symptôme ou l'artisan d'une dérive droitière du macronisme.
06:46
Est-ce que ça marque, cette mesure parmi d'autres, un virage à droite, oui ou non ?
06:51
Vous savez, pour moi, la question de l'autorité républicaine,
06:53
ce n'est pas un slogan, c'est une colonne vertébrale.
06:55
Je me suis engagé en politique, j'ai été secrétaire d'État à la jeunesse,
06:58
j'ai porté le service national universel avec des modules dédiés aux valeurs de la République.
07:02
J'ai été ensuite à Bercy, en charge des douanes,
07:04
où j'ai renforcé les pouvoirs de nos douanes pour mieux respecter nos frontières.
07:08
J'ai été ministre de l'Éducation nationale, vous l'avez rappelé,
07:10
j'ai fait appliquer la laïcité dans nos établissements scolaires
07:12
en interdisant le port de la baïa éducaliste.
07:14
Mais quand Marc Fénaud dit Marc Fénaud...
07:16
J'ai poursuivi un certain nombre de mesures.
07:17
Et pour vous répondre sur le côté droite ou gauche,
07:21
aujourd'hui, vous avez une gauche qui refuse de regarder ses sujets par posture morale.
07:25
Et vous avez une droite, des LR et une extrême droite,
07:27
qui ne regardent que ses sujets par posture idéologique.
07:31
Et moi, je vous le dis, entre le déni et l'obsession, il y a les Français.
07:34
Et moi, c'est ça qui m'intéresse.
07:35
Marc Fénaud qui dirige le modem, les centristes, à l'Assemblée,
07:39
ce sont vos alliés, il est furieux.
07:41
Il dit dans le bloc central, on en vient apporter les discours, les thèses,
07:46
les propositions de la droite, voire de l'extrême droite.
07:49
Il dit que c'est une trahison de la promesse initiale.
07:52
Vous dites non ?
07:53
Mais encore une fois, qu'il y ait du débat et des positions différentes.
07:55
Vous savez, en 2004, quand il y a eu la loi de Jacques Chirac à l'époque sur la laïcité à l'école,
08:00
vous aviez des responsables politiques, dont François Bayrou, je crois, qui ne l'avait pas voté.
08:04
Il y avait déjà des débats sur ce sujet.
08:06
On ne parle pas que du voile.
08:07
Sur la justice des mineurs, vous venez de faire voter une loi.
08:10
Cette loi, qui a eu un parcours législatif tumultueux, très tumultueux.
08:15
Si, si, si, avec très nombreuses levées de boucliers des professionnels du secteur.
08:19
Elle a été votée.
08:19
Elle a été votée.
08:20
Elle a été votée par qui ?
08:21
Toute la gauche a voté contre.
08:23
La droite a voté pour, l'extrême droite a voté pour.
08:25
Donc forcément, on vous catalogue à droite.
08:28
Cette loi, elle a été portée par nous, par mon groupe, Ensemble pour la République, et j'en suis fier.
08:32
C'est un texte que j'avais travaillé quand j'étais Premier ministre avec mon gouvernement,
08:36
que je devais présenter avant que la dissolution n'intervienne.
08:40
Et oui, c'est une réforme qui permet de créer une comparution immédiate pour les mineurs
08:44
qui n'existent pas aujourd'hui et d'atténuer l'excuse de minorité.
08:46
Alors, aidez des éditorialistes comme Patrick Cohen, qui est là, juste à votre droite.
08:50
Aidez-le et aidez-les à vous différencier de Bruno Retailleau, de Gérald Darmanin et de Edouard Fier.
08:57
Hier, on a présenté nos 82 propositions.
09:00
Précisément, ce que j'ai dit hier, c'est qu'on avait adopté cette réforme
09:03
qui permet effectivement d'avoir une politique pénale plus ferme
09:05
face à une violence de plus en plus débridée chez des jeunes.
09:07
Mais qu'il y a l'autre bout de la chaîne.
09:09
Et hier, on a présenté des mesures sur la question de la prévention,
09:12
pour la santé mentale de nos jeunes,
09:13
pour une réforme de l'aide sociale à l'enfance.
09:15
Parce que c'est un véritable scandale aujourd'hui
09:17
d'avoir des gamins confiés à la protection de l'enfance
09:19
qui malheureusement partent à la dérive, faute d'accompagnement.
09:23
On a annoncé des mesures pour la prévention.
09:24
Et y compris sur la justice, on a annoncé aussi une vraie politique
09:28
de lutte contre la récidive via la réinsertion par le travail.
09:31
C'est ça qui vous distingue de Gérard Darmanin ?
09:33
C'est ça qui vous distingue d'Edouard Philippe ?
09:35
Mais j'entends pas, d'abord j'entends assez peu de partis politiques
09:38
faire des propositions aujourd'hui.
09:39
Et ensuite, quand vous me parlez de Bruno Retailleau, DLR, etc.,
09:42
je ne les entends pas parler de réinsertion par le travail.
09:44
Je ne les entends pas parler d'accueil de l'immigration par le travail aussi.
09:48
C'est ça notre cohérence.
09:49
Et ensuite, on a beaucoup d'autres différences avec l'LR,
09:52
puisque vous les citez, sur l'Europe, sur l'écologie,
09:54
sur les droits des personnes LGBT,
09:56
sur l'égalité entre les femmes et les hommes.
09:58
Je peux vous citer énormément de différences entre nous.
10:00
C'est la fin de cette interview.
10:02
Pardon.
10:03
L'émission continue.
10:05
Merci Gabriel Attal.
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