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00:00Bonjour à tous et bienvenue sur Europe 1 ce matin jusqu'à 9h30 sur CNews jusqu'à 10h30 et je vous le dis chaque jour à partir du 6 juin, CNews c'est sur le canal 14.
00:14Là vous êtes sur le canal 16 comme vous le savez et le 6 juin ce sera le canal 14.
00:19L'affaire est anecdotique bien sûr mais elle révèle comment fonctionnent les médias.
00:24Chez nos confrères de Helsinki hier matin, Mme Isabelle Thys Saint-Jean est invitée à commenter l'actualité.
00:30Elle est présentée comme une économiste, professeure à l'université de Paris-Sorbonne.
00:35Au cours de l'émission, elle entame une diatribe contre le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau.
00:41Elle dit à plusieurs reprises en tant qu'universitaire, c'est la citoyenne qui parle pour donner une forme de neutralité à son témoignage.
00:49Elle commente le rapport sur les frères musulmans et là encore elle dit s'exprimer en tant qu'universitaire.
00:56Écoutez les scientifiques dit-elle, ce rapport ne correspond pas à la réalité.
01:01Bruno Retailleau instrumentalise dit-elle encore le rapport.
01:06Dans mon cours, des jeunes femmes voilées cohabitent avec d'autres qui portent un crop top.
01:12Le raisonnement par l'exemple, l'université 2.0, plusieurs minutes d'un déni complet.
01:18L'immigration, les chiffres sont faux.
01:21La sécurité, tout va bien, etc.
01:24Et à chaque fois, Mme Thys Saint-Jean martèle son statut en tant qu'universitaire.
01:31En tant qu'universitaire.
01:33La vérité est tout autre.
01:34Mme Thys Saint-Jean est membre du parti socialiste.
01:37Elle a occupé plusieurs fonctions de secrétaire national au PS.
01:41Elle est candidate au PS aux élections régionales de 2010.
01:44Elle se présente aux élections législatives en 2012.
01:47Elle fait partie de l'équipe de campagne de Martine Aubry pour la primaire en 2011.
01:53C'est évidemment son droit.
01:55Mais c'est son devoir de le dire aux téléspectateurs.
01:58Elle est universitaire sans doute.
02:00Elle est militante sur tout.
02:03Ainsi fonctionne parfois l'espace médiatique.
02:07Soyons vigilants.
02:08La liberté d'expression est sacrée.
02:10Mais d'où parlez-vous est une question essentielle.
02:14Il est 9h01.
02:15Chana Lousteau.
02:169h, 9h30.
02:18L'heure des pros sur CNews et Europe 1.
02:20Bonjour Pascal.
02:30Bonjour à tous.
02:30C'est la réforme majeure du second quinquennat d'Emmanuel Macron.
02:34Les députés se prononceront aujourd'hui sur la loi fin de vie.
02:38Deux textes seront soumis au vote en fin d'après-midi.
02:41L'un sur les soins palliatifs.
02:42L'autre sur la création d'un droit à l'aide à mourir.
02:45Comprenez à l'euthanasie et au suicide assisté.
02:48Chaque groupe politique laissera la liberté de vote à ses membres.
02:52Ce drame dans le nord.
02:53Un homme et deux enfants sont morts ce matin dans l'incendie de leur maison.
02:57Ça s'est passé dans la commune d'Attiche au sud de l'île.
03:01Deux autres enfants et la mère de famille ont été transportés à l'hôpital.
03:05Sans pronostic vital engagé.
03:06La maison a pris feu dans la nuit.
03:08À ce stade, les flammes sont maîtrisées.
03:10Et puis une statue du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame sera dévoilée aujourd'hui à Brissur-Marne près de Paris.
03:16Bruno Retailleau sera présent à l'inauguration pour rendre hommage aux héros de l'attentat de Trèbes.
03:21Le 23 mars 2018, Arnaud Beltrame avait volontairement pris la place d'une otage dans un supermarché
03:26et s'était retrouvé seul face à un terroriste islamiste.
03:30Un sacrifice d'une grande bravoure qui lui aura coûté la vie mais qui aura inscrit son nom dans l'histoire française.
03:35Voilà pour l'essentiel de l'information.
03:37C'est à vous Pascal.
03:38Merci Shanna.
03:40Merci beaucoup.
03:41Charlotte Dordella s'est avec nous ce matin.
03:43Joseph Masses-Caron, Vincent Hervouet, Richard Millet qui est écrivain,
03:46Yoann Ouzahi.
03:47Alors je vois, il y a beaucoup de messages déjà qui arrivent.
03:49Franck Tapirot me dit, tu as raison de souligner ça.
03:52Et il rappelle ce qui s'est passé avec M. Pity l'autre soir.
03:54C'est sûr, c'est sûr.
03:56Dans l'émission, quelle époque ?
03:57On dit que c'est un médecin humanitaire.
03:58Il l'est, mais il est surtout candidat de M. Raphaël Glucksmann.
