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Punchline - Nouveau gouvernement de Michel Barnier : le plus dur commence
Europe 1
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23/09/2024
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du gouvernement de Michel Barnier et de leurs premières missions.
Retrouvez "Punchline" sur : http://www.europe1.fr/emissions/punchline
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00:00
Allez, ça y est, ils sont là, ils sont au travail, 39 ministres autour d'Emmanuel Macron et Michel Barnier,
00:06
et un mot d'ordre, de la clarté, ça c'est une évidence, et de l'ordre, de l'ordre, de l'ordre,
00:11
c'est Bruno Retailleau qui l'a dit, écoutez-le.
00:14
Trois priorités, vous les retiendrez facilement.
00:19
La première, rétablir l'ordre.
00:23
La deuxième, rétablir l'ordre.
00:25
La troisième, rétablir l'ordre.
00:28
Parce que je crois à l'ordre.
00:32
L'ordre comme condition de la liberté.
00:35
Quand il n'y a pas d'ordre, c'est la liberté d'abord qui est menacée.
00:39
Je crois à l'ordre comme la condition de l'égalité, la loi du plus fort s'exerce contre le plus faible.
00:47
Je crois à l'ordre comme la condition de la fraternité, comme une possibilité de la concorde civile.
00:56
Voilà pour Bruno Retailleau, nouveau ministre de l'Intérieur.
00:59
André Vallini, je me tourne vers vous, vous avez exercé des responsabilités ministérielles.
01:03
Quand je disais que les Français voient bien que les ministres changent,
01:06
mais les problèmes restent, qu'il y a un décalage entre ce qu'ils disent et ce qu'ils vivent,
01:11
eux, les Français, c'est indéniable.
01:14
Moi, je pense aux parents de cette petite jeune fille.
01:16
Écoutez-les parler d'autorité, rien ne change sur le terrain.
01:21
On va voir, on va juger aux actes, parce que depuis au moins 12 ans,
01:25
puisque c'est depuis 12 ans que la droite était écartée du pouvoir,
01:28
depuis 12 ans, la droite dit qu'il faut un choc d'autorité, il faut rétablir l'ordre.
01:32
Avec la gauche et les socialistes, François Hollande, ça n'allait pas, avec Macron, ça n'allait pas non plus.
01:37
Là, ils sont aux manettes.
01:38
Retailleau, qui est un des plus durs à droite sur ces questions de sécurité,
01:43
est à l'intérieur, et à l'intérieur de la machine gouvernementale.
01:46
Donc voilà, on va voir ce qu'ils vont faire.
01:48
Est-ce qu'ils vont modifier des lois ?
01:50
Est-ce qu'il va essayer de contourner le Parlement pour agir par voie réglementaire ? On va voir.
01:53
Mais sur le décalage, Éric Revelle, encore une fois,
01:56
les Français voient que ça ne change pas, en fait, que rien ne se passe.
02:01
Combien de temps on va continuer comme ça ?
02:04
Tant que les politiques ne seront pas efficaces, mais André Vadigny a raison,
02:07
c'est plus facile d'être à l'extérieur qu'à l'intérieur.
02:10
Oui, c'est plus facile d'être à l'extérieur qu'à l'intérieur, mais...
02:12
Pas les personnes les forces non plus.
02:14
Si ils y vont, c'est qu'ils ont des solutions.
02:16
Laurence, juste quand même, parce que je...
02:18
Éric Revelle, allez-y.
02:18
J'ai envie de voir une chose.
02:20
Évidemment qu'on vit dans une insécurité très forte,
02:23
mais est-ce que, pour les plus anciens,
02:25
vous vous souvenez de la star du journal de 20 heures de TF1 de l'époque
02:28
qui s'appelait Roger Gickel ?
02:30
Roger Gickel avait ouvert son journal le 18 février 1976,
02:34
après l'abominable assassinat d'un enfant,
02:37
Philippe Bertrand, par Patrick Henry,
02:39
« La France a peur ».
02:40
Il avait prononcé cette phrase.
02:41
Il avait même publié un livre qui avait connu un certain succès
02:43
aux éditions France Empire, si ma mémoire est bonne,
02:45
qui s'appelait « La violence, c'est la peur ».
