- il y a 4 jours
Regardez On refait le sport avec Isabelle Langé du 27 juillet 2025.
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00:00RTL, on refait le sport avec le Parisien aujourd'hui en France, Cédric Chasseur
00:08Bonsoir à tous et ravi de vous retrouver sur RTL, on refait le sport jusqu'à 19h et le club Jalabert exceptionnellement ce soir jusqu'à 21h pour vivre jusqu'au bout cette dernière étape du Tour de France.
00:24Nous serons d'ailleurs dans quelques instants avec Nicolas Georgerot qui sera notre fil rouge ce soir pour nous faire vivre la première montée, notamment de la bute Montmartre tant attendue et qui va nous rappeler les Jeux Olympiques.
00:34C'était il y a un an déjà, et oui que de souvenirs qui remontent la première médaille d'or le 27 juillet, c'était l'équipe de France masculine de rugby à 7 qui nous l'avait offerte, Stéphane Paré-Zédo, l'un des héros de cette équipe tricolore sera avec nous en direct.
00:49Un an après les Jeux, les meilleurs nageurs de la planète sont à Singapour pour les championnats du monde, on attend tous évidemment le retour de Léon Marchand dans les bassins, mais la première médaille française pourrait venir de Maxime Grousset demain, Isabelle Langer et l'envoyée spéciale de RTL sur place et elle sera avec nous malgré le décalage horaire.
01:07Et puis le Grand Prix de Belgique de Formule 1 a débouché sur un nouveau doublé McLaren, Piastri devant Nioris, course marquée par les choix, peut-être contesté de la direction de course, un départ retardé d'1h20, une safety car qui a multiplié les tours au début de la course, tout ça à cause de la pluie.
01:24La Formule 1 est-elle devenue trop frileuse ? Nous poserons la question à Frédéric Veil, notre spécialiste des sports auto sur RTL.
01:30Pour m'accompagner, Raphaël Bardena est avec moi, bonsoir Raphaël.
01:33Bonsoir Cédric, bonsoir à toutes et à tous.
01:35On refait le sport, c'est parti !
01:37Et donc direction tout de suite la route du Tour de France avec encore 51, un peu plus de 51 kilomètres à parcourir pour les coureurs avant d'en terminer enfin avec la grande boucle.
01:51On va retrouver sur la route du Tour Nicolas Georgerot. Bonsoir Nicolas.
01:56Bonsoir.
01:57Est-ce que cette butte Montmartre tant attendue approche ?
02:00Oui parce que ce sera bientôt le quatrième passage sur la ligne et ensuite les coureurs du Tour de France.
02:06Stadej Pogacar et tout le reste du peloton.
02:09Et ils sont 160 dans ce peloton qui termine après trois semaines de course.
02:13Eh bien, ils iront prendre la direction de la rue Le Pic de faire le tour de la butte Montmartre, le tour du Sacré-Cœur, de redescendre par les boulevards,
02:21notamment le boulevard des Batignolles, le boulevard de Courcelles, pour revenir sur ce circuit des Champs-Elysées.
02:25Ce sera le premier des trois passages avec deux hommes en tête.
02:29Le troisième du général, Florian Hippovitz, accompagné de l'américain du champion des Etats-Unis, Queen Simon.
02:34Ils ont un avantage de 10 secondes sur le peloton.
02:36On a une idée Nicolas du premier passage.
02:38À quelle heure on peut l'espérer ?
02:40Je dirais dans maintenant 7 à 8 minutes à peu près.
02:44On verra si votre précision légendaire est vraie ou non.
02:48Et on vous retrouve dans 7 à 8 minutes à l'heure dans ce cas-là Nicolas.
02:50Vous ne bougez pas.
02:52À tout de suite et on va évidemment continuer cette émission à toi.
03:00Et c'est terminé !
03:02C'est terminé !
03:03Elle est là !
03:04Elle est là, la première médaille d'or française.
03:06Elle est pour les Bleus du rugby à 7.
03:09Ils sont champions olympiques pour la première fois de leur histoire.
03:12Ça vous fait quelque chose cette musique Raphaël ou pas ?
03:15Les frissons, les souvenirs, les larmes aux yeux, tout ce que vous voulez.
03:18C'était il y a un an.
03:19Et on va demander à Stéphane Parézédo qui était sur le terrain il y a un an
03:23si lui aussi cette musique, ces commentaires, ça lui fait peut-être quelque chose.
03:26Bonsoir Stéphane !
03:28Bonsoir Cédric !
03:29Ça fait toujours quelque chose ou pas ?
03:30Ah bah oui, là c'est clair.
03:32C'est des très très bons souvenirs.
03:34Et puis là forcément il y a plein d'images, plein de vidéos,
03:37des commentateurs qui ressortent des secondes de commentaires.
