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Korek pas korek [LI BON CONNER] Thème : ki ravage la drogue p faire parmi la jeunesse Dorothy Bonnefemme reçoit Imran Dhannoo, Président du centre Idriss Goomany, ce vendredi 4 juillet 2025 à partir de 9 heures 📞Vos appels au 213 77 77 🔴Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaîne 10 📲Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV.
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ÉducationTranscription
00:00Pas correct, le TopFM.
00:01Les bons connés.
00:03Bonjour à tous et bienvenue sur les ondes de TopFM dans votre émission
00:07Correct, pas correct, les bons connés.
00:09Alors, en ce vendredi matin, nous choisissons la drogue.
00:14Comme vous le savez, depuis une semaine déjà,
00:17TopFM commence ce combat quand nous décidons
00:20pour faire plusieurs émissions, pour faire plusieurs activités
00:23pour qu'il nous amène, nous pierre contre ce combat,
00:26contre la drogue-là, un combat qui peut briser nos sociétés,
00:30qui peut briser beaucoup la jeunesse.
00:33Et justement, parlons de la jeunesse,
00:35aujourd'hui, nous pouvons essayer d'axer nous l'ourbain jeune
00:38qui, malheureusement, il tombe dans sa fléau-là
00:41et aussi pour les autres jeunes, pour qu'ils entendent le message
00:45qui nous est là pour passer, parce qu'ils peuvent souvent
00:47être capables les autres tenter, comment faire pour éviter
00:50tenter dans sa chose-là, dans sa fléau
00:54et surtout, qu'il y a une prévention qui est là,
00:58comment être capables et de personnes qui souhaitent s'en sortir.
01:01Alors, pour nous en parler ce matin, nous sommes là
01:04M. Imran Danou, qui est responsable du centre Idrissa Goumani,
01:08qui lutte depuis de nombreuses années contre la drogue.
01:12Bonjour et bienvenue sur les ondes de TopFM.
01:14Bonjour, Dorothée.
01:16Bonjour les téléspectateurs du TopFM qui bégait nous ce matin
01:20et merci d'avoir donné l'occasion pour qu'il n'y a pas de cause.
01:23Les drogues surtout, parce qu'il n'y a pas d'un de la drogue.
01:26Donc, sur les drogues, oui.
01:27D'accord, merci d'être là ce matin, d'avoir répondu présent
01:30et aussi de votre collaboration.
01:32Avant qu'il nous démarre, ça, l'émission-là,
01:34M. Imran, invite-nous, nos auditeurs et tous qui nous regardent aussi
01:39sur nos plateformes digitales et sur TopFM, TopTV.
01:44Oui, alors, tout d'abord, nous écoutons un témoignage
01:48des personnes qui souhaitent partager avec nous
01:51ce vécu et surtout résolution qu'il y prend.
01:55Nous regardons l'anonymat.
01:56C'est un jeune, l'histoire qu'il y a, tout de suite.
01:58Bonjour et bienvenue sur les ondes de TopFM.
02:00Oui, bonjour.
02:01Bonjour.
02:02Alors, nous disons merci.
02:04Là, ce matin, nous pouvons témoigner de ce qu'on vit
02:07et de ce qu'on peut espérer.
02:10Alors, disons-nous à quel moment et à...
02:13D'abord, quel âge est-ce?
02:1428 ans.
02:16Ok, 18 ans, oui.
02:17Et à quel âge on commence un thème dans la toxicomanie,
02:21dans Safléoula?
02:23À 16 ans.
02:26D'accord.
02:27Alors, est-ce que vous racontez,
02:28mais écoute, qui ne peut se faire, comment ça est arrivé?
02:33D'abord, si vous voulez dire,
02:35comment vous consommez les autres?
02:38Vous pouvez...
02:39Vous pouvez...
02:40Vous pouvez me dire, vous pouvez me dire,
02:42vous pouvez me dire, vous pouvez me dire,
02:43vous pouvez me dire, vous pouvez me dire.
02:43Oui.
02:45donc c'est qu'on vit qu'on n'y fait qu'il n'y en a donc c'est un gros n'y est un gros n'y ça
02:51vous m'aura de mon goût dit l'enrouvé et ni ça vous m'occupe mais vous m'occupe mais
03:02là comme étant on continue comment ça ne change ou la vie et ou des mois peut-être à l'âge de 16 ans
03:14outil école ou bien tu finis arrête l'école donc finir et les colliers du travail oui ok mais là
03:22les lacones commençant dans sa milieu la peau dans l'âge de 16 ans les lacs ou marou la ville sensé
03:28commence mon match au métier de marge au match aux conséquences là
03:35comment comment vous aimez consommer tous les autres les ou l'est on commence
03:42je travaille au moment qu'il travaille au moment tu vois attention pour que de la
03:49valence je préfère m'arrêter à mon arrêt travail où tu commences trop comme si
03:56m'a m'opiné en casque je recouvre de la carte le même classement ou bon et nous
04:05qu'à connaît qu'ils produits tu peux prendre une étiquette ok et la coop et
04:11des mois comme ça c'est vrai qu'une affaire qui vous dit à moi qu'ils m'ont pour
04:14reprendre ce qu'ils m'ont dit à moi c'est un nissa boma aussi mon pensez que c'est
04:18beaucoup à cause à même sa côté boma c'est là je prends l'is sont réalisés vrai même
04:23qu'il les fait qu'il y en a l'eau la santé l'os de la vie oui et là pendant à l'ondé
04:31on a moins 16 ans là ça veut dire pendant deux ans on continue et drogué nous
04:36jali oui et là et où l'entourage que moi tu peux vivre ça comme si j'ai toujours
04:44m'en fait les deux je suis le comment je fais cause au moins tout couvert que
04:49m'aise oublié moi pour arrêter mais moi je peux arrêter on fait mon chou
04:53maman je commence pleurer je fais content au moins moins les oublées comme si
05:00il est figure moi en gros comment on m'a fait c'est mauvais qui soit dévendu
05:07Tout ce que j'ai fait, tout ce que j'ai fait, tout ce que j'ai dit, je n'ai pas écouté, je n'ai pas écouté, je n'ai pas laissé tomber.
05:17Justement, quand j'ai dit à moi qu'il y a de l'entourage, tu tournes les doigts avec toi, comment t'es ressenti toi?
05:25Comme si, je suis pour rencontrer, je suis pour rencontrer, je suis pour rencontrer, je suis pour rencontrer.
05:37C'est un peu important pour vous?
05:39Oui.
05:41Et là, quand j'ai dit que j'ai dit, que je n'ai pas laissé tomber les doigts avec toi, je ne peux pas écouter, je peux pleurer, je peux écouter.
05:52mais quand même quand on dit que ça me pensait c'est un touchou qui jamais il est pas en tournée
05:57de haut oui grâce à ça les mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet
06:06un grand zoom pour lui pas un comme c'est un gros gil et mouillet mouillet mouillet mouillet
06:13et justement léla est ce qu'équipe pour un qui n'arrivait exactement ce qu'ils ont consorts qui
06:21n'arrivait exactement pour décider nos maux parfums traitement oui on réalise qu'il faut du mon cas
06:32c'est pour le monde les filles on réalise qu'ils voient moi et c'est toujours souffrir qu'ils
06:36mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet
06:42d'accord et là on est ici pour comment ce traitement au centre idrisse gou mani
06:49béla c'est qu'ils nous poussent tous et beaucoup de courage et surtout pas baisser
06:53bras mieux ok oui un message peut-être pour ban camarades qui peut écouter en ce moment
06:59mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet mouillet m
07:29C'est ce qui nous attend. Nous souhaitons beaucoup de courage et nous vous disons que nous n'avons pas abandonné, continuez à accompagner et bon courage aussi à toutes les personnes du Centre Idriss Goumani pour continuer à accompagner et les autres personnes qui permettent de frapper à la porte.
