La France va reconnaître l'État de Palestine en septembre à l'ONU, a annoncé jeudi le président Emmanuel Macron, espérant créer une dynamique collective en ce sens, une décision aussitôt décriée par Israël comme une «récompense de la terreur» et «fermement» rejetée par les Etats-Unis. Mais pour l’ancien porte-parole réserviste de Tsahal, Julien Bahloul, «le président Emmanuel Macron est du mauvais côté de l’Histoire».