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Thierry Cabannes - Fillette de 3 ans frappée par sa maîtresse : l'enseignante justifie son geste
Europe 1
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13/09/2024
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de justification de l'enseignante qui a frappée une fillette de 3 ans.
Retrouvez "Punchline" sur : http://www.europe1.fr/emissions/punchline2
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00:00
Dans Punchline, ce soir, je voudrais que l'on revienne sur cette affaire de cette fillette de 3 ans
00:05
qui a été frappée dans une école matérielle du 15ème arrondissement à Paris.
00:08
On en a beaucoup parlé, frappée par une institutrice.
00:11
La vidéo publiée sur les réseaux sociaux a été visionnée plus d'un million de fois.
00:16
Plus d'un million de fois. C'est énorme, il y a eu beaucoup de réactions.
00:18
La ministre de l'Éducation et des Missionnaires, je vous le rappelle, Nicole Belloubet,
00:22
a demandé mardi l'ouverture d'une procédure disciplinaire et la suspension de l'enseignante.
00:27
Je vous propose d'écouter les réactions de Sophie Audugé, qui était mon invitée dans Midi News ce midi.
00:33
Elle est directrice de SOS Éducation. Écoutez-la.
00:36
C'est insupportable pour n'importe quelle personne dans le monde constitué
00:41
de voir un enfant maltraité et violenté. C'est insupportable.
00:45
Et il n'y a aucune excuse aux actes, évidemment.
00:50
Et encore plus dans un espace qui est celui de l'institution scolaire
00:54
et encore plus d'un geste fait par une enseignante sur un enfant qui est son élève.
00:58
Encore plus parce qu'il est encore plus petit.
01:02
Puisque, s'il vous plaît, il y a tout un ensemble de circonstances aggravantes
01:05
qui vient, évidemment, accentuer le côté à la fois indicible et insupportable des images.
01:12
Ça, évidemment qu'il faut le reconnaître et il faut le condamner sans aucun élément de doute.
01:20
Pour ouvrir le débat, je vais vous faire écouter la réaction de l'avocat de l'enseignante.
01:27
Comme ça, nous serons complets et ensuite, on pourra débattre.
01:31
Je ne supporte pas qu'on jette l'eau propre sur ces enseignants au motif que,
01:36
effectivement, même parmi ceux les plus irréprochables,
01:40
il peut y avoir des gestes malheureux, terribles, fautifs.
01:45
Ça reste un cas isolé.
01:47
C'est la raison pour laquelle j'ai parlé d'anecdotes
01:50
et que ça ne mérite pas d'en faire une affaire d'État.
01:54
On est tous émus, on est tous touchés lorsque un enfant est violenté.
01:59
C'est normal qu'on soit simples citoyens et parents,
02:03
mais ce lynchage médiatique, la faire passer pour un monstre,
02:07
ça, c'est insupportable.
02:09
Allez, on ouvre le débat avec vous, Louis de Raguenel.
02:11
J'ai deux positions, celle de Sophie Audugé qu'on a écoutée
02:14
et celle de l'avocat de cette enseignante.
02:16
Moi, l'image que j'ai vue, ce serait un de mes enfants
02:20
qui serait à la place de cette petite fille.
02:22
Je serais allé voir la maîtresse, peut-être la directrice,
02:24
et j'aurais demandé des explications.
02:26
Ensuite, il y a une certitude, c'est que moi,
02:29
je n'en aurais pas fait une cause médiatique.
02:31
Et c'est là où je trouve que c'est un peu les limites de notre société.
02:34
Ça va beaucoup trop loin.
02:37
Ça va beaucoup trop loin.
02:38
Ça s'est passé, je crois, il y a quatre jours.
02:40
Et on est encore en train de parler de cette histoire
02:44
où on entend parfois des choses complètement hallucinantes
02:47
d'un côté comme de l'autre.
02:49
Et je trouve que tout a été dépassé,
02:55
toutes les lignes ont été franchies.
02:56
Quand j'entends même, je ne connais pas le dossier,
02:58
mais quand j'entends que la petite fille a eu huit jours d'ITT
03:01
pour une fessée, alors peut-être qu'elle a eu mal.
03:03
Huit jours d'ITT, ça me paraît quand même énorme.
03:06
Je trouve que c'est totalement disproportionné.
03:08
Je ne suis pas là pour autant en train de défendre la maîtresse,
03:13
mais je trouve qu'il faut circonscrire l'affaire à ce qu'elle est réellement
03:16
et pas à des interprétations complètement farfelues.
