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[#Journal] Le 19H30 du 17 Juin 2025
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00:00...
00:00Mesdames et messieurs, bonsoir, ravis d'être des vôtres pour la principale édition d'information de la journée sur GMT-TV.
00:23Dans l'actualité de ce mardi 17 juin 2025, l'IATA, l'Association internationale du transport aérien, a alerté via un courrier adressé au ministre des Transports,
00:34Ulrich, Monfumbi, Monfumbi, le 29 mai 2025, sur le caractère vertigineux des hausses de la redevance de sûreté.
00:41Vous le verrez dans ce journal.
00:42En ouverture, lundi 16 juin 2025, le président de la République, Brice Clotaire Oliguema, a inauguré la station de pompage d'eau potable du PK5,
00:53une infrastructure de pointe qui fait naître l'espoir des populations pour l'amélioration de l'adduction de l'or bleu,
01:00et ce grâce au réservoir de 10 000 m3 situé à la cité de la caisse reportage.
01:05C'est en présence des personnalités de renom, dont le président enfin de mandat de la Banque africaine de développement,
01:12que le chef de l'État gabonais a inauguré la station de pompage en eau potable du PK5.
01:18Cette infrastructure s'appuyant sur un réservoir de 10 000 m3 situé à la cité de la caisse,
01:24constitue une avancée significative dans l'amélioration de l'éducation en eau potable dans le grand libre-ville.
01:30Quand les espoirs se ravivent, construite par la société chinoise Shana First,
01:36la station de pompage du PK5 est conçue pour optimiser la distribution d'eau en alimentant la conduite des N1000
01:42en provenance des unités d'un tombe 5 et 6.
01:45Aussi, elle approvisionne le réservoir de stockage.
01:49Selon le ministre en charge du secteur, Philippe Tonangoy,
01:52la station a été redimensionnée pour accueillir 5 pompes à vitesse fixe,
01:57d'une capacité de 1 200 m3 par heure.
02:02Cette modernisation infrastructurelle vise à répondre aux besoins croissants en eau potable
02:06des populations du grand libre-ville, incluant la commune d'Aconda et d'Ovendo.
02:12Événements dans un autre.
02:14Le chef de l'État a profité pour saluer l'expertise des secteurs impliqués,
02:18notamment Jervé Nguema Mba, coordinateur du programme intégré pour l'alimentation en eau potable
02:24et l'assainissement de Libreville Paypal, qui a été médaillé pour son engagement.
02:31Cette reconnaissance souligne l'importance de ce projet pour le développement socio-économique du Gabon.
02:37Il faut tout de même souligner que les habitants placent de grands espoirs dans cette infrastructure.
02:43Nous voulons de l'eau au robinet.
02:44« L'accès à l'eau potable ne doit plus être un luxe », a déclaré un chef de quartier de la cité Meubiem,
02:51mettant en exergue l'attente des populations des zones environnantes.
02:55Car, faut-il le rappeler, que si l'inauguration suscite l'optimisme,
02:59les Gabonais attendent des résultats concrets pour que l'eau coule enfin régulièrement dans leur foyer.
03:05Ce projet, financé en partie par des partenaires internationaux,
03:08illustre l'engagement du Gabon à répondre aux défis de l'accès à l'eau.
03:13Un endroit, un droit fondamental, reste à concrétiser ses avancées
03:18pour transformer les espoirs en réalité pour les ménages du Grand Libreville.
03:23Dans un courrier adressé au ministre des Transports Ulrich Monfumbi-Monfumbi,
03:27le 29 mai 2025, l'IETA alerte sur le caractère vertigineux des hausses,
03:31la redevance de surenté qui finira par impacter fortement le secteur du transport aérien
03:36qui est un levier essentiel de développement.
03:38José Bilougué.
03:39Au Gabon, le ciel pourrait bien se charger d'orages tarifaires pour les voyageurs et les compagnies aériennes.
03:45Depuis le 1er juin 2025, un arrêté ministériel fait bondir les redevances de sûreté dans les aéroports du pays,
03:52suscitant une vive réaction de l'Association internationale du transport aérien, l'IETA.
03:57Dans un courrier adressé au ministre des Transports Ulrich Monfumbi-Monfumbi, le 29 mai 2025,
04:02l'IETA alerte sur le caractère vertigineux des hausses de la redevance de sûreté.