07:50D'accord? Oui, merci.
07:52Allez, merci beaucoup pour tout et surtout, restons sa décision qu'on prend là. Merci pour le témoignage ce matin et là, nous continuons l'émission. Nous demandons M. Imran Danoum aussi si on a envie pour t'assez quelque chose, réagir par rapport à ce témoignage-là.
08:07Déjà d'emblée, je remercie vous, je remercie Top FM, je remercie personnellement l'encouragement que vous donnez à Sadi Moun qui commence son programme de désintoxication au sein du Centre Idriss Goumani.
08:21Comment Liffin Djaou, Liffin commence très jeune. Ce drogue de consommation, c'est la drogue synthétique, ce qu'on appelle nouvelle drogue de synthèse. Liffin Djaou, essentiellement, Liffin commence par camarades et nous connaît en général tout bien consommateur des drogues, drogues avec un S évidemment, il commence sous l'influence Andy Moon qui procède essentiellement avec son camarade.
08:41Liffin Djaou est une notion très importante, la notion du plaisir. Donc, beaucoup Andy Moon qui commence à faire l'expérience avec le produit, peu importe le produit, c'est surtout sous l'influence camarades.
08:51Après, pour le plaisir et pour l'hyphorie. Après, éventuellement, au fil du temps, sa plaisir-là, Liffin est la vie qui remplit avec difficultés, souffrances et l'enfer.
09:03Donc, le témoignage de sa jeune homme-là est typique de nos quotidiens tous les jours auprès de 20 jeunes avec qui nous côtoyer et nous remarquer qu'il, depuis nos 5 dernières années, nous côtoyer beaucoup 20 jeunes.
09:21D'ailleurs, il y a un rajeunissement dans le profil des consommateurs de drogue, si on parle par rapport à, depuis 1986, ils ont dit beaucoup plus 20 jeunes qui peuvent faire l'expérience avec le produit.
09:31Il m'a donné un chiffre ce matin, Dorothée, d'après le dernier rapport officiel qui remonte à 2021. C'est vrai, c'est un rapport bien ancien.
09:40Et ce rapport-là, 2021, il dit qu'il donne au pays, à l'époque, nous tient à 55 000 consommateurs problématiques, 55 000 consommateurs problématiques de bain de produit.
09:52Il dit qu'il prend essentiellement comme produit l'héroïne avec la drogue synthétique.
09:56Et ce qui est important, nous retenir de ce rapport-là, il dit comme ça, que 30 %, 30 % de bain de consommateurs de la drogue illicite dans nos pays, 30 %, ils sont en 18 à 24 ans.
10:08Si nous prenons témoignage de ce jeune homme-là, il dit qu'il fait un dia où il y a à peu près 18 ans.
10:1218 ans, oui.
10:13Et nous n'avons pas oublié, il commence à prendre la drogue à partir de 18 ans, qui nous donne ce trajectoire en amont, il commence bien jeune, avec la cigarette, avec les autres produits.
10:20Donc, c'est vrai qu'il nous focalise dans la drogue illicite, nous ne devons aussi pas oublié dans la cigarette, l'alcool, qui est aussi une substance avec laquelle les jeunes commençaient.
10:30Alors, on a un chiffre de 2021, allons dire, là, quand on peut causer, ça chiffre-là, d'après vous, pour combien il est augmenté?
10:38Quand on peut causer un consommateur problématique, on peut faire référence à un consommateur qui est une dépendance sur ce même produit-là.
10:44Parce qu'il y a différents types de consommateurs, il y a un qui prend l'apport par l'occasion, il y a un qui prend l'apport régulièrement.
10:50Quand on peut causer un consommateur problématique, on peut causer essentiellement un consommateur qui n'est pas capable de s'en passer à la drogue.
10:55Donc, qu'en est-il de la prévalence? On peut poser une question par rapport à la prévalence et moi, moi pensez, le chiffre libysin est beaucoup plus, certainement, il n'est pas 55 000, il est capable de s'en passer entre 100 000 à 150 000.
11:07D'où la raison pour laquelle il y a un cheval de bataille de la nouvelle agence, moi pensez, on peut faire l'étude de prévalence, justement, pour ne pas avoir la vraie réalité de la consommation des drogues à l'île-Maurice.
11:20C'est vrai qu'on finit de moins t'y aperçus qu'on peut causer augmentation, qu'on peut causer rajeunissement, mais c'est où qui est dans le domaine depuis de nombreuses années, moi disais, nous, quelle situation de la drogue à l'île-Maurice?
11:30Nous, c'est-à-dire qu'il y a l'orment? Il y a plus qu'il y a l'orment ou comment on peut dire?
11:33Moi, je veux dire où il y a maré à l'orment. Si je prends cette thème, là, il y a maré à l'orment parce qu'il y a 55 000 en 2021.
11:42Et vous connaissez ce rapport 2021. Là, il prend un chiffre de 2019, là non 2025. Donc, la consommation, il y a le pente.
11:50Et puis, en 2024, pour l'information, l'Afro-Barometer, tu fais une recherche lors des problèmes qui interpellent les mauriciens.
12:02Et ce rapport-là, il fait démontrer que le premier problème qui interpellent les mauriciens, c'était la hausse des prix, rising standard of living, et déjà, il y a une problématique de la drogue.
12:13D'accord? Et un rapport, un rapport qui est fait par le Bureau des Nations Unies en 2024, les sept pays de l'Afrique, les identifiés mauriciens comme pays en Afrique,
12:22qui est dans la plus forte taux de prévalence de la consommation de la drogue de synthèse.
12:26Et vous connaissez, les 26 jeunes ont été commémo aux journées mondiales contre l'abus de drogue.
12:32Et pour l'information, la veille, le 25 juin, là-dessus, fait une saisie de 3 000 doses de brown sugar auprès d'un jeune de 19 ans.
12:40Et puis, il y a un jour qui est passé dans le pays de Roti, il y a une grosse, grosse arrestation.
12:46Ça, c'est une arrestation qui est là-dessus, qui est basée sur le travail d'intelligence de longue haleine,
12:50mais il ne faut pas oublier que pour chaque arrestation, pour chaque grosse saisie, que ce soit au niveau de l'importation,
12:57vous imaginez qu'il y a beaucoup qui passent à travers la maille du filet.
13:01C'est pour vous dire que, donc, la disponibilité du produit, et d'ailleurs, ce camarade-là, il mentionne ça,
13:06un bien facteur qui explique aussi, qui fait l'importance à produit, il mentionne le coût, le coût du produit,
13:13mais l'autre facteur, c'est la disponibilité du produit.
13:16D'accord. Et justement, laisse-nous rester sur ça, vous faites, dis-moi, là, le coût, justement,
13:20il est bon, là, il est disponible.
