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Bruno Retailleau présente son projet de lutte contre le narcotrafic et cible les consommateurs
Europe 1
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06/02/2025
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News
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00:00
Toujours avec Sébastien Ligny, chef du service politique de VA.
00:03
On dit VA maintenant ou on dit Valeurs Actuelles ?
00:05
Pierre, on dit ce que vous voulez.
00:06
Bon, on dit VA.
00:08
Et Jean-Claude Dacier, qu'on ne présente plus.
00:11
Bien sûr, je voudrais qu'on écoute Eric Zemmour,
00:13
qui était chez nos camarades de BFM TV il y a quelques instants.
00:18
On peut changer le droit par une loi, par le Parlement.
00:21
Si le peuple en donne de pouvoir, je prendrai des lois
00:25
qui limiteraient cette possibilité des juges
00:29
de faire tomber toutes les décisions administratives
00:31
pour des pécadilles juridiques.
00:34
Le droit doit protéger les individus
00:37
contre le pouvoir excessif des gouvernements.
00:40
Il ne faut pas que ce soit l'inverse.
00:41
Il ne faut pas que le pouvoir soit désarmé par le droit.
00:45
Et s'estime que depuis des décennies,
00:47
cet équilibre est rompu par un pouvoir excessif des juges.
00:51
C'est-à-dire que le contre-pouvoir est devenu le pouvoir.
00:53
Et ça, ça se retourne contre le pays et contre le peuple français.
00:57
J'ai une question pour vous, Jean-Claude Dacier.
00:58
Depuis combien d'années on entend ça ?
01:00
On va changer le droit, on va changer les lois, ça va changer.
01:04
Il me semble que ce n'est pas...
01:05
Je me trompe sûrement, mais il me semble que ce n'est pas si vieux.
01:09
On entend, en revanche, là vous avez totalement raison,
01:12
de plus en plus souvent,
01:14
et ce n'est pas seulement dans la bouche de M. Zemmour,
01:17
qu'il faut décidément changer les lois.
01:19
Le seul aspect positif, si vous voulez,
01:21
de cette contre-performance, si j'ose dire, de M. Retailleau,
01:25
qui tombe mal, c'est sûr, dans le climat actuel entre la France et l'Algérie,
01:28
cette affaire tombe mal.
01:30
Néanmoins, il fait la démonstration,
01:33
je ne dis pas pour autant qu'il l'a fait exprès quand même, ce serait trop maladroit,
01:36
il fait la démonstration que l'état de droit
01:38
n'est pas adapté aux exigences, n'est plus adapté en tout cas,
01:42
aux exigences de l'opinion qui veut enfin
01:45
voir l'immigration, notamment l'immigration sauvage,
01:49
enfin contrôlée efficacement.
01:52
Maintenant, pour faire cela, il faut en effet changer un certain nombre de lois,
01:55
de dispositions et de règlements.
01:57
Est-ce qu'une partie peut être faite par les règlements ?
02:00
Je n'en sais rien.
02:02
Il faudra probablement faire un référendum avant toute chose.
02:04
Ça va demander des mois.
02:06
Pour l'instant, c'est vrai que M. Doilem,
02:08
qui alors en France, c'est vrai depuis 20 ans, je le disais il y a un instant,
02:11
avec une famille et des enfants...
02:13
Là, M. Retailleau a sans doute commis une erreur d'église.
02:18
C'est là où je ne suis pas d'accord avec Eric Zemmour.
02:22
Quand il parle que c'est des pécadilles,
02:24
il donne quand même l'impression qu'on pourrait régler tout cela assez simplement
02:27
par 2-3 petites lois, par 2-3 petits règlements.
02:30
Tu ne crois pas à l'indépendance des juges.
02:34
Les juges disent je veux le droit ou alors on est perdus.