03:43C'est juste incroyable à revivre.
03:45Champion olympique de rugby à 7 avec l'équipe de France au Stade de France.
03:49C'était la première médaille d'or de cette délégation tricolore.
03:55Un an plus tard, c'est toujours aussi fort.
03:58Les souvenirs restent intacts ?
04:00Oui, tout à fait, tout à fait.
04:02Alors oui, forcément il y a toujours des petits moments qu'on oublie un peu.
04:06Mais c'est toujours un plaisir de les redécouvrir par des photos, des vidéos,
04:11des anecdotes des amis, des collègues.
04:14Donc oui, c'est toujours un grand grand plaisir de pouvoir fêter une médaille d'or olympique
04:20et de se remémorer un peu de ce que c'était cet été juste merveilleux.
04:27À quoi ressemblait la vie de Stéphane Paré-Zédo depuis un an, depuis le titre olympique ?
04:32Ça n'a pas changé grand-chose.
04:36Il faut dire que forcément il faut garder la tête sur les épaules.
04:43Et forcément on a enchaîné sur le championnat.
04:46On était en totale reconstruction sur une nouvelle équipe avec énormément de jeunes,
04:52un nouveau staff qui est arrivé.
04:54Il est forcément obligé d'être retourné vers 2028 pour réitérer
05:00et essayer de ramener une médaille, et la plus belle des médailles.
05:04La médaille justement, vous en avez fait quoi des Jeux Olympiques, la médaille d'or ?
05:07Elle voyage, elle voyage, la partage autant que je peux.
05:12Elle est souvent avec moi.
05:14Et d'ailleurs je remercie Romandico qui a réussi à me faire une petite pochette
05:19pour qu'elle puisse ne pas s'abîmer à chacun de mes voyages.
05:23Et non, c'est vraiment sympa.
05:26Elle ne vous quitte pas alors ?
05:27Vraiment c'est devenu un doudou ?
05:29Oui, presque.
05:31Sinon elle reste sagement à la maison.
05:34Raphaël Bardin.
05:35Bonsoir Stéphane.
05:36Dans une publication sur Instagram,
05:37Antoine Dupont a dit que l'Égypte de France était liée à jamais par cette médaille.
05:41Depuis un an, il y en a certains qui sont retournés au rugby à 15,
05:44d'autres qui ont arrêté, qui font autre chose.
05:47Est-ce que vous échangez toujours avec l'ensemble du groupe ?
05:50Oui, oui, tout à fait.
05:52Et je rejoins totalement ce qu'a dit Toto.
05:55C'est vraiment un lien qui est venu finaliser un peu toutes ces années de travail et de dur labeur.
06:05Mais un peu partout, des stages au Fidji, en passant par des entraînements sur la tour Eiffel,
06:13la dune du Pila, la puissance de l'océan, etc.
06:16C'est des efforts dans lesquels on a essayé de se dépasser chacun pour le collectif.
06:28Et en fait, le fait de remporter les Jeux Olympiques a fait que ce seront des liens à vie
06:35sur une date donnée qui est le 27 juillet, donc aujourd'hui.
06:39Le retour sur le terrain après cette extase émotionnelle,
06:42est-ce que la vie n'a pas eu un peu un goût fade ?
06:45Ça dépend pour qui.
06:49Je pense que ça a été compliqué.
06:51On a été en vacances tout de suite après.
06:54On est partis en vacances ensemble pour se dire au revoir aussi.
06:57Et puis après, il fallait aussi se tourner vers l'avenir aussi, retrouver des objectifs.
07:05Et c'est vrai que du coup, les objectifs, ils sont durs.
07:10Déjà, ils sont lointains pour ceux qui faisaient du rugby à 7,
07:13parce qu'on repart sur un cycle de 4 ans.
07:17Mais voilà, les objectifs sont venus naturellement aussi,
07:21surtout sur la construction d'un nouveau groupe,
07:24quelque chose qui était hyper important.
07:25Et puis on avait un titre aussi à défendre qui était champion du monde.
07:29On finit 5e cette année.
07:30C'est quand même très prometteur.
07:33Et voilà, l'année prochaine, ça va être pareil.
07:36Essayer de finir champion du monde pour préparer les qualifications l'année qui suit du mieux possible.
07:43Stéphane Paré-Zédo qui est l'invité dont on fait le sport ce soir sur RTL.
07:48Raphaël Bardena ouvert la porte.
07:51Vous avez lu sans doute les déclarations d'Antoine Dupont qui dit que la porte,
07:55elle est ouverte pour les Jeux Olympiques de 2028.
07:59Il aimerait bien défendre le titre.
08:00C'est excitant.
08:01Il dit les choses de cette façon.
08:04Évidemment, vous, des retrouvailles à Los Angeles, vous votez pour.
