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Stéphanie, la maman du jeune Elias, tué en janvier dernier, s'est exprimée sur les sanctions à l'encontre des mineurs violents : «Il faut agir rapidement face à cette hyper violence des mineurs».

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Transcription
00:00Je ne veux pas être désespérée parce que je me dis qu'il y a des hommes politiques et des femmes politiques.
00:08Marie-Claire Carreger que j'ai rencontrée cet après-midi, Bruno Rotaillot, Gérald Darmanin, je l'ai dit qu'on a rencontré.
00:16Il y a des magistrats, je pense que les choses vont avancer.
00:20Je ne peux pas être désespérée. Si je suis désespérée, j'arrête de vivre.
00:25Donc il faut que les choses avancent et je pense que les choses avanceront aussi par les Français, tout simplement, par les citoyens.
00:35Parce que depuis que je suis intervenue chez votre concert à Pauline de Malherbe, en fait tout le monde vient me voir.
00:43Dans la rue, les gens viennent me voir ?
00:45Les gens viennent me voir en me disant on est d'accord avec vous, la délinquance des mineurs c'est terrible.
00:52Oui c'est des faits de société, oui on a peur pour nos enfants, n'importe qui, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de classe en plus socio-professionnelle.
01:01Les gens viennent me voir et donc l'opinion publique est en faveur du fait qu'il faut faire quelque chose,
01:12il faut agir rapidement face à cette hyper-violence des mineurs.
01:16Et ce qui a été un peu, pour le coup, désespérant avec le rendu du Conseil constitutionnel,
01:24c'est qu'il y a un fossé entre les Français et les sages du Conseil constitutionnel.

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