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Lors de l'émission L'Heure Inter du 10 juillet, l'essayiste Rachel Khan a déclaré : «On a bien compris que Rima Hassan préférait brandir le keffieh, plutôt que le drapeau français, et toujours avec cette forme de victimocratie».

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Transcription
00:00On a bien compris qu'elle préférait brandir le keffier que le drapeau français.
00:06Et puis toujours avec cette forme de victimocratie, ce palestinisme, cette palestinocratie aussi.
00:16C'est-à-dire que plus en fait elle se dit victime de son impossibilité du retour en Palestine,
00:23plus finalement pour l'ensemble de ses followers, puisque c'est une influenceuse de haine en réalité,
00:28qui profite du pogrom du 7 octobre et qui profite de ce qui peut se passer à Gaza
00:33pour dorer son aura, notamment au sein de la France insoumise, et fracturer la société française.
00:42C'est l'histoire d'une trahison française, c'est l'histoire d'une personne qui répond éperdument à ce que veulent notamment les frères musulmans,
00:54c'est-à-dire être dans l'antrisme jusqu'au sein du Parlement européen, de fracturer la société.
01:01Elle répond aussi finalement à cette logique d'ennemi de la République, de haute trahison à la limite de ça,
01:09puisqu'elle ne reconnaît pas finalement, on a des difficultés avec l'Algérie,
01:14on a toute la question de nos deux otages de Boilem Sansal, et elle, elle fait le choix de l'Algérie.
01:19Donc c'est-à-dire que c'est quand même assez, enfin c'est terrorisant.
01:25Et plus que problématique.
01:27C'est très problématique, et par ailleurs, elle utilise véritablement des méthodes pour insuffler de la haine,
01:33de la violence au sein de notre société.
01:36Elle utilise finalement une méthode 2.0 pour avoir une stratégie du Troisième Reich,
01:42de pointer du doigt, de faire des cibles dans le dos des citoyens juifs,
01:48de faire des listes, on a vu sur ces messages Twitter,
01:51des listes de gens qui ne sont pas d'accord avec elle,
01:53ou qui pour le coup demanderaient la libération de Boilem Sansal.
01:56C'est une personne dangereuse.
01:58Sous-titrage Société Radio-Canada

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