08:10Bien sûr, et même avant.
08:12Il faudra préparer comme pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, j'imagine.
08:15Oui, exactement.
08:16Ça va être un peu difficile parce qu'il a prouvé qu'il pouvait intégrer le groupe assez tardivement.
08:23Et je pense que c'est ça qui fait sa force.
08:25Parce que c'est un gros travailleur.
08:27Quelqu'un de très humble et qui est très, très intelligent dans sa façon de jouer.
08:32Donc, il a réussi à s'adapter très vite.
08:36Et forcément, le Stade Toulousain et le 15 de France,
08:39ne veulent pas forcément le lâcher trop tôt.
08:42Donc, il va falloir trouver une bonne balance comme ce qui a été fait l'année dernière.
08:47Et voilà, s'il faut le réaccueillir et accueillir d'autres joueurs du 15 de France,
08:54ce sera avec plaisir.
08:55Ça reste une sélection.
08:57Et le but, c'est que le rugby à 7 puisse être le plus performant possible à Los Angeles en 2028.
09:05Qui a le plus profité finalement de cette expérience olympique ?
09:08C'est Antoine Dupont qui a le plus profité auprès de l'équipe de France de rugby à 7 ?
09:12Ou c'est l'équipe de France de rugby à 7 qui a le plus progressé au contact d'Antoine Dupont ?
09:16C'est une bonne question.
09:17Non, je pense que réellement, la venue d'Antoine Dupont nous a projeté une espèce de lumière
09:25qui était juste inimaginable.
09:30Je pense qu'on ne se rendait pas compte à quel point le monde entier a les yeux rivés
09:36sur les performances d'Antoine Dupont.
09:39Et en plus, ça a été vraiment un énorme plaisir de pouvoir apprendre à jouer au rugby aussi à ses côtés,
09:49à échanger aussi sur les spécificités du rugby à 7.
09:54Et j'espère que le rugby à 7 lui a apporté un maximum.
09:58Et je pense que rien que pour les émotions qu'il a pu vivre,
10:03on lui a apporté aussi de très belles choses.
10:06Et voilà, l'esprit olympique, c'est quelque chose qui est primordial
10:10et c'est quelque chose auquel on est très attaché.
10:14Un dernier mot, Stéphane Paré-Zédo.
10:17On parlait des souvenirs, de ces moments qui reviennent.
10:20Les pas de danse, vous vous en souvenez encore ou pas ?
10:23Oui, je m'en souviens.
10:26Vous les faites aussi de temps en temps pour vous replonger dans ce moment ou pas ?
10:31Non, alors personnellement, non.
10:33Mais aujourd'hui même, on m'a demandé de les apprendre.
10:38Alors, pour les personnes qui veulent apprendre, je suis toujours présent.
10:43Après, tant que toute l'équipe n'est pas là,
10:46je ne monterai pas sur scène tout seul pour faire les pas de danse.
10:50Mais voilà, pour la petite anecdote,
10:53on n'a pas fait toute la chorégraphie.
10:57Il manquait la moitié.
10:58Mais on ne la maîtrisait pas assez encore
11:00pour pouvoir la faire au plein milieu du Stade de France.
11:03Donc, j'espère qu'on va pouvoir la peaufiner
11:06et faire en sorte de la ressortir en 2028.
11:10Ça pourrait être chouette avec une nouvelle version.
11:11Le rendez-vous est pris en tout cas.
11:13Merci beaucoup Stéphane Paré-Zédo d'avoir été avec nous sur RTL.
11:16Un an, un an déjà.
11:17Ça passe vite.
11:18Les Jeux Olympiques, c'était il y a un an.
11:20Et la première médaille des Jeux, c'était l'équipe de France de rugby à 7.
11:22Très bonne soirée à vous sur la route du Tour,
11:24puisque vous étiez dans le quart RTL,
11:28juste à côté des Champs-Elysées.
11:29On va retourner d'ailleurs dans quelques instants
11:31du côté des Champs-Elysées
11:32et de Nicolas Georgerot.
11:33A tout de suite.
11:35RTL.
11:36On refait le sport.
11:37Avec le Parisien, aujourd'hui en France.
11:40On refait le sport.
11:42Avec le Parisien, aujourd'hui en France.
11:44Cédric Chasseur.
11:4718h43 sur RTL.
11:49C'est On refait le sport jusqu'à 19h
11:51avec Raphaël Bardena à mes côtés.
11:53On suit évidemment la dernière étape du Tour de France.
11:57On parlait des Jeux Olympiques.
11:59On va saluer, juste avant de retrouver Nicolas Georgerot,
12:02Isabelle Langer, qui est en direct de Singapour pour RTL.
12:06Bonsoir Isabelle.
12:07Bonsoir les garçons.
12:09Bon, vous, une année sur l'autre, c'est le 27 juillet, piscine.
