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Tanguy Pastureau maltraite l'info
France Inter
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30/04/2025
Retrouvez « Tanguy Pastureau maltraite l'info » dans La Bande Originale sur France Inter et sur : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/tanguy-pastureau-maltraite-l-info
Catégorie
😹
Amusant
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Voici Tanguy.
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De nouveau Tanguy.
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En fait, ici, on a tous une double vie, Nagui, dès que l'émission finit par tourner des
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émissions de télé, Leila attend le bibliobus, Julie Conti retourne en Suisse, pays où c'est
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elle qui parle le plus fort, un des experts en mesuré, il pense la déchoir de la nationalité
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là-bas.
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Son rire, Tony Truant, notamment, a été classé en tant qu'acte terroriste par la
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ville de Genève.
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Tiens, voyez de ce que je veux.
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Et nous autres, le week-end, nous sommes sur scène et nous devons répondre « pas tant
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que ça » à la question mille fois posée par le public.
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Il est comment Nagui ? Il est sympa ou pas ? Samedi soir, par exemple, je jouais à Chartres,
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ville géniale, super, top, parce qu'elle a l'avantage pour nous qui habitons Paris, de
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pouvoir rentrer à la maison le soir.
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Prends-en de la graine d'Axe ! Les hôteliers de Chartres n'ont aucune star à dormir
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chez eux.
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Samedi, il y en a maman qui a tenté de me débaucher.
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Il m'a dit « on te fait à la suite premium gratos, on a mis 40 bouteilles de veuf
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clico, des pétales de rose sur le lit, des cigares, à 23h, Cadmérade en personne
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viendra rentrer, son code canal ». Bon, j'ai répondu non, moi, dès que je peux rentrer chez
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moi, je le fais.
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J'y vais.
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Enfin, après la chronique.
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J'ai trop envie d'exister pour ne faire que 40 secondes.
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Et dans mon spectacle, je m'auto-spoile, je ne suis pas assez souple pour le reste,
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mais ça, ça va.
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À un moment, je dis au public que je me verrais bien président de la République.
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C'est-à-dire que si Hanouna a pensé y aller à un moment alors qu'il a le chant
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lexical d'un CP qui n'a rien branlé de l'année, on peut tous y aller.
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Non mais attention, attendez, attendez, j'ai rien contre la candidate d'Hanouna, j'adore
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le chaos et l'absurde.
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Et là, je fais tourner le micro dans le spectacle, je fais tourner le micro pour savoir quels seraient
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les souhaits des gens, ce que je pourrais faire pour le pays si je devenais président.
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Ça m'apprend l'impro.
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Je suis parti de zéro, au début, quand la personne disait « bonsoir », je ne savais
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pas trop quoi dire.
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Mais j'ai progressé.
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Comme quoi, avec des efforts, on peut tout accomplir.
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If you want it, you got it.
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Non, parce que quand je vois la phobie sociale, par exemple, dont t'es atteint Bernard Arnault
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et qu'il empêche de prendre le métro, j'ai envie de lui dire « mec, fais-toi violence,
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imagine que tu es dans un jet ». Ok, un jet qui sent le pipi, où tu es collé à des gens
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qui flèrent des aisselles, dans lequel il y a des personnes qui poussent des cris, tu
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ne sais pas pourquoi.
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Mais un jet, il faut se dépasser soi-même, m'a dit un ami à personnalités multiples
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le jour où il était au volant, persuadé que dans la Peugeot devant lui, c'était lui
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aussi.
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Bref, samedi, des spectateurs me disent quels sont leurs souhaits pour la France, plus juste
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répartition des richesses, revenus universels, blablabla, public France Inter.
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Soudain, je tends le micro vers une femme, je m'appelle Sophie, dit-elle.
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Et là, Sophie me dit « j'aimerais que les arbres du parvis de la cathédrale de Chartres
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reviennent et qu'on retire les parasols ». Or, je n'avais pas la REF, parce que comme
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tous les stars de l'entertainment, j'arrive, je fais le show et je repars.
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C'est comme ça qu'on construit une légende.
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Brad Pitt, il ne se balade pas dans le centre-ville de Troyes en disant « je me ferais bien une
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andouillette ». C'est justement parce qu'on ne voit jamais Brad Pitt manger d'andouillette
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qu'il nous fait rêver.
