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Les 4 vérités - Clément Beaune
Télématin
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08/05/2025
Aujourd'hui, dans « Les 4V », Jean-Baptiste Marteau revient sur les questions qui font l’actualité avec Clément Beaune, haut commissaire au Plan.
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00:00
Et bonjour Clément Beaune, bienvenue dans les 4V, vous êtes un homme heureux ce matin ?
00:04
Oui, j'ai effectivement fait partie de ceux qui ont vibré, éveillé un petit peu.
00:08
Quand on est élu de Paris, on est forcément fan du PSG ?
00:11
On est fan du PSG et puis on se dit que quelques décennies après la victoire de Marseille,
00:16
contre une autre équipe milanaise, peut-être que ça peut bien se passer en finale.
00:20
Donc pronostic pour la finale ?
00:21
La victoire bien sûr, 2-0 !
00:24
On suivra ça à la fin du mois de mai.
00:30
Vous êtes ancien ministre délégué chargé de l'Europe Clément Beaune,
00:32
conseiller d'Emmanuel Macron également sur les questions européennes pendant plusieurs années.
00:35
La venue de Paris du nouveau chancelier allemand hier, Friedrich Merckx,
00:38
c'est une bonne nouvelle pour la France, l'arrivée au pouvoir de ce chancelier ?
00:42
Oui, c'est une très bonne nouvelle.
00:43
Quand on regarde bien sûr les premiers pas de Friedrich Merckx,
00:46
il y a eu quelques déboires au Parlement allemand,
00:49
mais il y a une vraie volonté d'engagement européen.
00:52
Ça a été vu même avant que Friedrich Merckx soit élu comme chancelier à quelques jours.
00:56
Il avait échangé avec le Président de la République, c'était aussi un signe.
00:59
Ils ont publié, Friedrich Merckx et Emmanuel Macron, une tribune hier.
01:02
Quand on regarde les mots de cette tribune, moi je suis très frappé,
01:05
j'ai travaillé sur les questions européennes il y a quelques années,
01:07
le logiciel allemand a complètement changé.
01:09
On parle de défense, on parle d'investir massivement la défense au niveau européen.
01:12
Pour vous, c'est un vrai tournant ?
01:14
C'est un vrai tournant, bien sûr, il y aura des sujets sur lesquels on ne sera pas d'accord,
01:17
c'est ça le franco-allemand.
01:18
Mais il y a une volonté sur la question géopolitique, sur la question énergétique.
01:21
Les Allemands, par exemple, contestaient le nucléaire en France,
01:24
ce qui est si important pour nous.
01:25
Et on voit bien dans cette tribune commune que Friedrich Merckx,
01:28
que le nouveau chancelier, dit qu'on respecte la neutralité,
01:32
donc les choix souverains français en la matière.
01:34
Il y a une coopération, un état d'esprit, une volonté de l'avant,
01:37
qui, je crois, sont beaucoup plus forts.
01:38
Et désormais, Friedrich Merckx est dit favorable pour placer son pays,
01:41
qui était jusque-là dépendant du parapluie nucléaire américain,
01:44
sous plutôt la protection britannique et française.
01:46
C'est une nouvelle responsabilité pour la France ?
01:49
Oui, ça traduit le moment de défense qu'on vit.
01:50
Alors après, sur ces sujets, on entend beaucoup de bêtises et beaucoup d'approximations.
01:54
Il est évidemment hors de question pour un pays souverain comme le nôtre,
01:58
qui a sa dissuasion nucléaire depuis les années 60 et le général de Gaulle,
02:01
de transférer, comme on l'entend parfois dans des polémiques vaines,
02:05
la responsabilité, la décision souveraine de recourir à la dissuasion
02:10
qui est entre les mains du président de la République française,
02:12
et ça restera comme ça.
02:14
Après, la question, c'est de savoir quels sont nos intérêts,
02:16
quels sont nos intérêts vitaux.
02:17
Ça aussi, ça dépend d'une seule personne, toujours, soit la Ve République,
02:21
le président de la République française, lui seul, pas le chancelier allemand,
02:24
pas la Commission européenne ou que sais-je.
02:26
Se demander en revanche ce que sont nos intérêts vitaux,
02:29
est-ce que les menaces, les attaques sur d'autres pays,
02:32
c'est une réflexion ancienne que le président avait ouverte,
02:34
mais que l'Allemagne est prête à ouvrir avec nous.
