- hier
🔴 Cette semaine, Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin décryptent les manipulations médiatiques et l’emprise de l’"extrême centre" sur le service public.
📌 Sommaire I-Média 00:00 -
📰 Le dossier du jour
Patrick Cohen, symbole du journalisme militant
Alors que Stéphanie, la mère du jeune Elias, tué il y a quatre mois à coup de machette à Paris, est invitée de CNEWS, elle revient sur le traitement médiatique du meurtre de son fils notamment par Patrick Cohen. Le journaliste a sous-entendu que si Elias avait donné son téléphone, il serait encore en vie alors même que les conclusions de l’enquête n’ont pas été rendues. Pour Monsieur Cohen, la victime c’est toujours le coupable, comme à Crépol avec Thomas…
📷 L’image de la semaine
Canicule et incompétence publique et politique !
Les conseils du gouvernement brassent de l’air à défaut de nous rafraîchir : Catherine Vautrin incite à "boire de l’eau" et à se mouiller la peau et les vêtements. Sur BFMTV, Agnès Pannier-Runacher parle des dangers de réchauffement à cause de la climatisation... sous une clim, quand François Bayrou a besoin qu’on lui souffle les réponses !
💡 Les pastilles de l’info :
- La gauche voudrait contrôler le récit du réel sur l'audiovisuel !
- Louis Sarkozy sur RMC à la rentrée : et un média de plus !
- Jordan Bardella et sa rencontre pas si secrète avec Nicolas Sarkozy…
- Barbara Butch, après la Cène des JO, nommée chevalier des arts et des lettres
- Appel téléphonique Macron-Poutine : LCI entre téléphone rouge et téléphone Arabe !
- Faire un Don… à l'État ? L'étrange article de BFMTV !
🔴 Conclusion
🎙️ Portrait piquant : Apolline de Malherbe
🔗 Liens utiles :
Extraits exclusifs
Interview de la mère d'Elias : https://www.youtube.com/watch?v=0TCBUCabS68
Clash entre Patrick Cohen et Frédéric Taddeï sur France 5 : https://www.dailymotion.com/video/xy5ujk
I-Média : L’émission qui ose nommer les manipulations - Restez informés :
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Patrick Cohen, symbole du journalisme militant
Alors que Stéphanie, la mère du jeune Elias, tué il y a quatre mois à coup de machette à Paris, est invitée de CNEWS, elle revient sur le traitement médiatique du meurtre de son fils notamment par Patrick Cohen. Le journaliste a sous-entendu que si Elias avait donné son téléphone, il serait encore en vie alors même que les conclusions de l’enquête n’ont pas été rendues. Pour Monsieur Cohen, la victime c’est toujours le coupable, comme à Crépol avec Thomas…
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Canicule et incompétence publique et politique !
Les conseils du gouvernement brassent de l’air à défaut de nous rafraîchir : Catherine Vautrin incite à "boire de l’eau" et à se mouiller la peau et les vêtements. Sur BFMTV, Agnès Pannier-Runacher parle des dangers de réchauffement à cause de la climatisation... sous une clim, quand François Bayrou a besoin qu’on lui souffle les réponses !
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- Barbara Butch, après la Cène des JO, nommée chevalier des arts et des lettres
- Appel téléphonique Macron-Poutine : LCI entre téléphone rouge et téléphone Arabe !
- Faire un Don… à l'État ? L'étrange article de BFMTV !
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NewsTranscription
00:00Arriver à TVL en qualité de journaliste et intervenant, je peux témoigner que TVL, c'est du sérieux.
00:09J'ai vu par moi-même la qualité du savoir-faire des équipes, le professionnalisme du matériel, des studios et de l'organisation.
00:17Cela fait 12 ans que TVL existe, 12 ans d'expérience, 12 ans que rien ne serait possible sans nos donateurs.
00:24Certes, le modèle du don n'est pas vraiment le plus facile, mais il permet à TVL de rester libre et de produire de l'information de qualité.
00:32Les donateurs en vérité sont nos seuls patrons. Ils sont les garants et les gérants de la première chaîne alternative de France.
00:39Et cette relation de confiance n'en est qu'à ses débuts.
00:42Notre chaîne n'a jamais eu autant de vues et d'influence et entre maintenant dans une nouvelle phase de croissance
00:47qui ne s'arrêtera que lorsque nous aurons pris le pouvoir et remplacé le JT de France 2 par celui d'Élise Blaise.
00:52Alors, ceci est une invitation.
00:55Une invitation à l'audace.
00:57Soyez les pionniers. Soyez à l'avant-garde de la croissance d'une structure d'expérience qui ne fera que continuer son développement.
01:04Et ce, malgré les pressions du pouvoir et des banques.
01:08Participez dès maintenant à la croissance financière de TVL en faisant un don.
01:12Comme vous investiriez dans une action d'une entreprise patriote d'avenir.
01:17Car au moment où la presse alternative va remplacer les médias de grand chemin, vous pourrez dire
01:22J'étais là.
01:23J'étais là.
01:23Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24Sous-titrage Société Radio-Canada
01:26Sous-titrage Société Radio-Canada
01:56Bonjour à tous et bienvenue dans e-médias, l'émission qui ose vous dire ce que les médias ne vous disent pas.
02:03Bonjour Jean-Yves.
02:04Bonjour Froyan.
02:05Vous voilà de retour.
02:06On est ravis de vous retrouver.
02:07Jean-Yves, le programme cette semaine, c'est Patrick Cohen qui va nous intéresser particulièrement.
02:12Le journaliste zélé du service public qui officie sur France 5, notamment dans l'émission C'est à vous.
02:19On continuera avec, bien sûr, un dossier sur la canicule et l'agitation médiatique autour de cette chaleur.
02:28D'ailleurs, le studio n'est pas climatisé.
02:30Donc nous aussi, on a un petit peu chaud là en ce moment.
02:34On continuera avec les passives de l'information comme d'habitude.
02:37Il y aura le portrait piquant cette semaine qui sera consacré à Apolline de Malherbe, la journaliste bien connue de BFM TV.
02:45Et bien sûr, avant qu'on y aille, je vous le rappelle, n'oubliez pas de cliquer sur le pouce en l'air.
02:50Vous pouvez nous laisser un commentaire, ça se passe juste en dessous.
02:53Et puis, partagez cette émission et vous abonnez à la chaîne de TVL.
02:57Si vous êtes prêts, on y va.
02:58Patrick Cohen vient d'être mis en cause et cette fois-ci, ce n'est pas directement par nous.
03:08C'est par Stéphanie, la maman d'Elias, qui était sur le plateau de CNews.
03:12On réécoute cette séquence.
03:14Il y a une manipulation de l'information et du meurtre d'Elias.
03:19La semaine dernière, Patrick Cohen, dans son édito politique sur France Inter, a dit
03:23« Après la mort tragique du jeune Elias, tué à coup de machette pour avoir refusé de donner son portable ».
03:31En fait, ce que fait Patrick Cohen, c'est qu'il prend partie, il réalise un biais cognitif,
03:36c'est-à-dire qu'il sous-entend que si Elias avait donné son téléphone, il ne serait pas mort.
