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PSG – Bayern : Enfin les choses sérieuses ! - L'Équipe de Greg - extrait
L'Équipe
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Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 30/06/2025.
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🥇
Sport
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00:00
On s'intéressait au Paris Saint-Germain, la petite balade de santé climatisée.
00:04
Exactement, face à l'Inter-Miami en huitième de finale de la Coupe du Monde des Clubs.
00:07
C'était méchant.
00:08
Une première période, c'était un festival offensif régalat du PSG.
00:13
La sixième minute de jeu avec Vitinha qui trouve sur Coufran, Joao Neves.
00:16
1-0 pour le Paris Saint-Germain, la 39ème avec Barcola qui fixe deux Floridins,
00:21
qui donne à Ruiz et Joao Neves qui va ensuite faire le break.
00:25
Avec le 3-0 avec le CSC de Aviles et puis 4-0 avec la transversale de Vitinha.
00:32
Pour Barcola qui donne en retrait à Achraf Hakimi, le Marotin qui marque tranquillement.
00:37
Deux temps, donc victoire.
00:38
Au revoir Lionel Messi de cette Coupe du Monde des Clubs qui gagne 4-0 face à cette équipe de l'Inter-Miami.
00:43
Prochain adversaire en quarts de finale du Paris Saint-Germain dans cette Coupe du Monde des Clubs,
00:46
c'est le Bayern Munich qui s'est imposé 4-2 face à Flamengo.
00:51
Le but du 2-0, Harry Kane qui marque ce but.
00:54
Gerson, on voulait vous montrer quand même son but parce qu'il est quand même beau l'ancien joueur de l'Olympique de Marseille
00:59
à ce moment du match.
01:01
La 33ème minute de jeu, Neuer ne peut rien.
01:04
Et la 41ème sur le renvoi dans l'axe, Goretzka enchaîne contre le 3-1.
01:08
Et boum, ça c'est le but du 3-1 pour l'international allemand.
01:11
Et puis on vous montre également le but de Joshua Kimmich qui s'appuie sur Kane
01:15
qui marque sans contrôle, doublé pour Harry Kane, qualification.
01:18
Donc on va écouter Baradley Barcola, l'attaquant du Paris Saint-Germain.
01:23
Et puis Harry Kane qui lance ce PSG Bayern Munich.
01:26
Favoris, je ne sais pas.
01:27
Mais quand on joue comme ça, je pense qu'on est inarrêtables.
01:30
C'est très bien.
01:32
Maintenant, on a la chance d'avoir un coach qui nous comprend,
01:36
qui nous donne pas mal de repos.
01:38
On arrive à vraiment nous relâcher pendant les après-midi à Tentine.
01:42
C'est ce qui nous permet d'arriver frais à enchaîner.
01:44
Nous avons le sentiment que lorsque nous sommes au top de notre forme,
01:48
nous pouvons battre n'importe qui.
01:50
Nous aborderons ce match avec le même sentiment.
01:53
Nous le respectons, mais au final, nous sommes ici pour gagner la Coupe du Monde des clubs
01:57
et nous sommes impatients de relever ce défi.
02:00
Voilà pour César Watt.
02:01
Bon voilà, on a mis là dans le liner enfin les choses sérieuses qui commencent.
02:05
Benoît Ludo, je commence avec vous parce que d'un strict point de vue d'abord physiologique, physique,
02:08
ils ont joué certes encore un milieu or américain, Benoît,
02:11
mais dans un stade au toit fermé, climatisé, on a bien vu que c'était plus du tout le même rythme
02:16
que quand ils avaient joué contre l'Atletico, où l'Atletico par exemple était bouilli.
02:20
Ça aide forcément les organismes, ça aide leur jeu.
02:22
Bien sûr, et surtout lorsque sur les premiers matchs, vous jouez à midi et qu'il fait 40 degrés.
02:29
Au soleil, 35 calots, 40 degrés.
02:32
Avec la saison que cette équipe a faite, forcément c'était beaucoup plus compliqué.
