Ce n’est pas un chanteur lamda. Le concert du chanteur israélien Eyal Golan, connu dans son pays d’origine pour des propos jusqu’au boutistes sur la guerre menée par Israël à Gaza, s’est tenu sous haute surveillance au Dôme de Paris, lundi 19 mai, alors qu’une contre-manifestation avait lieu à quelques centaines de mètres.
Au cours des dernières semaines, des élus de la France insoumise et des associations pro-palestiniennes avaient réclamé, sans succès, l’interdiction d’un concert qu’ils associaient à une « apologie du génocide ».