02:36
Mais précisément, et c'est beaucoup plus complexe que ça,
02:39
et c'est pour ça que je pense que le RN, pour le coup,
02:41
avec leur proposition de référendum,
02:43
me semble être la seule voie possible d'un changement profond
02:46
puisque de toute manière, au-dessus de la loi française,
02:48
il y a la réglementation européenne.
02:50
Et c'est notamment la réglementation européenne
02:52
qui interdit le départ d'une personne ayant donné l'avis à une personne en France.
02:59
Donc ce doilem, de toute manière,
03:01
selon la juridiction européenne et la jurisprudence européenne,
03:04
n'aurait pas pu sortir.
03:06
Et ça, pour le coup, ça ne se règle pas, comme le dit Eric Zemmour,
03:09
par 2-3 petites lois, etc.
03:10
C'est beaucoup plus complexe que cela.
03:12
Il faut une majorité,
03:14
il faut un conseil constitutionnel qui soit d'accord pour changer concrètement la loi,
03:18
il faut un conseil d'État qui soit...
03:20
Et il faut évidemment des instances européennes qui soient prêtes à un changement.
03:23
Il faudrait Trump qui a une cour suprême derrière lui,
03:26
qui a un parlement derrière lui, ce qui n'est pas du tout le cas aujourd'hui.
03:29
Ou un président français qui décide d'engager le bras de fer avec l'Union Européenne
03:34
et de dire « vos lois, je m'en moque ».
03:36
Cher ami, vous faites effectivement ce que j'allais vous dire.
03:38
En effet, il faut ne pas avoir peur, ne pas craindre de faire un bras de fer,
03:43
comme le Général de Gaulle l'a fait en 1958-1959,
03:46
il ne faut pas avoir la peur...
03:47
— Mais il a changé de constitution le Général de Gaulle.
03:49
— Oui, mais il ne faut pas avoir peur d'engager le bras de fer
03:53
quand c'est indispensable à la sécurité et à la protection des Français.
03:57
Et là, on le voit tous les jours, ce n'est pas la peine.
04:00
L'effet d'hiver s'accumule, ça suffit maintenant.
04:04
Il faut décidément...
04:05
Les juges, alors là où je suis obligé de marquer une différence avec votre point de vue,
04:13
il me semble que les juges disent le droit, ou sinon on est foutus.
04:16
Non mais qu'ils aient quelques pentes et quelques incointances,
04:20
c'est sans doute vrai, mais ils disent quand même le droit,
04:23
il faut donc le changer quand il n'est plus adapté.
04:26
On est bien d'accord, et l'affaire de l'immigration
04:29
doit être plus que jamais du ressort de la nation et du pays.
04:34
Si ce n'est pas le cas avec l'Europe, il faut engager le bras de fer.
04:38
— Mais moi je suis d'accord, les juges disent la loi,
04:40
mais le problème c'est que la loi et le droit n'est pas assez stricte et n'est pas assez clair.
04:44
Si vous faisiez des lois qui ne laissent aucune place à l'interprétation,
04:47
le juge serait bloqué de ses convictions.
04:52
— Ce ne sont pas des mégaphones, ils interprètent le droit.
04:56
Ils ont la libre interprétation.
04:58
— Oui, ça s'appelle la jurisprudence.
04:59
— Exactement, et après, ça en devient le droit coutumier ou la tradition.
05:06
— On connaît un problème avec un certain nombre de juges politisés,
05:10
c'est plus qu'un certain nom, l'école nationale de la magistrature est un repère communiste.
05:18
— Interrogez Georges Fenech, il a été magistrat, il sait de quoi il parle.
05:23
Il dit que depuis 1980, il y a eu effectivement l'abolition de la peine de mort,
05:27
mais il y a eu autre chose qui a été instaurée par M. Badinter,
05:31
c'est qu'il y avait une autre façon d'enseigner le droit.
05:34
Et dans l'école de la magistrature, on n'enseigne plus le droit comme on l'enseignait avant 1981.
