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  • 10/06/2024
Au lendemain de la dissolution de l'Assemblée nationale, les rares présents dans les couloirs du palais Bourbon s'apprêtent à repartir en campagne.
Une élection qui se fera « sans alliance d'appareil » pour l'ex-député RN Thomas Ménagé et avec le « risque » de déboucher sur un gouvernement Rassemblement national pour l'ex-député de la majorité présidentielle Eric Woerth.

Alors à gauche, « il y a une nécessité : l'union. Mais ça ne peut se faire que sur une base de rupture », selon Eric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis. Une décision appuyée par le député PS de l'Eure Philippe Brun.

#Politique #assemblée #dissolution #réactions #députés #Renaissance #RN #PS #LFI

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Transcription
00:00On avait un plan Matignon. On demandait la dissolution, donc on y était prêts.
00:03On propose une alternance pour la France, un rassemblement qui doit être large,
00:06avec toutes les bonnes volontés, d'où qu'elles viennent,
00:08mais qui partagent nos valeurs, notre projet.
00:11Mais une alliance d'appareil, de politique politicienne, de chapelle,
00:14aujourd'hui les Français sont très loin de tout ça.
00:16Et les Français ont déjà choisi, il y a un parti,
00:19un parti et un programme qui est plébiscité,
00:21c'est celui du rassemblement national, ça a été clair hier.
00:23Le risque, il existe de toute manière,
00:26il existe au travers des motions de censure qui auraient été déposées,
00:29donc il existe à un moment donné ou un autre,
00:32donc autant choisir lequel en vrille.
00:34Je pense que personne ne construira un avenir pour le parti politique qui est le sien,
00:38et donc les convictions qui sont les siennes,
00:41sur les débris du parti de la majorité d'aujourd'hui.
00:47Personne devrait s'en rendre compte.
00:50Et ce n'est pas avec 7% qu'on rebondit.
00:52Vu les décisions de M. Macron,
00:55on voit bien l'impossibilité pour lui de rassembler une majorité.
00:59Les seuls qui, désormais, peuvent empêcher l'extrême droite de gouverner, c'est nous.
01:02Dans toute l'histoire de ce pays,
01:03à chaque fois que l'extrême droite a menacé,
01:05la gauche s'est rassemblée, mais elle s'est rassemblée sur un problème de rupture.
01:08M. Ford parle de front populaire,
01:10je rappelle que le problème du front populaire,
01:12ce n'était pas un filet tiède,
01:13c'était les congés payés,
01:16c'était les journées de 40 heures, etc.
01:21Donc, c'est la même chose qu'on doit mettre sur la table.
01:25La campagne, c'est dans 20 jours.
01:27Il y a un compte de campagne à ouvrir,
01:29il y a un premier tract à diffuser.
01:32C'est comme ça que fonctionne la démocratie, et c'est simple.
01:34Et à la semaine nationale, durant les deux dernières années,
01:37il y a eu une entente très importante entre les groupes.
01:39Et toujours, même après la fin de la NUPES,
01:40il y a toujours eu cette entente importante.
01:43Tout à fait une cohérence aujourd'hui,
01:45à appeler évidemment à l'union de la gauche,
01:47mais beaucoup plus largement que la gauche,
01:48à tous les républicains, à tous les humanistes
01:51qui ne peuvent se résigner à l'arrivée au pouvoir de l'extrême droite.
01:57Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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