02:47
Donc rien n'a changé, c'est ce que je vous dis.
02:49
Vous savez, ça rejoint la phrase de Pompidou.
02:51
En fait, on ne fait qu'assujettir les Français avec des contraintes
02:55
sans des résultats probants.
02:57
Moi, je ne suis pas un homme politique.
02:59
André Valigny représente la classe politique sur ce plateau.
03:02
Qu'est-ce qui fait qu'on a des grandes idées,
03:04
des grandes convictions, M. Valigny,
03:06
quand on est dans l'opposition à l'extérieur,
03:08
et puis quand on arrive au pouvoir, on ne fait pas grand-chose.
03:10
On se heurte à l'inertie de la machine, j'imagine.
03:13
M. Valigny, et ensuite Catherine Nèvre.
03:15
L'inertie de la machine, ça dépend aussi des lois qu'on fait voter.
03:18
Je le répète, ils ont des lois en préparation,
03:20
ils ont travaillé sur ces sujets au Sénat,
03:23
notamment avec Bruno Retailleau.
03:24
On va voir quelles lois ils vont essayer de faire voter
03:26
pour durcir la législation en matière pénale.
03:30
Et on verra si le durcissement de la législation
03:32
suffit à faire reculer la violence.
03:34
Parce qu'on peut faire des lois toujours plus sévères.
03:37
Si la violence est enracinée dans la mentalité collective,
03:40
si les enfants ne sont plus éduqués à respecter l'ordre,
03:44
l'autorité, la hiérarchie,
03:45
la délinquance ne cessera pas comme ça du jour au lendemain
03:48
parce que des lois auraient été votées.
03:49
Mme Catherine Ney, de l'Ordre, de l'Ordre, de l'Ordre, beau programme.
03:52
C'est un discours où il met sa flamme et sa conviction.
03:56
Mais quand on dit la droite est de retour,
03:58
il faut quand même mesurer.
03:59
La droite est de retour,
04:00
ce n'est pas une cohabitation avec la gauche qui a été battue
04:05
et la droite qui est arrivée.
04:07
Il y a quelques ministres de droite qui portent cette...
04:09
qui sont Bruno Retailleau, le Premier ministre.
04:13
On va voir déjà comment vont réagir les autres ministres,
04:19
le parti de Gabriel Attal qui ne manquera pas
04:23
de mettre peut-être des bords dans leur ambition.
04:27
Et puis, vous savez, quand on fait une loi,
04:31
par exemple sur l'immigration,
04:32
il faut compter avec le Conseil constitutionnel,
04:35
avec le Conseil d'État, qui sont des freins.
04:37
Et ça fait des années que, combien de fois,
04:40
sur des mesures d'ordre,
04:41
eh bien, c'est vrai qu'il y a une notion qui est de la droite,
04:44
mais qui est un mot qui n'est jamais employé à gauche,
04:47
l'ordre, jamais.
04:48
Par Ségolène Royal.
04:50
L'ordre juste.
04:51
Oui, bien sûr, mais ce n'était pas à ce niveau-là.
04:53
C'était plutôt l'ordre juste au niveau social.
04:56
Mais donc, sur l'ordre...
04:59
Je veux dire, ce n'est pas un langage...
05:01
C'est un langage de droite,
05:03
mais on va voir après avec quelles mesures
05:05
et comment, sans majorité,
05:08
il va pouvoir faire de grandes lois pour...
05:11
Alors, je crois qu'on peut, sur des mesures certaines,
05:16
sans faire de bruit, régler beaucoup de choses, paraît-il.
05:19
Alors, je pense qu'il va les lister.
05:22
On va voir et on va voir s'il peut prendre des décisions.
05:24
Des circulaires, par exemple.
05:25
Son intention, c'est sa philosophie.
05:28
Après, on va écouter Gérald Darmanin,
05:29
parce qu'il a dit des choses intéressantes.
05:30
Joseph Macéscar, vous voulez ajouter quelque chose ?
05:32
On écoute tout de suite M. Darmanin, comme vous voulez.
05:34
On va écouter Gérald Darmanin, puis ensuite après, je vais apprendre.
