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00:00Présentation de notre équipe pour ce lundi, NAMM Fadel, bonsoir, ravi de vous accueillir.
00:06Paul Amard, très heureux de vous avoir parmi nous.
00:08Bonsoir.
00:09Arnaud Klaasfeld, bonsoir.
00:10Bonsoir.
00:11Marie-Decara, journaliste et spécialiste des questions de défense à Valeurs Actuelles.
00:16Bonsoir.
00:16J'ai tout bon.
00:17Kevin Bossuet, professeur d'histoire, ravi de vous avoir.
00:20Nous accueillons également Julien Drey, ancien député.
00:23Bonsoir Julien.
00:23Bonsoir.
00:23On va commencer par cette prise de position de Donald Trump.
00:30On savait qu'elle était d'ailleurs attendue.
00:32Il s'est exprimé aux côtés de Mark Rutte, secrétaire général de l'OTAN.
00:36Et Donald Trump s'est dit très déçu du président Poutine.
00:39Je propose de l'écouter.
00:42L'une des raisons pour lesquelles vous êtes ici aujourd'hui, c'est pour entendre que nous sommes très mécontents.
00:48Moi, je suis très mécontent avec la Russie, mais on va discuter ça peut-être un autre jour.
00:53On est très mécontents avec eux.
00:57Et on va mettre en place des droits de douane très élevés si on n'a pas de, peut-être dans 50 jours, 100% des droits de douane secondaires.
01:06Vous savez ce que ça veut dire.
01:08Mais aujourd'hui, on va parler d'autre chose.
01:10Est-ce que c'est une prise de position historique, Paul Amart ?
01:14Oui. En tout cas, c'est un tournant.
01:16On disait de Trump, et on a toujours dit de Trump, qu'il était imprévisible.
01:19C'est vrai qu'il nous avait terriblement surpris, choqués, déçus quand il avait pris ses distances avec l'OTAN, avec l'Europe, avec l'Ukraine.
01:29Là, il revient à grands pas vers l'OTAN, vers l'Europe, vers l'Ukraine.
01:33Donc, c'est un bien pour l'Europe, c'est un bien pour l'Ukraine.
01:37La livraison de ses missiles patriotes va faire du bien à l'Ukraine.
01:40Et c'est un avertissement qu'il adresse clairement à Poutine, qui est effectivement à 50 jours pour répondre.
01:46Sinon, sanctions.
01:47Trump n'oublie pas qu'il fait des affaires.
01:50Trump n'oublie pas qu'il a été businessman et il l'est toujours.
01:53C'est son ADN.
01:53Et si Poutine ne répond pas à cet avertissement, il y aura des sanctions sévères, des sanctions économiques.
01:59Trump l'a dit d'ailleurs.
02:00L'économie russe est extrêmement fragile et le sera encore davantage si Trump applique ses sanctions.
02:06Mère Yannick, quel est votre regard ?
02:09Est-ce que vous êtes plus nancé peut-être que Paul Amart par rapport à ce discours historique ?
02:14Plus prudent pour l'instant, il n'y a pas d'éléments qui permettent de dire que c'est un tournant historique.
02:19Moi, je pense que c'est plutôt un coup de pression de Donald Trump, clairement, sur Vladimir Poutine, qui fait en fait d'une pierre trois coups.
02:26Le premier, c'est qu'il permet à l'Ukraine de continuer à se défendre, notamment dans son ciel, contre les missiles russes.
02:33Il y avait une interrogation.
02:35Deuxièmement, il fait du business.
02:38C'est-à-dire qu'il signe un accord avec l'OTAN qui va permettre à ses chaînes d'approvisionnement de patriotes de refonctionner
02:44et d'approvisionner les pays de l'OTAN qui voudront bien prêter leurs patriotes, entre guillemets, aux Ukrainiens.
02:51Donc, c'est une formule très trumpienne.
02:54Et il met un petit coup de pression au passage à Poutine en disant que les choses commencent à traîner vraiment.
