Face à la dangerosité des effets secondaires dus à une chimiothérapie, certaines personnes atteintes de cancer optent pour des traitement alternatifs.

Une première étude menée en 2017 a montré qu’avoir recours exclusivement à ce genre de traitement augmente les risques de décéder dans les 5 années qui suivent le diagnostic du cancer.

Ce risque est particulièrement présent chez les personnes atteintes du cancer du sein et du cancer colorectal.

Les résultats de l’étude menée sur 4 types de cancers ont montré que les risques de morts des suites d’un cancer du sein sont multipliés par 5,68.

Ces méthodes n’entrainent pas la mort mais constituent une absence de traitement qui peut se révéler fatale.