04:07La redevance nationale est passée de 3 000 à 7 000 francs CFA, soit une hausse de plus de 133 %.
04:13Celle pour les vols régionaux de 7 000 à 18 000 francs CFA, soit une augmentation de plus de 157 %
04:19et celle des vols internationaux de 10 000 à 23 000 francs CFA, ce que représente un bond de l'ordre de plus de 130 %.
04:26Des augmentations jugées excessives et décidées selon l'organisation, sans concertation préalable.
04:33Ces redevances n'ont pas respecté les principes de l'OACI.
04:36Pas de transparence sur les coûts, aucun préavis suffisant pour les compagnies
04:40et surtout aucune consultation sérieuse des usagers.
04:44En clair, pour un passager au départ de Libreville, le billet est plus cher,
04:47sans que l'on sache vraiment pourquoi ni comment ces redevances ont été calculées.
04:51Pourtant, les compagnies d'Iliatea reversent déjà de nombreuses taxes à l'État gabonais.
04:57Le contexte n'est pas anodin.
04:58L'aviation peine à redécoller en Afrique centrale
05:01et alors que d'autres régions comme la CDAO en Afrique de l'Ouest
05:04allègent les charges pour relancer le secteur,
05:07le Gabon prend selon certains observateurs la direction inverse.
05:10Nous implorons les autorités gabonaises de soutenir le transport aérien
05:14en réaffectant certaines taxes existantes plutôt qu'en alourdissant les charges sur les passagers.
05:20Un appel à la concertation et au réalisme car si le transport aérien est en luxe pour certains,
05:26il reste un levier essentiel de développement pour tous.
05:29Reste à savoir si le gouvernement gabonais entendra ce signal venu du ciel.
05:33Ce mardi 17 juin 2025 à Libreville s'est ouverte la 14e session ordinaire
05:39du cadre permanent de concertation des trésors publics de la CEMAC
05:43placée sous le thème réforme fiscale et pérennité du marché des valeurs du trésor
05:47et présidée par le ministre d'État, de l'économie, des finances, du budget et des participations,
05:52Henri-Claude Oima.
05:54Blandine Biloguet.
05:54La 14e session ordinaire du cadre permanent de concertation des trésors publics
05:59de la communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale
06:02s'est ouverte le mardi 17 juin 2025 à Libreville
06:05sous la présidence du ministre d'État, de l'économie, des finances, du budget
06:09et des participations, Henri-Claude Oima.
06:12Placée sous le thème réforme fiscale et pérennité du marché des valeurs du trésor,
06:16cette rencontre vise à améliorer la résilience des finances publiques
06:19et à dynamiser le marché régional des titres publics.
06:22Dans son discours inaugural, le directeur national de la BUSC pour le Gabon,
06:26Rodrigue Bissielou, a rappelé les objectifs de la session.
06:29Analyser l'évolution du marché domestique des titres publics,
06:33accélérer la mise en œuvre des recommandations antérieures
06:35et tracer des perspectives pour la CEMAC.
06:38Lançant de manière soulennelle les travaux de cette 14e session ordinaire du CPC-TP-CEMAC,
06:43Henri-Claude Oima a, compte à lui, souligné l'importance des réformes fiscales compliées
06:47de stabilité financière et de crédibilité des titres souverains.
06:50« Une fiscalité bien pensée et bien administrée est un instrument stratégique
06:54de souveraineté économique », a-t-il déclaré.
06:57Insistant sur l'élargissement de la sede fiscale, sur la simplification des procédures
07:01et la digitalisation pour accroître la transparence et réduire l'évasion fiscale.
07:06Cette 14e session ordinaire du CPC-TP-CEMAC intervient dans un contexte économique
07:10marqué par une croissance régionale de 3,2% en 2024,
07:14à laquelle s'ajoutent des défis persistants à l'instar des déficits budgétaires,
07:18élevés et endettements publics importants.
07:21Au Gabon, l'économie a affiché une résilience avec une croissance de 3,4%
07:24malgré un endettement représentant près de 100% des recettes.
07:28Le membre du gouvernement a par ailleurs rappelé que les autorités gabonaises,
07:31sous l'impulsion du président Brice Ruteroli-Gingema,
07:34ont engagé des réformes structurelles pour diversifier l'économie
07:37et optimiser les dépenses publiques et moderniser la gouvernance.
