Au lendemain de la dissolution de l'Assemblée nationale, les rares présents dans les couloirs du palais Bourbon s'apprêtent à repartir en campagne. Une élection qui se fera « sans alliance d'appareil » pour l'ex-député RN Thomas Ménagé et avec le « risque » de déboucher sur un gouvernement Rassemblement national pour l'ex-député de la majorité présidentielle Eric Woerth.
Alors à gauche, « il y a une nécessité : l'union. Mais ça ne peut se faire que sur une base de rupture », selon Eric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis. Une décision appuyée par le député PS de l'Eure Philippe Brun.