00:00Je vous ai perdu, Charles. Je vous vois, mais vous ne bougez plus et vous ne parlez plus.
00:04Mais je ne suis pas responsable des changements d'avis de l'administration américaine.
00:08Et ça tombe bien, parce que le président français parle pour la France.
00:11Charles, je vous revois, mais vous avez perdu.
00:13C'était Manu, en mode Hubert Bonisseur de la Bat,
00:17qui se plaignait que Trump quitte le G7 au Canada.
00:20C'est le pitch du prochain OSS dans la belle province.
00:24Bonjour Alex.
00:24Bonjour Abondi.
00:25Bonjour M. Lesorec.
00:26Bonjour Thomas, bonjour à tous et à toutes.
00:28Bon, vous faites votre cabrivière.
00:30Donald Trump a taclé Emmanuel Macron.
00:34On en parlait dès hier matin, après que ce dernier a déclaré que le président américain
00:37avait quitté de façon anticipée la réunion en disant à son sujet
00:39Emmanuel, il ne comprend jamais rien.
00:42Eh oui, Emmanuel Macron qui se prend donc une deuxième gifle devant tout le monde en moins d'un mois.
00:46Et celle-là, elle ne vient pas d'un proche.
00:48La phrase exacte en anglais est plus drôle que ça.
00:51Tendez l'oreille.
00:52Emmanuel, nice guy, but he doesn't get it right too often.
00:56Emmanuel, nice guy, but he doesn't get it right too often.
01:04Voilà, Tidarena à la traduction, je vous la fais.
01:07Emmanuel, il est très sympa, mais il n'en tape pas souvent une dedans.
01:11Ce qui est très drôle.
01:13Alors bon.
01:13Ce n'est pas très diplomatiquement correct.
01:14Non, et surtout Donald, thank you for the information, but it is not a scoop.
01:19Nous, on vit en France depuis 6-7 ans, on s'en est rendu compte qu'il n'en tapait pas toujours une dedans.
01:258 ans.
01:258 ans, oui, mais au début, quand il a hurlé, c'est notre projet, ça aurait dû nous alerter.
01:30Mais non.
01:31Mais après, Christophe Castaner à l'intérieur, les vidéos avec McFly et Carlito, quand il caresse Mbappé sur la pelouse, là on s'est dit, il ne les met pas toutes dedans.
01:38Donc merci Donald, tu ne nous as rien appris.
01:40Bon, parlons encore de Trump hier.
01:41Michel Barnier, l'ancien Premier ministre, est venu présenter son livre, c'était dans Télé Matin.
01:45Télé Matin, Thomas, une excellente émission.
01:47Absolument.
01:47Peut-être moins bien depuis septembre dernier.
01:51Je situe ça à peu près là, moi.
01:52Bon, il a donc confié Michel Barnier que lors de l'inauguration de Notre-Dame, il avait impressionné Donald Trump.
01:58Bien sûr.
01:59Qu'il aurait, attendez, encouragé à continuer le combat politique et donc à se présenter en 2027.
02:06Non mais Donald Trump aurait encouragé Michel Barnier.
02:09C'est ce qu'il dit dans l'église, alors peut-être il a vu le Christ, je ne sais pas, mais en tout cas c'est écrit dans le bouquin de Michel Barnier.
02:14Alors on n'a pas la phrase exacte.
02:15C'est ce qu'il lui a dit, Michel, nice guy, put it right, pour 2027.
02:21En tout cas, c'est plutôt surprenant que Trump encourage Barnier.
02:24A mon avis, quand il a vu arriver, il s'est dit, oh, the French Joe Biden, he's there.
02:29Bon, revenons, vous allez nous fâcher avec tout le monde.
02:31Revenons à Emmanuel Macron qui, selon le Nouvel Obs, serait très agacé par l'inertie de François Bayrou.
02:36Oui, parce que François Bayrou, son problème, ce n'est pas qu'il n'en tape pas une dedans, c'est qu'il n'en tape pas une tout court.
02:41Oui, sans vouloir être mauvaise langue, il y a des électeurs de gentil Berry qui sont moins inertes, apparemment, que François Bayrou.
02:48Politiquement, François Bayrou, c'est une sorte d'anti-Luc et Luc, c'est-à-dire son ombre tire plus vite que lui.
02:56On va changer de sujet parce qu'effectivement, on va se fâcher avec tout le monde.
02:59Vous vouliez nous faire, Alex, un petit point météo ?
03:01Bien sûr.
03:01Une vague de chaleur, évidemment, inévitable, va toucher la France.
03:06La première canicule semble arriver pour cette fin de semaine.
03:09On souhaite donc bon courage aux gens qui souffrent de la chaleur, mais aussi une bonne fête à tous ceux qui ont acheté en viagé lors de ces dernières années.
03:16On a une pensée toute particulière, évidemment, pour tous les auditeurs d'RTL.
03:19Arrosez-vous, buvez beaucoup d'eau.
03:22Les audiences, c'est bientôt, ce n'est pas le moment de nous lâcher.
03:25On consomme à présent.
03:27Les Français consomment toujours de plus en plus de vêtements neufs, ni vous, ni moi, visiblement.
03:32C'est gentil, mal perdu.
03:33Avec 10 millions d'articles achetés, 10 millions par jour en 2024.
03:37C'est énorme, c'est énorme.
03:38Heureusement, cette surconsommation de vêtements neufs est en partie compensée par la garde-robe de Philippe Cave-Rivière,
03:44dont la plupart des gilets sont entièrement composés de dons refusés par les magasins Emmaüs.
03:49C'est un gilet, poncho, pyjama.
03:51Je ne sais pas exactement, je ne maîtrise pas la mode.
03:53Un fait divers étrange dans le Rhône.
03:54Un médecin violemment agressé par une patiente, après avoir refusé de prolonger son arrêt maladie.
03:59Et oui, on imagine que le médecin, après, a nargué la patiente à l'issue de l'agression,
04:02en lui disant, et maintenant, je sais lequel de nous deux aura droit à son projet maladie.
04:06Et puis, on termine avec une brève qui nous emmène au Brésil.
04:08Au Brésil, où un ancien employé d'une brasserie a porté plainte contre son ex-patron,
04:12au motif qu'on l'obligeait, dit-il, à boire 4 litres de bière par jour.
04:15Et oui, c'est incroyable la multiculturalité du monde.
04:19Parce que ce qui, au Brésil, est considéré comme un motif de plainte,
04:21en Belgique, on appellerait ça un incitant à l'embauche.
04:29Merci beaucoup, Alex.
04:31Dans un tout petit instant, on va retrouver Julien Courbet.
04:40Et on vous remercie, Tina Arena, d'être venue nous voir ce matin.
04:45Bon anniversaire avec un peu d'avance.
04:46Et on retrouve tout de suite Julien Courbet.
04:49Bonjour, Julien.
04:49Vous pouvez me le souhaiter aussi.
04:51C'est quand, vous ?
04:51Dans un an.
04:53Enfin, un peu moins, mais comme ça, ça s'est fait.
04:55Vous savez, quand on a un peu de temps comme ça devant nous,
04:57profitons-en pour régler des trucs qu'on n'aura peut-être pas le temps de faire le jour-même.