03:19
Ça aurait été beaucoup plus simple, franchement,
03:22
que ce soit réglé entre la mère, la maîtresse,
03:25
éventuellement la directrice de l'école.
03:27
On a l'impression que maintenant,
03:29
il y a plein de parents qui sont inquiets,
03:31
qui se disent, est-ce que mon enfant va se faire battre à l'école ?
03:33
Et encore une fois, c'est certes une fessée
03:36
qui n'aurait jamais dû être donnée,
03:38
mais l'enfant n'a pas non plus été battu.
03:41
Véronique et Nathan.
03:43
Ça en dit longtemps, parce que la vidéo a été vue un million de fois.
03:48
C'est énorme, c'est colossal.
03:49
Un million de fois, c'est énorme.
03:51
Et si il n'y avait pas eu cette vidéo,
03:53
cette affaire n'aurait pas existé.
03:55
Et on ne serait pas en train d'en débattre sur C12 et sur Rempart.
03:58
Elle aurait peut-être été truquée par ailleurs.
04:00
Mais c'est ce qui est effrayant quand même,
04:02
et c'est ça, peut-être, qui nourrit un peu
04:04
la dimension très émotionnelle et aussi médiatique,
04:07
et on en parle beaucoup,
04:08
parce que ça nourrit une peur chez les parents,
04:10
qui est de dire, moi, en fait, je ne sais pas,
04:12
parce que ça se trouve, ma classe n'est pas filmée.
04:14
Donc, en fait, ce genre de choses,
04:16
et je pense que c'est pour ça aussi qu'il y a un écho médiatique,
04:18
et c'est pour ça qu'on en parle.
04:19
Mais la petite fille, c'est une double peine.
04:21
La victime, c'est la mère de la petite fille,
04:23
parce qu'elle a eu ça,
04:25
et ensuite, la petite fille est au cœur d'une action médiatique.
04:28
Je ne suis pas d'accord du tout avec une pression inouïe sur cet enfant.
04:32
Quand je disais que ça, en disant sur notre époque,
04:34
c'est que, certes, la maîtresse se défend en disant
04:38
qu'elle était irréprochable,
04:39
qu'elle n'a jamais eu de malaise
04:42
en 30 ans d'exercice de sa profession,
04:44
qu'elle avait une classe surchargée,
04:46
qu'il y avait des problèmes avec la rentrée, etc.
04:48
J'ai envie de dire, pourquoi pas ?
04:50
C'est absolument inadmissible de frapper un enfant,
04:52
mais tout d'un coup, elle a pété un poing.
04:55
Moi, je ne la juge pas là-dessus,
04:57
et j'aurais fait comme Louis,
04:58
c'est-à-dire, si on s'en était pris à mon enfant,
05:00
je me serais dit, ça va beaucoup trop loin,
05:01
mais je n'aurais pas ni judiciarisé l'affaire,
05:03
ni médiatisé l'affaire.
05:05
J'aurais parlé avec la professeure des écoles
05:10
et avec la directrice.
05:11
Mais où je veux en venir, c'est que,
05:13
à mon avis, dans les années 50, pardonnez-moi,
05:15
mais il y avait quand même des instituteurs,
05:16
et à l'époque, je ne dis pas que c'était toléré,
05:18
mais qu'il y avait la malaise,
05:20
qui vous tapait sur le bout des doigts avec la règle,
05:23
et on n'en faisait pas, à l'époque, des affaires d'État.
05:27
Les parents, parfois, n'étaient même pas au courant,
05:29
les enfants n'osaient même pas en parler,
05:32
et il y avait, pour autant, je pense,
05:33
de vraies souffrances et de vraies phobies scolaires
05:36
liées au comportement de certains enseignants.
05:38
Oui, mais vous voyez, à l'époque,
05:39
on avait tendance même à minimiser, j'imagine,
05:41
mais pour autant, ce n'était absolument pas tolérable,
05:43
et maintenant, on est effectivement
05:45
dans un comportement émotionnellement totalement...
05:47
Oui, mais Louis a dit quelque chose de clé,
05:49
pardon, juste quelques secondes,
05:51
il a dit qu'elle n'a pas été battue,
05:52
mais je crois que pour beaucoup de gens,
05:54
quand ils voient les images,
05:55
ils se disent, c'est une enfant battue.
05:57
Elle a pris une grosse fessée,
05:59
et ensuite un verre d'eau,
06:00
ça n'est pas acceptable.
06:01
C'est quand même une violence.