05:36
Oui, mais on va partir sur un autre sujet.
05:38
Alors non, alors tout de suite...
05:39
Non, je préfère.
05:41
Non, je préfère parce que...
05:44
Je voudrais rebondir sur ce que vient de dire Catherine Ney.
05:46
C'est-à-dire qu'il faut arrêter avec la droite et de retour,
05:50
ou au secours de la droite.
05:51
Il faut arrêter.
05:52
Alors, je sais bien que tout le monde embraye là-dessus.
05:55
C'est-à-dire qu'aujourd'hui, d'ailleurs,
05:57
moi, ce qui me frappe par rapport...
05:58
Enfin, comme ancien journaliste politique,
06:01
très souvent, quand il y a un gouvernement,
06:02
on regarde un peu le parcours professionnel des gens.
06:04
Mais là, ce n'est pas ce que les personnes regardent,
06:07
les observateurs.
06:08
Ils ne demandent pas la carte d'identité,
06:10
ils demandent la carte d'identitaire des ministres.
06:12
Ce n'est plus du tout la même chose.
06:14
Et ça, c'est une première.
06:15
C'est vraiment une première.
06:16
À mon sens, c'est une première.
06:17
C'est-à-dire que Michel Barnier a été le sommet
06:19
de s'exprimer sur les orientations sociétales de la droite.
06:22
Pardonnez-moi, mais c'est le pâté d'alouette.
06:23
D'accord, il y a M. Rataillou,
06:25
mais c'est vraiment le pâté d'alouette.
06:26
Ça combine Radio Alouette avec La Vendée.
06:28
Mais, sérieusement,
06:32
oui, à part M. Rataillou,
06:35
on voit le nombre de personnes qui, à gauche,
06:37
disent, notamment M. Olivier Faure...
06:40
C'est le gouvernement le plus à droite de la cinquième.
06:42
Le gouvernement le plus à droite de la cinquième.
06:43
Il n'a pas d'histoires historiques.
06:44
Oui, on se rappelle quand même des gouvernements...
06:47
Pasquois-Pendron.
06:48
Des gouvernements Pierre Messmer
06:49
avec Raymond Marcellin et Michel Debré.
06:52
Ce n'était pas vraiment le progressisme en marche.
06:54
Mais très bien, d'ailleurs.
06:56
Mais ce n'était pas vraiment le progressisme en marche.
06:57
Mais c'était l'ordre.
06:58
Donc, quand on nous dit, au secours,
07:00
la droite revient...
07:01
Au secours, la droite revient.
07:02
C'est exactement... Mais attendez.
07:03
Le problème, c'est que ce qui est dit là,
07:05
c'est comme le fait d'avoir dit,
07:07
il y a quelques mois, juste après les législatives,
07:09
la gauche a gagné les élections.
07:11
C'est-à-dire que ce type de mensonge
07:13
va s'enraciner dans le pays.
07:15
Donc, attention.
07:16
Oui.
07:17
Pendri Valény, je vous ai vu beaucoup réagir
07:18
pendant que Joseph parlait.
07:20
La droite est de retour au secours ?
07:21
La droite est quand même au ministère de l'Intérieur
07:23
avec M. Retailleau.
07:24
La gauche est à la justice ?
07:25
Avec le maire de Valence.
07:27
M. Migaud n'est pas de gauche ?
07:29
Didier Migaud a quitté le PS il y a 14 ans, en 2010.
07:32
Pour un gouvernement, pendant trois mois,
07:34
quitter le...
07:35
Eh bien, ils savent qu'à la sortie du ministère,
07:37
pendant trois ans, ils ne peuvent plus
07:39
prendre un poste qui est en rapport
07:42
avec leurs compétences.
07:43
Et même, vous savez, c'était lui qui avait imaginé,
07:46
ça n'a pas été suivi,
07:47
que pour être sûr que, vraiment,
07:49
il n'y ait pas de bénéfices induits,
07:52
eh bien, les ministres qui sortiraient
07:54
d'un gouvernement soient payés pendant trois ans
07:56
à ne rien faire en attendant que...
07:58
Voilà.
07:59
Il manquerait plus que ça, ils sont 39, là.
08:00
Ils sont 39, la disson va être salée.