12:12Quoi qu'il arrive.
12:13Piscine.
12:14Voilà.
12:14J'ai mis mon maillot là, à minuit et demi.
12:17Je suis encore avec vous.
12:192024, la piscine de la Défense.
12:212025, la piscine de Singapour avec évidemment ces mondiaux de natation.
12:27On va en reparler dans quelques instants.
12:30On va vous demander de veiller un tout petit peu plus pour être avec nous
12:33parce que dans quelques instants, il y a un moment tant attendu.
12:38La première montée de Montmartre, la rue Lepic.
12:42Nicolas Georgerot, les coureurs, la tête du peloton,
12:46approche de cette fameuse montée.
12:48Dans le 17e arrondissement, boulevard des Batignolles.
12:52Pour ceux qui connaissent Paris, bientôt la place de Clichy.
12:55Puis ensuite, quelques virages à droite et à gauche pour aller prendre cette rue Lepic.
13:00Un peloton en file indienne qui roule à très très vive allure.
13:04Et avec notamment les équipiers de Julien à la Philippe, la formation Tudor,
13:08qui emmène ce peloton.
13:10Et on voit aussi le maillot jaune, Tadej Pogacar,
13:13qui est en train de se repositionner à l'avant.
13:16On voit aussi Wout van Aert avec deux équipiers.
13:18La place de Clichy, justement, à l'instant, passée par ce peloton, ça va vite.
13:23Ça va très très vite.
13:24Les Vélibs parisiens vont un peu moins vite dans cet endroit
13:27quand ils sont en train de remonter ce boulevard.
13:29Mais là, ça va vite, vite, vite.
13:31On est vraiment à plus de 45-50 km heure avec ce virage à droite.
13:36Et là, maintenant, ça va devenir un petit peu plus technique.
13:39Il y a une foule incroyable au bord de la route dans ces rues parisiennes.
13:44Pas de pluie à Nicolas pour l'instant.
13:45Non, alors il y a eu des quelques gouttes tout à l'heure sur les Champs-Elysées.
13:49Je vous l'ai dit aussi, les temps ont été figés au quatrième passage de la ligne.
13:52C'est-à-dire qu'il n'y aura pas de conséquences au classement général
13:56avec ensuite ce virage qui va être abordé.
14:00Et maintenant, les coureurs du Tour de France vont être un an après
14:04ces images incroyables des Jeux Olympiques en train d'aborder.
14:08La côte de la butte Montmartre avec la Rue Lepic.
14:12Ce monde incroyable.
14:13Ce public international avec ses foules sur des fois 6, 7, 8 rangs.
14:18Et dès qu'ils galvanisent les coureurs,
14:20on voit Julien Alaphilippe en deuxième position.
14:22Et avec Wout van Aert aussi,
14:24on sent vraiment tous les frissons qui parcourent ce peloton du Tour de France.
14:28Les danseuses du Moulin Rouge qui font le French Cancan au passé du Tour.
14:31C'est absolument incroyable.
14:33Ces images, ces foules incroyables, vraiment,
14:36comme il y a un an avec ce peloton du Tour de France
14:39qui est en train de découvrir tout ça.
14:41On est à 700 mètres de la butte.
14:43Et avec encore une attaque.
14:45L'attaque de Julien Alaphilippe à l'instant.
14:47Julien Alaphilippe qui a retrouvé des gens dans cette troisième semaine
14:50et qui est poussé par le public et qui se dresse sur les pédales en danseuse
14:54pour forcer la décision à 500 mètres du sommet de la côte de la butte de Montmartre.
14:59Incroyable.
15:00Julien Alaphilippe qui fait cet effort dans les plus forts pourcentages.
15:05On est à moins de 40 kilomètres de l'arrivée.
15:07C'est absolument incroyable.
15:08Franchement, ça fout les frissons de voir ces images-là,
15:11de voir ce peloton du Tour
15:12avec notamment le maillot jaune,
15:14Talaï Pogacar qui va essayer de revenir aux avant-postes.
15:16Vous entendez évidemment le bruit, l'ambiance.
15:19Et qu'est-ce que ça doit être dans la tête des coureurs ?
15:22On va retrouver dans la rue Le Pic.
15:25Thibaut Hu, envoyé spécial de RTL,
15:27qui s'est glissé dans l'appartement d'un des chanceux
15:30qui habite dans cette rue Le Pic.
15:32L'ambiance, Thibaut, au passage des coureurs, ça devait être quelque chose.
15:35Cédric, j'ai même du mal à vous entendre
15:38tant l'ambiance est indescriptible ici.
15:40Vous l'entendez derrière moi.
15:41C'est une foule en liesse qui attendait depuis des heures.
15:46Certains depuis très tôt ce matin pour apercevoir les coureurs.
