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Jordan Bardella a récemment été moins en vue, occupé par la préparation de son premier livre intitulé "Ce que je cherche", qui sera publié en novembre. Ce livre fait déjà l’objet de vives controverses, suscitant un intérêt médiatique rare pour un premier ouvrage.
## Une dénonciation des violences médiatiques
Le président du Rassemblement National a décidé d’aborder les affronts réservés par certains organismes, mentionnant un boycott orchestré par des éléments de l’extrême gauche. N'ayant pas la possibilité de communiquer pleinement, il profite de chaque occasion pour évoquer son livre, une stratégie promotionnelle qui attire indéniablement l’attention des médias.
## Soutien inattendu et tirage exceptionnel
Sans surprise, la publication de cet ouvrage est assurée par la maison d'édition Fayard, propriété de Vincent Bolloré. Ce qui étonne davantage, c’est le nombre de tirages prévus, avec pas moins de 155 000 exemplaires, une quantité généralement réservée aux grands noms de la littérature. "Ce que je cherche" sera accessible en librairie à partir du samedi 9 novembre prochain.
## Un livre retravaillé après des revers politiques
Une grande partie du livre a nécessité une réécriture après les résultats décevants lors des législatives pour le RN. Un proche de Bardella a précisé que "le contenu du livre devait évoluer, passant d'un manifeste politique à une réflexion plus personnelle sur l'avenir du mouvement et son parcours individuel".
## Accusations de censure et tensions médiatiques
Malgré un lancement prévu en grande pompe, la communication autour du livre de Bardella a été entachée par certains incidents. Mediatransports, responsable de la publicité dans les gares et métros parisiens, a refusé d'afficher des promotions pour son ouvrage, invoquant des considérations de neutralité. Cette décision a été perçue comme un affront pour le député de Seine-Saint-Denis. Dans la foulée de ce rejet, Bardella a dénoncé des pressions émanant de syndicats d'extrême gauche qui tenteraient d'imposer le silence à ceux qui souhaitent s'exprimer dans l'espace public. Selon lui, "c’est une dérive inquiétante. Ma voix est censurée, mais demain, d'autres risquent aussi d’être réduits au silence."