04:02Et on ne le dit pas.
04:03En fait, moi je trouve ça insupportable.
04:05C'est insupportable.
04:06On présente des gens.
04:07Alors dans l'université, c'est quelque chose qui est courant.
04:09On présente les gens.
04:10Ils sont universitaires.
04:11Elle n'est sûrement universitaire.
04:12Elle est militante.
04:13Mais elle a le droit.
04:14Mais qu'on le sache.
04:15Et pourquoi elle ne le dit pas ?
04:16Pourquoi elle ne le dit pas ?
04:18C'est intéressant.
04:19Elle ne le dit pas parce qu'elle ne veut pas le dire.
04:21C'est aussi ça que je trouve.
04:23Elle ne le dit pas parce qu'elle ne veut pas le dire.
04:25Parce que ce n'est pas du tout la même chose.
04:27Et elle dit n'importe quoi en fait.
04:29N'importe quoi.
04:30C'est le déni complet.
04:31Et c'est à cause de ces gens-là qu'on est en difficulté.
04:34Parce que pour elle, ça n'existe pas les problèmes de sécurité.
04:37Les chiffres de l'immigration sont faux.
04:39Elle dit et elle conteste un rapport d'État.
04:42Rapport sur les frères musulmans.
04:43Elle dit ce n'est pas du tout vrai.
04:45Ce n'est pas ça.
04:45Mais au nom de qui ?
04:47Enfin jusqu'à quand ce pays va fonctionner avec des universitaires de ce type ?
04:53Franchement, je trouve ça scandaleux.
04:55Mais bon, on verra si les ministres de l'enseignement supérieur réagissent ou pas.
05:00Et LCI doit dire que cette dame, c'est le temps de parole.
05:03Quand tu invites cette dame, c'est le temps de parole.
05:05Il faut que les règles soient les mêmes pour tout le monde.
05:09Les règles ne sont pas les mêmes pour tout le monde.
05:10Mais bien sûr !
05:11Les règles doivent être les mêmes pour tout le monde.
05:13Quand tu invites cette dame, tu la présentes comme le parti socialiste.
05:19Et c'est décompté du temps de parole.
05:20Je suis désolé.
05:21Les règles doivent être les mêmes pour tout le monde.
05:23D'autant que la question d'où vous parlez est une question qu'à gauche,
05:28on a pendant des décennies tenue.
05:31Oui !
05:31Et que quand on a le malheur de dire en retour d'où vous parlez,
05:35ah non !
05:36Bien sûr !
05:37Je prends les téléspectateurs.
05:39Je vais vous faire écouter.
05:40On avait prévu d'écouter ça tout à l'heure.
05:41Mais en fait, moi, ça me met en colère.
05:44Parce que je trouve ça scandaleux.
05:46C'est l'espace médiatique qui est saturé de...
05:48Après, on parle de fake news.
05:49Elle a le droit, je le répète, de s'exprimer.
05:51Mais c'est une militante du PS qui vient sur un plateau de télé et qui ne le dit pas.
05:57Alors, écoutons ce qu'elle a dit hier.
05:59Sentiment de consternation.
06:05Notamment de la place donnée au sujet régalien.
06:11Je ne sais pas si les auditeurs ont écouté l'émission depuis le début.
06:15Mais des choses dont on a parlé depuis le début, des enjeux dans lesquels on est.
06:19Et là, il y a une espèce de...
06:21C'est comme si la classe politique, ou une partie de la classe politique,
06:26était absolument, face à son impuissance de dire quelque chose sur des sujets qui sont quand même un petit peu importants,
06:33sur la place de l'Europe, tout ce dont on a parlé avant.
06:37Du coup, la solution de facilité, c'est d'avoir des propos de plus en plus outranciers sur les sujets régaliens
06:44et d'être dans la surenchère.
06:46Franchement, il y a quelque chose...
06:48Là, je m'exprime en dehors de...
06:50C'est comme simple citoyenne que je dis ça.
06:53Comme en tant qu'universitaire, je voudrais quand même...
06:57Tout à l'heure, j'ai poussé un coup de gueule sur le...
06:59Écoutez les scientifiques.
07:01Mais écoutez aussi les scientifiques sur les questions régaliennes.
07:04Écoutez.
07:05Je voudrais revenir sur le rapport qui a été rendu.
07:08Bon, la plupart...
07:09Sur l'entrisme des frères musulmans.
07:10Oui, sur l'entrisme des frères musulmans.
07:11D'abord, le rapport n'est pas du tout ce qui en a été fait en termes d'instrumentalisation politique.
07:18Entre le rapport lui-même et les propos qui ont été tenus,
07:22notamment par Bruno Retailleau, à l'occasion du rapport,
07:25il y a une immense différence.
07:27Et puis, quand on interroge un certain nombre de mes collègues
07:31sur la réalité du danger des frères musulmans,
07:35bon, leurs propos sont quand même d'une nature différente,
07:38y compris des gens qui ont été auditionnés.