03:43Entendre Patrick Cohen, qui est censé être un journaliste rigoureux,
03:47on voit là qu'il ne l'est pas, qu'il est médiocre,
03:49tenir de tels propos, pour nous c'est indécent.
03:53L'agence France Presse, c'est des journalistes qui sont censés être intègres, rigoureux.
03:59Ils modifient d'eux-mêmes l'information en disant « couteau » à la place de « machette et achète ».
04:05Et en ça, ils manipulent en fait les Français, parce qu'ils changent la vérité.
04:12Jean-Yves, une réaction sur ces propos ?
04:19– Mais il est coupable, il est coupable de ne pas avoir cédé à la domination étrangère, c'est ça la réalité.
04:34– Alors Patrick Cohen qui est un peu secoué en ce moment, on se rappelle,
04:38il avait subi un clash musclé de la part de Rachida Dati,
04:42mais on se souvient des propos aussi de Patrick Cohen à Crépaule,
04:46où il parlait de balles tragiques, je vous propose de réécouter,
04:49on va se faire un petit best-of de Patrick Cohen là.
04:52– Que vous appelez la mécanique de la haine.
04:53– La haine est le mensonge qui ont conduit aux affrontements de ce week-end
04:56et aux excès de langage des plateaux télé,
04:58mais pour ce que l'on en sait aujourd'hui,
05:00d'abord la mort de Thomas ne résulte pas d'un règlement de compte
05:03ou d'une expédition punitive,
05:05même si des insultes racistes ont bien été entendues par neuf témoins
05:08lors de la bagarre contre les Blancs du village,
05:11cette motivation raciste n'a pas été retenue par la justice,
05:14rien ne prouve que les jeunes du quartier de la Monnaie
05:17étaient venus casser du blanc.
05:19Le ministre de l'Intérieur nous parle d'un pays ensauvagé,
05:21mais les balles tragiques, comme on disait souvent,
05:25sont aussi vieux que les fêtes de village.
05:27Là encore, comme toujours,
05:28les réponses sont plus nuancées que les slogans des plateaux télé.
05:32– Il a honte de rien.
05:33– Il a honte de rien.
05:34Alors les balles tragiques, il dit ça avec une petite ironie,
05:37je crois d'ailleurs qu'il commet un contresens,
05:40car la notion de balle tragique a été mise en avant
05:44par Araki Riebdo, avant qu'il ne devienne Charlie Hebdo,
05:48lorsque De Gaulle est mort,
05:51une semaine après, effectivement, l'incendie
05:55qui avait fait plus de 100 morts à Saint-Laurent-du-Pont,
05:59et Charlie Hebdo avait titré « Balles tragiques »
06:03à Colombais, les deux églises,
06:05dans une forme d'ironie, de mauvais goût,
06:08et qui apparemment ressort derrière le petit rictus de M. Cohen.
06:14– Alors du mauvais goût, comme ça, avec Patrick Cohen,
06:17on peut en trouver très régulièrement sur Cetavou,
06:21qui est un fournisseur officiel de l'immédiat,
06:24si on l'a pu dire comme ça.
06:25– Oui, c'est ça.
06:26– Mais déjà en 2013, on peut écouter des propos
06:30assez surprenants de Patrick Cohen,
06:32qui le tenait à Frédéric Taddeï.
06:35Je vous propose de réécouter cette séquence ancienne,
06:38mais qui montre un peu comment fonctionne M. Cohen.
06:41– Je suis sur le service public,
06:42ce n'est pas à moi d'inviter les gens
06:44en fonction de mes sympathies ou de mes antipathies.
06:46Voilà, c'est tout.
06:47Donc à partir de ce moment-là, non mais c'est pas important.
06:49– C'est très seulement une question de sympathie ou d'antipathie.
06:51– On a une responsabilité, quand on anime une émission de débat,
06:56de débat public, on a une responsabilité,
06:59par exemple, de ne pas propager les thèses complotistes,
07:01de ne pas donner la parole à des cerveaux malades,
07:03parce que dans les gens que j'ai cités,
07:05je pense qu'il y a des cerveaux malades.
07:06– Libre à vous de le penser.
07:07– On a chacun le droit de penser ce qu'on veut, Patrick.
07:10– Non.
07:11– Il peut tout, il arrive à cause, il est en pleine forme, Frédéric.
07:15– Non, non, non, on a le droit de penser ce qu'on veut.
07:18D'abord, on a le droit de penser ce qu'on veut.
07:19– Oui.
07:19– Et pardon, mais là, dans l'occurrence,
07:22je n'ai jamais eu de problème de ce côté-là.
07:23– Alors, la séquence est fabuleuse,
07:26parce qu'il met en cause la liberté,
07:30non pas d'expression, mais la liberté de penser.
07:33Et quand on lui dit,
07:35ah mais non, enfin Patrick, on a le droit de penser ce qu'on veut,
07:37il répond dans les limites de la loi,
07:39dans les limites de la loi.
07:41Alors que la loi limite, effectivement, la liberté d'expression,
07:46c'est sans doute regrettable,
07:47mais elle ne limite pas, pas encore, la liberté de penser.
07:51Il est formidable, Patrick Cohen.
07:53Ça lui avait valu, d'ailleurs, en 2013,
07:55une distinction tout à fait exceptionnelle
07:57à la cérémonie des bombards d'or,
07:59la muselière d'or.
08:01Il la mérite, il la mérite presque tous les jours.
08:04Merci Patrick.
08:05– Alors, c'est le service public, Patrick Cohen,
08:08quand même, il faut rappeler.
08:09D'ailleurs, à propos de service public,
08:11c'est France Info qui a un slogan intéressant, peut-être,
08:15pour conclure ce dossier sur Patrick Cohen.
08:18Son slogan, c'est « L'information n'est pas une opinion ».
08:22Je rappelle que France Info vient de gagner 11 rangs sur la TNT
08:27en passant du canal 27 au canal 16,
08:30le canal 16 qui était historiquement le canal de CNews.
08:34Ils se sont lancés avec cette campagne.
08:36L'information n'est pas une opinion, évidemment.
08:38Jean-Yves, ça vous fait réagir.
08:40– Alors, c'est un mensonge absolu.
08:44Parce que qu'est-ce que c'est qu'une information ?
08:48C'est un fait dont on décide de parler ou de ne pas parler
08:54sous un certain angle qui peut être A, qui peut être B,
08:59qui peut être de droite, qui peut être de gauche,
09:01qui peut mettre en perspective.
09:02Donc, toute information suppose un traitement
09:07par une opinion, par une intelligence,
09:11et donc par une opinion.
09:12Dire qu'une information n'est pas une opinion,
09:14mais non, il n'y a pas d'information brute.
09:17Il y a des faits qu'on décide de traiter
09:19sous tel ou tel angle.
09:20Mais en imposant cette idée,
09:23l'idée, au fond, c'est nous,
09:26nous donnons de l'information.
09:28Ceux avec qui nous ne sommes pas d'accord,
09:30c'est de l'opinion.
