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Le journaliste Eric Revel a dénoncé le positionnement de la France, face à la condamnation de Boualem Sansal estimant qu’on était « à genoux devant» le «chef d’Etat algérien», et qu'on «lui dira merci» s'il venait à gracier l'écrivain franco-algérien. 

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Transcription
00:00Bon, évidemment, il faut souhaiter que samedi, à l'occasion de la fête de l'indépendance d'Algérie,
00:03Boualem Sansal soit libéré.
00:05On rappelle qu'il a été condamné simplement parce qu'il a exercé sa liberté d'écrivain et d'expression, quand même.
00:10Et sans doute, pareil pour Christophe.
00:12Imaginez quand même que tout va dépendre de la grâce de M. Tebboune.
00:16Donc, d'une façon ou d'une autre, quoi qu'il arrive, et espérons qu'il sera libéré,
00:19en fait, cerise sur le gâteau, c'est-à-dire qu'on est à genoux devant M. Tebboune.
00:23Et on lui dira merci.
00:24Et on lui dira merci.
00:25Et on lui dira merci, vous voyez.
00:26Et donc, on va boire, je réemploi l'expression le calice jusqu'à la dernière goutte,
00:31puisque tout va dépendre du chef de l'État algérien qui, du haut de sa grandeur, va accorder ou pas une grâce.

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