07:40Donc, je trouve qu'il y a une espèce d'incapacité d'entendre...
07:43Et c'est la même chose sur les données sur l'immigration.
07:46Donc, les données sur l'insécurité, sur l'immigration, sur...
07:50Franchement, essayons de remettre un petit peu, encore une fois, de rationalité,
07:56d'écouter les éléments factuels,
07:57parce que sinon, on ne peut pas dire que Trump, ça ne va pas du tout,
08:01les fake news, etc.
08:02Et puis, avoir un débat public qui est absolument saturé
08:06de choses qui sont factuellement fausses au bout d'un moment.
08:10Moi, ce qui m'ennuie, elle dit, elle a le droit de dire ça.
08:14Mais, vous avez vu le bandeau, professeur d'université,
08:17militante du Parti Socialiste.
08:21Militante du Parti Socialiste.
08:23Et ça change tout, en fait.
08:25Ça change tout.
08:26Alors, il y en a marre.
08:27En fait, il y en a marre.
08:30Donc, il y en a marre, il y en a marre.
08:31Les confrères font n'importe quoi.
08:33N'importe quoi, il y en a marre.
08:35Et ils donnent des leçons.
08:36Alors, il faut que les règles soient les mêmes pour tout le monde.
08:38En fait, il y en a assez.
08:39Quand on invite des gens, on dit d'où ils parlent.
08:40Sur les temps de parole, c'est important.
08:42Donc, ça suffit, quoi.
08:44Ça suffit de dire n'importe quoi sur les plateaux de télévision.
08:49On a une militante qui nous explique que les chiffres de l'immigration sont faux,
08:52que le rapport n'est pas bon, etc.
08:54Non.
08:55Là, c'est effectivement un mensonge par omission.
08:57Parce qu'elle sait très bien, d'abord, que si elle dit qui elle est et d'où elle vient,
09:01son propos aura moins d'impact.
09:03Parce que là, en l'écoutant et en lisant le bandeau,
09:06on se dit, mais quand même, c'est vrai que c'est une professionnelle.
09:08Elle a travaillé les sujets.
09:09Si elle dit ça, ça doit vraiment être la vérité.
09:13Encore une fois, c'est une professionnelle.
09:15Non, c'est une militante avant tout.
09:17Et le discours qu'elle tient, de fait, ça s'entend très bien.
09:19D'ailleurs, c'est un discours politique.
09:20Ce sont des éléments de langage de la gauche, de l'extrême gauche.
09:23Voilà, c'est un discours avant tout politique et militant.
09:25Vous avez raison de le dire, oui.
09:26Richard Millet.
09:27Et comme tout discours militant, elle ne dit rien au fond.
09:29Oui, merci.
09:30Parce que si on voulait savoir d'où elle parle,
09:35il faudrait savoir de quoi elle parle aussi.
09:37Quand elle parle des frères musulmans, elle ne dit rien du tout.
09:39Elle dit, M. Retailleau fait des amalgames.
09:41Enfin, je ne sais pas ce qu'elle a dit.
09:42Instrumentalise.
09:43Instrumentalise.
09:43Mais l'instrumentalise quoi, M. Retailleau,
09:45si tant est qu'il instrumentalise quelque chose ?
09:48Les frères musulmans ont oublié qu'ils vont avoir 100 ans d'existence.
09:53Qu'ils ont fourni une légion de SS à Hitler, n'est-ce pas ?
09:58Qu'ils veulent détruire Israël.
10:00Et que, par exemple, le père de Bachar el-Assad
10:04avait tenté de les éliminer, comme fera el-Sisi.
10:07Donc, ce n'est pas n'importe qui.
10:10Pour entrer dans Hama, la ville de Hama, en Syrie,
10:13et faire 40 000 morts pour tuer les frères musulmans,
10:16ce n'est peut-être pas une bonne politique,
10:17mais en tout cas, il l'a fait.
10:19Ça veut dire que c'est dangereux.
10:21Et madame, j'ai oublié son nom, j'ai même pardonné son nom.
10:23Elle s'appelle Mme Tissin-Jean.
10:25Isabelle Tissin-Jean.
10:26Elle fait penser...
10:27D'ailleurs, je précise qu'elle peut venir si elle veut un droit.
10:29Bien sûr.
10:30Elle vient demain matin sur notre plateau.
10:32Moi, je n'ai aucun souci.
10:34Je n'ai aucun souci pour écouter sa parole.
10:37Aucun.
10:37D'abord, elle ne viendra pas.
10:38Elle ne viendra pas, mais...
10:39Elle ne viendra pas, comme toujours, mais je n'ai aucun souci.
10:42Mais je ne veux pas qu'on me raconte des salades.
10:44Il faudrait faire comme Maître Jacques dans Lavard.
10:47Vous savez, quand Arpagon a décidé que le cuisinier...
10:52Il change sa casquette.
10:53Voilà.
10:54Monsieur, c'est à qui ?
10:55Vous parlez à votre cuisinier ou à votre cocher ?