02:36
Ça, c'est un enjeu de sécurité de défense majeure.
02:39
Il n'y a pas que ça, il y a aussi tout simplement le fait
02:41
d'augmenter notre effort de défense.
02:43
Les Allemands ont fait des gestes ces dernières années
02:44
avec le chancelier Scholz, et on voit bien que Friedrich Merz
02:47
a donné des signaux très clairs d'investissement allemand dans la défense,
02:50
et c'est bon pour notre sécurité collective.
02:52
Cette situation internationale, et particulièrement ce jour du 8 mai,
02:55
on commémore la fin de cette guerre en 1945.
02:58
Vous êtes donc désormais haut-commissaire au plan,
03:00
et vous venez de publier cette note qui, effectivement, fait beaucoup réagir.
03:02
Dans cette note, vous présentez plusieurs pistes pour accroître
03:04
les formes d'engagement civile et militaire pour les jeunes français.
03:07
Déjà, premier constat, pas question pour vous de ressusciter le vieux service militaire,
03:12
ça coûterait beaucoup trop cher.
03:13
Nous, notre boulot, ce n'est pas d'être un décideur public,
03:16
je ne suis pas un décideur public aujourd'hui,
03:17
un éclaireur public en revanche, pour que le débat,
03:20
puisque beaucoup de gens en parlent dans le contexte actuel de sécurité,
03:22
de menaces, de ces options.
03:24
On fait des recommandations.
03:25
On fait des recommandations, et surtout, on les éclaire, on les chiffre,
03:28
parce que c'est mieux quand même, avant de prendre des décisions,
03:30
de savoir de quoi on parle. Ce qu'on dit sur le service militaire obligatoire,
03:34
on regarde là aussi ce que font les autres Européens.
03:36
Il y a une dizaine de pays en Europe qui ont un service militaire obligatoire.
03:39
En pratique, il y a souvent une assez faible participation,
03:42
il y a beaucoup de dérogations, beaucoup d'exonérations.
03:44
Mais si on le rétablissait en France pour tous les jeunes,
03:48
y compris les filles,
03:49
filles et garçons, ça serait logique,
03:51
ça coûterait environ 15 milliards d'euros par an,
03:53
sans même compter les infrastructures,
03:55
c'est-à-dire l'accueil par nos armées,
03:56
l'hébergement d'un certain nombre de jeunes.
03:58
Donc ce n'est pas ce que vous préconisez prioritairement ?
04:00
On dit simplement que quand on dit ça,
04:01
il faut savoir que ça coûte extrêmement cher,
04:03
que c'est extrêmement compliqué à organiser,
04:05
les armées le disent elles-mêmes,
04:06
que probablement ça déstabiliserait aussi notre armée de métiers,
04:09
qui est une armée professionnelle,
04:10
qui n'est plus une armée d'appelés,
04:12
comme on l'a connue depuis le passé.
04:13
Depuis la décision de Jacques Chirac en 1995.
04:14
Vous préconisez donc d'autres choix,
04:16
notamment peut-être d'accroître le SNU,
04:18
ce service national universel,
04:20
mais toujours sur la base du volontariat ?
04:22
Alors ce qu'on dit,
04:23
c'est qu'il y a des options volontaires
04:24
qu'on pourrait un peu doper en quelque sorte,
04:26
pour faire appel à plus de jeunes,
04:27
soit dans le service national universel,
04:29
qui a été créé par le Président de la République en 2019.
04:32
Ce n'est pas un grand succès pour l'instant.
04:33
C'est 40 000 jeunes par an,
04:34
ce n'est pas complètement négligeable.
04:35
On pourrait imaginer,
04:36
on fait cette hypothèse,
04:37
qu'en communiquant davantage,
04:39
en accueillant mieux,
04:40
on pourrait passer peut-être jusqu'à 200 000 jeunes.
04:42
Juste en communiquant mieux ?
04:43
Et puis en développant les capacités d'accueil,
04:45
en mobilisant l'éducation nationale, etc.
04:48
On prend cette hypothèse,
04:48
on pourrait aussi imaginer des services civiques.
04:51
Ça, ça marche vraiment bien.
04:52
Il y a à peu près presque 100 000 jeunes par an
04:54
qui font un service civique.
