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C’est une interview de Jean-Luc Mélenchon qui fait beaucoup réagir sur les réseaux sociaux, car Jean-Luc Mélenchon exprime, sans aucun doute, ce qu’il pense vraiment et sa stratégie pour mettre en avant et accélérer l'immigration en France. Il se définit non seulement comme un « agent migratoire » mais il explique également qu’il préfère que les migrants viennent en France pour épouser « nos filles et nos gars», c’est son expression, plutôt que de mourir en mer.

Voici les principaux extraits de cette interview :

« Moi mon parti-pris est fait, je plaide pour une nouvelle France Il faut attendre, il faut travailler. Regardez Mme Meloni qui était contre les immigrés et qui dit finalement, nous ils nous faut 500.000 arabes et migrants pour travailler. Il faut patienter mais de tout de façon ça arrivera qu’ils le veuillent ou non. Il faudra se demander comme on fait un peuple et non pas une addition de ghetto. Il y a une vieille France.

On ne va pas dire aux gens de mourir en mer, moi je préfère qu’ils viennent ici pour épouser nos filles et nos gars et que nos familles prospèrent. Aujourd’hui, il y a un Français sur 4 qui a un grand-père issu de l’étranger aujourd’hui, alors que dans ma jeunesse c’était un sur 10.

Moi, je suis un agent de submersion migratoire… Tu vois ça c’est nos ruses… On prend à revers les fascistes !"

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Transcription
00:00Moi, mon parti pris est fait. Je plaide Nouvelle-France.
00:04J'ai pris les devants.
00:06Le concept de Nouvelle-France ne contient pas que la question de l'immigration,
00:09il contient beaucoup d'autres choses.
00:11Puisque je suis marxiste, il y a donc une réalité en soi de la Nouvelle-France,
00:14et une réalité pour soi.
00:16Mais ce problème est posé, et il faut attendre, il faut travailler patiemment,
00:20jusqu'au moment où on pourra dire, écoutez, nous, comme a fait Madame Mélanie,
00:25elle a dit non, et elle a été contre les Arabes et les immigrés,
00:29jusqu'au jour où elle est venue Premier ministre, elle a dit, mais il m'en faut 500 000,
00:32parce qu'ici, il n'y a plus les gens pour bosser.
00:35Donc la question qui se posera à ce moment-là,
00:38de toute façon ça se fera, qu'ils le veuillent ou non,
00:41d'ailleurs ça se fait déjà, ça va être plutôt de se demander comment on fait un peuple,
00:46et pas une addition de ghetto.
00:48Alors, voilà, et la Vieille-France, c'est...
00:52j'ai du mal à l'appeler Vieille-France, parce qu'elle n'a même plus ses arbres.
00:56Tu sais, moi je fais partie de gens qui sont capables,
00:59quand ils se baladent en bagnole, de te dire,
01:00ici c'est la Vieille-Agriculture ou la Nouvelle,
01:03à la forme qu'ont les arbres.
01:05Bon, ben les arbres, ils ont été abattus, et tout ça,
01:08enfin tu connais tout ça.
01:09Donc, on va avoir ce débat,
01:12et puis on portera notre position,
01:14qui n'est pas une position, nos bordeurs,
01:16les frontières n'existent pas, et tout ça,
01:18parce que ça, c'est pas possible,
01:20mais pour plein de raisons.
01:22Mais en tout cas, on ne va pas dire aux gens,
01:24mourrez dans la Méditerranée,
01:26moi je préfère qu'ils soient vivants,
01:27qu'ils viennent ici avec nous,
01:29épouser nos filles et nos gars,
01:30et que, bon, nos familles prospèrent.
01:33Moi, aujourd'hui, on a établi la statistique,
01:36un Français sur quatre,
01:37dans ma jeunesse, c'était un sur dix,
01:39un grand-père étranger, tu t'imagines,
01:40quand l'autre a dit qu'il y avait un risque de submersion migratoire,
01:43moi je lui ai dit, moi je suis un agent de submersion migratoire,
01:46s'il vous plaît, et puis celui-là aussi,
01:47et puis celui-là, tu nous as vus dans les meetings,
01:50tu vois, ça c'est nos ruses,
01:52on a pris, on prend à revers les fascistes,
01:55on dit, il y en a marre d'entendre les fascistes dire,
01:58ils se...

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