13:23Où, dis-moi, aussi, il y a beaucoup de saisies, mais malheureusement, il reste disponible à ce point.
13:28Comment vous explique ça, et où, en tant que travailleur social,
13:30c'est un appel pour dire à l'autorité qu'il est prêté ce matin?
13:33Non, on n'a pas qu'à dire que les autorités n'ont pas fait rien.
13:36De la même façon, les autorités n'ont pas qu'à mettre un policier derrière chaque population de l'île Maurice.
13:41Mais toujours est-il que le trafic de la drogue, il demeure un problème majeur dans nos pays.
13:48Parce qu'il n'a pas oublié que le brown sugar, il rentre dans nos pays dans les années, early 1980.
13:52Au fil des années, dans 2025, le brown sugar est encore disponible.
13:55Bon, il y a un changement dans la configuration, la disponibilité, la produit,
13:59et la drogue synthétique qui finira à entrer en 2013, et l'IB compte y rentrer tout simplement
14:04par une simple loi économique, c'est-à-dire « demand and supply ».
14:08Il veut dire où il y a une demande par rapport à sa produit-là.
14:11Je tiens chez nous, un petit peu plus tôt, 3000 doses.
14:133000 doses de brown sugar, d'après mon calcul, on fait un kilo de brown sugar.
14:17Un kilo de brown sugar, il veut dire où?
14:20Un kilo, on fait des livres, des livres, je pense, 500, on fait 1000 grammes.
14:231000 grammes de brown sugar, et en général, avec un gramme, on peut avoir 30 doses,
14:29et un consommateur, un consommateur, il prend au minimum, on va dire, 3 doses par jour.
14:36Alors, si on prend, on a 50 000, c'est un exemple, si on prend 50 000 consommateurs de brown sugar,
14:41enfin, si on peut prendre les fictifs, on fait 150 000 doses par jour,
14:46on fait 4 500 000 doses par jour, donc 3, un kilo là, les peanuts.
14:52Donc, pour répondre à nos questions, tout le monde sait, il paraît gros en termes quantitatives,
14:58mais en termes de consommation, parce qu'il y a une grosse demande par rapport à ce produit-là.
15:04Et nous, les jeunes, quand on est sur le terrain, surtout quand on est sur le terrain,
15:08et qu'ils tournent vers eux peut-être pour le traitement,
15:10mais les parents aussi, qu'ils ont une table de la porte au niveau du santé de risque à Goumani,
15:15qu'ils ont trouvé les jeunes, c'est plus synthèse même, ou bien les autres, la drogue, s'ils ont intéresse eux ?
15:20On connaît la substance illicite, la substance illicite la plus consommée dans nos pays,
15:25que ce soit mondial, c'est le cannabis.
15:27La substance la plus consommée, c'est le cannabis, c'est un phénomène mondial, c'est un phénomène national.
15:31Mais ne pas mettre le cannabis pareil, comme on a dit, avec l'héroïne, avec le synthétique,
15:37parce qu'il y a une substance pas pareil, en termes de dangerosité.
15:40Donc, on va mettre le cannabis à un côté.
15:42Donc, la drogue la plus consommée actuellement, pas bien jeune, demeure,
15:47donc, les drogues de synthèse, comme une mauvaise cause de drogue de synthèse,
15:51mauvaise cause surtout, bien une substance cannabinoïque,
15:53c'est-à-dire une substance qui, a priori, imite le THC naturel qu'il y en a dans le cannabis.
16:00Mais ça, c'est un type de la drogue de synthèse, nous ne pas oublier aussi,
16:06qui, donc, là-dessous, fait nous aussi faire une saisie de nitazène,
16:12qui est une autre, la drogue de synthèse, de bien une opiacée,
16:15qui est plus fort, qui est une substance qu'on appelle la fin d'année,
16:18il y a une substance, une tranquillisante qui nous servie pour apaiser les animaux qui en colère,
16:27donc, c'est une substance-là, donc, c'est-à-dire, quand il fait un dépistage au niveau phérencique,
16:33il y a trouvé dans beaucoup de ces mêmes substances-là,
16:35et dans ces mêmes produits qu'on a bien mentionné,
16:37c'est pour vous dire que nous avons aujourd'hui une variété de même substances
16:41qu'on a bien consommées, et par rapport à la drogue synthétique,
16:45et nous connaît dans la drogue synthétique, il y a beaucoup de substances qui contiennent quotidiennement,
16:51donc, là, il y a un effet toxique, voire fatal, on comprend, là.
16:55Justement, moi, tu peux demander, nous, qui fait un libomassé,
17:00et deuxième, qui fait, nous trouvons, à l'époque, nous trouvons des zombies,
17:04nous trouvons des toxiques, comme un zombie,
17:07parfois, nous trouvons des réactions, qui nous-mêmes, nous ne pouvons pas comprendre,
17:10qui fait les réagir comme ça, qu'est-ce qui explique ça?
17:13Non, mais ma réaction est expliquée, parce qu'il y a une substance qui est dans la danse,
17:16et une substance qui est différente, qui nous-mêmes, nous ne pouvons pas connaître,
17:19qui est dans la danse, et une substance qui,
17:21il y a des tas de choses qui relèvent du domaine de poison,
17:26des choses qui, normalement, ne nous pas servir pour mettre dans l'écho, on comprend?
17:29Alors, le fait qu'il y ait une variété de substances négatives, toxiques,
17:33alors, et quand il y a automatiquement les mêmes médecins sur l'écho,
17:36sur l'écho, il y a différentes réactions, parce que vous connaissez,
17:38c'est ce qu'on a dit, et un du monde qui a un problème de drogue de synthèse,
17:44il vient vers un centre, il vient à l'hôpital, il vient à l'hôpital de psychiatrie.
17:48Il peut dire avec son médecin qu'il vient d'une série de problèmes,
17:51donc le médecin, il peut donner un traitement symptomatique par rapport à la problématique qu'il vient.
17:56Tandis qu'un du monde, il prend l'héroïne, nous connaît par rapport à un opiacé,
18:00l'héroïne qu'il vient faire.
18:01Un du monde, il dit, il fait une overdose par rapport à un opiacé qu'il vient prendre,
18:05il vient de l'hôpital.
18:05Là-bas, il vient de l'administrer, par exemple,
18:09l'analoxone qui ne vient pas s'appeler sur la vie.
18:11Donc, c'est pour vous dire, la variété de ce produit-là fait que,
18:15je vous dis, le produit-là est autrement toxique.
18:17Après, ce qui est arrivé, il vient de l'hôpital,
18:19c'est parce qu'il y a une substance qui est normalement légale,
18:24qui est disponible dans la société,
18:26qui vient du monde servir,
18:27un précurseur qui vient du monde servir pour mélanger avec ce produit qui est importé,
18:31qui sortit essentiellement, soit la Sine, soit du sous-continent indien,
18:35mais ça, il vient de l'hôpital.
18:37Donc, quand il vient de l'hôpital, il vient de mélanger avec une série de substances qui sont disponibles ici.
18:43Après, évidemment, il n'est pas expliqué pour ce prix bas,
18:46il vient de l'hôpital, pour ne pas attirer beaucoup de jeunes.
18:49Le deuxième, c'est parce qu'il y a une quantité de ce produit-là.