02:38
Là, ils repartent sur un cycle normal comme ils ont connu cette saison avec un stade climatisé à 20 degrés.
02:46
Donc forcément, c'est beaucoup mieux pour les organismes.
02:48
Ils ont plié le match rapidement, ils ont pu faire des changements.
02:50
On ne s'attendait pas forcément à un Miami qui allait poser énormément de problèmes à ce Paris Saint-Germain-là.
02:59
Je les ai vus jouer sur les faces de poules, oui, Messi qui marque ce coup franc face à Porto,
03:04
qui les sauve un petit peu pour la Calife.
03:06
Oui, ils sont sortis des poules quand même.
03:07
Oui, mais malgré tout, on sentait que le Paris Saint-Germain était très largement au-dessus.
03:12
En seconde période, je pense qu'ils ont beaucoup plus géré.
03:15
Et même en gérant, l'Inter-Miami ne s'est pas procuré énormément d'occasion.
03:18
Donc non, le train est en marche, toujours en marche.
03:22
Après 11 mois de compétition, les joueurs sont toujours là.
03:24
Je vois Hakimi qui fait encore des allers-retours sans cesse.
03:28
Jusqu'où vont-ils s'arrêter ?
03:29
Mais il reste trois matchs peut-être pour le savoir, souhaitons-leur.
03:31
C'est vrai qu'on avait hâte de vivre ces retrouvailles entre Léo Messi et le Paris Saint-Germain.
03:36
Beaucoup sont tombés sur Messi, mais il y en a un qui a pris sa défense avec le style qu'on lui connaît.
03:40
C'est l'ancien joueur des Los Angeles Galaxy, l'autre club de LA.
03:45
Il a détruit l'Inter-Miami.
03:47
Zlatan Ibrahimović, j'y arrivais absolument.
03:51
Il a volé au chevet de Messi.
03:54
La défaite de Messi, non, non, non, ne parle pas de la défaite comme si c'était de sa faute.
03:59
Messi n'a pas perdu.
04:00
L'Inter-Miami l'a fait.
04:01
Avez vu, vu cette équipe, Messi joue parmi des statuts.
04:05
Pas des coéquipiers.
04:06
S'il était dans une vraie équipe à Paris, à Manchester ou dans n'importe quelle grande équipe,
04:10
tu aurais vu le vrai Lyon.
04:12
Voilà pour les mots de Zlatan Ibrahimović.
04:15
C'était aussi le retour d'Ousmane Dembele sur la pelouse.
04:18
L'occasion de retrouver son ancien coéquipier du Barça, Léo Messi,
04:22
et d'échanger leurs maillots avec ce mot.
04:25
Ousmane Dembele, quel plaisir de te revoir Léo.
04:28
Le meilleur de tous les temps.
04:29
J'espère que tu continueras à écrire l'histoire avec l'Inter-Miami,
04:32
comme lors de cette Coupe du Monde des clubs.
04:35
Ousmane Dembele qui a récupéré les maillots de tous ses anciens coéquipiers.
04:39
Ça a été un braquage.
04:40
Il y avait Louis Soares, Jordi Alba ou encore Lionel Messi.
04:44
Et même les crampons.
04:46
Je vous parlais de retrouvailles.
04:47
Il y en avait à tous les niveaux.
04:49
Comme notamment Messi et Luis Enrique.
04:52
Messi et Donnarumma.
04:54
Encore Presnel Kimpembe.
04:55
C'était vraiment une bonne ambiance.
04:57
Des contractés, des sourires.
04:58
On avait l'impression en tout cas que c'était vraiment sincère.
05:02
Retrouvailles aussi entre Nasser El Khalafi et David Beckham.
05:05
Le président du Paris Saint-Germain qui a remis au copropriétaire de l'Inter-Miami
05:09
un maillot Sir David.
05:12
David Beckham qui a terminé sa carrière à Paris en 2013.
05:16
Il est apparu très ému.