05:39
Voilà, c'est tout.
05:40
Il y a un moment donné, vous n'avez pas les mêmes textes,
05:42
vous n'avez pas le même enseignement,
05:43
vous n'avez pas la même façon de voir le droit, de voir la justice.
05:47
— Vous imaginez ce qui va se passer si le 31 mars est confirmé
05:51
le jugement qui interdit à Marine Le Pen de continuer au fond à faire de la politique
05:57
et à se présenter à l'élection présidentielle.
05:58
On n'en est pas là, 31 mars, c'est une date qu'il faut souligner de 3 carottes
06:03
pour voir si on va pouvoir continuer à espérer dans la démocratie.
06:07
— Vous avez vu cette affiche du syndicat de la magistrature,
06:11
avec la balance, où on a d'un côté M. Rotailleau et de l'autre côté M. Darmanin.
06:16
— Je suis d'accord.
06:17
— Le syndicat de la magistrature qui est donc, pour nos auditeurs, un syndicat d'extrême-gauche.
06:20
— Et M. Darmanin qui a été interrogé sur notre antenne
06:23
et qui disait, bah écoutez, voilà, en même temps, c'est de l'humour, pardon.
06:29
— J'ai aussi été victime d'une justice politisée il y a une petite dizaine d'années,
06:34
donc je suis totalement à vos côtés dans ce combat, il faut évidemment...
06:38
— Alors, allons-y, qu'est-ce que vous avez fait Jean-Claude ?
06:41
— Non, mais non, c'est les affaires de Marseille,
06:44
où j'étais accusé de choses extravagantes avec des juges qui faisaient de la politique.
06:49
Bon, j'ai touché ça de très près, néanmoins...
06:53
— Néanmoins quoi ?
06:54
— Néanmoins...
06:55
— Vous avez vu ce qu'ils font ?
06:56
— Oui, oui, mais sans aucun doute.
06:58
— Vous avez une partie de l'institution judiciaire
07:01
qui ne correspond plus aux préoccupations des Français.
07:03
On a un vrai problème, il faudra à un moment ou à un autre s'y atteler.
07:07
— Ils infusent leurs idées sur les générations suivantes.
07:10
Le syndicat de la magistrature, qui est un syndicat
07:12
qui plaide ouvertement pour les peines alternatives, pour une réforme,
07:16
pour prendre parti parfois pour la seconde chance, la réinsertion,
07:20
pour prendre de fait parti parfois pour le criminel,
07:24
ce syndicat-là règne en maître sur l'École nationale de la magistrature.
07:27
La majorité des professeurs et des enseignants
07:30
à l'École nationale de la magistrature sont de ce syndicat.
07:34
C'est un syndicat qui bafoue les règles de bienséance,
07:39
les règles de droit de retrait des magistrats et des avocats.
07:43
Évidemment que c'est un syndicat qui est hors de contrôle.
07:46
— Ce syndicat de la magistrature pèse combien ? 30% quand même.
07:47
— Mais c'est énorme !
07:48
— 30% de la population judiciaire, c'est en effet énorme.
07:50
— Allez, un autre sujet rapide avant la… comment dirais-je ?
07:56
— Ah, alors on me parle.
07:57
C'est un peu comme, vous savez, Jean-Claude Bourret
07:59
quand il prenait le téléphone en bakélite,
08:02
et on lui dit « Alors, M. Brigo, dites-moi ce que vous avez à dire. »
08:05
Ah bon, syntaxe erreur. Bon, alors très bien.
08:07
Alors on passe à un petit sujet quand même
08:10
que je voulais que vous entendiez, le président colombien.
08:13
Parce que M. Retailleau a décidé de dire
08:17
« Ceux qui consomment de la drogue sont aussi coupables du narcotrafic. »
08:21
Bon, ça, c'est en France.
08:22
Mais M.… comment s'appelle-t-il ?