10:57Là, il change de casquette à chaque fois.
10:59Donc, madame Machin devrait faire la même chose.
11:01Ne l'appelez pas madame Machin,
11:02parce qu'appelons-là, madame Tisse Saint-Jean.
11:06Madame Tisse Saint-Jean.
11:07Mais ce qui est extraordinaire...
11:08Moi, je trouve ça sidérant.
11:10Je ne peux pas dire autre chose.
11:11Je trouve ça sidérant.
11:12Ce monde est sidérant.
11:14Et je vous répète, c'est un rapport d'État.
11:17Le rapport, elle le remet.
11:18D'ailleurs, je pense qu'en tant qu'universitaire,
11:21elle sort même de son rôle.
11:22C'est quelqu'un qui est payé par l'État français.
11:24Mais elle vous dit qu'elle parle en tant que citoyenne.
11:26Donc, elle a changé de casquette.
11:27Vous avez changé de casquette.
11:28C'est incroyable.
11:30C'est juste.
11:31Bon, écoutez.
11:32J'espère que ses travaux d'université sont plus précis, en effet.
11:34Parce que franchement, vous écoutez, ça dure trois minutes.
11:36Il n'y a rien.
11:37On peut se douter de ce qu'elle pense sur la Terre.
11:39La vérité, c'est que ce sont des universités de seconde zone,
11:44bien évidemment.
11:45C'est pour vous dire qu'ils n'ont pas grand monde à mon avis.
11:47Exactement.
11:48Qui polluent parfois ou saturent l'espace médiatique.
11:51Mais bon, peu importe.
11:53Pas peu importe, d'ailleurs.
11:55On va faire des efforts, paraît-il.
11:56C'est ce qu'a dit François Bayrou.
11:59François Bayrou.
12:00On va faire des efforts, c'est-à-dire qu'on va payer.
12:02Ça va être le deuxième coup de gueule de la matinée.
12:06Je vous le confirme.
12:07On fait déjà des efforts.
12:08Franchement, c'est un scandale.
12:10Oui, c'est un scandale.
12:10C'est une honte.
12:12Ces gens, c'est une honte.
12:14C'est les Français qui vont payer.
12:15Ça fait 50 ans qu'ils font des efforts.
12:17Ceux qui gouvernent font absolument n'importe quoi.
12:19Et qui payent la facture, c'est les Français.
12:20Et c'est la facilité, surtout.
12:21Voilà.
12:22On va payer les efforts.
12:22J'espère qu'ils seront...
12:24Alors, on va voir ce que vont faire les LR.
12:26Parce que M. Retailleau et M. Wauquiez ont dit.
12:30Et évidemment, Marine Le Pen, pareil.
12:31Si il y a un impôt, on quitte le gouvernement.
12:32Aux impôts.
12:32Et pareil, Marine Le Pen.
12:33Ce qu'elle avait dit Laurent Wauquiez.
12:34Et Marine Le Pen, pareil.
12:35Si il y a un impôt, on quitte le gouvernement.
12:36Exactement.
12:37Et d'ailleurs, Gabriel Attal aussi.
12:39Et bien, tout le monde a censuré comme ça.
12:41Tout le monde a censuré.
12:41On va tous revoter.
12:42On va être parfait.
12:43François Bayrou.
12:44Je ne ciblerai pas une catégorie de Français
12:49à l'exclusion des autres.
12:53Dire on va concentrer sur les uns...
12:55Je ne dis pas concentrer,
12:56mais je dis que vous pouvez faire ça et d'autres choses.
12:58Excusez-moi.
12:58Donc, vous ne toucherez pas les retraités.
13:00Non.
13:01Vous ne m'attirerez pas dans ce genre de déclaration.
13:06Je vous dis, tout le monde va devoir faire des efforts.
13:10Ah ben, c'est bien.
13:11Tout le monde, d'ailleurs.
13:12C'est clair, là, encore.
13:12Mais d'abord, ça fait des décennies
13:15que les Français font des efforts, effectivement.
13:17Mais encore une fois, c'est la solution de facilité.
13:19Il n'y a pas d'argent.
13:19On dit, on va augmenter les impôts.
13:21Oui, mais on peut aussi réduire dans les dépenses sociales.
13:22Pardon.
13:23Ça serait ça, le vrai courage politique.
13:25Le vrai courage politique,
13:26ça serait de réduire les dépenses.
13:27Mais de faire des coupes drastiques dans les dépenses.
13:29Il y a des dizaines de milliards d'euros à trouver.
13:31Les dépenses sociales,
13:32on a les dépenses les plus élevées au monde.
13:34Mais non, M. Bayrou, lui,
13:35il a choisi de faire payer encore ceux qui travaillent,
13:37ceux qui se lèvent le matin,
13:38ceux qui payent déjà beaucoup, beaucoup, beaucoup d'impôts.
13:41Ce n'est pas ça, le courage politique.
13:42Pas du tout.
13:44Non, mais en effet.
13:46Charlotte Dornelas ?
