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Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau était en déplacement dans le commissariat du 20e arrondissement de Paris ce jeudi.

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Transcription
00:00C'est vrai qu'il y a des gens qui voudraient que je parte. Il y a M. Téboune, il adorerait. Il y a le Rassemblement national, il y en a d'autres aussi.
00:07Mais cette décision m'appartient à moi. Et encore une fois, la démarche que j'ai faite, que nous avons faite collectivement avec les six autres ministres LR d'entrée au gouvernement,
00:18qui a été encore une fois une décision non pas individuelle, ça n'a pas été du débauchage, pas du tout. C'était collégial, collectif et réfléchi.
00:26Eh bien cette décision, tant que cette mission que nous nous sommes donnée de stabilisation, de décisions qui sont conformes à l'intérêt national, conformes à des convictions,
00:36eh bien tant que ces décisions iront dans ce sens-là, il n'y a pas de raison que je quitte le gouvernement.
00:41Si un jour il y avait un obstacle pour une raison ou pour une autre, j'en tirerais bien entendu les conséquences.
00:46Moi, vous voyez, je ne suis pas attaché à un poste à ou à une place. Je suis attaché à une mission. Et cette mission, elle est difficile.
00:57Ministre de l'Intérieur aujourd'hui, ministre de l'Intérieur, alors qu'on a depuis des décennies, par laxisme, parfois par lâcheté,
01:06abandonner la rue à des délinquants et à des barbares, c'est difficile.
01:11Et ce que je veux dire aux Français, c'est que dans les conditions politiques actuelles, sans majorité à l'Assemblée nationale,
01:17je n'ai pas les mains libres. Évidemment que j'ai des contraintes. Mais j'essaie d'aller au bout de ce que je peux faire pour améliorer la situation.
01:26C'est mon état d'esprit.
01:27Sous-titrage Société Radio-Canada

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