18:53Alors, quand il vient de l'hôpital, il vient de l'hôpital synthétique,
18:55parce qu'il n'est pas connecté dans la dent,
18:56donc automatiquement,
18:58toute une substance qui nous prend,
18:59il vient de l'hôpital,
18:59le système de nerveux central,
19:00il vient de l'hôpital,
19:01quand on prend des produits toxiques,
19:03mais automatiquement, il ne va pas être donné
19:04qu'il vient de trouver un dit mot,
19:05on fait un mention de talent,
19:06on fait un adjectif,
19:07on le trouve en tant que zombie,
19:09il vient de gagner des légions,
19:11il vient de faire hallucinations,
19:12il vient...
19:13Donc, c'est...
19:14Il vient de l'hôpital,
19:15il vient de l'hôpital,
19:15et il vient de l'hôpital,
19:16il vient de l'hôpital,
19:16il vient de l'hôpital,
19:16il vient de l'hôpital,
19:18il vient de l'hôpital,
19:18il vient de l'hôpital,
19:20il vient de l'hôpital,
19:20il vient de l'hôpital,
19:20il vient de l'hôpital,
19:22D'accord.
19:22Monsieur Miranda,
19:23nous, on ne peut pas dire
19:24beaucoup de choses,
19:25à peu près,
19:25combien il était ?
19:27Parce que ça va être
19:27de mettre l'accent,
19:28quand il arrive un moment
19:29où il vient de la dose,
19:30où il vient de l'hôpital,
19:32pour ce que...
19:32Bon, on ne peut pas faire
19:33marketing la drogue synthétique,
19:34évidemment.
19:35Mais écoutez,
19:36normalement,
19:37quand synthétique
19:37est rentrée dans le pays
19:39en 2013,
19:40le pocket se vendait
19:41à 100 roupies.
19:43Et là,
19:43Anecdotalement, on dit qu'il est disponible à partir de 50 roupies, voire certaines régions un peu moins.
19:53Automatiquement, 50 roupies, on connaît des jeunes pour les autres ressources ensemble,
19:57les autres astuels, les drogues synthétiques, et les autres familles, les autres caves,
20:02ils gagnent un certain nombre de peuvent.
20:04Mais une seule disponibilité, c'est aussi un facteur qui est expliqué aussi.
20:07Parce qu'il faut bien comprendre, il est propre à l'adolescence pour la richesse de la sensation,
20:13il est propre à toute l'adolescence.
20:15J'ai envie de transgresser l'interdit, j'ai envie de faire des sensations,
20:18mais malheureusement, j'ai de faire des fausses sensations.
20:19Justement, ça me t'allait nous proposer de faire des pérots là.
20:21Il y a des sensations saines, mais malheureusement, j'ai de faire des fausses sensations.
20:24Mais ça m'a, vous connaît, un effet très important, parce que très souvent,
20:27quand on fait un débat, on discute, on a une tendance pour focaliser sur la drogue.
20:31Et moi, chaque fois, on me dit qu'on nous cause une problématique de drogue,
20:33on nous a mentionné trois facteurs qui sont pivotales de rôti.
20:36On me dit qu'il y a des fausses de la drogue, on me dit qu'il y a des fausses de l'environnement.
20:40Parce qu'il y a un effet qui est très important, on me dit que la majorité des jeunes dans nos pays
20:43ne prennent pas aucune substance.
20:46C'est vrai qu'il y a beaucoup de jeunes qui prennent,
20:48donc il y a beaucoup de jeunes qui sont plus vulnérables pour faire l'expérience avec ces mêmes produits-là.
20:55D'où la raison qu'il fait, on me dit qu'il y a une prévention ciblée,
20:58il y a un gros travail, vous connaît.
21:00On me dit prévention, prévention.
21:02Mais cette prévention, elle n'est même pas pour avoir un changement comportement.
21:04Parce que si vous faites un travail d'éducation, un travail de prévention,
21:07mais si dans une région, par exemple, ça dit qu'il y a des informations libérantes dans l'environnement
21:11qu'il y a entouré avec mon sang, mon sang la drogue.
21:14Si dans la case, il y a aussi une famille dysfonctionnelle,
21:17maman, papa, séparés, si dans la case, il y a une tas de problématiques,
21:20toute l'information qu'il y a, pas de l'information qu'il y a, pas de l'information qu'il y a,
21:25il n'y a pas de aucun effet parce qu'il y a besoin de faire face à des autres dysfonctionnements
21:29désalent au niveau sur l'environnement naturel, de ce environnement élargi,
21:34la communauté, plus sur l'environnement qu'il y a resté.
21:37Donc, il est bien l'or, parce qu'il est au palais, dans le monde en général,
21:42parce qu'il y a tellement d'événements qui sont passés,
21:46qui sont passés à nous, et le monde a perdu le goût de vivre.
21:50Le monde a perdu le goût de vivre.
21:53Et tout ça a expliqué qu'il y a une jeune, plus de vulnérabilité qu'il y a d'autre.
21:56D'accord. Nous rappelons de ce matin sur les ondes de Top FM,
22:00nous faisons la drogue et nous faisons l'action sur nos jeunes.
22:03Au début de l'émission, nous avons gagné l'occasion d'écouter un témoignage,
22:06un jeune qui prend ce courage, une témoignée.
22:09Et surtout, ce qui est intéressant, c'est qu'il y a une choisie à pousser la donne.
22:12Il commence ce traitement au centre Idrissa Goumani.
22:15Et là, ce matin, M. Imran Danou qui est avec nous, faisons sur le sujet.
22:19Si vous avez une question, vous pouvez téléphoner au 213 7777.
22:23Laissez-moi aussi vous rappeler que l'émission est également live sur notre page Facebook.
22:26Top FM au chausset.
22:29Correct ou pas correct, l'autre Top FM.
22:32Libon connaît.
22:56Emtel, feel free.
23:17Sous-titrage Société Radio-Canada
23:24Correct ou pas correct, l'autre Top FM.
23:37Libon connaît.
23:39Correct ou pas correct, l'autre Top FM.
23:51Libon connaît.
23:53Libon connaît.
23:54Mes chers amis qui sont ravages, la drogue peut faire parmi nos jeunes et surtout comment la société, comment nous cavons.
24:01Alors, si vous avez une question, si vous avez une envie d'intervenir, vous pouvez téléphoner au 213 7777.
24:07Et là, nous rappelle que dans les studios de Top FM ce matin, nous avons M. Imran Danou du centre Idrissa Goumani.
24:13Alors, disons-nous un type au niveau du centre Idrissa Goumani.
24:17Comme un jeune pétourne viergeuse ou peut-être c'est d'abord les parents.
24:21Alors, comment ça passe au niveau du suivi des traitements?
24:24Bon, tout d'abord, un bon service qui nous est offert, c'est-à-dire ces désintoxications médicales non résidentielles.
24:32C'est-à-dire tout le monde qui a un problème de dépendance aux drogues, que ce soit la cigarette, l'alcool, l'héroïne ou bien la drogue synthétique.
24:43Donc, s'il tape nous la porte, il nous est offert une désintoxication gratuite.
24:48D'accord?
24:49Alors, mais malheureusement, nous avons besoin de déployer ces affaires pour avoir un traitement de rôtie.