13:47Moi, je ne sais pas quoi retenir de sa déclaration.
13:49Je suis désolé.
13:49Ce n'est pas la journée,
13:50mais les déclarations sont...
13:52Non, mais vous avez raison.
13:52Des vagues.
13:53Franchement, on ne comprend rien.
13:54Les Français doivent faire des efforts.
13:55Ça veut dire payer plus.
13:56Les efforts, ça veut dire ça.
13:57Ça veut dire payer plus.
13:58Oui, mais il y en a peut-être qui auront moins d'argent.
13:59On pourrait dire,
14:00tout le monde doit faire des efforts.
14:01Donc, il y a déjà des gens qui font des efforts en payant des impôts.
14:03Donc, d'autres vont faire des efforts également.
14:05Il pourrait, par exemple, prendre la filière.
14:06Évidemment, ce ne sera pas ça.
14:08Il dit tous les Français.
14:09Moi, ça me semble clair.
14:10Ça m'étonnerait qu'ils rétablissent un impôt pour tous les Français.
14:11Oui, mais tous les Français.
14:13Il y en a qui ne peuvent pas tellement faire des efforts.
14:14Non, mais tous les Français,
14:15ça veut dire les classes moyennes, Pascal.
14:16C'est ça.
14:16Ça veut dire tous les Français.
14:17C'est comme d'habitude, les classes moyennes.
14:19Eh bien, ça ne passera pas.
14:22Ça ne passera pas.
14:23Puisque Marine Le Pen censurera.
14:24Monsieur Attal censurera.
14:25Et tout le monde censurera.
14:27Ça ne passera pas.
14:28Ça ne passera pas.
14:28Par un centime, dose d'impôt en plus.
14:30Voilà.
14:31C'est ça, la règle.
14:32Et s'ils ne sont pas contents,
14:33qui viennent nous voir ?
14:34On va leur donner des solutions.
14:36Ça va, maintenant.
14:38Bon, sur l'entrisme,
14:39écoutez ce qu'a dit M. Bayrou.
14:42C'est un rapport qui présente des faits inquiétants
14:46dont je pense qu'on peut regarder tous ensemble
14:50quelle est l'ampleur de ces risques-là.
14:53Il y a des organisations
14:57qui cherchent à imposer à la France
15:00une loi qui est une loi religieuse
15:02ou d'essence religieuse.
15:06Or, ceci n'est pas la laïcité.
15:08Il y a une loi en France,
15:09qui a une règle en France,
15:10un principe en France.
15:13La loi protège la foi,
15:15mais la foi ne fait pas la loi.
15:18Alors, on me dit,
15:20je n'ai pas tout écouté,
15:21notamment à la fin,
15:21qu'il n'a pas été aussi offensif sur le rapport
15:24que Bruno Retailleau, par exemple.
15:26Il n'a pas modéré,
15:27il n'est pas non plus sur la ligne de Mme Tisse,
15:29Jean,
15:30mais enfin,
15:31il a quand même un peu atténué
15:34la puissance de ce rapport,
15:36si je comprends bien.
15:36Et Marine Lançon me dit que,
15:38on va écouter dans une seconde,
15:40quelque chose qui semble,
15:42dans la bouche de M. Bayrou,
15:44comme atténué.
15:45Oui, il dit,
15:46je refuse de faire de l'islam
15:47un sujet de fixation
15:48et de surenchère régalienne.
15:51Donc, ça veut dire...
15:52Il est avec Mme Tisse-Saint-Jean.
15:54Tout à fait.
15:55Tout à fait, quand même.
15:56Ça me semble un peu exagéré ce que vous dites.
15:57Mais néanmoins,
15:58on voit effectivement
15:59qu'il cherche à modérer Bruno Retailleau,
16:02qui rappelle aussi quelque part
16:03à l'ordre de Gabriel Attal
16:04et sa proposition sur le poil
16:06pour les fillettes de moins de 15 ans.
16:07Donc, ça veut dire
16:08qu'il veut quand même redescendre d'un cran
16:10par rapport à ce qu'a été le débat
16:11ces derniers jours.
16:12Mais je vais vous dire,
16:13ça va être...
16:13Le rapport, il est sorti.
16:15Et plus on va s'éloigner
16:16de la sortie du rapport,
16:18plus on va expliquer
16:19qu'il n'y avait pas grand-chose
16:20finalement dans ce rapport.
16:20Écoutez, il ne s'est rien passé
16:21pendant huit mois.
16:22Il ne s'est rien passé
16:22pendant huit mois
16:23avant que ce rapport
16:24soit rendu public.
16:25Donc, il n'y a pas de raison
16:25qu'il se passe quoi que ce soit
16:26dans le prochain mois.
16:26Exactement.
16:27Je connais ça par cœur.
16:29Et ceux qui dénoncent
16:31à l'arrivée ce rapport
16:33ou ceux qui expliquent
16:35que c'est plutôt juste
16:37ce qui est dit dans ce rapport
16:38seront accusés eux-mêmes
16:39d'être des facteurs de division, etc.