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Et à Monop, au rayon PQ, il n'y a rarement Catherine Deneuve.
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Peut-être qu'ils n'en ont pas besoin, ils ne mangent pas d'andouillettes.
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Si elle se trouve, ils ont un transit très lent.
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Les stars ne vont pas aux toilettes.
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Ça fait 48 heures que je suis posté devant celle des femmes à France Inter, espérant croiser Sophie
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Marceau.
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3-4 intermittentes.
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Et je reviens au spectacle, quand la dame me parle de retirer les parasols et de remettre
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des arbres, la salle applaudit, mais des applaudissements nourris.
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Les mêmes qui auraient eu, s'il y a 30 ans, un prêtre de chez Betaram était arrivé
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à retenir une érection en présence d'un élève.
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Parce que je vous explique sur le permis de la cathédrale de Chartres, il y avait des
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arbres, centenaires, des arbres que Michel Drucker a connus « Arbrisseau ». Mais la municipalité
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les a coupés disant qu'ils étaient malades.
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On nous a fait le même coup à Paris, il reste 4 mauvaises herbes et une ronces, mais
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comme Hidalgo fait le tour de l'hôtel de ville à vélo, elle passe pour une écolo.
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Les arbres à Chartres ont été abattus en pleine nuit, signe qu'ils n'étaient pas
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fiers de faire ça.
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Ce qu'on fait en pleine nuit, rarement on le met sur le CV, à part David Guetta, sinon
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il n'aurait rien à mettre.
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Et donc à la place, la municipalité a collé des parasols géants, moches comme un dimanche
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pluvieux, que personne sur place n'aime.
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Peut-être que dans ma salle samedi, j'avais que des gauchistes, mais j'en doute.
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C'était un festival de CSP+, à pull sur les épaules.
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« Chartres, tu sens que tu n'es pas à Rennes ou à Mulhouse ». Donc j'ai eu l'impression
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samedi d'être un lanceur d'alerte local, le Julian Assange du réseau ici.
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D'autant qu'il y a quelques mois, avant de jouer à Coutances, j'avais reçu une lettre
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d'un collectif qui dénonçait l'installation devant le théâtre de conteneurs à poubelle
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enterrés.
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Impossible de les virer, ou alors avec une tractopelle, mais qui a une tractopelle ? Ça coûte
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20 000 euros.
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L'histoire retiendra que le tennis, le golf et le bondage se seront démocratisés avant
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la tractopelle.
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Sur scène, j'avais parlé de ces conteneurs, toujours à mon côté de lanceur d'alerte
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du terroir, et on m'a dit qu'ensuite ça avait fait tout un truc localement, la municipalité
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cherchait qui m'avait envoyé cette lettre, parce que je ne cite pas mes sources, je suis
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pur et intègre.
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Donc à chaque fois que je passe dans une ville, je fais tomber le maire.
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Ce soir je suis à Angers, la ville de Christophe Béchut, j'attends les doses, dans un mois
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et demi il démissionne, il a forcément des casseroles, tout le monde a des casseroles.
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Je reviens à Chartres, 300 000 euros, ça a coûté d'installer ses parasols I2 à la
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place des arbres centenaires.
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Hugo Clément en a même parlé ce matin sur France Inter, c'est l'ami des arbres Hugo Clément,
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il appelle chaque chaîne par son prénom, il communique avec les chaînes, parfois ils se disputent,
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il leur dit « va donc espèce de pédonculé ». Voilà, si vous ne maîtrisez pas les races
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de chaînes, vous n'avez pas la blague.
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Apparemment ici personne n'est branché nature, toujours dure le public parisien, on m'avait
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dit.
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Tout ça pour vous dire que je suis fâché avec la moitié des municipalités de France,
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donc c'est mon dernier spectacle, plus personne ne va vouloir m'accueillir et j'attends
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les dossiers sur Angers, par pitié.
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Merci Tanguy, passionné !
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Tanguy sur Séris, attention Tanguy arrive, c'est en Seine-et-Marne, et le 21 il sera à
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Mérignac, c'est près de Bordeaux bien évidemment.
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