06:03
Moi, quand j'ai découvert l'affaire,
06:05
j'avais l'impression que c'était une enfant
06:07
qui avait été torturée, qui était boue.
06:09
Je ne minimise pas.
06:10
Oui, bien sûr.
06:11
Je trouve qu'il faut rester
06:12
à strictement ce qu'est cette histoire.
06:14
Alors, vous savez,
06:15
parce qu'on va en reparler,
06:17
et dans cette émission, il y a une pause pub,
06:19
donc je dois la respecter,
06:20
et sur Raphaël et sur CNews.
06:22
Donc on marque une petite pause
06:24
et on se retrouve dans quelques instants, évidemment,
06:26
je vois que le sujet vous passionne.
06:29
On marque une pause.
06:37
C'est Punchline Weekend,
06:38
jusqu'à 19h, et sur Europe 1,
06:40
et sur CNews,
06:41
et nous parlons évidemment
06:43
de cette fillette de 3 ans frappée
06:45
dans une école maternelle du 15ème arrondissement
06:47
à Paris par son institutrice.
06:49
On va reprendre le débat avec mes invités,
06:52
mais je voulais vous faire écouter
06:55
tout d'abord la maman de la fillette
06:57
qui était invitée chez notre ami Cyril Hanouna
07:00
et qui parle de véritables traumatismes
07:02
pour sa fille,
07:03
et c'est important de penser à cette petite fille aussi.
07:07
Votre fille, aujourd'hui,
07:08
votre petite fille,
07:09
vous l'avez remise à l'école ou pas ?
07:11
Non, elle ne veut pas.
07:12
Elle ne veut plus ?
07:13
Elle ne veut pas même pas sortir.
07:15
Donc elle est traumatisée ?
07:16
Vraiment, elle ne veut pas.
07:17
C'est le deuxième jour d'école ?
07:18
C'est le deuxième jour, c'est ça.
07:20
Après le troisième jour, oui.
07:22
Ce que veulent savoir aussi les spectateurs,
07:24
qu'est-ce que vous a dit l'établissement ?
07:26
En fait, l'établissement, il m'a dit
07:29
tu peux changer ta fille de l'école.
07:31
Non, mais c'est n'importe quoi, ça.
07:33
Oui.
07:34
C'est toujours comme ça.
07:35
À chaque fois, c'est le gamin qui doit changer d'école.
07:38
Quand on dit qu'on marche sur la tête dans ce pays,
07:40
ils se sont excusés, ils vous ont dit ?
07:42
Oui.
07:43
Ils vous ont dit quoi ?
07:44
À mon avis, il devrait être très très mal
07:46
qu'il ait pris une telle ampleur.
07:47
C'est ça, en fait ?
07:48
Oui, c'est ça.
07:49
Parce que pour eux, c'est catastrophique.
07:51
Réaction, Nathan Devers.
07:53
J'étais en désaccord avec ce que vous disiez, Louis.
07:56
Enfin, pas que Louis.
07:57
Ce que vous disiez généralement,
07:59
même si je comprends très bien.
08:00
Je suis d'accord avec vous pour dire
08:02
qu'il ne faut pas instrumentaliser des faits divers,
08:04
qu'il ne faut pas instrumentaliser des vidéos,
08:06
tomber dans une sorte de psychose,
08:07
faire du populisme pénal en disant
08:09
que quelqu'un est un monstre.
08:11
J'aime pas faire ça.
08:12
Mais en revanche, je pense que ça pose une question
08:14
qui est même une question politique.
08:15
On parle beaucoup aujourd'hui de libérer la parole
08:17
de gens qui sont victimes de violences.
08:19
S'il y a bien un groupe social
08:21
qui, quand il est victime de violences,
08:23
ne peut pas libérer sa parole,
08:24
c'est précisément les enfants.
08:26
Moi, j'ai pu voir ça,
08:28
non pas du tout dans mon cas,
08:29
mais dans le cas de quelqu'un que je connais,
08:31
des enfants qui sont battus aujourd'hui.
08:33
Il y a des numéros verts,
08:35
ils peuvent aller au commissariat, etc.
08:37
Mais globalement, ils sont battus
08:39
et jusqu'à la fin de leur enfance,
08:41
ils le seront.
08:42
Et ils pourront le dénoncer plus tard.
08:44
Quand ils seront adultes, ils pourront dire
08:45
j'ai été battu quand j'étais jeune.
08:47
Et globalement, c'est pas seulement
08:49
parce qu'il y a une forme d'inaction de l'État.
08:52
L'État, d'ailleurs, agit.