07:40Les travaux de cette session ont effectivement débuté avec le panel 43
07:44modéré par Alain Thierry Moifo,
07:46consacré à la rationalisation des exonérations fiscales
07:49et à l'optimisation du recouvrement des recettes.
07:53Gardé Jal-Sangnard, de la commission de la CEMAC,
07:56a présenté les enjeux enrichis par les retours d'expérience
07:59des directions générales des impôts du Cameroun et de la République centrafricaine.
08:03Deux focus thématiques ont ensuite suivi ce cadre d'échange.
08:06Le premier, animé par Josué Joblenet de la BEAC,
08:08a abordé la valorisation des portefeuilles de titres dans la CEMAC
08:12avec une présentation d'Armond Goupéou
08:14et des contributions de la COBAC et de la COSUMAF.
08:19Le second, sous la direction de Samuel Tella,
08:21a exploré les opérations de rachat et d'échange de titres publics
08:24avec Christian Autoli de la BEAC
08:26et des témoignages du Trésor gabonais d'Arvest AM et de BGFI Banque Congo.
08:31Cette 14e session ordinaire du CPC-TP-CEMAC
08:34qui se poursuivra jusqu'au 19 juin prochain par des échanges approfondis
08:37ambitiant de formuler des recommandations concrètes
08:40afin de consolider l'intégration régionale
08:42et la soutenabilité des finances publiques,
08:44comme l'a conclu le ministre de Tutelle, Enrique de Oïma.
08:47Ces réflexions doivent permettre à bâtir un système financier robuste,
08:50capable d'accompagner le secteur privé et les pouvoirs publics,
08:53tout en respectant les normes régulatoires.
08:56Les participants venus de toute la CEMAC
08:57ont exprimé leur engagement à relever ces défis collectifs.
09:00Dans ce 19h30, nous parlons d'un défaut majeur dans le secteur de la santé,
09:06à savoir la communication autour de la spécialisation des centres hospitaliers universitaires
09:12qui devraient permettre une meilleure prise en charge médicale des patients.
09:16Regardons cela.
09:16Au Gabon, la spécialisation des centres hospitaliers universitaires
09:21devrait permettre une meilleure prise en charge médicale des patients.
09:24Pourtant, cet idéal régalé en souffre d'un défaut majeur,
09:29à savoir la communication alambiquée de ces structures sanitaires.
09:35Résultat, les patients se retrouvent souvent au mauvais endroit au mauvais moment
09:39avec des conséquences parfois irreversibles.
09:43Autrefois, le centre hospitalier universitaire de Libreville
09:46disposait d'un service de traumatologie.
09:48Aujourd'hui, c'est le centre hospitalier universitaire d'Ovando
09:53qui concentre cette spécialité,
09:56tout comme la nérochirurgie,
09:59une évolution qui s'inscrit dans une volonté de réorganisation.
10:04Mais cette réorientation spécifique n'a pas été suffisamment expliquée à la population.
10:10On arrive à l'hôpital et c'est sur place qu'on te dit qu'il faut aller ailleurs
10:14car ce n'est pas la structure appropriée à déplorer un patient.
10:19Dans l'imaginaire collectif,
10:21en cas d'urgence, le réflexe reste de se rendre dans la structure hospitalière la plus proche
10:27afin d'être pris en charge par un médecin.
10:30Pourtant, il n'est plus garanti d'y trouver le spécialiste requis.
10:35Ainsi, un accidenté de la route acheminée au CHUL peut apprendre
10:40trop tard qu'il doit être transféré à Ovando.
10:44S'agissant de l'ophtalmologue ou de l'ORL,
10:48là encore, ces spécialités sont absentes du CHUL.
10:52Mais combien de personnes sont-elles informées de cette répartition ?
10:57Une répartition louable mais mal vulgarisée.
11:01Cette mauvaise diffusion de l'information génère des situations absurdes
11:05et parfois dangereuses comme les pertes de temps dans des situations critiques,
11:10des chassés croisés entre hôpitaux,
11:13avec en prime des pronostics vitaux engagés.
11:18Une meilleure organisation passe par une communication claire,
11:23accessible et massive.
