Le 2 septembre 1992, Johnny Hallyday est l’invité de l’émission culte Sacrée Soirée sur TF1. À l’approche de sa série de concerts à Bercy, il en assure la promotion et offre un moment fort en interprétant "La Musique Que J’aime" en duo avec Florent Pagny. Un instant rare et puissant entre deux voix emblématiques de la chanson française. À voir ou à revoir pour les fans de rock et de grandes performances live !
00:00Parmi tant d'autres, parmi Johnny, beaucoup d'autres succès, il y a une chanson de Michel, qu'on a beaucoup entendu cet été aussi,
00:15que tu as dû entendre aussi, qui est chantée par Cindy Lopper.
00:17Oui, Le Monde est Stone.
00:18Le Monde est Stone.
00:19Oui, c'est super.
00:19Regardez, quelques mesures, c'est aussi signé Michel Berger.
00:23Cindy Lopper, Le Monde, The World is Stone.
00:25Merci Michel, merci Michel Berger.
00:36Johnny, à tout à l'heure, à tout à l'heure, nous parlerons de Merci.
00:38Je rappelle qu'Adeline était notre envoyée spéciale hier aux répétitions, on verra ça.
00:42Et puis Johnny va chanter en direct avec une autre personne, le Grand Orchestre de Sacré-Soiré.
00:45Nous verrons ça également.
00:47Je vous ai prévenu en début d'émission, vous avez, vous, la possibilité d'interroger Johnny,
00:52d'interroger le mari de Marilyn Monroe, Jean-Claude Briali ou d'autres.
00:55Pour ce faire, n'hésitez pas, vous appelez SVP et le numéro de téléphone est le suivant,
00:59le 49 99 11 11, notez bien, ou 16 1 49 99 11 11 si vous n'êtes pas à Paris.
01:06Et comme toute peine, mérite salaire, pour 20 d'entre vous, il y aura de superbes cadeaux,
01:10la collection complète des films de Marilyn Monroe.
01:14Regardez, c'est...
01:15En vidéocassette de Fox, regarde.
01:18En vidéocassette de Fox, regarde.
01:19Ah bon, on s'en occupera.
01:2017 films, ça suffit maintenant, hein.
01:2217 films...
01:24Ah ça coûte un peu plus cher, mais tant pis, tant pis pour TF, hein.
01:2717 films de Marilyn Monroe, 49 99 11 11, venez avec moi.
01:31Si, bien entendu, ben voilà.
01:32Et ça recommence.
01:47Johnny, alors, tu es venu là pour chanter, mais tu es venu là pour parler.
01:53Et je te ferai parler sous la menace et sous la force s'il le faut.
01:56Raconte-moi Bercy.
01:58Hein ?
01:59À quoi, hein ?
02:00Raconte-moi Bercy.
02:01À que ?
02:01À que ?
02:02Qu'est-ce qui va se passer à Bercy ?
02:04Parce que chaque fois que tu montes sur scène, c'est un événement.
02:08Il est vrai qu'il serait bon que tu soulèves un petit coin du voile pour qu'on sache un peu ce qui nous attend.
02:12Oh, je vais faire plein de choses à Bercy.
02:14Par exemple.
02:16Bon, déjà, mon entrée sur scène, ça va être quelque chose d'inhabituel.
02:19Parce que j'essaie toujours de trouver, à chaque fois que je fais un nouveau spectacle, c'est vrai que c'est jamais facile de trouver des choses un petit peu qui sortent de l'année dernière et différentes de la dernière fois.
02:34C'est toujours une entrée un petit peu spectaculaire et une sortie spectaculaire.
02:39Entre les deux, c'est pas possible.
02:40Un jour, j'avais rencontré Maurice Chevalier et j'avais demandé des conseils. J'étais très jeune, j'avais 14 ans à l'époque.
02:48Et je lui ai demandé des conseils. Il m'a dit, petit, écoute, tu chantes.
02:52Mais il faut toujours que tu soignes ton entrée sur scène et ta sortie. Au milieu, eh bien, tu chantes.
02:59Voilà. Donc, qu'est-ce qu'on peut savoir sur l'entrée ?
03:01L'entrée, je ne peux pas vraiment dire ce que ce sera parce que ce ne sera plus une surprise.
03:06Mais... Oh merde.
03:07Vas-y, casse tout le truc. Non, mais ça ne va pas.
03:09Tu sais combien ça coûte, un bout de machin comme ça.
03:11Et Louvain, il casse le décor. C'est un décor tout neuf de sa quatorée. Arrête de toucher ça.
03:17Vas-y, continue, je te surveille.
03:18Bon, donc, ce sera quelque chose que j'ai vu aux Etats-Unis. C'est un peu magique. C'est un petit peu un tour de magie.
03:28Donc, je n'en dirai pas plus.
03:29Je te remercie d'être venu là pour dire strictement rien.
03:32La sortie sera quelque chose d'assez incroyable.
03:35Mais tu ne m'en diras pas plus.
03:36Mais donc, vous le verrez quand vous viendrez à Versy.