09:30C'est évidemment un mensonge total
09:32financé par le contribuable.
09:35Merci Nicolas.
09:36C'est Nicolas qui paye les mensonges
09:38de France Inter, de France Info, de Radio France.
09:43Place maintenant à notre dossier sur la canicule.
09:50Il fait chaud, il fait chaud.
09:52Ça s'agite, ça brasse de l'air,
09:54mais ça ne rafraîchit pas tellement.
09:56On va commencer avec les réactions des politiques
10:00face à cette canicule.
10:01On a, par exemple, la ministre Catherine Vautrin
10:04qui a des conseils bien particuliers
10:07à donner aux Français
10:08pour faire face à cette chaleur.
10:09On l'écoute tout de suite.
10:11D'abord, la canicule, ça concerne
10:13chacune et chacun d'entre nous.
10:15Ça veut dire, évidemment,
10:16boire de l'eau,
10:18essayer de se rafraîchir.
10:19Se rafraîchir, c'est se mouiller le corps,
10:21c'est éviter de faire des activités
10:23qui sont des activités sportives
10:26quand il fait extrêmement chaud.
10:28Et c'est d'essayer de tempérer
10:29autant qu'on le peut son logement.
10:32Si l'on ne se sent pas bien,
10:33on prend contact avec son médecin.
10:35Si c'est plus important,
10:36on appelle le 15.
10:37Il y a un numéro vert
10:38qui est à disposition de nos concitoyens.
10:41C'est le 0800 06 66 66.
10:56Alors, deux remarques.
11:06D'abord, là, Mme Vautrin,
11:07c'est l'État Big Mother.
11:08Il y a l'État Big Brother
11:09qui vous contrôle,
11:10l'État Big Mother
11:11qui vous donne les conseils.
11:12Couvre-toi, mon petit,
11:14ou rafraîchis-toi, mon petit.
11:16Ça, c'est l'État Big Mother.
11:17Alors, ce qui est tout de même intéressant,
11:19c'est que le gouvernement,
11:20dans son immense sagesse,
11:22a tiré les leçons
11:23de la canicule de 2003,
11:25la précédente canicule,
11:26qui a duré beaucoup plus longtemps,
11:27d'ailleurs, que celle-là,
11:27mais enfin, peut-être qu'elle va revenir,
11:29la canicule de 2003,
11:31le gouvernement, à l'époque,
11:33avait fait campagne
11:33en expliquant que le danger,
11:35c'était la pollution.
11:37Et donc,
11:38il n'avait mis un certain nombre de jours
11:41à découvrir que le danger,
11:42c'était effectivement la chaleur
11:43et la déshydratation.
11:45Mais à l'époque,
11:45on luttait contre la pollution.
11:48Aujourd'hui, on dénonce
11:48le réchauffement climatique,
11:50donc effectivement,
11:50on dit que le problème,
11:51c'est la chaleur,
11:52c'est la déshydratation,
11:53d'où l'excellente contribution
11:55de Mme Vautrin,
11:57à l'édification de nos concitoyens.
12:00Merci, maman.
12:01Merci, maman.
12:01Merci.
12:02Vous allez voir,
12:03on continue sur BFM TV encore,
12:05avec cette fois-ci,
12:06Agnès Pannier,
12:07rue Nacher,
12:08qui nous explique des choses
12:09très intéressantes
12:10sur la climatisation.
12:13On l'écoute.
12:13Le sujet que nous avons
12:14avec la climatisation,
12:16c'est un sujet de réchauffement,
12:18puisque vous savez
12:18que la thermodynamique
12:20est très claire.
12:21Quand vous refroidissez
12:22une pièce,
12:23vous avez besoin
12:24de réchauffer
12:25pour avoir ce froid,
12:27et donc vous réchauffez
12:27nécessairement
12:28un autre espace.
12:29En particulier,
12:30vous réchauffez la rue,
12:31ce qui renforce
12:33l'effet îlot de chaleur.
12:34Jean-Yves,
12:36vous entendez le petit bruit
12:37derrière la vidéo
12:38quand elle parle ?
12:38C'est la clim.
12:39C'est la clim.
12:39Elle est au-dessus
12:40d'une clim,
12:41alors même qu'elle en parle.
12:43La clim,
12:43ce n'est pas pour les gueux,
12:45mais c'est pour les membres
12:46du gouvernement.
12:46Voilà, la clim,
12:47ce n'est pas pour les gueux,
12:48c'est pour les membres
12:49du gouvernement.
12:49Rouler en ville
12:51avec chauffeur,
12:52c'est pour les membres
12:53du gouvernement,
12:54ce n'est pas pour les gueux.
12:56Ils sont quand même
12:57assez fascinants.
12:58On peut se demander
12:59d'ailleurs,
12:59sinon pas une certaine
13:02jouissance cynique
13:03à interdire aux autres
13:05ce qu'ils se réservent
13:06à eux-mêmes.
13:07Oui.
13:08Alors, pour continuer
13:08sur cette interview
13:09passionnante,
13:11François Béroux
13:12prend la parole
13:13juste après
13:14Agnès Pagny-Renaché.
13:16Regardez,
13:17il faut qu'il ait
13:18un peu d'assistance
13:19pour répondre
13:20aux questions
13:20des journalistes.
13:21Général d'installation
13:22de climatiseurs,
13:23c'est une bonne idée
13:24que lorsqu'on sait
13:24l'impact que ça a
13:26sur les émissions
13:27aussi,
13:27la climatisation.
13:31Justement,
13:32non,
13:32puisque la climatisation,
13:33c'est de l'électricité,
13:35que l'électricité
13:36en France,
13:36elle est produite
13:37sans émission
13:38de gaz à effet
13:38de serre.
13:39Bon, il a
13:40besoin d'un souffleur.
13:42Oui, d'une souffleuse.
13:42Alors, en fait,
13:44j'ai peut-être un petit peu méchant,
13:45mais on a l'impression parfois
13:46qu'on a un président
13:48de la République fêlé
13:49et un Premier ministre
13:51désorienté.
13:52Voilà.
13:52Mais voilà,
13:53là, il a trouvé quand même
13:54avec un peu d'assistance
13:56la bonne réponse.
13:57presque.
13:58Presque.
13:58Presque.
13:59Alors, toute cette propagande
14:01un peu sur la climatisation
14:04qu'il ne faudrait pas allumer,
14:06donc si on suit
14:07Agnès Pannier-Runacher,
14:09eh bien,
14:09je vous propose d'écouter
14:10ce qu'en dit
14:11M. Jean-Marc Jancovici
14:13sur BFMTV.
14:14Encore,
14:15on l'écoute tout de suite.
14:17Après,
14:17la clim,
14:18ce n'est pas l'horreur.
14:19Il faut voir qu'en ce moment,
14:20on a un problème
14:21de surplus d'électricité
14:22tous les jours à midi,
14:23parce qu'on a
14:23les panneaux solaires
14:24allemands et français
14:24qui produisent trop d'électricité
14:26par rapport à ce qu'on utilise.