11:25De ce fait, le ministère de la Santé gagnerait à lancer des campagnes d'information à grande échelle.
11:32Des spots radios, vidéos sur les réseaux sociaux,
11:37affichent sur les panneaux publicitaires,
11:39communication dans les transports,
11:42dans les écoles, les marchés.
11:46Chaque citoyen doit savoir où aller selon le problème de santé rencontré,
11:51parce qu'une information non partagée peut coûter une vie.
11:54Et à contrario, la connaissance peut tout simplement la sauver,
12:01gageant que ces facteurs seront pris en compte pour le bien de tous.
12:06En sport, selon les récents classements,
12:08Opta Power, un système mondial d'évaluation des équipes de football,
12:12le football gabonais brille à l'échelle internationale
12:15avec une performance notable.
12:17Plus d'explications dans ce reportage.
12:19Le football gabonais brille à l'échelle internationale
12:23avec une performance notable dans les récents classements,
12:25Opta Power, un système mondial d'évaluation des équipes de football.
12:29Ce ranking prestigieux qui attribue un score de capacité
12:32sur une échelle de 0 à 100 à plus de 13 000 clubs masculins
12:36et 2 000 équipes féminines,
12:38place Manga Sport à la 107e position mondiale
12:41avec un score impressionnant de 69,6.
12:44C'est une reconnaissance appréciable envers le club sponsorisé par la Comilogue
12:48puisqu'elle met en lumière la compétitivité des clubs gabonais
12:51sur la scène africaine et mondiale.
12:53L'AS Manga Sport se distingue comme le fer de lance du football gabonais
12:56dans ce classement.
12:58Le club de Mwanda enregistre un score de 69,6
13:01pour une 107e place mondiale,
13:03ce qui en fait le leader national,
13:06bien loin devant ses compatriotes également évalués.
13:08Dans ce classement des 13 000 meilleurs clubs masculins au monde,
13:11le cercle Mbéri Sportif, autre club de première division,
13:14se positionne à la 2124e place mondiale avec un score de 63,9.
13:19Plus loin, le Stalmanji de Port Gentil apparaît à la 2192e place,
13:23illustrant l'écart entre les clubs gabonais dans ce classement rigoureux.
13:27Il est à signaler que les classements Optapower,
13:29reconnus pour leur méthodologie robuste,
13:31évaluent les performances des équipes à travers des critères précis.
13:34Ce classement prend en compte les résultats en compétition nationale et internationale.
13:39Sur le continent africain, les clubs subsahariens,
13:40dont ceux du Gabon, sont très mal positionnés face à leur homologue du Maghreb,
13:45souvent habitués à performer dans les compétitions continentales.
13:48Manga Sport, avec son score de 69,6,
13:50prouve que le football gabonais peut rivaliser avec des équipes d'envergure mondiale,
13:54même si la route reste longue pour atteindre les sommets.
13:57Cette performance est une fierté pour le Gabon
13:59et un encouragement pour les clubs locaux à redoubler d'efforts.
14:02L'AS Manga Sport, avec son histoire riche et son palmarès national,
14:06incarne le potentiel du football gabonais à rayonner au-delà des frontières.
14:10Son chiffre du jour qui est 65, c'est le pourcentage des personnes séropositives démunies au Gabon.
14:16La source est Facebook.
14:18Le verbatim, tromper le président de la République, j'entends cette expression depuis Omar.
14:23Le président de la République s'appuie sur un gouvernement, sur l'administration,
14:27sur ses collaborateurs, sur ses services de renseignement et plein d'autres canaux.
14:32Il dispose de tous les moyens pour recouper les informations
14:34qui lui sont communiquées au moment de prendre des décisions.
14:37Il n'y a personne pour le tromper, sinon il changerait ses collaborateurs tous les jours.
14:43Donc, on arrête.
14:45Jean-Valentin Leyama, député de la transition, est l'auteur de ce verbatim.
14:49La source est un poste sur Facebook du 15 juin de mai 25.
14:54C'est la fin de ce 19h30.
14:55Merci pour votre attention.
14:57N'oubliez pas les gestes simples.
14:58Likez, commentez, partagez.
15:00Bonne soirée à vous.
15:01A demain. Au revoir.
15:06Retrouvez GNT TV sur vos différents réseaux sociaux.
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