24:54Depuis quelques temps, nous peinons à nos dispositions, malheureusement,
24:59pour une décision qui est au ministère de la Santé de l'ancien gouvernement qui nous prend.
25:03Il y a un médicament qui nous t'est servi, qui t'est fait sous-preuve, qui nous appelle la codine phosphate,
25:09qui c'est un expert, dire par evidence base.
25:12Mais malheureusement, ce médicament-là n'est plus à nos dispositions.
25:14Nous t'est servi ce médicament-là essentiellement pour faire désintoxication,
25:19donc du monde qui t'est fait prendre l'héroïne.
25:21D'accord?
25:22Alors, donc, nous faire désintoxication,
25:26dépique ce médicament-là, afin d'enlever avec les autres substances qui sont disponibles,
25:31qui nous servent.
25:32Alors, donc...
25:34Le résultat est le même?
25:35Il n'est pas pareil.
25:36Résultat certainement.
25:37Nous ne pouvons même moquer le résultat certainement.
25:39Il n'est pas pareil parce qu'il n'est pas bien une molécule qui est importante.
25:42D'accord?
25:42Il n'est pas bien une molécule qui est importante.
25:44Mais le fait qu'on va gagner une molécule qui est importante,
25:46c'est la rétention de sa benjimune-là, libyen, moins.
25:50D'où la raison pour laquelle, moi, pensez,
25:53une benzaféère qui est la nouvelle agence pour les inférences,
25:56c'est justement révoir toute la panoplie de traitements disponibles au benjimune
26:00qui a un problème de drogue.
26:01Vous connaissez qui, dans ce plan, se tient à ça.
26:03Donc, nous nous sommes demandés, par exemple,
26:05benjante, des intoxications en ambulatoire.
26:07Nous nous sommes demandés à ce que benjante nous gagne,
26:10par exemple, la suboxone, qui est un médicament de substitution
26:14pour ne pas faire des intoxications.
26:16C'est vrai que la suboxone est disponible dans Maurice Messieman,
26:19libé, administré, donc, par le ministère de la Santé.
26:23Donc, par rapport à vos questions,
26:25donc, c'est qu'il nous fait des intoxications,
26:26un dimoune qui vient de côté de nous.
26:28Nous, tout d'abord, comme tout dimoune qui nous joigne pour la première fois,
26:32plus important que tous, c'est-à-dire,
26:34c'est la mise en confiance,
26:35l'établissement d'un rapport entre nous avec cette dimoune-là,
26:38parce qu'il n'est pas obligé qu'il n'est pas évident
26:40pour un dimoune qui a un problème de drogue
26:42avec sa famille pour faire le déplacement
26:44pour vivre dans un centre,
26:45parce qu'il m'a pensé n'importe qui dimoune,
26:47pas accepter pour dire qu'il y a un problème.
26:50Et dessus à quoi, problématique la drogue,
26:52d'autant plus qu'il y a un problème qui dimoune
26:54en un regard bien discriminatoire,
26:56stigmatisant vis-à-vis des usagers de drogue.
26:58Donc, quand nous nous finissons,
26:59faire un établissement d'un rapport entre la personne,
27:01nous faire un entretien motivationnel,
27:04nous faire un recueil d'informations
27:06pour nous comprendre son problématique.
27:07Quand nous nous finissons,
27:09faire un entretien avec lui,
27:10nous faisons un entretien avec l'entourage immédiat,
27:12si il est bien accompagné,
27:13pas un membre de la famille.
27:14Après, Léla, quand nous nous finissons
27:16recueillir bien l'information,
27:17Léla nous développe ce qu'on appelle un pays,
27:19un plan d'intervention,
27:20en collaboration avec la personne.
27:22Et ce plan d'intervention-là,
27:23il est décliné en différentes façons.
27:26Première étape, c'est-à-dire,
27:27il est obligé de faire une désintoxication,
27:28c'est-à-dire, il est obligé de donner un médecin
27:29qui peut assister cette situation,
27:32prescrire les médicaments.
27:34Et le traitement est capable de durer
27:36quatre semaines à six semaines
27:37en fonction de la personne.
27:39Léla, quand nous nous finissons,
27:40bon, il est possible, des fois,
27:41quand nous nous faisons un assessment,
27:42nous trouver qu'il dit,
27:43par rapport à cette situation,
27:44par rapport à cette consommation,
27:45nous ne sommes pas capables
27:46d'adresser le problème qu'il nous a.
27:47Léla, nous nous faisons reféalir,
27:48par exemple, vers l'hôpital,
27:50nous nous faisons reféalir
27:51les autres modalités de traitement.
27:54Par exemple, s'il y a un djimoune
27:55qui a un problème de dépendance à l'héroïne,
27:56peut-être nous pouvons reféalir
27:58vers la méthadone,
27:59qui est le médicament de ces petits tichons.
28:01Mais sinon, s'il y a un djimoune là,
28:03comme à dire,
28:03il décide pour rester contre nous.
28:04Léla, quand il finit le détox,
28:05nous faisons un programme de réhabitation pour lui.
28:08C'est-à-dire être libre pour le capable
28:09de réfonctionner,
28:10parce que quand il rentre dans la drogue,
28:12il n'est plus bien fonctionnel.
28:14On a beaucoup de problématiques
28:15au niveau de la famille, etc.
28:16Nous faisons un programme de réhabitation,
28:19puis quand il finit réhabité,
28:20là, nous attaquons d'autres affaires
28:21qui nous appellent la réinsertion sociale.
28:23Voilà, basiquement, un petit peu,
28:25comment ça se fait.
28:27Ça, c'est aussi,
28:29mon rédier, mon rédier aussi,
28:31c'est qu'il est important.
28:33Le traitement,
28:34il y a une partie minime
28:36de la réhabitation de la personne,
28:39mais c'est vrai,
28:39il y a un élément bien, bien important.
28:41D'où la raison pour laquelle
28:42nous insistons beaucoup
28:43pour nous qu'on a fait
28:43un médicament de qualité.
28:46Parce qu'il faut bien comprendre
28:46qu'il n'y a pas tout le monde
28:47qui est intéressé
28:48pour rentrer sur le programme de la méthadone.
28:50Le programme de la méthadone
28:51s'est introduit dans nos pays en 2006.
28:53C'était surtout pour juguler
28:55l'incidence galopante du VIH
28:57parmi les gens et les drogues.
28:58À l'époque, en 2006.
29:00Mais malheureusement,
29:02c'est qu'il est arrivé
29:02au fil des années,
29:03il y a du monde
29:04qui est rentré sur la méthadone
29:04depuis 2006,
29:05qu'ils ont encore la méthadone.
29:06Oui, justement.
29:07Alors, c'est qu'il est important.
29:08L'idée de base
29:09quand la méthadone s'est introduite,
29:11à l'époque,
29:11c'est un protocole qui est bien défini,
29:12c'était après six mois
29:14qu'il y a du monde
29:14qui rentre sur la méthadone.
29:15Il a fait une évaluation.
29:16Vous connaissez,
29:16si il n'y a pas du monde
29:17pour rester sur la méthadone,
29:18pas pour rester sur la méthadone.
29:18C'est vrai qu'il y a un certain
29:19du monde
29:28Mais là, je pense
29:29que le programme de la méthadone
29:30aussi,
29:30il a besoin de revoir
29:31le programme de la méthadone.