15:49Voilà, ça y est, depuis quelques instants,
15:52ils peuvent les acclamer.
15:53Une ambiance indescriptible.
15:55La pluie s'est arrêtée.
15:57On n'a pas encore de soleil malheureusement.
15:59Mais la pluie s'est arrêtée il y a quelques instants.
16:01Voilà, comme un symbole.
16:04Donc c'est une marée à poids rouge qui est devant moi.
16:08Et ce public, voilà, qui ne veut pas me laisser parler.
16:12Quelle ambiance, Cédric, quelle ambiance.
16:13Cette dernière étape qui s'annonce, voilà,
16:15cette fin de dernière étape qui s'annonce complètement électrique.
16:18Avec Nicolas, juste pour terminer,
16:20le maillot jaune qui a décidé de reprendre les commandes.
16:23Oui, et qui est dans un petit groupe
16:25où il y a Julien Alaphilippe,
16:26où il y a Wout Van Aert.
16:28On se demandait si Tadej Pogacar allait vouloir gagner
16:30avec le maillot jaune sur les épaules.
16:31Il n'est arrivé qu'une seule fois.
16:33Bernard Hino en 79 et 82 sur les Champs-Elysées.
16:35Et peut-être Tadej Pogacar voudra s'imposer tout à l'heure.
16:3839 kilomètres à parcourir.
16:39A tout à l'heure Nicolas et merci à Thibaut Hu.
16:42On retrouve l'ambiance un peu plus tamisée de Singapour.
16:46C'est sûr, je suis dans ma chambre en minuit et demi.
16:49La piscine est fermée, je suis d'or depuis bien longtemps.
16:51Mais merci à Nicolas Georgerot de me faire vivre par procuration
16:55grâce à sa sublime description
16:57de ce qui se passe rue Le Pic et à Paris sur ce tour de France.
17:01C'était quelque chose.
17:01Même à la piscine cet après-midi, c'était un peu plus feutré.
17:06Oui, ambiance plus feutrée.
17:08Franchement, je préférais l'ambiance.
17:09Vous n'allez pas me contredire.
17:11De l'aréna de Nanterre l'année dernière
17:14où ça hurlait à chaque coup de bras.
17:17Là, ça sonne un petit peu creux.
17:18Mais bon, on va peut-être monter en puissance.
17:20On va bousculer un tout petit peu en régie.
17:24On vous a préparé un petit souvenir, Isabelle Langer,
17:26de ce qui s'était passé en 2024.
17:30Écoutez.
17:30Allez Léon, il y va !
17:32Il reste une quinzaine de mètres.
17:34Allez, 25 mètres, on y va Léon !
17:36Pour aller chercher ce troisième titre olympique.
17:39Il accélère, il accélère !
17:40Il accélère, il accélère encore !
17:42Et il change le tempo !
17:43Et le public qui le pousse !
17:44Léon, Léon, oui Léon Marchand !
17:47C'est notre marchand de rêve.
17:48C'est juste le héros !
17:49Attention !
17:51Champion olympique !
17:532 minutes 5 secondes !
17:54Oh là là, il n'était vraiment pas loin du record du monde !
17:57Extraordinaire !
17:58Incroyable !
17:59On est vraiment dans l'instant nostalgie.
18:01Ah, ça met encore des frissons avec Grégory Mallet !
18:04Bon, Léon Marchand, on va parler dans quelques instants.
18:08Mais d'abord, le héros français du jour,
18:10il s'appelle Maxime Grousset.
18:12C'est la première chance de médaille demain
18:14lors de la deuxième journée.
18:1613h47, connectez-vous ou écoutez RTL
18:19parce que ce sera en direct sur votre radio préférée.
18:23Aujourd'hui, il a vraiment affolé les chronos.
18:25Il a été le plus rapide en demi-finale,
18:27meilleur chrono mondial de la saison,
18:2922 secondes 61.
18:31Nouveau record de France aussi.
18:32C'était un record de France
18:33qu'il avait déjà battu au championnat de France
18:35à Montpellier en juin dernier.
18:37Là, il lui a mis 9 petits centièmes.
18:39Mais écoutez, Maxime Grousset,
18:41plutôt très très content à la sortie du bassin.
18:43Très content, on est des gosses,
18:46on est content d'améliorer nos chronos.
18:47Le fait d'être premier, c'est cool aussi.
18:49Un dixième devant, c'est assez short quand même.
18:51Mais je pense qu'il y a encore un peu mieux à faire.
18:53Vous fracassez le record de France quand même ?
18:55Fracasser, non, c'est un dixième.
18:57Ce n'est pas quatre dixièmes d'un coup.
19:00Mais c'est bien, franchement.
19:01Je ne peux pas cracher dessus.
19:03Surtout que je suis encore un au ranking.