02:59Il va falloir avoir des résultats.
03:00On verra dans les jours qui viennent, dans les semaines qui viennent,
03:03quelles seront les musiques qui seront véritablement jouées entre ces deux personnages.
03:08Julien André, quel est votre regard ?
03:10D'abord, c'est un avis d'échec.
03:11Désolé, parce qu'on a un président des Etats-Unis qui est arrivé en disant
03:14« Vous allez voir, désormais avec moi, tout va marcher, tout le monde va obéir,
03:19toi tu vas faire ça, toi tu vas faire ci. »
03:21Voilà.
03:21Il n'a résolu aucun des dossiers.
03:23Aucun.
03:24Et il passe son temps à faire des zigzags.
03:27Alors, on peut considérer à chaque zigzag que c'est un tournant.
03:29Oui, c'est vrai, un zigzag est un tournant.
03:31Mais un tournant dont on ne sait pas quelle va être l'issue.
03:34Bon, là, il menace 50 jours.
03:35Je crois qu'il avait déjà menacé, je ne sais plus qui, sur les droits de douane.
03:40Écoutez, moi, je n'arrive même plus à faire les tableaux des droits de douane
03:43menacés depuis un an.
03:44Il l'a reconnu, il a dit quatre fois, on était proche d'un accord et ça n'a pas marché.
03:47Et on l'a sentu très agacé.
03:48Il a menacé les droits de douane, tout le monde.
03:49Il est chinois, ça a duré trois semaines parce qu'il n'a pas pu dire trois semaines.
03:53Je m'excuse.
03:54Cet homme, quoi qu'on en pense, quoi qu'on puisse avoir comme estime,
03:59est un personnage très ennuyeux pour la communauté internationale
04:02parce qu'on ne sait pas où il va.
04:03Écoutez ce qu'il dit de Poutine, avec lequel il échange très fréquemment, d'ailleurs.
04:08Et d'ailleurs, quand il l'a dit au cours de sa conférence de presse,
04:11quand il raccroche, il a le sentiment que les choses avancent
04:13et le lendemain, il apprend que des missiles ont été tirés
04:15et il en parle à Mélania en disant, je ne comprends pas.
04:19Il l'a dit d'ailleurs, dès le début de sa conférence de presse,
04:22je suis très déçu par Poutine.
04:23Mais écoutez ce qu'il dit de Poutine.
04:25Du point de vue de Poutine, son économie ne va pas très bien.
04:31Il faut qu'il sauve son économie, qu'il sauve son pays.
04:37L'économie, ça peut détruire un pays.
04:39Il veut que son économie reprenne.
04:42Vous savez, il a un grand pays.
04:47Il y a du grand potentiel, c'est ce que je dirais.
04:49Et vous en avez parlé à M. Poutine ?
04:55Oui, je lui parle beaucoup
04:57pour en finir avec cette guerre.
05:02Et je me dis, ah, c'était un bon appel téléphonique
05:04et puis tout d'un coup, j'entends dire que des missiles ont été envoyés sur Kiev.
05:09Et au bout de trois ou quatre fois,
05:12on se dit que les mots n'ont pas de valeur.
05:14Voilà, les mots n'ont pas de valeur à Nukles Feld,
05:16selon Donald Trump, en évoquant Vladimir Poutine
05:20avec lequel il échange.
05:21Ça, il le dit.
05:21Je trouve qu'il a été très prudent
05:23puisqu'il laisse quand même 50 jours à Poutine
05:25avant d'arriver à un accord
05:28où on ne sait même pas,
05:29il n'a même pas dit un accord tout à fait,
05:31arriver à quelque chose dans 50 jours.
05:35Il n'envoie pas d'armes offensives non plus à l'Ukraine.
05:38Il est exaspéré de ne pas avoir trouvé une forme de compromis.
05:42Et il est exaspéré aussi
05:43que des missiles soient tirés sur les villes ukrainiennes
05:47de la part de la Russie,
05:48des missiles et des drones.