04:56
C'est un jeune sur 7, un jeune sur 8,
04:58
donc c'est beaucoup.
04:58
On pourrait imaginer que ce service civique,
05:00
il soit plus important, mieux financé,
05:02
parce qu'on voit qu'il y a quelques difficultés budgétaires en ce moment,
05:05
voire obligatoire.
05:05
Alors, vous allez jusqu'à cette hypothèse.
05:07
Qu'il soit obligatoire,
05:08
notamment pour les 15, 17 ans ou 18, 25 ans,
05:10
il y a plusieurs hypothèses,
05:11
ça changerait quoi ?
05:12
Vraiment, tous les jeunes seraient contraints
05:14
d'aller donner quelques mois pour ce service civique ?
05:17
Oui, c'est une contrainte citoyenne, civique,
05:19
qui est importante.
05:19
Il y a des pays aussi qui réfléchissent,
05:21
voire qui basculent dans un service civique obligatoire en Europe.
05:23
C'est un débat qu'on voit partout.
05:25
Pas seulement pour des questions de défense,
05:26
là on est plutôt dans le civil, l'engagement civique,
05:29
mais aussi pour des questions de cohésion.
05:30
Parce que quand on parle de service,
05:31
du service pour tous,
05:33
c'est aussi l'idée d'avoir un moment commun
05:34
ou un moment qu'on donne à la société
05:36
quand on a 18, 20 ou 25 ans.
05:38
Les Français n'aiment pas beaucoup les choses obligatoires,
05:40
généralement.
05:41
On pourrait réussir à convaincre les Français,
05:42
les jeunes Français de s'engager.
05:43
Les Français ont l'esprit civique,
05:44
on le voit dans leur engagement associatif,
05:46
on le voit dans tous ces dispositifs volontaires
05:47
qui mobilisent quand même beaucoup de jeunes aujourd'hui.
05:50
Et c'est une réflexion qui, je pense, est importante.
05:53
Moi, ma conviction personnelle,
05:55
c'est qu'avoir un service civique à caractère obligatoire,
05:59
ce serait important.
06:00
Et après, une fois qu'on dit obligatoire,
06:02
il peut y avoir beaucoup de choix.
06:03
On peut faire un engagement plutôt écologique,
06:05
plutôt pour des personnes âgées,
06:06
plutôt dans le domaine social.
06:08
Il y a plein associatif,
06:09
dans les collectivités locales,
06:10
à l'étranger.
06:11
Les Allemands réfléchissent aussi à la même chose.
06:13
Pourquoi pas imaginer un système franco-allemand
06:16
où il y a des engagements ailleurs en Europe aussi ?
06:18
On comprend bien que vous penchez plutôt
06:19
pour quelque chose d'obligatoire,
06:20
d'assez universel.
06:21
Oui, ce n'est pas moi qui vais le décider,
06:23
mais on éclaire toutes ces options.
06:24
Et puis, on dit aussi qu'il y a des options
06:26
qu'on pourrait appeler hybrides,
06:27
parce qu'on ne peut pas caricaturer
06:29
ou simplifier ce débat,
06:30
avec, par exemple, du civil
06:32
et puis du militaire volontaire après.
06:34
Vous faites donc des propositions
06:35
en tant que haut-commissaire au plan.
06:36
Vous avez peut-être une idée
06:37
de ce qu'en pense Emmanuel Macron,
06:38
que vous connaissez bien.
06:39
Vous avez dû en parler avec lui.
06:41
Vous sentez un intérêt ?
06:42
Il est ouvert à ces questions-là ?
06:45
Président, ça a beaucoup réfléchi
06:46
à ces questions-là,
06:46
puisque le SNU,
06:47
le Service National Universel,
06:48
c'était une de ses promesses
06:49
dès son premier mandat
06:50
et on l'a mis en place
06:51
à partir de 2019.
06:52
Mais il comprendrait
06:53
qu'il va falloir changer
06:53
et faire évoluer peut-être ce dispositif.
06:55
Je ne le préjugerai pas,
06:55
parce que je ne le sais pas
06:56
et je ne le dirai pas de toute façon,
06:58
mais des décisions qui relèvent
06:59
du président et du gouvernement,
07:00
nous, on a apporté un certain nombre
07:01
de briques, en quelque sorte,
07:02
pour construire le puzzle ou le mur
07:04
et c'est le président qui décidera.
