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Invité sur le plateau de la Matinale, Kamel Bencheikh, écrivain franco-algérien, est revenu sur l'affaire Boualem Sansal. «Je n'ai plus aucun espoir», a-t-il déclaré sur CNEWS.

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Transcription
00:00Non, je n'ai plus aucun espoir. Je l'avais juste avant la publication des presque 6000 graciés par le chef de l'État algérien.
00:10Mais là, je ne pense pas, comme on le disait tout de suite, qu'il y ait une mesure personnifiée pour Boilem Sansal.
00:18Même ça, vous ne pensez pas ? Je crois que ces mesures-là peuvent être prises à n'importe quel moment.
00:24Il n'y a pas de date, il n'y a pas de calendrier, c'est au bon vouloir du chef de l'État.
00:28Si, il y a une date et un calendrier, c'est le 5 juillet.
00:32Ah oui, mais pour une grâce collective, mais pour une grâce individuelle.
00:35Je ne suis pas sûr que le chef de l'État algérien puisse le faire individuellement pour Boilem Sansal.
00:41On parlait du comité de soutien, je suis membre fondateur du comité de soutien et membre du bureau exécutif de ce comité de soutien.
00:47Et je peux vous dire que l'ensemble des membres de ce comité de soutien n'ont plus beaucoup d'espoir.
00:58Sous-titrage Société Radio-Canada

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