• il y a 2 mois
Pierre-Marie Sève, délégué général de l'Institut pour la Justice, revient sur le viol d'une jeune femme dans la Somme, par un individu sous OQTF : «La chaîne pénale prend l'eau de tous les côtés».

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Transcription
00:00La chaîne pénale, elle prend l'eau de tous les côtés, que ce soit là le manque de frontières, que ce soit les trois mois avec de prison, avec sursis, pour vol.
00:07C'est à tous les niveaux que ça ne va pas, que ce soit l'exécution des peines, puisque même il aurait pris de la prison ferme, comme l'a rappelé le sénateur en début d'émission.
00:14Jusqu'à un an de prison ferme, on ne va pas en prison. Donc à partir d'un moment, que ce soit avec sursis ou ferme, ça ne change plus grand-chose.
00:20C'est à tous les niveaux que ça prend l'eau. Il faut prendre des mesures tout de suite. Là, typiquement, une qui paraît évidente, qui a pris l'Allemagne il y a quelques semaines,
00:26c'est la fermeture des frontières immédiates.
00:28Pas la fermeture, le contrôle, qui est un contrôle plutôt aléatoire, parce qu'on était avec nos équipes sur place, honnêtement, ils contrôlaient une voiture sur 300.
00:37On les voyait, on a fait une émission directe de là-bas, les voitures elles passaient, c'était une de temps en temps, c'était plus symbolique.
00:44La fermeture des frontières, le contrôle aux frontières va bloquer les criminels et les délinquants, il ne bloquera absolument pas les gens normaux, y compris les gens qui font du business ou des affaires commerciales.
00:56Sous-titrage Société Radio-Canada

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