07:05
Il doit s'exprimer mardi prochain
07:06
à la télévision.
07:08
Vous pensez qu'ils peuvent
07:08
faire peut-être une annonce
07:09
sur les référendums ?
07:10
Ce serait quelque chose
07:11
d'important aussi
07:11
pour engager les Français
07:13
et prendre des décisions
07:14
sur des sujets importants ?
07:15
Le président a déjà fait
07:16
en quelque sorte des annonces
07:17
sur ce sujet,
07:17
puisqu'il a dit qu'il fallait
07:18
des modes de consultation,
07:20
d'association des Français
07:21
qui soient plus fréquents
07:22
et plus participatifs,
07:23
en quelque sorte.
07:24
Et préciser les thèmes.
07:25
Et le thème,
07:26
je pense qu'il les précidera bientôt.
07:27
Ce n'est pas à moi de le dire.
07:28
Mais il n'y a pas que le référendum,
07:30
il y a par exemple
07:31
la Convention citoyenne
07:32
sur les temps scolaires,
07:33
sur l'école,
07:34
que le président a souhaité.
07:35
Tout ce qui permet aux Français,
07:37
au-delà des élections,
07:38
de respirer démocratiquement,
07:40
de s'exprimer,
07:41
de participer,
07:41
y compris par le référendum,
07:43
c'est bon pour notre société.
07:44
Clément Bonne,
07:44
vous avez également
07:45
ministre en charge des Transports.
07:46
La grève à la SNCF
07:47
qui assure que 90% des trains
07:49
seront assurés ce week-end.
07:50
Il y a des cadres
07:51
qui ont été mobilisés
07:51
par la SNCF
07:52
pour tenter justement
07:53
de pallier aux absences
07:54
de certains grévistes.
07:55
Est-ce que c'est une victoire
07:57
pour la direction
07:57
qui en quelque sorte
07:58
a réussi à casser cette grève ?
08:00
Je n'aime pas ces termes-là.
08:01
Ce n'est pas les uns
08:02
contre les autres.
08:02
Il faut d'abord
08:03
du dialogue social.
08:04
J'ai été confronté
08:05
à une grève sauvage
08:06
ou surprise,
08:07
malheureusement,
08:07
aux vacances de Noël 2022.
08:09
C'est à cette époque
08:09
que j'avais demandé à la SNCF,
08:11
je le revendique,
08:12
de multiplier ces possibilités
08:14
d'avoir des personnes formées,
08:16
homologuées,
08:17
parce qu'il faut évidemment
08:17
un certain nombre
08:18
d'habilitation de sécurité
08:19
pour monter à bord d'un train,
08:20
pour que quand il y a des grèves,
08:21
il y ait moins d'impact.
08:22
Ça n'empêche pas
08:23
qu'il y ait des impacts.
08:24
Je pense à des gens...
08:25
C'est donc une bonne décision
08:26
de la part de la direction.
08:26
C'est une bonne chose,
08:27
évidemment,
08:27
parce que c'est un service public,
08:28
la SNCF,
08:29
et sa mission,
08:30
c'est d'assurer
08:30
qu'il y ait des trains
08:31
pour les Français.
08:32
Si on veut la transition écologique,
08:33
il le faut aussi.
08:34
Ça n'empêche pas
08:35
qu'il y ait des revendications
08:35
qu'on peut comprendre
08:36
et un dialogue social
08:37
qui doit se développer.
08:38
En quelques secondes,
08:39
on a parlé de Paris
08:39
au début de cette interview,
08:40
municipal 2026.
08:42
Vous avez été élu de Paris.
08:43
Vous jouerez un rôle
08:43
dans cette municipale,
08:44
quel qu'il soit ?
08:45
Je l'ai dit,
08:46
je l'assume complètement.
08:47
Je jouerai un rôle,
08:48
on verra lequel,
08:48
mais l'engagement que j'ai,
08:50
pas seulement pour le foot
08:51
et dans les moments heureux,
08:52
mais pour Paris,
08:53
il est intact
08:54
et il demeure.
08:55
Clément Beaune,
08:56
haut-commissaire au plan,
08:57
était l'invité des 4 mai ce matin.
08:59
Merci, bonne journée.
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