14:27Donc,
14:28si on rajoute des clim
14:29qu'on fait tourner
14:29quand il fait très chaud...
14:31Ce n'est pas grave.
14:32Sur le plan de l'électricité,
14:34non.
14:34Pourquoi est-ce que
14:35certains pourraient
14:36se payer la clim,
14:37j'ai envie de dire,
14:38et d'autres pas ?
14:39Ça, c'est vrai pour tout.
14:40C'est vrai pour tout.
14:41Mais désormais,
14:41le chauffage, par exemple,
14:42s'est démocratisé.
14:44Oui.
14:45À l'époque,
14:45le chauffage,
14:46c'était pour les riches.
14:47Oui, bien sûr.
14:47Aujourd'hui,
14:48la clim,
14:48c'est encore pour les riches.
14:49Non, ce n'est pas vrai.
14:50Ce n'est pas le sujet.
14:51Après, la question...
14:52En tout cas, idéologiquement,
14:53pour vous,
14:53il n'y a pas de problème
14:54majeur avec la clim,
14:55en tout cas moins qu'avant.
14:56Alors, le problème majeur
14:57avec les canicules,
14:58ce n'est pas trop la clim.
14:59Le problème majeur
15:00avec les canicules,
15:01c'est tout le reste.
15:02Alors, voilà,
15:02ce sont ses propos.
15:03La climatisation,
15:04ce n'est pas l'horreur.
15:07Il y a une question
15:08très intéressante, quand même,
15:10que lui pose
15:10Apolline de Malherbe,
15:11c'est la climatisation.
15:12Est-ce que c'est pour les riches ?
15:14Est-ce que c'est réservé
15:15aux membres du gouvernement ?
15:17Puisqu'on le voit
15:17dans les écoles,
15:18pas de clim,
15:19donc on ferme les classes.
15:20Dans les crèches,
15:22pas de clim,
15:22donc on ferme les crèches.
15:25C'est quand même
15:25que la démocratisation
15:27du chauffage
15:27dont parle Apolline de Malherbe,
15:29ce n'est plus exactement vrai
15:30aujourd'hui,
15:30puisque dans les bâtiments publics,
15:32on ne chauffe plus
15:32qu'à 18 degrés en hiver.
15:34Donc, c'est en hiver,
15:35il faut enfiler trois pulls
15:37et en été,
15:37crever en silence,
15:38globalement,
15:38si je comprends bien.
15:40Alors que les collectivités publiques,
15:42puisqu'on parle
15:42des bâtiments scolaires,
15:44les bâtiments scolaires,
15:45ce sont les communes
15:47qui entretiennent,
15:48les crèches,
15:49si on veut parler
15:49de bâtiments scolaires,
15:50ou les écoles primaires,
15:53ce sont les départements
15:54qui gèrent les collèges
15:57et les lycées
15:58et les régions
16:00qui gèrent les lycées.
16:02Et toutes ces collectivités
16:03ont énormément d'argent,
16:05elles ont des budgets
16:06qui ont doublé
16:07au cours des 20 dernières années.
16:09Ils auraient pu mettre
16:10l'argent là,
16:10ils ont décidé
16:11de le mettre ailleurs.
16:13Et donc,
16:14s'il y a des problèmes
16:15dans les bâtiments publics
16:18dont on parle,
16:20c'est la décision
16:21des collectivités,
16:22des maires,
16:23des présidents
16:23de conseils généraux,
16:24des présidents
16:25de conseils régionaux.
16:26Ce n'est pas l'État
16:27dans sa globalité.
16:29– À propos de décision
16:30des collectivités territoriales,
16:32Jean-Yves,
16:33il y a cette information
16:34de Ouest France,
16:35de la gare de Nantes.
16:37Sa mezzanine
16:37vient d'être refaite
16:38tout juste.
16:40Et dedans,
16:41il faisait 45 degrés.
16:43Et pour cause,
16:44voici une photo du toit.
16:46C'est tout en vert
16:47avec tout juste
16:48des aérations.
16:50Donc,
16:50il fait extrêmement chaud,
16:5345 degrés.
16:53On a dû fermer
16:54cette mezzanine
16:56qui vient d'être refaite.
16:58Dans les gares,
17:00c'est comme ça.
17:01Dans les trains,
17:02quand la clim
17:02n'est pas allumée,
17:04ça pose également
17:05des vrais problèmes.
17:06Et notamment,
17:07la SNCF en a fait
17:08les frais récemment
17:09en termes de communication
17:10et d'image de marque.
17:12Puisque dans un train
17:13Paris-Nice,
17:14une jeune femme
17:15avec son chat
17:16a failli voir son chat
17:18mourir sur ses genoux
17:19tellement il faisait chaud
17:21parce que la clim
17:22n'était pas allumée.
17:24Elle a fait un tweet
17:25avec une photo de son chat
17:274,5 millions de retweets.
17:28Quand même,
17:29l'affaire a l'air anecdotique
17:30quand on en parle comme ça.
17:31Mais elle ne l'est pas tant que ça.
17:33Et ce qui m'intéresse
17:33particulièrement,
17:34c'est que cet article
17:35du Parisien
17:35est classé
17:37dans la catégorie
17:38société.
17:39Et ça,
17:40chers téléspectateurs,
17:40il faut rester toujours
17:41très attentif
17:42sur où est-ce qu'on classe
17:43les articles.
17:44En principe,
17:45quand il y a un coup de poignard,
17:46c'est fait divers.
17:47Là, c'est le chat,
17:48société.
17:49Bon, ça pose quand même
17:50des questions,
17:51cette absence de clim.
17:53La réponse de la SNCF,
17:54d'ailleurs,
17:54est très amusante
17:55et très caractéristique
17:56de l'époque
17:57dans laquelle on vit.
17:58C'est que la contrôleuse
17:59est revenue la voir
18:00non pas pour régler
18:02son problème,
18:03c'est-à-dire
18:03mettre un peu d'air
18:04et permettre à son chat
18:05de respirer
18:06et de ne pas subclaquer.
18:09C'est qu'on lui a reproché
18:10d'avoir fait le tweet
18:11sur la SNCF
18:12en disant que c'était mauvais
18:13pour l'image de Marc.
18:15Bah oui,
18:15c'est vrai d'ailleurs.
18:16C'est vrai.
18:17C'est vrai.
18:17Alors, pour aller,
18:20pour continuer,
18:21dans les parcs,
18:22Jean-Yves,
18:22on pourrait se rafraîchir.
18:24Mais non,
18:24parce que le soir,
18:25c'est Europe 1
18:26qui nous fait cet article
18:27impossible de se rafraîchir
18:29dans ces parcs parisiens
18:30qui deviennent
18:31de véritables coupes-gorges.
18:32Le soir,
18:33effectivement,
18:33on le sait,
18:34il y a des tas d'endroits
18:35qui sont extrêmement
18:35mal fréquentés.
18:37Les quais de Seine
18:38à Paris,
18:39n'en parlons pas,
18:39c'est exactement
18:40la même chose.