16:41On connaît ça par cœur.
16:43Le déni, ça fait 40 ans
16:44que ça dure.
16:45Il n'y a pas de raison
16:46que ça s'arrête.
16:47Donc là, il y a des propositions
16:48concrètes quand même
16:49de Bruno Retailleau.
16:49Oui, mais vous avez
16:50le Premier ministre
16:51qui ce matin, visiblement...
16:54Écoutez ce qu'il dit.
16:54Écoutez ce qu'il dit
16:55et on analyse.
16:56Écoutez ce qu'il dit.
16:57Je n'ai pas envie
16:59de faire de l'islam
17:00un sujet de fixation
17:03de la société française.
17:05Je sais que c'est la mode.
17:07Je sais que ça a probablement
17:10du succès
17:10dans un certain nombre
17:12de cercles.
17:13Mais nous devons vivre ensemble.
17:16Mais qui a parlé de l'islam ?
17:17C'est un rapport
17:18sur l'islamisme.
17:19Il est au courant ?
17:19Exactement.
17:20Puis il y a des gens
17:20qui ne veulent pas vivre
17:21manifestement avec nous.
17:23Il parle de l'islam.
17:24Mais c'est le déni.
17:26On va en revenir
17:27à la même chose.
17:28Monsieur Bayrou,
17:29c'est un homme
17:29de la Quatrième République.
17:31Voilà.
17:32C'est un démocrate chrétien
17:33de la Quatrième République.
17:34Donc c'est dans son ADN.
17:37Voilà.
17:37La poussière,
17:38on la met sous le tapis.
17:39C'est comme ça.
17:40Parce que le problème,
17:42il est...
17:42On va dans le mur,
17:43on klaxonne
17:44et on continue.
17:45Et quand il y a un rapport
17:46qui sort,
17:47je ne veux pas faire
17:47de l'islam,
17:48je ne veux pas parler
17:49que ça et ça.
17:52Monsieur Erwouet.
17:54J'écoute et j'apprends.
17:55Ah.
17:56Mais bon,
17:56l'islam a été pendant
17:57mille ans
17:57un sujet
17:58non pas de fixation,
18:00mais une idée fixe
18:02pour la plupart
18:02des Européens quand même.
18:04Monsieur Bayrou découvre
18:05le monde.
18:06Ah oui.
18:11C'est vrai.
18:12Bon,
18:13c'est tout.
18:15C'est déjà un rappel
18:16important.
18:17Non mais bon,
18:17qu'est-ce que vous voulez
18:18que vous en parle
18:18de choses essentielles ?
18:19Écoutez,
18:19monsieur Moumutou,
18:20qui travaille avec
18:21Bruno Retailleau,
18:22au ministère de l'Intérieur.
18:23Écoutez ce qu'il a dit,
18:24Hugues Moutou,
18:25qui est préfet d'ailleurs
18:26il y a quelques mois encore
18:28et qui est aujourd'hui
18:29au ministère de l'Intérieur.
18:29il était exonné à ce matin.
18:31C'est un peu un climat
18:32de guerre froide.
18:34On a deux blocs idéologiques
18:35qui s'opposent,
18:36deux visions du monde
18:38totalement antagonistes
18:39qui s'opposent.
18:40Et je crois que dans cette
18:42guerre idéologique,
18:43et pas que idéologique,
18:44parce qu'elle est
18:44multidimensionnelle,
18:46elle est militaire,
18:47on intervient sur les théâtres
18:48d'opérations extérieures,
18:50on lutte à l'intérieur
18:51contre le terrorisme,
18:52mais également
18:53la guerre est culturelle.
18:55C'est une guerre des idées.
18:57Et la France,
18:58dans ce conflit,
18:59dans cette lutte,
19:00a un rôle particulier
19:02à jouer
19:02parce que nous sommes
19:03la patrie de l'esprit critique,
19:05des lumières
19:06et des droits de l'homme.
19:07Donc je pense que
19:07nous sommes en première ligne
19:09et c'est pour ça
19:09que nous sommes attaqués.
19:10Le vrai amalgame
19:11qui est dangereux pour moi,
19:12pour la République,
19:13c'est celui d'assimiler
19:15un musulman à un islamiste
19:16et de dire que
19:17parce qu'on est musulman,
19:18on soutient automatiquement
19:19l'islamisme politique.
19:21Ce n'est pas vrai.
19:22Fort heureusement,
19:22la plupart de nos compatriotes
19:24musulmans pratiquent leur foi
19:25dans le respect
19:26des valeurs de notre éthique.
19:27Il a raison,
19:28il faut le dire,
19:29le redire.
19:29D'ailleurs,
19:30il y a un très bon papier
19:30de Sonia Mabrouk
19:31dans le journal du dimanche
19:32hier qui va dans ce sens-là.
19:35Les musulmans
19:35ne sont pas des islamistes,
19:37Richard Millet.
19:39Mais je n'en doute pas.
