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00:00Donc 5,7 millions pour le Président de la République hier, c'est ce qu'on avait dit à peu près.
00:05On avait dit 6-7.
00:06On avait dit 6-7, ouais, c'est un poil en dessous exactement.
00:09On est pile au milieu.
00:10Non, non, non, voilà, Gauthier était, voilà.
00:12Parce que quand tu dépasses, c'est comme au juste prix, c'est fini.
00:15Bon, après, on avait juste sous-estimé hier, il n'y avait rien en face.
00:19Mais rien, quand je vous dis rien, c'est rien.
00:21C'est rien, il n'y avait rien de rien, de rien, de rien, de rien, de rien, rien, rien, rien.
00:25Non, mais il n'y avait rien.
00:26Non, mais si, il n'y avait rien, il n'y avait rien en face.
00:28Charles Bietry.
00:29Oui, oui, mais Charles Bietry, alors déjà, je vais revenir là-dessus.
00:32Excusez-moi, c'est bon.
00:33Olivier d'Artigolle, stop.
00:36Charles Bietry, Charles Bietry, on va en parler dans un instant.
00:39Mais moi, je trouve que cette émission déjà était une énorme arnaque.
00:42On nous a parlé de Thibaut InShape, le lanceur, on nous a parlé de Charles Bietry.
00:46On nous a parlé, on nous a vendu, voilà, Thibaut InShape va poser une question.
00:50Des Français vont poser une question au Président de la République.
00:53Les mecs, les Français n'ont posé aucune question.
00:55Ils ont fait une vidéo qui a été diffusée pour le Président de la République.
00:57Déjà, ça, c'est catastrophique.
00:59Écoutez-moi, c'est catastrophique.
01:01Deux, qu'est-ce qu'on en a à taper ?
01:04Même si je n'ai rien contre elle, je m'en fous, moi, je n'ai rien contre tous ceux qui étaient là hier.
01:07Il y en a que j'ai trouvé bon, il y a une jeune femme qui a parlé de finances.
01:11Agnès Verdimoulin.
01:12Elle était exceptionnelle.
01:13Et Emmanuel Macron qui lui a dit qu'on ne peut rien faire, c'est le Parlement qui légifère.
01:17Sur les normes, je ne peux rien faire.
01:19Un peu de faiblesse.
01:20En ce moment, on en parlera après.
01:22Déjà, regardez, je crois que sur CNews, je crois qu'il y a Jean-Noël Barreau sur CNews.
01:26Tout à fait.
01:27Écoutez, on est bien à Paris.
01:29Quand il y a Barreau sur...
01:30C'est dans un titre, il n'est pas invité.
01:31C'est Jordan Deluxe, généralement, ce créneau-là.
01:33Ah, exactement, oui, c'est vrai.
01:34C'est le créneau de Jordan.
01:36Donc voilà, après, ensuite, il y avait Robert Mellard, bien aussi.
01:41Très intéressant.
01:41Il a obtenu quelque chose.
01:43Oui, oui, exactement.
01:43Sous les polices municipales.
01:44Bien sûr, bien sûr, merci.
01:46C'est la seule annonce de la soirée.
01:47Mais sinon, franchement, franchement, non mais c'était chiant à mourir, excusez-moi.
01:52Mais moi, ce que je voulais voir en face du président de la République, excusez-moi, je veux voir un policier qui vient de se faire caillasser et qui vient en face du président lui dire ses problèmes.
02:01Je veux un enseignant qui lui dit...
02:03C'est le concept de face à baba, c'est pas sur téléphone, ça ?
02:05Oui, c'est vrai, exactement.
02:05C'est le concept de face à baba.
02:06C'est vrai, il a raison.
02:08Vous avez raison.
02:08Donc c'est déposé, peut-être qu'un jour on reverra d'ailleurs cette émission.
02:11Non mais franchement, non mais les mecs, moi je voulais voir, non mais c'est ce qu'on voulait voir en vrai.
02:14On voulait voir quoi ? On voulait voir une femme, une famille qui vient et qui dit moi il y a un point de deal en bas de chez moi et ça deal et je peux pas vivre tranquille.
02:24Voilà, c'est ça qu'on voulait voir et je voulais voir les réponses du président de la République.
02:27Parce que exactement, quand vous avez des profils comme ceux-là face à vous, vous pouvez pas dire la phrase d'Emmanuel Macron, je me suis toujours battu pour remettre la sécurité partout, alors qu'elle est nulle part.
02:36Donc c'est plus compliqué quand vous avez des gens qui ont les deux pieds dans le réel, mais d'ailleurs comme Robert Ménard qui a les deux pieds dans le réel, dans sa ville, qui parlait du point de deal à côté du commissariat à Béziers.
02:48Là vous avez le réel, Agnès Verdier-Molinier aussi qui connaît le terrain de l'économie.
02:53Ce dispositif-là ne permettait pas autre chose que de dire voilà ce que j'ai fait, en forme presque de bilan, comme si on était déjà à la fin de son deuxième quinquennat.
03:03Et de temps en temps, il n'a pu répondre qu'en réaction, notamment au moment de Ménard, qu'en réaction à ce qu'on lui a projeté.
03:12Mais sinon c'était, grosso modo, voilà ce que j'ai fait.
03:15Moi les mecs, pourquoi il n'y avait pas un agriculteur, je suis désolé.
03:18Un agriculteur qui vient dire au président, pourquoi on a des normes en plus en France que ce qu'il y a ?
03:23En fait on a mis que des institutionnels, des maires, des patrons de syndicats, des patrons de fin de pointe.
03:27Il aurait pu en avoir un ou deux, mais bon c'est n'importe quoi.
03:29Et les celles qui auraient pu être effectivement de l'ordre du testimonial, comme le dit Cyril, puisqu'il parlait d'un policier ou d'un agriculteur,
03:38ils étaient dans des petites vidéos tournées, et donc là ça ne permettait pas d'un méchange.
03:42C'était nul, excusez-moi, c'était ni fait ni affaire cette émission.
03:45Moi je mets deux.
03:46Non mais vraiment, c'était pas bon.
03:47Et j'aime bien agir le boulot en plus, qui est sympathique.
03:50Enfin le principal problème de cette émission, c'est le président de la République.
03:53Merci d'avoir regardé cette émission.