05:17
Et puis, dernière chose, ce match c'était aussi la centième de Bradley Barthola
05:21
sous le maillot du Paris Saint-Germain.
05:23
Nasser El Khalafi lui a remis une médaille
05:26
sous les applaudissements de ses coéquipiers dans le vestiaire.
05:29
Voilà, beaucoup d'autres fois et beaucoup de petites histoires dans la grande histoire.
05:32
Bon, il n'y a pas eu match Ludo, 4-0, on n'en parle plus.
05:35
La projection c'est le Bayern.
05:36
On a mis les choses sérieuses.
05:38
Commence dans un stade qui sera à la même heure climatisé,
05:40
toit fermé également entre deux belles équipes.
05:42
Même si le Bayern avait perdu en poule contre Benfica notamment.
05:45
Non, mais ça va être une belle opposition.
05:47
Moi je trouve que les Parisiens sont monstrueux.
05:49
Honnêtement, j'ai revu des séquences,
05:51
les mêmes séquences que j'ai vu contre l'Inter Milan.
05:52
Donc ça veut dire que finalement, peu importe l'adversaire aujourd'hui,
05:57
ce qui se met en place, il y a tellement de mouvements
05:58
dans le jeu d'intelligence, de déplacement,
06:01
de maîtrise, d'apprentissage.
06:04
Ils ont tout intégré de la méthode Luyssen-Riquet.
06:07
Et c'est pourtant très difficile, je peux vous dire,
06:08
quand vous êtes joueur sur un groupe de 18 comme ça,
06:11
d'intégrer les méthodes quand même folles,
06:14
enfin folles dans le mouvement de Luyssen-Riquet.
06:18
Avoir réussi comme ça, à se l'approprier autant,
06:21
honnêtement, moi je suis stupéfait.
06:24
À chaque fois que je les vois jouer, le but...
06:26
Donc contre le Bayern, vous êtes confiant ou pas ?
06:27
Parce que c'est une des rares fois où le PSG va aborder,
06:29
avec le statut de favori, un match contre le Bayern.
06:31
Ce n'est pas vraiment arrivé dans leur histoire.
06:32
Le Bayern était toujours favori face à n'importe qui.
06:35
La vérité vient un peu des joueurs,
06:35
c'est-à-dire que quand Barcola s'exprime,
06:38
il nous dit, en fait, moi quand on est dans de bonnes conditions,
06:43
il n'y a pas grand monde qui peut venir nous charger.
06:45
Il dit qu'on est inarrêtable.
06:46
Oui, j'ai envie de le croire.
06:48
Je pense que le PSG est largement favori face à un Bayern qui revient...
06:53
Ils ont perdu pour le Benfica, ils prennent deux buts hier.
06:56
Un Bayern qui revient dans le coup, mais qui n'est pas encore...
06:58
Le Paris Saint-Germain, quand il a tourné face à Boto à Fogo,
07:00
ils ont perdu.
07:02
Largement, je ne suis pas certain.
07:03
Non, mais c'est bien de son coach.
07:05
Les bookmakers trouvent que le Paris Saint-Germain est favori,
07:07
mais largement favori, c'est un petit peu l'avis aussi de Benoît et des bookmakers.
07:11
La victoire, c'est les côtés à 2-14, victoire du Bayern 3-0-5.
07:14
On n'est pas sur un 1-70, un 1-80.
07:16
C'est le Bayern quand même, ce n'est pas une termine.
07:18
Mais Olivier et Candice, le PSG favori face au Bayern,
07:22
c'est quand même un changement de monde pour les Parisiens.
07:25
Je le dis, je le répète.
07:26
Nous, on a grandi avec le Bayern qui était intouchable pour les clubs français.
07:29
Olivier, comment c'est ?
07:30
Oui, mais après ce qu'on a vu cette saison,
07:33
franchement, c'est juste logique.
07:36
Le PSG a marché sur l'Europe toute l'année.
07:38
Et puis, je trouve que le Bayern n'a pas été très convaincant sur ce début de compétition.