29:32Mais je ressaisis
29:34la balle au bon
29:35pour faire une demande
29:36à la nouvelle agence
29:38que des médicaments appropriés
29:41de désintoxication
29:43soient mis à la disposition
29:44de un centre first liner.
29:45Parce qu'il a besoin de comprendre,
29:46il y a beaucoup d'immunes
29:47qui préfèrent
29:48un centre désintoxication
29:51qui est gérée par un ONG.
29:53Parce qu'il a besoin de dire
29:54où il y a des affaires.
29:55C'est qu'ils ont dit
29:56profil de la consommation
29:57de la droquine sans Z.
29:58Je veux dire,
29:58je veux dire,
29:59nos consommateurs
29:59passent à des gens
30:00vulnérables
30:01dans une région défavorisée.
30:03Je veux dire,
30:03nos consommateurs
30:04sont des intellectuels
30:06qui sont des maîtrises
30:07qui ne font pas partie
30:09de la fonction publique.
30:10Il y a beaucoup
30:10de fonctionnaires
30:11qui viennent suivre
30:11le traitement avec nous.
30:13Alors, je préfère
30:13venir avec nous
30:14qui suivent un traitement
30:14qui rentre loin du programme
30:16parce qu'il y a là-bas
30:17pour un arsenal
30:18pour rentrer dans le système.
30:20Donc, si on va dire
30:22nous gagnerons
30:22des médicaments,
30:24des bons médicaments
30:25définitivement,
30:26évidemment,
30:26la qualité de la réhabilitation
30:28pour intéressant.
30:29C'est un appel
30:30qui m'aublé faire.
30:31On lance un type
30:32et des balles
30:34au méthadone.
30:35Justement,
30:35le système est à revoir.
30:37Et les autres
30:37qui sont dans le domaine,
30:38qui est-il pour préconiser?
30:39Qui est-il pour préconiser?
30:40Non, mais déjà,
30:40déjà, nous faisons
30:42un médicament
30:43pour qu'on risque
30:44le méthadone à vie.
30:45Comment dire?
30:45Dépendant des cas,
30:46c'est un médicament
30:47pour peut-être
30:47le médecin.
30:48Nous faisons un médicament
30:49quand il rentre le médecin.
30:50Vous connaissez le méthadone
30:51ou le cancer ?
30:51Il défaçon.
30:52Une façon,
30:52c'est-à-dire
30:53de maintenir le médicament
30:54la loi de sa substance.
30:55Vous connaissez?
30:57Déjà,
30:57l'addiction,
30:58c'est un produit chronique.
30:59Un médicament qui est diabétique
31:00parce qu'il se pancréa,
31:02ce n'est pas
31:02des sécretacés insulines
31:03pour baisser sa glycémie.
31:04C'est un problème chronique.
31:05La maladie,
31:05c'est un problème chronique.
31:06C'est un médicament
31:06qui prend un médicament
31:07à vie.
31:08Parce qu'il prend un diabétique,
31:09ce n'est pas
31:09ce médicament,
31:10ce insuline,
31:11ce glycose,
31:11pour monter automatiquement.
31:13Mais pour cet endymoune
31:14qui développe
31:16une chronicité
31:16par rapport
31:17à la dépendance
31:18aux opiacés,
31:19il y a un choix
31:19pour obliger
31:20tout le temps
31:20pour le méthadone.
31:21Mais pas tout.
31:22Par exemple,
31:22un jeune de 18 ans,
31:2419 ans,
31:24il n'est pas
31:24qu'il ne peut pas
31:24mettre le méthadone.
31:26Parce qu'il y a un side effect
31:28de la consommation
31:29du méthadone,
31:30c'est une baisse
31:31de libido,
31:32une baisse
31:32du désir sexuel.
31:33On ne peut pas
31:33mettre un jeune
31:34de 18 à 20 ans
31:35qui a été l'âge
31:36reproductif
31:36pour faire les
31:37comme on dit
31:37une baisse de libido.
31:38Donc,
31:39nous faisons faire les
31:39au cas par cas.
31:40Et donc,
31:41ce qui m'obé dit,
31:42c'est un médicament
31:43qui développe aussi.
31:44Je vais dire
31:45une bonne première façon
31:46de faire les
31:46par maintenance,
31:47maintenir du monde.
31:48Une autre façon
31:49de faire les méthadones
31:50comme un agent
31:50des intoxications
31:51qui malheureusement
31:52nous n'est pas fait.
31:52Enfin,
31:52pas connaître
31:53ce qui m'obé fait
31:53parce qu'il n'est pas
31:54trop qu'il n'est pas
31:54que le ministère
31:55de la Santé
31:56fait.
31:56Il y a un problème
31:57de la suboxone
31:57et il y a un problème.
31:59Alors,
32:00ce qui est important,
32:01nous devons aussi
32:02désintoxiquer
32:03même du monde
32:03qui a envie
32:03de sortir
32:04sur la méthadone.
32:06Alors,
32:06là aussi,
32:06pareil,
32:07ils m'ont fait un appel
32:07à une nouvelle agence.
32:08Là aussi,
32:09il y a beaucoup
32:09de mettre l'eau
32:10là-dedans.
32:11C'est une cause
32:11de la méthadone,
32:12une cause aussi
32:12de la distribution.
32:14Je disais tantôt
32:15qu'un toxicomane
32:17c'est un malade,
32:18la toxicomane
32:19c'est un problème
32:19de santé publique.
32:21Si on a un problème
32:21de la drogue,
32:22je ne pense pas
32:22où tu as envie
32:23de gagner le traitement
32:24devant la station de police.
32:25Parce que tout le monde
32:26peut connaître
32:27Dorothée Imran
32:28nous fait telle place
32:29mais nous voulons
32:30prendre nos méta.
32:30Tout le monde
32:31peut dire
32:31que nous voulons
32:31rien,
32:32etc.
32:33Donc,
32:33il y a une décentralisation
32:35qui ne commençait
32:35par le ministère
32:37de la Santé
32:37de l'ancien gouvernement
32:39quand il commence
32:40d'une méthadone
32:42dans un centre médical
32:44dans un dispensaire
32:46et donc nous
32:47ce qu'il nous a demandé
32:48nous a demandé
32:48à ce que
32:49ça soit décentralisé
32:51totalement
32:52pour qui
32:52comment dire
32:53donc la dispensation
32:56de la méthadone
32:57de faire
32:58dans un cadre médical
32:59avec un accompagnement.
33:00Parce qu'il m'a besoin
33:01quand même
33:02dire qu'il y a beaucoup
33:03du monde
33:03qui nous préparait
33:04pour rendre la méthadone
33:04une fois que je rentre
33:05le méthadone
33:06correct
33:07je rentre le Sadoza
33:08je coupe tout contact
33:09avec le centre
33:10malgré tout suivi
33:10qu'il est capable
33:11de faire
33:11mais je gagne
33:12une substance.