18:42On a,
18:43si on sort
18:44du parisienno-centrisme,
18:46le lac de la Gémerie,
18:47à Arnage,
18:49qu'il y avait un aquapark
18:51qui vient d'être construit dessus,
18:53il a été fermé
18:54pour incivilité et violence.
18:56La réalité,
18:57qu'est-ce que c'est ?
18:57Il a été envahi
18:58par des jeunes
19:00qui n'avaient pas payé
19:01leur ticket
19:01et qui sont venus
19:03foutre un bronx
19:04pas possible.
19:05Pardonnez-moi ces mots,
19:06mais il n'y a pas autre chose.
19:09Jean-Yves,
19:09on a un problème maintenant.
19:11Alors là,
19:11on a le problème
19:12avec les allogènes,
19:13si j'ose dire,
19:14une expression
19:14que j'ai déjà utilisée
19:15parce qu'on n'utilise
19:16pas vraiment les mots,
19:17ce sont des jeunes
19:17qui viennent des quartiers
19:18de l'immigration,
19:19probablement du Mans
19:20puisqu'Arnage est dans la Sarthe.
19:22Et voilà,
19:24il y a un coût indirect
19:27de l'insécurité
19:30et de l'immigration
19:31dont l'insécurité
19:32est trop souvent
19:33à la conséquence
19:33qui sont considérables
19:35en termes de liberté
19:36pour les Français,
19:37liberté de circuler,
19:38notamment,
19:39liberté d'avoir
19:41des loisirs tranquilles.
19:42surtout quand on paye.
19:43Et là,
19:44on voit quand même,
19:46et bon,
19:46il y a ces exemples-là,
19:47mais il y en a beaucoup d'autres.
19:48Oui,
19:48vu le prix du billet
19:49de la SNCF,
19:50vu le prix des billets
19:51pour aller dans des aquaparks,
19:53ça finit toujours mal.
19:55Alors,
19:55on a Agnès Pannier-Runaché
19:57qui,
19:57toujours elle,
19:58qui dresse
19:59un petit bilan
20:01de cette canicule,
20:03un bilan satisfait,
20:04comme on l'a l'habitude,
20:05les membres du gouvernement.
20:07On l'écoute tout de suite.
20:08Aujourd'hui,
20:0984 départements
20:10vont être placés,
20:11ont été placés
20:12en vigilance orange,
20:14ce qui est inédit
20:16en termes d'ampleur
20:17de cette canicule
20:18puisque le chiffre
20:20le plus élevé
20:20du nombre de départements
20:21placés en vigilance orange,
20:23c'est un chiffre de 2019,
20:24c'était 81 départements.
20:26Ce qui donne une idée
20:27de l'ampleur de cette canicule
20:28depuis que l'on tient
20:30des statistiques,
20:31soit depuis 1947.
20:32Évidemment,
20:33cette vague de chaleur,
20:35elle s'inscrit dans,
20:36je dirais,
20:37le dérèglement climatique,
20:38c'est-à-dire que
20:39entre le moment
20:40où on a démarré
20:41la tenue de statistiques
20:431947 et 1999,
20:46on a fait face
20:47à 17 épisodes de chaleur
20:51et depuis 2000,
20:53c'est 33 épisodes de chaleur.
20:55Donc vous voyez,
20:55ça a doublé
20:56en deux fois moins de temps
20:57et il faut se préparer
20:59à faire face
21:00à ce type d'épisodes de chaleur.
21:01Nous sommes donc préparés
21:03beaucoup plus
21:04que nous l'étions
21:04il y a 20 ans
21:06avec un plan national
21:07d'adaptation
21:08aux changements climatiques.
21:10Alors là,
21:10Jean-Yves,
21:11vous avez évidemment
21:11un commentaire.
21:13Oui, alors d'abord,
21:14effectivement,
21:14il y a un réchauffement global.
21:17Est-ce qu'il est lié ?
21:18Est-ce qu'il a une origine anthropique ?
21:19C'est extrêmement discutable.
21:22Il y a d'autres explications possibles
21:23comme le soleil,
21:24mais il y a un certain
21:25réchauffement global.
21:26Bon.
21:26en Europe en tout cas,
21:28en France en particulier.
21:29Mais ce n'est pas nouveau
21:31les calicules.
21:32Il y en a.
21:33Historiquement,
21:33on connaît,
21:34il y a 1911,
21:36donc avant 1947,
21:38il y a 1976,
21:40il y a 2003,
21:42il y a 2025.
21:44Bon,
21:44il y a des épisodes
21:45particulièrement chauds
21:48qui arrivent,
21:49qui ne sont d'ailleurs
21:50pas tout à fait nouveaux,
21:52puisque le grand historien,
21:53le roi Ladurie,
21:54a fait une histoire
21:55du climat en France.
21:57Dans cette histoire
21:57du climat en France,
21:58il montre les variations climatiques
22:00au cours de l'histoire
22:02entre des périodes chaudes
22:03comme la période romaine
22:04ou comme la période
22:05du début du Moyen Âge
22:06et puis une période
22:07plus froide
22:08qui est la période
22:09qu'on a appelée
22:09le petit âge glaciaire
22:11entre, on va dire,
22:12le XVIe et le XIXe siècle.
22:15Eh bien,
22:15pendant cette période
22:16du petit âge glaciaire,
22:18donc période froide,
22:19il y a eu
22:20deux années de canicule
22:22très importantes
22:22en 1718 et 1719,
22:26donc dans une période froide,
22:29des canicules fortes
22:31qui ont fait à l'époque,
22:32d'après l'historien
22:33le roi Ladurie,
22:34700 000 morts,
22:36en l'occurrence à l'époque,
22:37principalement
22:38parmi les enfants.
22:41Donc vous voyez
22:41que ça s'inscrit,
22:43les extrêmes climatiques
22:45s'inscrivent
22:46dans le temps long,
22:47indépendamment
22:49de ce qu'on peut dire
22:51sur le dérèglement climatique
22:54selon la terminologie officielle.
22:58Et on débute
22:59ces pastilles
23:00de l'information
23:01avec la gauche
23:02qui rêverait
23:03de prendre le contrôle
23:05du récit,
23:07du réel
23:07dans l'audiovisuel.
23:09Alors,
23:09en quoi ça consiste exactement ?
23:11Eh bien,
23:11des députés écologistes
23:13et de gauche,
23:14parce qu'ils sont plusieurs,
23:15ils sont même nombreux,
23:16ont publié
23:18un amendement
23:20qu'ils souhaitent
23:22voir voter.
23:23On est en pleine réforme
23:24de l'audiovisuel public
23:26et souveraineté
23:27audiovisuelle,
23:29pardonnez-moi.
23:30Que dit cet article
23:32qu'ils souhaitent déposer ?
23:33Eh bien,
23:34il faudrait mener
23:34une réflexion éditoriale
23:36sur la place
23:36qu'occupent les faits divers
23:37dans la couverture
23:39de l'actualité.
23:40L'exposé sommaire,
23:41le voici.
23:42Le groupe Écologie et Social
23:43estime que les médias publics
23:45doivent être exemplaires
23:46et ne pas céder
23:47à l'instrumentalisation
23:49des faits divers,
23:50devenu une méthode
23:51de cadrage
23:52de l'information
23:52sur certaines chaînes privées
23:54comme CNews.