19:05Mais le plus important, ce sera d'être un au ranking demain.
19:07Donc, ça promet de belles choses.
19:10Après, on va rester tranquille, concentré.
19:13On va continuer à faire des bonnes choses.
19:15Parce que l'année dernière, aux Jeux Olympiques,
19:18il s'est un petit peu manqué en individuel.
19:21Il s'était consolé avec la médaille du bronze
19:22du relais 4x64 nages.
19:24Donc, demain, il a vu cette première médaille
19:25sur le 50 mètres papillon.
19:26qui, rappelons-le aussi, sera une nouvelle discipline
19:29aux Jeux Olympiques à Los Angeles en 2028.
19:32Et vous savez ce qu'il fait pour se concentrer
19:34dans la chambre d'appel avant la course ?
19:38Non.
19:38Eh bien, il écoute de la musique.
19:40Et ce soir, je lui ai dit,
19:40t'écoutais quoi ?
19:41C'était quoi le son ?
19:42Écoutez ce que c'était.
19:44Très détente.
19:46Très détente.
19:47Bob Marley pour une course hyper explosive
19:50comme le 50 mètres papillon.
19:52Je veux comprendre comment ça switch
19:53dans le cerveau de Maxime Grousset.
19:55En tous les cas, il est en forme.
19:57Rendez-vous demain à 13h47 pour la finale.
20:00Du côté des autres Français aujourd'hui,
20:02on saluera la belle cinquième place
20:04du relais 4x100 féminin.
20:05Record de France, d'ailleurs, à la clé
20:07pour les filles qui ont tenu finalement leur rang.
20:09La petite déception, c'est le relais masculin
20:10qui ne s'est pas qualifié pour la finale.
20:12Mais c'est tout jeune, ce relais masculin.
20:14Donc, il va grandir.
20:15La victoire pour l'Australie sur les deux relais.
20:18Chez les femmes et chez les hommes.
20:19Et puis, Anastasia Karpichnikova.
20:21Alors, elle nous a fait un petit peu peur.
20:2219ème des séries du 400 mètres ce matin.
20:25Elle ne s'est pas qualifiée pour la finale.
20:26Demain, elle entre en lice sur les séries du 1500 mètres.
20:29On rappelle qu'elle est vice-championne olympique en titre.
20:32Bon, voilà.
20:32L'année dernière, c'était un peu le même scénario à Paris.
20:34Puis, elle nous avait étonnés.
20:35Elle est allée chercher cette médaille d'argent.
20:37Donc, on espère bien que ce sera la même chose.
20:39La finale, ce sera mardi.
20:41Il y en a une.
20:42Vous avez parlé du 400 mètres,
20:43nage libre féminin
20:44qui est sur le même rythme que les Jeux olympiques.
20:46C'est la canadienne Summer McIntosh.
20:49Oui.
20:4918 ans.
20:51C'est la nouvelle star féminine de la natation.
20:53C'est un peu le pendant féminin de Léon Marchand.
20:55L'année dernière, elle avait fait 3 titres à Paris
20:57sur le 200 papes et le 200 et 400 catenages.
21:01Aujourd'hui, écoutez, elle était tranquille.
21:03Elle a remporté son petit 400 mètres.
21:05Son objectif à Singapour,
21:07c'est d'entrer dans la légende de la natation.
21:09Remporter comme son idole 5 titres mondiaux.
21:13Elle est bien partie pour le moment.
21:14Pour la petite histoire,
21:15depuis le début de l'année,
21:16elle s'entraîne avec un certain Frédéric Vernieu.
21:18C'est un coach français qui est très connu
21:20dans le milieu de la natation.
21:21Elle a beaucoup entraîné, les Espagnols notamment.
21:24C'est un petit contrat avec lui.
21:27De 9 mois, elle a navigué entre Antibes et Font-Romeu.
21:30A la rentrée, elle retrouvera Bob Beaumann,
21:32le même entraîneur que Léon Marchand aux Etats-Unis.
21:36Mais ça réussit bien en tous les cas
21:37entre le duo franco-canadien.
21:40Et puis, on l'attend encore cette semaine
21:42sur des belles courses.
21:43Le 200 mètres papillon, le 800 mètres,
21:45le 400 quatennage et le 200 quatennage.
21:47Elle s'est qualifiée aujourd'hui tranquillement
21:49pour la finale avec le meilleur temps.
21:51Il y avait une invitée spéciale aussi,
21:52Cédric, pour cette finale du 200 quatennage.
21:57Vous faisiez quoi, vous, à 12 ans ?
21:58Bah, à 12 ans, moi, je joue encore au Barbie, je pense.
22:02Elle, c'est une prodige chinoise.
22:05Elle s'appelle Zou Zidi.
