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Sur CNEWS, vendredi 27 juin, Nathan Devers revient sur le point de rupture des émeutes : «Plusieurs élus de LFI refusaient d'appeler au calme».

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Transcription
00:00Je ne pense pas qu'il y ait de misérabilisme à essayer de chercher quelles sont les causes profondes d'un événement.
00:04Si on se contente de mots magiques, genre ce sont des barbares, des sauvages, ça n'explique absolument rien.
00:11C'est juste de l'indignation, mais de l'indignation aveugle sur la nature de ce qui s'est passé,
00:16d'indignation sans réflexion historique sur cet événement.
00:19Et donc ça ne permet pas de revenir à la racine de ce fait.
00:23Je crois qu'on peut quand même signaler deux choses.
00:25Lors des émeutes qu'il y a eu après la mort de Naël, il y a eu déjà une partie du monde politique.
00:31Et ça, c'est pour moi le point de rupture avec la France insoumise,
00:35non pas entre moi et la France insoumise, mais entre la France insoumise et la posture républicaine,
00:39c'était à ce moment-là, quand il y a eu plusieurs élus de la France insoumise
00:42qui, au moment où les émeutes commençaient, disaient « je refuse, enfin refusait d'appeler au calme »
00:49avec un argument complètement, une argussie, qui consistait à dire « sans justice, pas de paix ».
00:54Sous-titrage Société Radio-Canada
00:57Sous-titrage Société Radio-Canada

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