23:55Le meurtre de Lola
23:56à Paris en 2022,
23:58celui de Thomas
23:59à Crépole en 2023,
24:01ont été
24:01des véritables campagnes
24:03de diffusion
24:03d'une sémantique
24:05racialisante.
24:07Il permet
24:08de diffuser,
24:09sans le dire,
24:10la vieille obsession
24:11du génocide blanc,
24:13bla bla bla bla bla.
24:13Une partie des médias
24:15semble servir
24:16de haut-parleur
24:17à des visions
24:17du monde
24:18réactionnaires,
24:19sécuritaires
24:20et racistes,
24:21centrées en particulier
24:21sur la menace
24:22que constituerait
24:23l'immigration
24:24pour la sécurité
24:25et l'unité
24:26de la nation.
24:27Toutefois,
24:28la croissance
24:29des médias
24:29classés à l'extrême droite
24:30ne suffit pas
24:31à expliquer
24:32la capacité
24:33de cette famille politique
24:34à produire
24:34des paniques morales.
24:36Ces faits divers
24:37se diffusent en effet
24:38bien au-delà
24:39dans les médias
24:40à grand public
24:41et notamment
24:42dans les journaux télévisés,
24:43sur les chaînes
24:44d'information en continu
24:45et dans la presse
24:46quotidienne régionale.
24:48Là,
24:49Jean-Yves,
24:49bientôt,
24:50la gauche va venir
24:51dans les conférences
24:51de rédaction
24:52des JT,
24:53des médias.
24:54Elle y est déjà
24:55à travers ses journalistes
24:56mais là,
24:57elle veut s'imposer
24:58un peu plus.
24:58Alors,
24:59c'est assez intéressant
24:59parce que
25:00l'instrumentalisation
25:02du fait divers,
25:03elle est d'abord
25:05le fait de la gauche
25:06puisque
25:06elle a monté
25:08l'expression
25:08du crime raciste,
25:10c'est-à-dire
25:10lors des cas
25:11plutôt rares
25:12où quelqu'un
25:14d'origine immigrée
25:14est tué
25:15par quelqu'un
25:16d'origine française,
25:17on a monté
25:17le concept
25:18de crime raciste
25:19qui a été monté
25:20en ligne.
25:21En revanche,
25:22il est interdit
25:23d'aborder
25:25un autre angle
25:25comme le réel
25:26crime raciste
25:27anti-blanc
25:28de Crépole.
25:29Donc,
25:30l'effet divers,
25:31c'est à utiliser
25:32par la gauche
25:33quand ça va
25:34dans son sens,
25:35c'est à interdire
25:36quand ça ne va pas
25:36dans son sens.
25:37Alors,
25:37ce qui est intéressant
25:38au cas particulier,
25:40c'est qu'effectivement,
25:41le Parlement
25:42voudrait,
25:43en tout cas,
25:43certaines forces
25:44au Parlement
25:44voudraient réglementer
25:46ce qu'on a le droit
25:48de dire
25:49ou pas
25:50dans les médias
25:51qu'on aurait pu
25:53espérer
25:53pluralistes.
25:54Alors,
25:54l'amendement
25:55ne risque pas
25:55en l'état
25:56d'être voté
25:56puisque
25:57le projet
25:59de loi
25:59audiovisuelle
26:00a été renvoyé,
26:02rejeté
26:03par l'Assemblée nationale
26:04et est reparti
26:04au Sénat.
26:05Donc,
26:05on échappe
26:06au moins
26:06à ça,
26:07mais c'est très intéressant
26:08comme volonté
26:10de contrôle politique
26:12idéologique
26:13des faits
26:14par la gauche,
26:16la gauche écolo,
26:17la gauche LFI,
26:18la gauche socialiste,
26:19tout ça,
26:20c'est l'esprit
26:21totalitaire.
26:22Louis Sarkozy arrive
26:26sur RMC
26:27à la rentrée.
26:28Il sera
26:29en alternance
26:30avec Cécile Duflo
26:32et il rejoint
26:33la matinale
26:34donc aux côtés
26:34d'Apolline de Malherbe.
26:36Ces deux recrues,
26:37nous dit-on,
26:37aux sensibilités
26:38bien marquées,
26:39apporteront
26:40leur analyse
26:40et leur opinion
26:41claire
26:41sur les grands sujets
26:42qui animent
26:43l'actualité.
26:45On rappelle
26:45que Louis Sarkozy
26:46était déjà sur LCI
26:47avec Garido.
26:49un nouveau média
26:52conquis.
26:54Écoutez,
26:56le jeune Louis Sarkozy,
26:58d'abord,
26:59c'est le fils
26:59de papa Sarkozy.
27:03C'est un nom
27:04quand même
27:04connu.
27:06Ensuite,
27:07c'est le fiole
27:08d'un ami
27:09de papa Sarkozy,
27:10Martin Bouygues,
27:12qui est le patron
27:13de TF1
27:15et de LCI.
27:16Ça aide.
27:17Et puis,
27:18c'est le beau-fils
27:20de beau-papa
27:22Athias
27:23qui est à la tête
27:24d'une des principales
27:26agences
27:26de communication
27:27et d'événementiel
27:29mondial.
27:30Alors,
27:31je pense qu'indépendamment
27:32de son talent,
27:34ça doit quand même
27:35aider
27:36à avoir
27:37un carnet de balle
27:38médiatique
27:39assez nourri,
27:41assez chargé.
27:42Voilà.
27:42Il y a beaucoup
27:43de bonnes fées
27:44au-dessus
27:44de ce jeune homme.
27:48Sarkozy toujours,
27:50mais cette fois-ci
27:51le père.
27:52Il a reçu
27:54Jordan Bardella.
27:55On apprend cela
27:56par le parisien.
27:57Le rendez-vous secret
27:59de Nicolas Sarkozy
28:00et Jordan Bardella.
28:02Bon,
28:02c'est tellement secret
28:03que ça s'est diffusé
28:04absolument partout
28:04dans la presse.
28:05Jean-Yves,
28:06qu'est-ce que vous en pensez ?
28:06Qu'est-ce que j'en pense ?
28:07Il peut y avoir
28:08des rendez-vous secrets.
28:09Il y avait eu,
28:09figurez-vous,
28:10en 1988,
28:11un rendez-vous secret
28:12entre Chirac et Le Pen.
28:14Mais c'était un rendez-vous
28:15vraiment secret.
28:17C'est-à-dire,
28:17personne n'avait communiqué
28:19autour de ce rendez-vous
28:21qui avait fuité
28:22quelques années plus tard
28:23par une photo.
28:24Mais le rendez-vous
28:26était vraiment secret.
28:27Quand vous voulez
28:27vraiment parler
28:28de choses
28:29d'accords éventuels,
28:31de négociations,
28:33le secret,
28:33eh bien,
28:33là,
28:34en l'occurrence,
28:34c'est une opération médiatique
28:37où chacun est d'accord
28:39pour parler du rendez-vous
28:41avec l'autre
28:42parce que chacun
28:42y trouve son compte.