22:08Officieusement, lors des championnats en Chine,
22:11il y a deux mois,
22:13elle a établi le record du monde junior
22:15du 200 mètres quatennage.
22:17Bon, ce n'est pas un vrai record officiel
22:18parce que ça n'existe pas vraiment.
22:20Mais elle a survolé le 400 quatennage
22:22et le 200 mètres papillon
22:23avec les temps qu'elle a fait.
22:24Imaginez, elle a 12 ans.
22:25Elle aurait été au pied du podium
22:27des Jeux Olympiques à Paris l'année dernière.
22:30Voilà, vous avez le nouveau phénomène de la natation.
22:33Et du coup, Summer McIntosh,
22:34elle fait presque vieille à côté d'elle.
22:37Bon, et dans tout ça,
22:38on n'a pas parlé de Léon Marchand encore.
22:40Rapidement, Isabelle, Léon Marchand,
22:43vous l'avez retrouvé, il est dans quel état ?
22:45Il est plutôt tranquille.
22:46Il est revenu sur sa décision
22:48de ne disputer que deux courses sur ses mondiaux,
22:51200 et 400 quatennage.
22:53On l'écoute.
22:54Allez, on a le temps, on fait un écoute juste ça.
22:56J'ai eu une année un petit peu difficile,
22:57je me suis blessé à la côte.
22:59Donc, j'ai commencé à travailler dur,
23:01assez tard cette année.
23:03Donc, forcément, il y a eu la question de se poser
23:04est-ce que vraiment,
23:06tu me mets à 100% pour les championnats du monde ?
23:08Moi, je n'ai pas trop douté,
23:09je savais que j'avais envie de les faire.
23:10Je savais que c'était important pour moi
23:11de me remettre dans le bain à ce moment-là, ici.
23:14Donc voilà, et après, le programme allégé.
23:16Je pense que c'est important
23:16parce que ça permet de respirer un peu.
23:19Là, je ne commence pas dimanche.
23:20Je ne me précipite pas surtout.
23:21Je fais le temps, prends le temps.
23:23Donc, ça fait du bien, c'est différent,
23:24c'est une approche différente.
23:26Et je pense que ça va m'aider
23:27à reprendre mon chemin tout doucement.
23:31Tranquille, Léon Marchand.
23:33Ambitieux quand même,
23:33malgré les...
23:34Oui, il est ambitieux,
23:35c'est ce que j'allais dire.
23:36Sur ce 200 4 nages,
23:38pourquoi il a aussi balayé le 200 papes
23:41et le 200 brasses ?
23:42C'est parce qu'il va commencer
23:43sur ce 200 4 nages
23:44et à la clé,
23:45il veut aller battre le record du monde
23:47d'un certain Ryan Loctis.
23:48C'est un record qui existe depuis 2011.
23:50Et il se dit, bon,
23:51il est le temps de l'effacer
23:52un petit peu des tablettes
23:53comme il l'avait fait
23:54sur le 400 4 nages
23:55avec Michael Phelps.
23:56Merci, Isabelle Langer.
23:57Donc, rendez-vous jeudi soir pour ça.
23:59On le note.
24:00Pour nous, jeudi après-midi.
24:01Jeudi après-midi.
24:02Évidemment.
24:02Et pour vous,
24:03les heures allaient se coucher maintenant.
24:04Bien sûr.
24:05Merci, Isabelle Langer
24:06d'avoir veillé un petit peu.
24:07Et bonne soirée à vous
24:07du côté de Singapour.
24:10RTL.
24:11On refait le sport.
24:13Ça l'est bien,
24:14cette petite virgule natation.
24:15Allez, on...
24:16Il reste un petit peu de temps.
24:18On va retrouver Frédéric Veil.
24:19Bonsoir, Frédéric.
24:21Bonsoir, Cédric.
24:22Évidemment, le Tour de France
24:23nous a mangé un petit peu de temps.
24:25Il nous reste 4 minutes
24:27pour revenir sur ce Grand Prix
24:29de Formule 1 de Belgique
24:31avec ce doublé McLaren.
24:33Mais j'ai surtout envie
24:34de vous parler
24:35de cette gestion de la météo.
24:37On a l'impression
24:37que la Formule 1
24:38ne s'est plus roulée sous la pluie.
24:41Oui, ça arrive de plus en plus souvent.
24:43Ce n'était pas arrivé d'ailleurs
24:44à Silverstone il y a 3 semaines.
24:46Mais là, on a attendu 1h20
24:47pour finalement lancer la course
24:49à 16h20 au lieu de 15h.
24:52On a fait 4 tours derrière
24:53la voiture de sécurité
24:54une fois que la piste
24:55était quasi sèche.
24:57Alors ça, c'était la décision
24:58de Rui Marques,
24:58le directeur de course,
24:59qui a impacté les écuries
25:01qui avaient choisi des réglages
25:02pour discuter le Grand Prix
25:03sous la pluie.