33:13Après,
33:13il est important aussi
33:14de nous comprendre
33:14le méthadone
33:15c'est une modalité
33:16de traitement
33:17donc du monde
33:18il y a besoin
33:19de béquilles
33:19pour le fonctionner
33:20il y a rien de fonctionner
33:22tandis qu'il y a
33:23du monde
33:23qui ne choisit
33:24pour vivre
33:24la vie
33:24sans la drogue
33:26il y a une autre
33:26modalité
33:27donc le traitement
33:28il y a une réponse
33:31de la lutte
33:32contre la drogue
33:33parce qu'il y a une prévention
33:35c'est une réponse
33:36il faut que la réponse
33:37soit bien faite
33:39et il ne faut pas
33:40faire des affaires
33:40compliquées
33:41simplement
33:42c'est qu'il nous besoin
33:42nous besoin
33:43de bon leadership
33:45dans ce domaine
33:46avec la nouvelle agence
33:48avec le nouveau
33:50chief executive
33:51qui comprend
33:53la problématique
33:54parce qu'il aime
33:55l'origine
33:56du lancement
33:57de la méthadone
33:58donc je pense
34:00qu'il y a un grand coup
34:02de corps
34:02que nous pouvons
34:03mettre là-dedans
34:03d'accord
34:04on peut causer
34:05la drogue
34:05ce matin
34:06et surtout
34:06la jeune
34:07là on cause
34:07le traitement
34:08laisse nous faire
34:09une courte pause
34:10après on peut causer
34:10un petit peu
34:11l'orban
34:11rechute également
34:13et on peut trouver
34:14aussi qu'on peut mettre
34:14beaucoup l'accent
34:15on a beaucoup de confiance
34:16dans le National Agency
34:18for Drug Control
34:19un ADEC
34:19on peut causer
34:21aussi l'orban
34:22une courte pause
34:23correct
34:25pas correct
34:25l'or top FM
34:26Liban connaît
38:22sans la drogue, il est important qu'il
38:24se fasse un bon programme de
38:27réhabitation. Et réhabitation, il a différentes dimensions.
38:29Il y a la famille,
38:31il y a l'environnement
38:32à côté de l'est resté. Et parce qu'il nous
38:34bien comprend, il nous bien comprend, c'est qui
38:35aussi, sa maladie, là. Il nous bien comprend la maladie,
38:38c'est qui, ben, la sensation
38:40qu'il a du monde, il a gagné
38:42quand il a consommé un produit, ça a une sensation
38:44là, quand il a suivi un traitement,
38:46elle a une sensation là, ben, ben, ben,
38:48sa mémoire là, sur l'hippocampe,
38:50dans ce cerveau, il peut baisser,
38:52tchiqui, tchiqui, tchiqui, mais c'est ma, c'est
38:54comment dire, il est stressé, il n'est pas
38:56mené un avis positif, il n'est pas committé un
38:58drug-free lifestyle, il n'est pas
39:00développé, ben, ben, bon
39:01encadrement et aptitude
39:04psychologique, il risque,
39:06il risque, par exemple, de recommencer à prendre le produit.
39:08Par exemple, un gros problème qu'il nous a gagné
39:09avec, ben, camarades dans la réhabitation.
39:12Vous connaissez, la majorité, ça a un camarade là?
39:14Nous disons tout en anglais, c'est ben,
39:15goul, ben, des gens qui rentrent, ça, aussi, dans la prison.
39:18Vous connaissez, quand on a une offense criminelle,
39:20quand on a une offense, ça rentre dans le certificat
39:22de caractère. Donc, on fait un programme
39:24de réhabitation, on dit, mais on a un travail,
39:26comme on a dit, nous, on a un certificat
39:28de caractère, dans le fonds PF-19,
39:30on a un tas, en France,
39:32mais vous connaissez ça en lui-même,
39:34on dit, mais, on a une offense pour avoir un travail,
39:36pour avoir un travail, ça en lui-même,
39:37il est capable, un facteur déclencheur,
39:39qui est capable d'amener pour reprendre
39:41sa produite. Donc, la réchute,
39:43est un élément très important,
39:46qui, tout le monde, ça, on a
39:47aguerri, ça, je fais,
39:49mais, comme on dit,
39:51donc,
39:54malheureusement,
39:55si, comment dire,
39:57il y a une adhérence de
39:58clients, de patients,
40:00à ce programme, ce n'est pas régulier,
40:02donc, ça, ça peut amener un décalage
40:04dans ce cheminement, parce que,
40:06si je sais de prendre la drogue,
40:07il n'est pas assez, mais il faut faire
40:08ce programme de réhabitation.
40:10M. Miranda, nous, tu parles aussi,
40:11cause l'autre thème de la journée mondiale
40:14contre la drogue
40:16qui te mette l'accent lors de la prévention.
40:19L'importance d'investir dans la prévention.
40:21Définitivement, la prévention,
40:23il y a une autre réponse d'une cause
40:24traitement, d'une cause réhabilitation,
40:27d'une cause de la prévention de la riche.
40:29Mais une cause, ce qui est plus important,
40:32plus important.
40:32Quand on fait le traitement, le traitement-là veut dire
40:34la personne est déjà dépendante, on a besoin de t'y aller là-dedans.
40:37Quand on fait t'y aller là-dedans, on a besoin de réhabiliter
40:39lui, faire sa réhabilitation, faire sa réinstallation sociale
40:41et s'y tuer qu'il n'y paraît pas rentrer là-dedans.
40:43Ça, c'est même un travail en aval.
40:44Mais en amont, nous devons instituer
40:47que la personne, comment dire,
40:49nous faire ce que la diminution
40:53ne peut pas faire l'expérience avec le produit.
40:55Ou bien, nous rétorte l'initiation
40:57aux drogues. Et quand on dit prévention,
40:59donc, on dit une série de belles activités
41:01pour faire ce qu'il m'a fait mentionner.
41:03Mais la prévention, il est très important
41:05parce que la prévention, il coûte
41:07moins que le traitement et la réhabilitation.
41:09Je ne sais pas si tu me trouves ça dans un journal
41:11récemment, tu m'étais qui m'occupe
41:13pour chaque personne qui m'écrase
41:16la zone dans la prison, je m'occupe
41:17ce coût dure. Par jour,
41:19il y a des 192 roupies, pas des 190 roupies
41:21où tu n'es pas 30 jours.
41:23Il y a un coût. Il y a un coût.
41:25Le traitement, il y a un coût.
41:26Donc, tout ça, les médicaments
41:28qui nous servent, il y a un coût.
41:29Donc, nous avons investi dans la prévention.
41:31Et pas n'importe qui prévention,
41:32c'est-à-dire pas n'importe qui prévention,
41:34mais c'est une prévention qui est basée sur l'évidence.
41:36Vous connaissez, je dis,
41:37les standards internationales
41:39qui ne développent pas au bureau des Nations Unies.
41:41Je dis, comme ça, par exemple,
41:42qu'il n'amasse pas morser.
41:43Vous trouvez beaucoup de monde en cours
41:44pour faire la morser.
41:45Juste c'est notre truc.
41:46Nous, nous ne participons dans
41:47Juste c'est notre truc.
41:48Mais il n'est pas morser.
41:49Il n'est pas efficace.
41:50Je dis,
41:52bien expert dans le domaine,
41:54mais je dis, comme ça,
41:54il y a un coût qui est à faire
41:55qui morser.
41:56Par exemple,
41:57donnez-vous l'information,
41:58la drogue,
41:58la drogue fait ça, fait ça, fait ça,
42:00fait ça.
42:01Oui, il y a un coût qui est à faire ça,
42:06compétence de jeunes, par exemple.