07:43
On l'a dit, ils ont perdu contre Benfica, contre Flamengo.
07:45
Ça a été très compliqué.
07:47
J'ai presque l'impression de voir deux équipes qui jouent des choses différentes.
07:53
J'ai l'impression que le PSG est sur la continuité de la saison prochaine.
07:56
Tandis que le Bayern est déjà en train de préparer la saison qui arrive,
07:59
parce que ça tourne beaucoup.
08:01
Je vois des joueurs, on travaille des automatismes.
08:03
Donc, il y a un qui termine, mais après, ça va jouer sur la fraîcheur.
08:08
Et la bonne nouvelle pour le PSG, c'est que Dembélé est là,
08:11
et qu'il a faim, et qu'il a dit qu'il avait qu'une envie, c'est d'aller au bout.
08:13
Eh bien oui, parce que c'est ça aussi qui a été un des faits marquants
08:15
quand on dit que c'est le retour de Dembélé.
08:17
Ils ont pris le temps, ils se sont qualifiés sans lui.
08:20
On a l'impression qu'il n'y a pas grand-chose.
08:21
Il en reste trois matchs, j'imagine,
08:22
qui ne peuvent pas se déconnecter pour trois matchs, je n'en sais rien.
08:24
Oui, vous avez deux semaines.
08:26
Là, en plus, ils ont deux jours de repos.
08:27
Ils vont pouvoir un peu aussi s'aérer les têtes.
08:29
C'est aussi l'enjeu, et c'est en ça que c'est bien géré aussi par le PSG.
08:32
Je ne sais pas trop les autres équipes.
08:34
Ça sort un peu moins, mais c'est vrai qu'ils ont ces phases de décompression.
08:38
On passe des moments en famille,
08:39
on passe des moments entre coéquipiers, en dehors du foot.
08:43
Et c'est ce qui permet de prolonger cette saison, effectivement.
08:45
Donc, il y aura encore un maximum maintenant deux semaines.
08:46
Il y a pas mal ce match quand même à suivre.
08:48
Avec Dembélé qui va être sans doute tiré, un PSG Bayern.
08:51
Oui, après, je me dis une coulion des clubs,
08:53
j'aurais envie de voir le PSG face à des équipes qu'on n'a pas l'habitude de voir.
08:56
Un PSG Bayern, on est un peu trop là.
08:58
Vous auriez voulu voir Flamingo, quoi.
08:59
Oui, par exemple, voir une autre opposition,
09:02
voir d'autres équipes de joueurs.
09:04
On sait qu'en regardant le match, on se dit,
09:05
c'est vrai, il y a Gerson là-bas, mais c'est vrai, il y a lui aussi,
09:07
Jorginho.
09:08
Ça se resserre un peu au niveau d'élite,
09:10
et je suis un peu d'accord avec vous, j'ai un peu peur que ce soit très européen.
09:13
Oui, on arrive sur les quarts,
09:15
donc là, ça commence à s'écrémer,
09:16
on retrouve beaucoup les équipes européennes.
09:18
J'étais un peu déçue, il y a 4-0 face à l'Inter,
09:20
j'étais habituée à autre chose, vous voyez ?
09:21
Oui, c'est plutôt un 5 pour vous.
09:24
Merci à Faro, qui nous dit que Messi dit,
09:26
oh du non, me vexez pas quand même,
09:27
parce que les choses sérieuses, restez correctes, s'il vous plaît.
09:30
Allez, on marque une courte pause,
09:31
dans un instant le hat-trick, début des actions,
09:34
des images avec Raphaël Sebaoun,
09:35
le petit filet d'Antoine Pinault,
09:37
et puis on a manqué à Mercato,
09:38
mais alors, Maus Costo, XXL,
09:41
il y a beaucoup de choses, avec les premiers mots,
09:43
notamment de Paul Pogba,
09:45
et on jouera aussi, à tout de suite.
09:51
Sous-titrage MFP.
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