08:24
Je vais retrouver son nom, Gustavo Petro.
08:26
Le président colombien, lui, annonce ceci.
08:29
— Parce que si on veut vraiment la paix, il faut démanteler le business.
08:35
Et ce business pourrait être facilement démantelé.
08:39
Si la cocaïne était légalisée dans le monde,
08:42
elle serait vendue comme le vin.
08:44
Et l'argent serait utilisé pour empêcher les enfants,
08:46
comme aujourd'hui, de consommer l'alcool ou de fumer.
08:52
Et la cocaïne est illégale parce qu'elle est produite en Amérique latine,
08:55
pas parce qu'elle est plus nocive que le whisky.
08:59
Les scientifiques l'ont analysée,
09:01
la cocaïne n'est pas plus mauvaise que le whisky.
09:05
— Sébastien, je vous avais déjà dit d'arrêter le single night.
09:07
C'est très très mauvais pour ce que vous avez.
09:09
— C'est quand même inquiétant.
09:10
— Non mais c'est fou.
09:11
— Parce que la consommation en France, on n'en parle pas assez,
09:13
mais c'est un vrai fléau.
09:14
Il y a eu les chiffres qui sont sortis la semaine dernière.
09:16
On a les chiffres du ministère de l'Intérieur sur la délinquance et la criminalité.
09:19
On a les chiffres pour 2024.
09:21
290 000 mis en cause pour usage de stupéfiants.
09:24
Donc c'est seulement ceux qui ont été pris la main dans le sac,
09:27
c'est-à-dire la partie immergée de l'iceberg.
09:30
Et au même moment...
09:32
— Et 110 morts.
09:33
— Ou 110 morts, on a eu évidemment l'accident de quart de Châteaudun
09:36
qui montre que ce chauffeur sous stupéfiant est décédé.
09:40
On a plus de 600 personnes sur la route qui meurent par an
09:44
à cause d'un chauffeur sous emprise.
09:46
Et donc au moment où Bruno Rotaillot évoque l'idée d'une vraie lutte contre le narcotrafic,
09:52
vous avez une partie notamment de la gauche
09:54
qui instaure un discours à la fois évidemment pour la légalisation du cannabis,
09:59
mais d'une manière générale,
10:01
une manière de relativiser la nocivité de la drogue,
10:05
les fameuses drogues douces comme on dit,
10:07
pour finalement dire qu'elles ne seraient pas si graves.
10:09
Et donc je trouve que c'est assez inquiétant,
10:11
notamment chez la jeunesse.
10:12
— Jean-Claude, rapidement.
10:14
— Il y a en effet de quoi s'inquiéter quand on voit l'ampleur qu'a prise les phénomènes de drogue
10:17
dans notre cher pays.
10:19
Cela étant, bon, j'en viens pas sur les déclarations du président colombien,
10:23
il défend sa filière, il défend les intérêts de son pays,
10:26
il a grand'or, il ferait mieux de se taire.
10:28
Sur la lutte contre les narcotrafiquants,
10:32
et le narcotrafic en général,
10:33
je trouve que Rotaillot a parfaitement raison
10:35
d'y inclure les consommateurs.
10:37
Je veux pas les accabler, mais enfin,
10:40
c'est vrai que
10:42
l'ensemble des consommateurs ont une place
10:46
éminente, importante,
10:48
dans le développement.
10:50
— Mais c'est l'offre et la demande, si on arrête d'acheter,
10:52
il n'y a plus de vente, il n'y a plus de business, donc on arrête.
10:54
— Mais simplement, pour l'instant, ils ont quoi ?
10:56
Une amende de 135 euros quand ils sont pris la main dans le sac ?
10:58
— On a les hôpitaux spécialisés
11:00
qui font des désintoxications,
11:02
tout marche.
11:04
— Vous avez beaucoup de gens qui sont pour la légalisation de tout ça,
11:06
pas de tout.
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