42:08Je vous dis,
42:09dans Maurice,
42:10il y a des programmes
42:11qui sont basés dans l'évidence
42:12qu'il est administré.
42:14Un, on appelle le
42:15Drug Connected,
42:16Drug Use Prevention Programme
42:18qui est fait dans nos pays
42:20depuis 2019.
42:22Je dis,
42:22tous les enfants de Great Aid
42:25de l'établissement secondaire
42:27sont exposés à un programme
42:30de School Based Prevention
42:31qui est basé dans les 12 modules.
42:33D'accord.
42:34Est-ce qu'ils ne savent faire
42:36comment ils sont dans nos collèges?
42:37Je ne suis pas trop bien connu,
42:38mais je pense que peut-être
42:39certaines collèges vont faire ça.
42:40En tous les cas,
42:40nous, nous allons faire ça
42:41auprès de nos collèges privés.
42:43Après, nous avons un autre programme
42:44qui nous appelle
42:45Family United
42:45pour la famille,
42:47pour le renforcement de la famille,
42:48pour le renforcement de la relation
42:50qu'il y a entre les enfants
42:51avec les parents.
42:52Donc, nous avons besoin d'investir
42:53dans la prévention,
42:54mais aussi,
42:55quand nous disons prévention,
42:56Dorothée,
42:57souvent,
42:58nous allons dire,
42:58souvent,
42:58nous allons dire,
42:59prévention,
43:00nous allons dire aussi
43:01des alternatives,
43:02qui est des alternatives
43:03qui nous donne des jeunes,
43:04aujourd'hui,
43:06prévention,
43:07il y a aussi
43:08un développement communautaire
43:10dans une région.
43:11Si un djoumoun
43:12grandit dans une région
43:13autour de lui,
43:15il y a de la drogue,
43:15autour de lui,
43:16il y a de la précarité,
43:17autour de lui,
43:18il y a de la misère,
43:19c'est un message de prévention,
43:21là,
43:21nous allons gagner l'impression
43:21qu'il n'y passe sur la tête.
43:23Donc,
43:23c'est-à-dire,
43:23vous trouvez,
43:24c'est-à-dire,
43:25combat,
43:26quand on dit combat contre la drogue,
43:27c'est-à-dire,
43:28combat contre la misère,
43:29c'est-à-dire,
43:30prévention,
43:30il y rentre comme un component là-dedans.
43:32D'où la raison
43:32pour laquelle,
43:33donc,
43:34la NEF,
43:35National Social Inclusion Foundation,
43:37je vais déshabiller
43:37de la ONG,
43:38mais vous savez,
43:39quand on va développer
43:39une politique de prévention,
43:40il faut qu'il y ait
43:41tout,
43:41tout,
43:42tout,
43:42tout,
43:42tout,
43:42tout,
43:42tout,
43:42tout,
43:42tout,
43:42tout,
43:43tout,
43:43tout,
43:43d'ailleurs,
43:44la NADEC,
43:45par exemple,
43:45il va mettre
43:45tout le ministère
43:46concerné là-dedans,
43:47parce qu'il ne peut pas
43:48avoir raté ce large.
43:50D'accord,
43:50ben voilà,
43:51malheureusement,
43:51on est galoupé bien vite,
43:53nous,
43:53on connaît beaucoup à dire,
43:54mais quand même,
43:54le mot de la fin,
43:56M. Mrandanou.
43:56Le mot de la fin,
43:57c'est qu'il nous a besoin
43:59beaucoup de monde
44:00pour amener
44:01à ce combat-là.
44:02Moi,
44:03c'est un acteur
44:03de la demande réduction,
44:04pas dans le domaine
44:05de la police,
44:06etc.
44:07On connaît,
44:07c'est qu'il nous a à peu près,
44:09mettons,
44:10il y a à peu près
44:10100 000,
44:11100 000 à 150 000
44:12consommateurs problématiques
44:13dans nos pays.
44:15Si vous prenez tout un centre
44:16qui travaille directement
44:17avec ça,
44:17il y a à peu près 100.
44:19Il n'est pas possible
44:20un ratio de 100
44:21à 100 000.
44:22D'où la raison
44:23pour laquelle
44:23nous avons investi.
44:25Déjà,
44:25nous avons investi,
44:26professionnalisme
44:27dans le monde
44:27qui travaille là-dedans,
44:28améliore aux autres
44:28conditions d'emploi,
44:31de nos autres
44:31bien formations
44:31bien pointues.
44:33Après,
44:33nous avons situé
44:34qui nous a pli
44:35beaucoup de monde
44:35engagé parce que
44:36c'est un groupe
44:37de monde qui est engagé.
44:38Arrivée dans le temps,
44:38c'est une saturée,
44:39c'est une bonne.
44:40Nous avons même nouveau.
44:41Alors là,
44:41nous avons investi
44:42beaucoup dans
44:43les ressources humaines.
44:44Et justement,
44:44tu peux faire aussi
44:45engager dans
44:46ce combat-là.
44:47Chapeau,
44:48chapeau à
44:49les médias.
44:50Par exemple,
44:51tu peux faire,
44:51les autres radios
44:52qui sont aussi
44:53pareils à travers
44:54les médias.
44:56Nous sommes conscientisés
44:57du monde
44:57par rapport
44:58à ce que nous avons
44:59notre rôle
44:59dans ce combat-là.
45:00Merci.
45:00Voilà,
45:01merci à l'équipe
45:01de Top FM
45:02qui justement
45:02peut continuer
45:03à mettre ce combat-là
45:04et essayer
45:04de faire face
45:06à un message,
45:07sensibiliser
45:08la population.
45:09Mais juste avant
45:10de nous dire au revoir,
45:10nous avons des personnes
45:11qui peuvent écouter nous
45:12comment contacter
45:13le centre Idriss Goumani.
45:15D'accord.
45:15Donc,
45:16numéro pour vous
45:17de contacter
45:17le centre Goumani,
45:18c'est 242-36.
45:20Nous trouves
45:21à la Plaine-Verte
45:22à Pau-Louis
45:23à côté
45:23du piscine
45:24municipale
45:25de la mairie
45:25de Pau-Louis
45:26et à côté
45:26de la clinique
45:27City Clinic.
45:28Nous vêtons
45:29de lundi à samedi,
45:30de lundi à vendredi
45:31de 8h30
45:32jusqu'à 4h30
45:33et samedi
45:34de 8h
45:35jusqu'à midi.
45:36Donc,
45:36contactez-nous
45:38anonymement
45:40et en toute confidentialité.
45:41Nous pouvons
45:42d'être un rendez-vous
45:42pour nous capables
45:43et d'être.
45:43D'accord.
45:44Les Moudéos,
45:45merci beaucoup
45:45M. Imran Danou
45:46pour votre participation
45:47à cette émission.
45:48Merci aussi
45:49au centre Idriss Goumani
45:51et à M. Norman
45:52qui souvent
45:53lui fait le lien
45:54avec nous.
45:55Mais voilà,
45:55merci et surtout
45:56continuez le bon travail.
45:57Chers amis,
45:57je vous souhaite
45:58de passer
45:59une belle journée
46:00à l'écoute
46:00de votre radio
46:01Top FM.
46:01Correct ou pas correct
46:04le Top FM
46:05Les bons connaît.
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