19:41En revanche,
19:42ce qu'on voit assez souvent,
19:43c'est la façon très rapide
19:45dont un musulman
19:45peut passer à l'islamisme,
19:47peut se radicaliser.
19:49Je connais des gens,
19:50par exemple,
19:50qui ayant été élevés
19:52dans un milieu musulman
19:53complètement laïc,
19:54d'un seul coup,
19:55se sont enfoulardisés.
19:57Vous voyez ?
19:58Et voilà.
19:59Oui,
19:59mais il y a quelque chose,
19:59par exemple,
20:00Amin El Khatmi
20:01a dit quelque chose
20:01de formidable
20:02l'autre jour sur notre plateau.
20:03Il a dit,
20:04le foulard de ma mère,
20:06qui a 60 ou 65 ans,
20:07le voile de ma mère,
20:08ce n'est pas le voile
20:09des jeunes d'aujourd'hui
20:10de 20 ans.
20:11Et ça,
20:12c'est très intéressant
20:12parce que c'est le même foulard,
20:14c'est le même voile.
20:15Mais il n'a pas la même portée.
20:18Et c'est Amin
20:19qui disait cela,
20:20Amin El Khatmi.
20:21Et j'ai trouvé ça
20:22vraiment dans le débat
20:23d'aujourd'hui.
20:24Amin parlait du foulard
20:25de sa mère.
20:26Il faudrait qu'on arrête
20:27de confondre foulard et voile.
20:29Parce que ça devient insupportable,
20:30pardonnez-moi.
20:31Le voile,
20:31c'est autre chose.
20:32Ce n'est pas le foulard.
20:34Le foulard,
20:34ça pouvait se voir partout.
20:35Et la mère d'Amin,
20:37en effet,
20:37avait un foulard.
20:39Juste,
20:39en fait,
20:40le vrai problème
20:41qu'ils ont,
20:42et François Bayrou
20:43l'a énoncé,
20:44à mon avis,
20:45et qu'il dit,
20:46on a un problème.
20:47Et d'ailleurs,
20:47vous avez vu,
20:48depuis quelques jours,
20:48on ne reparle plus
20:49que du terrorisme.
20:52Mais le fond du sujet
20:53de ce rapport,
20:53ce n'est pas le terrorisme.
20:55Précisément,
20:55les rapporteurs expliquent
20:56d'ailleurs
20:57que les autorités
20:58ne se sont pas intéressées
21:00au sujet de l'islamisation
21:01de la société
21:02parce qu'ils étaient
21:03trop préoccupés
21:04par le terrorisme.
21:06Il y a cette phrase
21:07qui est écrite dans le rapport.
21:08C'est donc bien
21:08que nous avons
21:08deux sujets différents.
21:10Et quand François Bayrou
21:11au micro dit
21:11il y a la volonté
21:15d'imposer des choses religieuses
21:16ou d'essence religieuse.
21:19Mais de quoi il parle ?
21:20De quoi parle ce rapport ?
21:21Il parle en effet
21:22d'un rapport au monde,
21:23donc d'un ancrage
21:24civilisationnel
21:26étranger.
21:27Il n'y a pas forcément
21:28d'accusation morale
21:29sur un modèle étranger.
21:30Il est juste étranger.
21:32Ce n'est pas le nôtre.
21:33Et nous,
21:34on est en permanence
21:34en train d'essayer
21:35de raccrocher au terrorisme
21:36parce qu'on ne veut pas
21:37aller sur le terrain
21:37de la culture
21:38et de la civilisation
21:39parce qu'on ne sait pas
21:40par quel bout
21:40le prendre.
21:42Donc ils sont en permanence.
21:44Donc vous avez raison,
21:45on va évacuer la chose,
21:46revenir sur le sujet
21:47du terrorisme
21:47parce que là
21:48tout le monde s'accorde
21:48à dire qu'il n'en faut pas
21:50et on n'arrive pas
21:51à aborder ce sujet-là
21:53qui est au milieu.
21:53Et donc,
21:55la question du foulard,
21:56la vraie différence
21:57entre le foulard
21:57et ce qu'on appelle
21:58désormais le voile
21:59parce que pardon,
21:59dans la rue,
22:00il peut arriver
22:01qu'on confonde
22:01avec beaucoup de bonne volonté,
22:03il s'agit quand même
22:04de se couvrir la tête.
22:05La vraie différence,
22:06c'est quoi ?
22:06C'est qu'on avait
22:07des gens qui arrivaient
22:08et d'abord,
22:09le nombre n'était pas le même.
22:11Ensuite,
22:12la volonté de s'enraciner
22:13se faisait avec le temps
22:15à la génération
22:16qui suivait
22:16et que là maintenant,
22:17on a la troisième
22:18ou la quatrième génération
22:19qui réaffirme
22:20une identité étrangère.
22:22C'est ce que Vincent
22:23m'a dit,
22:24il a raison,
22:25c'est-à-dire que
22:25ces personnes venaient
22:26des campagnes aussi généralement.