28:43Voilà.
28:44C'est une opération
28:45de promotion réciproque,
28:48si on peut dire.
28:49Bon,
28:49c'est plutôt flatteur
28:50pour Bardella
28:52qui est reçu
28:53par l'ancien président
28:54de la République.
28:55Voilà.
28:56Bon,
28:57c'est du jeu politicien
28:58tout simplement.
29:01Barbara Butch
29:02vient d'être nommée
29:04chevalier des arts
29:06et des lettres
29:06par Rachida Dati.
29:08Si vous ne savez pas
29:09de qui il s'agit,
29:11eh bien,
29:11sachez qu'elle faisait
29:12partie du merveilleux
29:14spectacle d'ouverture
29:15des Jeux Olympiques
29:16réalisé par Thomas Jolie
29:17qui n'en finit
29:18décidément plus
29:20de nous étonner.
29:21C'était l'interprète
29:22du Christ
29:23dans la fameuse scène
29:24de la Seine
29:25qui avait fait
29:27beaucoup de bruit
29:28au vu de son mauvais goût.
29:30Barbara Butch,
29:32elle est DJ,
29:34elle est icône LGBT
29:36et body positive
29:37en lutte contre
29:39la grossophobie,
29:40bien sûr,
29:40et sans doute,
29:41elle fait aussi la joie
29:42des cardiologues,
29:43des angiologues
29:44et des nutritionnistes.
29:46Je vous propose
29:47qu'on l'écoute
29:47suite à cette décoration.
29:49Parce que ça a été aussi
29:50une période
29:51qui a été hyper compliquée
29:52par rapport
29:52au harcèlement,
29:54à toutes les réactions
29:57que ça a provoquées.
29:58Et du coup,
29:58ça me remet vraiment
29:59dans l'émotion positive
30:01de l'instant
30:02et donc c'est génial
30:03de revivre ça.
30:04C'était vraiment un cadeau,
30:05c'est-à-dire d'être
30:05avec des personnes
30:06de la communauté LGBT.
30:09En fait,
30:09on n'avait plus
30:10de barrières sociales,
30:11de genre d'origine sociale.
30:14Vraiment,
30:14on était tous là,
30:15tous unis
30:16et je pense que c'est vraiment
30:17ce qui représentait
30:18le plus la France.
30:21En fait,
30:22on va nous resservir
30:23en permanence
30:23la propagande
30:24parce que là,
30:25ce qu'elle fait,
30:25c'est de la propagande,
30:26bien sûr.
30:27la propagande diversitaire.
30:29On va nous resservir
30:30la propagande des JO
30:31jusqu'à plus soif.
30:33Alors,
30:33il faut trouver
30:33des occasions.
30:35Alors là,
30:35c'est une décoration.
30:37Il y a une semaine,
30:37je crois,
30:38ou 15 jours,
30:39on avait parlé
30:40de l'accès
30:41de Thomas Joly
30:42dans le comité
30:43de sélection
30:44du CNC
30:45pour choisir
30:46les films
30:47en fonction
30:48de leur scénario
30:49et de leur scénario
30:50politiquement correct.
30:51c'est vraiment
30:52la cérémonie
30:54d'ouverture
30:55des JO,
30:55c'est la propagande
30:56permanente
30:57et la récidive
30:58permanente.
31:00Vous n'êtes pas
31:01sans savoir
31:02qu'il y a eu
31:03un appel téléphonique
31:05entre Macron
31:06et Poutine
31:08de deux heures,
31:09nous a-t-on annoncé
31:10dans un communiqué
31:11succinct.
31:13Ce que vous ne savez
31:14peut-être pas,
31:15c'est que
31:15avec cet appel téléphonique,
31:18LCI a réussi
31:19à faire
31:20une émission
31:20de 3h30
31:22quand même,
31:24excusez du peu.
31:26Jean-Yves,
31:26il faut rappeler
31:27que cet appel
31:28entre Macron
31:29et Poutine,
31:30il a un petit côté
31:31historique
31:32puisque depuis
31:332022,
31:35Macron et Poutine
31:36ne se parlaient plus
31:37et pour cause,
31:38leur dernière communication
31:39avait été
31:40largement révélée
31:41dans les grandes lignes
31:42dans la presse.
31:44Un commentaire
31:45sur cette récidive
31:48réussite de LCI
31:49de, j'allais dire,
31:50de brasser de l'air
31:51encore puisqu'on n'a
31:52toujours pas de clim,
31:52donc c'est un peu
31:53la thématique du jour.
31:55Oui,
31:55ils sont très forts,
31:57ils parlent
31:57sur 3h30
31:58sur quelque chose
31:59dont ils savent
31:59peu de choses
32:00en vérité,
32:01donc ils arrivent
32:02quand même
32:02à beaucoup
32:03brosser,
32:05beaucoup broder
32:06autour bien sûr.
32:07Il n'y a pas que d'ailleurs
32:08parce que
32:09la chaîne Sénat
32:10aussi consacrée
32:11beaucoup de temps
32:11à cette discussion,
32:15c'est vraiment,
32:16en fait,
32:16on voit à quoi rime
32:18cet appel téléphonique,
32:20c'était aussi
32:21pour Macron
32:21une opération
32:22de communication,
32:23bon là,
32:23il a peut-être été
32:24un peu plus discret
32:25que la première fois,
32:26mais l'esprit,
32:27c'est ça,
32:27c'est je me mets en scène,
32:28je me mets en scène,
32:29je me mets en scène,
32:30bon.
32:31Oui,
32:31pour les médias,
32:32c'était du téléphone arabe
32:34et du téléphone rouge.
32:35Voilà.
32:38Et pour finir,
32:39c'est pas si de l'information,
32:40un étrange article
32:41sur BFM,
32:43encore eux,
32:43pour alléger
32:45la dette publique,
32:46en plus de vos impôts,
32:47vous pouvez faire
32:48un don à l'État
32:50de 45 à près
32:52de 40 000 euros.
32:53Ces dernières années,
32:54certains contribuables
32:55ont fait des dons
32:56à l'État
32:56dans l'objectif
32:58d'alléger
32:58la dette publique.
33:01Ça,
33:02c'est très étonnant,
33:03Jean-Yves,
33:04comme article.
33:04– Je pense que le mieux,
33:07si on a trop d'argent,
33:08c'est de faire un don
33:09à TV Liberté,
33:11un don déductible,
33:12d'ailleurs.
33:13– Contrairement au don
33:14à l'État.
33:14– Contrairement au don
33:15à l'État.
33:17Voilà,
33:18parce que comme ça,
33:19vous défendrez
33:20vos idées,
33:21vous défendrez
33:21des idées alternatives,
33:23vous ne contribuerez pas
33:24à financer
33:25les dépenses
33:26nuisibles
33:27qui sont malheureusement
33:28très souvent le cas
33:29s'agissant
33:30des dépenses publiques.