05:51Mais pour l'instant,
05:52il laisse quand même 50 jours à Poutine
05:55pour avancer et faire en sorte
05:59que ses buts de guerre s'avancent.
06:02Donc, c'est une position mitigée.
06:05Il est exaspéré pour lui-même.
06:06Il est exaspéré pour ses électeurs
06:09parce qu'il leur avait dit
06:10qu'il trouverait un accord en un jour.
06:12On le sent agacé, on l'a senti agacé.
06:14Et là, on est à 7, 8 mois.
06:16Mais il laisse encore du temps
06:18et donc, il est prudent.
06:20Alors, Poutine...
06:22Les Chinois, ils avaient une formule
06:23pour un personnage comme ça.
06:24Je viendrai.
06:25C'est un tigre de papier dans le temps.
06:28Et pour l'instant, je m'excuse...
06:29C'est sévère, c'est sévère.
06:30Oui, mais...
06:30Un tigre de papier qui est intervenu en Iran.
06:35Qui est intervenu en Iran.
06:35D'ailleurs, il a commencé sa conférence de presse
06:37en évoquant la réussite en Iran.
06:40L'histoire nous dira s'il est intervenu
06:43ou s'il ne pouvait pas faire autrement
06:45parce que, de toute manière,
06:45Israël avait la capacité de le faire sans lui.
06:48Et je pense même que, d'un certain point de vue,
06:50si le régime des Ayatollahs tient,
06:52pour une part, il en est responsable
06:53parce qu'on n'a pas pu finir le travail.
06:55Mais ça, on y reviendra.
06:56Un tigre de papier...
06:57Deuxièmement, excusez-moi,
06:58mais moi, un allié comme ça, je m'en méfie.
07:01Je ne pars pas la guerre avec un personnage comme cela.
07:04C'est-à-dire, un jour, il vous dit blanc,
07:05un jour, il vous dit noir.
07:06J'ai parlé, je suis déçu des conversations téléphoniques que j'ai.
07:09Il a en face de lui un stratège politique.
07:12Parce que M. Poutine, qu'on le veuille ou non,
07:14formé à l'école du KGB et du FSB,
07:16c'est un stratège politique.
07:17Et lui, il sait où il va.
07:19Et il ne joue pas au casino.
07:20Vous n'avez pas le sentiment
07:21qu'il fait bouger les lignes, quand même, Donald Trump ?
07:24Mais quelles lignes il a bougées ?
07:25Les accords, les accords, les accords.
07:27Il nous annonce, excusez-moi,
07:28on nous annonce des accords avec le Hamas
07:30depuis maintenant un mois et demi.
07:32Il nous dit, vous allez voir, vous allez voir.
07:33À chaque étape, il n'y a pas d'accord.
07:35Oui, il n'est pas seul.
07:35D'accord, mais c'est une réalité.
07:37Le Hamas, justement, ne veut pas le rappeler.
07:40Vous pouvez, les uns, les autres,
07:41avoir des jeux de chimène pour Trump.
07:43Je vous respecte.
07:44Non, mais on constate que...
07:46C'est pas ce que disent les uns et les autres, Julien Drey.
07:50Je vous dis, injuste.
07:51Je ne suis pas injuste.
07:52C'est quand même la justice.
07:54Il a commencé sa conférence de presse
07:55avec l'attaque en Iran.
07:56On pense que c'est constaté que ça a été un succès.
07:58Sur l'attaque en Iran,
07:59on ne va pas faire le débat ce soir.
08:00Bien sûr, non, non, parce qu'il y a beaucoup de choses évoquées.
08:02On y reviendra, et vous allez voir
08:03que ce que je vous dis
08:04n'est pas si éloigné de la vérité que ça.
08:06Bon, ça, c'est la première chose.
08:08Deuxièmement, sur le Moyen-Orient,
08:09écoutez, moi, j'en suis au dixième plan.
08:11Un jour, il nous dit qu'il va faire de Gaza et de Guérard.