08:02
Juste un petit cas juridique.
08:03
Eric, et après on écoute M. Darmanin,
08:04
et je passe la parole à Noemi.
08:05
Il était le président de la Haute Autorité
08:07
pour la Transparence ?
08:08
Il va se juger.
08:09
Il va se juger lui-même.
08:10
C'est-à-dire que lui-même, il a envoyé sa fiche
08:11
en disant qu'il n'y a rien à signaler
08:13
avant d'être embouché.
08:14
Le culus, c'est le culus dans ces cas-là.
08:16
Il y a beaucoup de ministres qui ne l'aiment pas du tout
08:18
parce qu'ils se sont fait redresser.
08:20
Ce que je reprends, c'est leur bêtement mort.
08:22
Mais ce n'est pas la question.
08:24
Et à chaque fois, ils se disaient,
08:25
il y a un digémigo qui m'a relancé,
08:26
qui m'a demandé des compétences.
08:27
C'est son ancienne administration
08:28
qui va contrôler cette Transparence.
08:30
La vérité, c'est que M. Barnier
08:34
a demandé à plusieurs élus de droite
08:37
s'ils voulaient prendre la justice.
08:39
Personne ne voulait.
08:40
Mais il est numéro 2 dans l'ordre protocolaire,
08:42
M. Migaud.
08:43
C'est comme Bercy.
08:44
Personne ne voulait du bilan assumé.
08:46
André, je vous ai vu lever la main.
08:49
Sur Migaud, il va se déporter.
08:51
Il ne va pas juger lui-même son patrimoine
08:53
et la conformité de sa déclaration.
08:56
C'est acquis.
08:57
Il ne va pas lui-même se contrôler.
09:01
On verra, on verra.
09:03
C'est impossible.
09:04
Il n'est plus à la tête de l'âge.
09:05
Noémie, attendez.
09:06
Noémie Halioua.
09:07
Il y a droit à zéro chose, quand même.
09:08
Je voudrais juste passer la parole à Noémie Halioua.
09:09
Dans la critique de la gauche,
09:10
vous avez cité les paroles d'Olivier Faure.
09:13
Il y a eu aussi Lucie Casté
09:14
qui ont présenté ce gouvernement
09:15
comme le gouvernement le plus adroit,
09:17
le plus réactionnaire de l'histoire.
09:19
Tout ça parce qu'il y a quelques conservateurs.
09:21
Et il y a une sorte de critique du conservatisme absolu
09:25
qui ne permet pas qu'il y ait
09:26
quelques ministres conservateurs
09:28
au sein d'un gouvernement.
09:29
Comme si c'était impossible.
09:30
Alors que les plus grands progressistes de la Terre
09:32
qui sont à l'avant-poste
09:33
de toutes les grandes avancées progressistes,
09:37
ça ne pose aucun problème.
09:38
Et lorsqu'il y a quelques conservateurs,
09:39
et notamment Bruno Retailleau,
09:41
parce qu'il a été proche de Philippe de Villiers,
09:43
parce qu'il s'est opposé au mariage pour tous,
09:46
et bien aujourd'hui, on considère
09:48
qu'il n'a pas sa place dans ce gouvernement
09:50
et que ce gouvernement est réactionnaire.
09:52
Mais ce que je disais,
09:53
c'est qu'on demande maintenant aux ministres
09:55
non pas une carte d'identité,
09:56
mais une carte identitaire.
09:57
Il y a une injonction à dire ce que je pensais
09:59
des grands sujets sociétaux.
10:01
C'est intéressant d'avoir des ministres identitaires
10:03
parce que ça permet de parler à des gens.
10:05
Il y a surtout beaucoup de ministres
10:07
sans aucune identité,
10:08
sans saveur, sans odeur,
10:09
mais personne ne les connaissait avant.
10:11
Comme les petits pois dans une botte de concert.
10:13
Sur les démocrates,
10:14
on considère qu'ils représentent aussi
10:15
une sensibilité dans notre pays.
10:17
Mais au moins, Retailleau,
10:18
il parle à des gens.
10:19
Allez, petite pause, voyez ?
10:20
La musique retentit pour m'aider.
10:21
Petite pause.
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