22:27Mais oui !
22:28Voilà, également.
22:29C'est ce qu'il faut...
22:30Il n'y avait pas de réaffirmation
22:31contre la France,
22:32il y avait juste un point.
22:32Juste un point qui m'appelle,
22:33il y a des sondages récents,
22:35enfin récents,
22:35il y a deux, trois ans,
22:36je me souviens,
22:37dans le monde
22:37qui donnaient
22:38le nombre de pourcentages...
22:40Joseph Masses-Caron.
22:42...de pourcentages
22:43de jeunes musulmans
22:44qui considéraient
22:45que la charia
22:46était une loi
22:47supérieure
22:48à la République.
22:49Est-ce que ces personnes
22:50se considèrent,
22:51ces jeunes se considèrent
22:52comme islamistes ?
22:53Non !
22:53Le décalogue est supérieur à la République.
22:54Et pourtant,
22:55ils sont musulmans.
22:57Le décalogue est supérieur
22:58au code civil,
22:59que tu le veuilles ou non.
23:00C'est le problème.
23:01Aujourd'hui,
23:01où on vote la loi
23:02sur la fin de vie,
23:04dites la loi,
23:05l'aide à mourir,
23:07ce grand mensonge
23:08où tu vois la fraternité,
23:10la liberté,
23:11l'égalité
23:11qui partent les pieds devant.
23:13Aujourd'hui,
23:13où on tourne le dos
23:14à toute notre civilisation.
23:15J'aime beaucoup
23:15que ma consoeur parle
23:17de l'ancrage civilisationnel.
23:19Mais la France vit
23:20ce matin même,
23:22aujourd'hui,
23:23à une espèce
23:23de rupture extraordinaire.
23:25Et on ne m'empêchera pas
23:26de penser
23:26que le décalogue
23:27est supérieur au code civil,
23:29que les musulmans,
23:32à bon droit,
23:33pensent que là,
23:33le Coran
23:35qui contient la charia
23:37est supérieur
23:38aux lois de la République,
23:40même s'ils respectent
23:41les lois de la République.
23:41Enfin,
23:41tous les musulmans
23:42ne sont pas alignés
23:42sur la charia.
23:44Pardon ?
23:44Tous les musulmans
23:45ne sont pas alignés
23:47sur la charia.
23:48Et je pense même
23:48que c'est une...
23:49En France,
23:50mais il n'y a pas...
23:51Il y a beaucoup de choses.
23:52Il y a beaucoup...
23:52Les sauvages récents montrés,
23:54c'est qu'il y a beaucoup de choses.
23:54Je ne pense pas
23:54que les jeunes femmes
23:55aient envie de vivre
23:56sous la charia,
23:57les jeunes femmes musulmanes.
23:58Je crois quand même
24:01que notre modèle occidental
24:02est un peu plus...
24:03On ne parle pas
24:04de vivre comme les talibans.
24:05Vous avez entendu
24:06le carillon.
24:08Vous l'avez entendu
24:08et quand on entend
24:09le carillon,
24:09forcément,
24:11on s'incline.
24:12Thomas Hill.
24:12On s'incline.
24:13Monsieur Hill.
24:13Bonjour Pascal.
24:14Comment ça va,
24:15Monsieur Hill ?
24:16Très bien,
24:16très en fort.
24:17Ça ne pousse pas
24:17très vite les cheveux,
24:18mais bon.
24:20J'ai le droit
24:20à un point tous les jours.
24:21Oui,
24:22un point cheveux tous les jours.
24:22Est-ce que vous faites
24:23un point avec vos invités aussi ?
24:25Est-ce que vous parlez
24:26de la coiffure ?
24:28C'est des vieux invités
24:29que j'aime parfois.
24:31Attendez,
24:32Vincent Hervouet,
24:33il a une magnifique coiffure.
24:34On sent qu'il a
24:35un beau coup de peigne
24:37ce matin.
24:38Ça,
24:38il a un très beau coup de peigne,
24:40je vais vous le dire.
24:41On apprécie.
24:41On pourrait faire
24:42l'instant coiffure tous les jours.
24:44Ça pourrait être
24:44l'instant coiffure.
24:45Quel est votre programme,
24:46ami ?
24:47On sera avec Thierry Marx,
24:48notamment le grand chef étoilé.
24:50Et puis une personne
24:51que vous connaissez,
24:52je crois,
24:52Billy Crawford.
24:54Billy Crawford,
24:54magnifique.
24:55Bien sûr.
24:55Alors,
24:56c'est marrant parce que nous,
24:56on a commencé précisément
24:58avec Marx également
24:58puisque c'était la phrase
24:59« D'où parlez-vous ? »
25:00Mais vous,
25:01c'est Thierry.
25:01Ah oui,
25:02c'est un autre Marx.
25:03C'est un autre.
25:04Bon,
25:04la pause,
25:05on revient tout de suite.
25:05A tout à l'heure.
25:079h30.
25:0711h.