08:53
Mais c'est que, si vous voulez,
08:54
c'est extrêmement difficile
08:55
quand vous êtes mineur,
08:56
que vous êtes parole contre parole
08:58
face à un adulte qui est rusé,
08:59
qui est intelligent,
09:00
vous appelez la police,
09:01
le temps que la police arrive,
09:02
les parents, évidemment, arrivent,
09:03
ils sont très sympathiques,
09:04
ils ont l'air rationnels.
09:06
Il y a une forme de solitude profonde,
09:08
indépassable, ou en tout cas,
09:10
pour l'instant indépassée,
09:11
des enfants qui sont battus.
09:12
J'ajouterais même une chose.
09:13
Moi, très souvent, quand je marche dans la rue,
09:15
je peux voir des parents avec leurs enfants
09:17
et j'ai, comment dire,
09:19
l'intime conviction
09:21
que, quand les parents avec les enfants
09:23
se retrouvent dans leur appartement,
09:25
il se passe des choses
09:26
qu'on n'a pas envie de voir ou de savoir.
09:28
Très souvent, on voit des comportements
09:30
et je fais bien la distinction
09:32
entre des parents qui seraient autoritaires,
09:34
des parents qui pourraient avoir
09:35
des méthodes d'éducation
09:37
qui seraient, comme ça, très sévères,
09:39
et ceux qui se déchaîneraient sur leurs enfants.
09:41
Moi, je suis frappé de voir,
09:42
rien que dans la ville de Paris,
09:44
le nombre de parents qu'on voit dans la rue
09:46
avoir des comportements hallucinants
09:48
vis-à-vis de leurs enfants
09:49
où on sent bien que ce sont des gens
09:50
qui déchaînent, comme ça,
09:51
leurs pulsions de colère, de hurlement,
09:53
de violence physique, de violence symbolique,
09:55
complètement gratuites, complètement arbitraires,
09:57
un peu monstrueuses.
09:58
Et face à cela,
09:59
il y a une solitude irrémédiable des enfants
10:01
et je pense que ça pose une question politique.
10:03
Si la scène n'était pas filmée,
10:04
que l'enfant entre en disant
10:05
« La maîtresse m'a tapé »,
10:07
on dirait...
10:08
C'est parce que la scène a été filmée
10:10
qu'il y a un million de vues.
10:11
L'enfant est rentré en disant
10:12
qu'il a été frappé par la maîtresse
10:13
et la maman ne l'a pas cru au départ.
10:15
Elle dit « Regarde mon dos,
10:16
j'ai une grosse tâche rouge ».
10:17
Rapidement,
10:18
je voudrais vous faire écouter
10:19
Jean-Michel Blanquer
10:20
qui s'est exprimé chez Laurence Ferry,
10:21
d'ailleurs, par rapport
10:22
à l'ancien ministre de l'Éducation,
10:23
vous le savez,
10:24
évidemment, qui s'est exprimé sur le sujet
10:26
et ensuite on parle politique.
10:27
Je dis ça pour Louis Ragnel
10:28
qui va me dire
10:29
« J'ai fait punchline week-end
10:30
avec Thierry Cabane
10:31
et on n'a pas parlé politique ».
10:32
Je suis content de pouvoir être
10:33
dans votre émission.
10:34
C'est un plaisir de vous avoir
10:35
mais on va terminer par la politique.
10:36
Mais d'abord,
10:37
on écoute Jean-Michel Blanquer.
10:39
À l'éducation nationale,
10:40
personne ne tape personne.
10:41
Voilà, ça résume les choses.
10:44
Les adultes ne tapent pas les enfants
10:46
et évidemment,
10:47
les enfants ne tapent pas les adultes
10:48
et les enfants non plus
10:49
ne se tapent pas entre eux.
10:50
C'est les règles à respecter.
10:51
Ce genre d'événement
10:52
ne doit pas nous faire oublier
10:53
que nous devons le respect aux professeurs
10:55
et que c'est un principe cardinal
10:57
et que les parents doivent
10:59
toujours être dans ce respect.
11:01
C'est une espèce de contagion positive
11:03
du respect qu'on doit rechercher.
11:06
Qui veut réagir en deux secondes
11:07
par rapport au propos de Jean-Pierre ?
11:09
Je trouve que c'est très simple
11:10
et il a tellement raison.
11:11
Personne ne tape personne.
11:13
Je crois que c'est assez basique
11:15
et tout est dit.
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Ille-et-Vilaine: une enseignante frappée à coups de béquilles par un élève de CM2
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