08:14Un autre jour, il dit qu'il va...
08:15Voilà, je ne connais pas la politique américaine
08:17sur ce qui va se passer à Gaza.
08:19Et concernant l'Ukraine,
08:20écoutez, vous avez raison.
08:23Il nous dit, alors attendez,
08:24retenez-moi, je vais faire un malheur dans 50 jours.
08:27D'accord, ok.
08:27Oui, mais à part rentrer en guerre avec la Russie,
08:33il n'a pas tellement d'autres issues.
08:36Il vaut mieux quand même que la Russie,
08:38que Trump et Poutine finissent par s'entendre
08:40plutôt qu'il y ait une troisième guerre mondiale.
08:43J'ai revu le docteur Folamour hier,
08:45ce n'était pas très gai, disons,
08:46quand la...
08:48C'est vrai que c'est un changement,
08:49on l'évoquait avec Paul Amart,
08:50c'est un changement,
08:51parce qu'on se souvient de la scène.
08:53On ne peut pas souhaiter que les Etats-Unis
08:56et la Russie entrent en guerre.
08:58Il faudra trouver un...
08:59Non, mais reconnaissez, Julien,
09:00que c'est un changement
09:01par rapport au rendez-vous
09:03qu'il avait eu avec Zelensky
09:04durant le monde entier.
09:06Bien, qui s'appelait François Mitterrand.
09:08Lui, quand il a dit
09:09les pacifistes sont à l'ouest,
09:11les missiles sont à l'est,
09:13quand il a pris la décision de dire
09:14maintenant ça suffit,
09:15il l'a fait.
09:16Et les Russes...
09:17Paul, un dernier mot.
09:18Julien, un dernier mot.
09:19Pardon.
09:20Il n'a même pas d'avouer dire quelque chose.
09:22Par rapport au tigre en papier,
09:24c'est quand même quelqu'un
09:25qui a fait les accords d'Abraham.
09:26Et ce n'était pas rien.
09:27Ce n'est pas lui qui les a fait.
09:28Les accords d'Abraham existaient avant lui.
09:29Oui.
09:30Les accords d'Abraham existaient avant lui.
09:32Écoutez, tout le monde a parlé
09:33des accords d'Abraham
09:33et c'est lui qui les a faits.
09:35Et il les a faits notamment
09:36avec les Émirats arabes.
09:37Il n'est pas entré en guerre.
09:39Exactement.
09:40Merci.
09:41Alors que Biden est entré en guerre.
09:42Et ce sont toujours les démocrates
09:43qui sont très souvent.
09:44Je trouve que c'est très souvent
09:45les démocrates qui entrent en guerre.
09:47Donald Trump l'a dit.
09:48Cette guerre, ce n'est pas la guerre
09:49des Républicains,
09:49c'est la guerre des démocrates
09:50en visant Joe Biden.
09:51Je comprends, je la connais.
09:53Lui, il est contre.
09:53Il pense qu'il faut trouver un accord
09:55coûte que coûte
09:56avec la Russie en Ukraine.
09:57Et donc, il est prêt pour ça
09:58à beaucoup s'aider.
10:00Moi, je ne suis pas d'accord avec ça.
10:01Paul, dernier mot.
10:02Justement, il est à ce point
10:05un principe qu'il ne faut
10:06accorder aucune importance
10:08aux mots qu'il prononce.
10:09Parce qu'il peut dire
10:10tout et ce contraire.
10:11Donc, dans son cas,
10:12moi qui est vécu aux Etats-Unis,
10:13on va réagir à l'anglo-saxonne.
10:15On ne retient que les faits.
10:16Les faits, bombardement
10:17des sites nucléaires de l'Iran.
10:19Les faits, livraison de patriotes
10:21à l'Ukraine.
10:22Moi, je m'en tiens à ces faits
10:23et je me réjouis pour l'Ukraine,
10:25pour l'Europe et pour l'Ottawa.