25:04Mais depuis quelques années,
25:05vous l'avez dit,
25:06quand il y a une piste détrempée,
25:07c'est la sécurité qui prévaut.
25:08Et tous les pilotes,
25:09tous les patrons d'écuries
25:10ont salué d'ailleurs tout à l'heure
25:12cette décision
25:13de reporter le départ
25:14car selon eux,
25:14il n'y avait aucune visibilité
25:16de formation.
25:17On le sait, Aspa,
25:18ça peut vite se terminer
25:19en carnage.
25:19Rappelez-vous en 1998,
25:21le gros carnage au départ
25:23sous le déluge,
25:23la sortie de piste de Coulthard,
25:24les 13 voitures impliquées.
25:26Il faut comprendre
25:27qu'ici, Aspa,
25:27quand il pleut,
25:28ce n'est pas du crash-anormand,
25:29c'est de la grosse, grosse pluie.
25:31Et dans les secteurs montagneux
25:32et boisés du circuit,
25:33ça gêne vraiment le filotage.
25:35Dans notre malheur,
25:36dans le malheur
25:37des 300 000 spectateurs
25:38qui étaient dans l'attente
25:39et sous la pluie,
25:40on a quand même eu une course.
25:41Contrairement il y a quelques années,
25:42rappelez-vous en 2021,
25:44lorsque Verstappen
25:45s'était imposé,
25:46il n'y avait dû que
25:47trois tours de circuit
25:49derrière la voiture de sécurité,
25:50ce qui avait fait
25:50de ce Grand Prix de Belgique
25:51le Grand Prix le plus court
25:53de l'histoire de la Formule 1.
25:55Reste qu'on n'empêchera pas
25:56tout de même de penser
25:57qu'aujourd'hui,
25:59on sort à chaque fois
26:00le parapluie du côté de la FIA.
26:01Ce qui n'est pas normal,
26:02surtout,
26:02c'est que Pirelli
26:03a fait des pneus superpluies.
26:04Nous avons les eaux exposées
26:06à Aspa pendant quatre jours.
26:07Ils étaient là,
26:08bien mis.
26:09Et bien pour ce genre
26:09de Grand Prix,
26:10pas une monoplace
26:11n'en était équipée.
26:13Tous sont partis
26:13en pneu intermédiaire.
26:14C'est quand même incroyable.
26:16Il faut penser quand même
26:17aux spectateurs
26:18qui, eux,
26:18étaient sous la flotte
26:19pendant que les pilotes
26:22attendaient
26:22qu'on leur donne le go
26:23pour pouvoir partir.
26:24C'est vrai que le spectacle
26:25a été un peu gâché
26:27cet après-midi
26:28du côté de la Belgique.
26:31Merci Frédéric.
26:32C'est vrai qu'on devait
26:33parler de McLaren,
26:35on devait parler
26:35d'Hamilton,
26:37le retour d'Hamilton
26:38en 30 secondes.
26:39Frédéric,
26:40en 30 secondes,
26:41Hamilton,
26:41le personnage du jour ?
26:42Oui,
26:43le personnage du jour.
26:43Il était parti 16e
26:45aux qualifications.
26:47Finalement,
26:47il est parti
26:48de la voie des stands
26:48parce qu'il a changé
26:49son moteur de sa Ferrari.
26:50Il termine 7e.
26:51Il a fait un gain
26:52de 11 plos.
26:53Énorme,
26:53Hamilton,
26:54cet après-midi,
26:55Aspa,
26:56sous la pluie.
26:56Mais ça,
26:57on s'en doutait un petit peu.
26:58Juste pour vous dire
26:58que le prochain Grand Prix,
26:59ce sera le dernier
27:00en la trêve vestibale.
27:01C'est dimanche prochain.
27:02C'est à Budapest
27:03et c'est en Hongrie.
27:04Salut Cédéric !
27:05On fera mieux
27:05la semaine prochaine,
27:06Frédéric.
27:06Promis.
27:07Merci Frédéric
27:08d'avoir été avec nous.
27:09Dans un instant,
27:10on va suivre la fin
27:11de la dernière étape
27:12du Tour de France.
27:13Hortense Crépin
27:14avec le club Jalabert.
27:16Vous êtes prêt Hortense ?
27:17Absolument.
27:18Cédric Tadej-Pogacar
27:19qui s'apprête
27:19à remporter
27:20son quatrième Tour de France
27:21sous la pluie.
27:22On va vivre cet épilogue
27:23ensemble sur RTL
27:25jusqu'à 21h.
27:26Merci.
27:27Merci Raphaël Bardena
27:28d'avoir été avec nous.
27:29Et dans un instant,
27:30les infos.
27:31RTL
27:32On refait le...
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