33:31– Alors,
33:32n'hésitez pas,
33:32si vous voulez faire un don,
33:33le lien dans chacune
33:35de nos émissions
33:35est juste en dessous
33:36dans le descriptif
33:37de la vidéo.
33:42Et voilà,
33:42on arrive à la fin
33:43de cette émission.
33:46Merci à tous
33:46de nous avoir suivis.
33:47Je vous le rappelle,
33:48vous pouvez cliquer
33:49sur le pouce en l'air
33:50pour essayer
33:51d'améliorer un peu
33:52le référencement
33:53de cette vidéo
33:54dans l'algorithme
33:55de YouTube.
33:55Vous pouvez nous laisser
33:56un commentaire
33:57et puis on vous avait
33:58promis quelque chose,
33:59Jean-Yves,
34:00on vous avait promis
34:01de vous montrer
34:01comment est-ce qu'on se protège.
34:02– Voilà,
34:02on applique
34:03les conseils gouvernementaux
34:06et on se rafraîchit.
34:08– Place à la pastille.
34:10Suivante,
34:10c'est-à-dire
34:11le portrait piquant.
34:14Et on vous dit
34:15à très vite
34:15sur TVL.
34:17– Et on tient,
34:18t'as pas…
34:19– Oui,
34:19mais moi,
34:19ils tirent un truc de fou.
34:20– Ah,
34:20tu n'y as pas été mollo,
34:22hein ?
34:22– Surnommé
34:25le pitbull du PAF,
34:27Marc-Olivier Fogiel
34:28s'est d'abord fait connaître
34:29par son style agressif
34:31d'entretien
34:32avant de devenir
34:34une des personnalités
34:36des médias,
34:36à la fois animateur,
34:38producteur,
34:39puis directeur de chaîne.
34:41Après le rachat
34:42de BFM TV
34:43par Rodolphe Sardé,
34:44son poste de responsable
34:46de la chaîne
34:47pourrait être en danger.
34:48Fogiel est né en 1969
34:49à Neuilly-sur-Seine
34:51dans une famille
34:52de la bonne bourgeoisie juive.
34:54En 2013,
34:55il se marie à Paris
34:56avec son compagnon
34:57François Rolland
34:58en présence
34:59de ses deux fillettes
35:01achetées aux Etats-Unis
35:02par la grâce
35:03d'une GPA.
35:03C'est Bertrand de la Noé
35:05qui unit les deux époux.
35:07Vous mettez des guillemets
35:08où vous voulez.
35:09Petites études,
35:10bac à Jansson de Sailly
35:11et un deuc d'économie.
35:13La légende veut
35:14qu'il ait rédigé
35:15à 16 ans
35:16des piges
35:17pour RTL.
35:18Mais c'est avec
35:19Patrick Sabatier
35:20qui va débuter
35:21sur TF1.
35:23Puis,
35:23ce sera
35:23Canal+,
35:25France 2,
35:26France 3
35:27avec
35:28On ne peut pas plaire
35:29à tout le monde,
35:30France Inter
35:31avec
35:31Vous écoutez la télé.
35:33En 2005,
35:34le Figaro
35:34classe Fogiel
35:35comme un des trentenaires
35:37les plus influents de France.
35:38Il est aussi producteur
35:39avec la société
35:41PAF Productions
35:42associée à Stéphane Courbitte
35:44et il travaillera
35:45pour le pôle média
35:46du banquier
35:47Mathieu Pigasse.
35:49Ce succès donne lieu
35:50à quelques polémiques.
35:51Il devient
35:52la bête noire
35:53de Thierry Ardisson
35:54qui lui reproche
35:56de l'avoir plagée.
35:57Fogiel lance aussi
35:58l'affaire
35:59Dieudonnée.
36:00C'est lors d'une émission
36:01dont
36:02On ne peut pas
36:03plaire à tout le monde,
36:04le 1er décembre 2003,
36:07que l'humoriste
36:07Dieudonnée
36:08interprète
36:09un sketch
36:09considéré ensuite
36:11comme antisémite.
36:13L'animateur
36:13rejoint M6
36:14en 2006
36:14avec
36:15T'empêche tout le monde
36:16de dormir.
36:17Sur la même période,
36:18il sera passé
36:19de France Inter
36:19à RTL
36:20puis à Europe 1
36:21et en août 2012,
36:23il revient à RTL
36:25pour présenter
36:25RTL Soir.
36:26Il produit
36:27et anime un temps
36:28le divan
36:29de Marc-Olivier Fogiel
36:31sur France 3,
36:32une émission
36:32où les célébrités
36:34sont invitées
36:35à s'épancher.
36:36En 2014,
36:37lors d'un dîner,
36:37le journaliste
36:38fait la rencontre
36:38du couple Macron.
36:39Alors qu'Emmanuel Macron
36:40n'est plus secrétaire général
36:42de l'Elysée,
36:43il lui propose
36:44de venir collaborer
36:45avec lui
36:45sur son émission
36:47On refait le monde.
36:48Même s'il n'a pas donné suite,
36:50Fogiel cultive depuis lors
36:52une proximité
36:53avec Macron
36:53qu'il tutoie.
36:54A 50 ans,
36:56c'est la consécration.
36:57Fogiel est nommé
36:58directeur général
36:59de BFM
37:00par Alain Veil.
37:02L'ancienne direction
37:03paie sa couverture
37:04biaisée
37:04de la crise
37:05des gilets jaunes
37:06et du Covid.
37:07C'est la première fois,
37:08la première fois
37:09qu'une vedette
37:10du petit écran
37:10dirige une chaîne
37:12de télévision
37:12avec 300 journalistes.
37:14Il choisit
37:15Céline Pigalle
37:15comme directrice
37:16de la rédaction,
37:18reconstituant ainsi
37:19le tandem
37:20qu'il formait
37:20à Europe 1.
37:22A cette occasion,
37:22il renonce à l'antenne
37:23pour se consacrer
37:24pleinement
37:25à son métier
37:25de directeur de chaîne.
37:27Comme il l'a avoué
37:28au point,
37:29il a caressé un temps
37:30le projet
37:31d'une carrière
37:32politique parisienne
37:33sous la bannière
37:34socialiste.
37:35Je cite
37:36« Avec Julien André
37:37et Bertrand Delanoë,
37:38alors maire de Paris,
37:39nous avons réfléchi
37:41à un ancrage local.
37:43Avec ce dernier,
37:44nous nous sommes interrogés.
37:45Comment m'investir
37:46à ses côtés ?
37:47Comment y trouver
37:48mon contre
37:49et être utile
37:50sans que mon image
37:52ne vienne perturber
37:53les débats ? »
37:54Fin de citation.
37:55Ce projet
37:56n'aboutira pas,
37:57mais il a le mérite
37:58de révéler
37:59les préférences
37:59de celui
38:00qui était alors
38:01un trait médiatique
38:03animateur.
38:04Des préférences
38:05sans lesquelles,
38:06comme pour beaucoup d'autres,
38:07sa carrière
38:08n'aurait pas connu
38:09une telle trajectoire.
38:10une telle trajectoire.
38:11Sous-titrage Société Radio-Canada
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