10:26Mais Julien, tu me dis...
10:27Alors, les patriotes,
10:28ils ne sont toujours pas...
10:29Les patriotes, ils ne sont pas arrivés.
10:31Le nombre de fois
10:32où ils annonçaient des choses
10:32qu'ils n'ont pas faite.
10:33Excusez-moi, mais la liste est longue.
10:35C'est presque des lettres
10:36au Père Noël à chaque étape.
10:37Il y a d'ailleurs un certain nombre
10:38d'États qui commencent à le savoir.
10:39Non, pour le coup,
10:40là, il y a une vraie avancée.
10:43Il y a une avancée quand même.
10:47Clairement, sur les patriotes,
10:48il y avait un enjeu majeur
10:49puisqu'on sait qu'il n'y a plus
10:51de patriotes pour l'Ukraine.
10:53Et ils ont trouvé une formule
10:54qui permet de contenter, en fait,
10:56je dirais, pardonnez-moi,
10:57les deux parties, c'est-à-dire
10:58à savoir l'Ukraine
10:59qui en avait urgemment besoin
11:01et l'industrie américaine
11:03qui ne donne plus rien
11:04sans être rémunérée.
11:05Et celui qui va faire l'intermédiaire
11:07qui va payer, c'est l'Union Européenne.
11:10Et il y a Emmanuel Macron
11:11qui annonce une hausse du budget
11:12de notre armée.
11:13Ce que vous êtes en train de m'expliquer,
11:15c'est que les dindons de la farce,
11:16c'est les Européens.
11:17Ah oui, c'est ce que j'ai expliqué.
11:18Il y a des armes américaines
11:19que l'Amérique va fabriquer.
11:22Arnaud Glass-Fall, dernier mot.
11:23Tu me dis que je suis pour un compromis.
11:26Il y a eu deux guerres mondiales
11:28qui ont ensanglanté l'Europe.
11:31Ça a été deux suicides collectifs.
11:33Il y avait des jours
11:33pendant la première guerre mondiale
11:36où il y avait 10 000 soldats français
11:38qui mouraient,
11:39des jeunes de 20 ans.
11:41Donc c'est normal
11:42que je sois pour un compromis.
11:43Ma mère était sous les bombes à Berlin.
11:45Mon père est mort à Auschwitz.
11:47Je me souviens quand même
11:48dans mon inconscient collectif
11:53les malheurs que peuvent entraîner
11:54une guerre mondiale.
11:55Donc je préfère que la Russie
11:57et les Etats-Unis s'entendent
11:59même si c'est en partie
12:00sur le dos de l'Ukraine.
12:01Allez, on va marquer une pause, les amis.
12:02Je lui donnerai un dernier mot.
12:04Le désaccord que j'ai avec toi
12:05et avec d'autres,
12:06c'est que je pense que face
12:08au régime russe,
12:10c'est la force qui m'importe.
12:12Ah oui, ça c'est évident.
12:13Il ne comprend que ça.
12:15Et pour l'instant,
12:16il voit que ça manœuvre,
12:18ça fait...
12:19Mais il l'a reconnu.
12:20Il l'a dit.
12:20Je vais faire un malheur,
12:21mais il n'y a rien.
12:22Mais il l'a dit, il l'a reconnu.
12:23Il l'a dit quatre fois.
12:24On était proche de la paix,
12:26ça n'a pas marché.
12:27Et il l'a reconnu.
12:28On marque une pause
12:28sur Europe 1 et sur CNews.
12:30On se retrouve dans quelques instants.
12:31On va vous raconter cette histoire
12:32carrément insoutenable.
12:35C'est un ancien candidat LFU
12:36aux élections départementales
12:37qui est aujourd'hui suspecté
12:38d'avoir organisé
12:39et enrichi un réseau pédo-criminelle.
12:42Et ça se passe en Loire-Atlantique.
12:43On vous raconte tout cela
12:44sur CNews et sur Europe 1.
12:45A tout de suite.

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