03:39Donc, conclusion, c'est la partie.
03:40Et puis, quand au reste... Non, mais je vais quand même dire quelque chose.
03:42Dis-moi.
03:42Quelque chose. Il y a... Donc, les lumières sont faites par Jacques Roverlis, avec qui je travaille depuis plus de 15 ans maintenant.
03:48Et il y a énormément des faits techniques, des faits de lumières. Il y a des scènes qui montent avec certains musiciens dessus, des scènes qui descendent. Enfin, ça va être assez... Je crois que ce sera vraisemblablement un des meilleurs Versy que j'aurais fait. En tout cas, je préfère celui-ci que celui que j'ai fait la dernière fois.
04:11Est-ce que tu vas chanter tout ça ? Et vous... Non, mais... Non, c'est ça. Non, ça, je...
04:15Est-ce que vous connaissez autant d'artistes qui ont chanté 10 kilos, en gros, quoi ?
04:19Ça fait 10 kilos ?
04:20Je ne sais pas, mais ça fait lourd. Non, ça ne fait pas 10 kilos.
04:22Non, mais ça... Oui, tout ça, je vais le faire, mais pas cette fois-ci à Bercy. Ça, je le garde pour le Parc des Princes l'année prochaine.
04:30D'accord. On en parlera plus tard. On peut regarder la répétition. Qu'est-ce qui se passe, là ?
04:35Ah, le téléphone sonne. Oui, d'accord, bien sûr. Je voulais qu'on voit un peu un bout de la répétition. Ou alors, François, c'est comme vous voulez. François, si vous voulez parler, parlez.
04:41Oui, je veux bien vous parler, Jean-Pierre, parce qu'il y a justement une question sur le Parc des Princes. Est-ce que Johnny fera le Parc des Princes pour ses 50 ans ?
04:49Normalement, au mois de juin l'année prochaine, je n'aurai qu'à 50 ans, oui.
04:53Et donc, tu feras le Parc des Princes au mois de juin l'année prochaine ?
04:55Oui.
04:56Donc, ça, voilà.
04:57Voilà, alors c'est M. Benoît Souraud qui habite à Corbeil.
05:01Et donc, c'est justement au cours de ce spectacle que je ferai donc une grande majeure partie des chansons que j'ai chantées depuis les années 60 jusqu'à maintenant, en choisissant, bon, les chansons qui ont le plus plu au public. Et puis voilà, quoi.
05:17Bien. Alors, la répétition, hier soir, on est allé filmer. On peut regarder quelques extraits de cette répétition, vous dire que Johnny prend au sérieux sa rentrée parisienne sur scène. Combien de personnes seront avec toi cette fois-ci ?
05:32En tout, avec les techniciens ?
05:34Oui.
05:34Oh, 200.
05:36200. Combien de jours ? Est-ce que tu as fait un petit peu des comptes ? On va parler quelques chiffres ?
05:39Écoute, pour l'instant, on fait trois semaines. Il est question qu'on fasse quelques jours de plus parce que, bon, comme maintenant, ça commence à être plus ou moins complet.
05:50On va essayer d'en faire.
05:52Est-ce que tu es toujours inquiet avant d'entrer sur scène ?
05:54Je suis mort de trac.
05:56C'est vrai ?
05:57Oui.
05:57Mais mort de trac, tant d'années après, tant de spectacles, tant d'années après, tant de spectacles ?
06:01Oui, mais le trac, ça ne se comprend pas, c'est comme ça.
06:03Bien, d'accord. Nous sommes, on regarde, alors, les répétitions, écoutons.
06:10Et je n'allais pas m'arrêter là.
06:15Une autre rouille, je l'ai subie.
06:17Il a fallu que je te trouve là.
06:22Ouh, faut le manger, c'est temps, mais, ouh, et comme ça, je suis resté à chaque instant de ma propre vie.
06:40Alors, j'ai oublié.
06:47Alors, Johnny, généralement...
07:09Attendez, attendez, attendez.
07:12Généralement, lorsqu'on répète un spectacle, c'est important.
07:16J'ai pris juste une séquence, là, de...
07:18Je vais le graver dans ma vie, juste où je me gourde paroles.
07:20C'est bien, merci, merci beaucoup.
07:22C'est notre envoyé spécial qui a choisi.
07:24En effet, j'en reviens à ce que j'ai dit.
07:26Il a marqué que je me suis... Bon, j'ai pas fait ma fille, quoi.
07:28Très bien.
07:30Lorsqu'on répète, on n'aime pas être ennuyé, les interviews, etc.
07:33Mais, Sacré Soirée a envoyé une envoyée spéciale de choc,
07:37qui s'appelle Adeline, tu as reçu notre envoyée spéciale volontiers, en répétition ?
07:42Ben oui, bien sûr.
07:43On peut écouter l'interview qu'Adeline a réalisé de toi pour nous.
07:46Ben si ça vous fait plaisir, oui.
07:48C'est comme tu veux.
07:49Oui, oui, d'accord.
07:50Il est encore temps de dire non.
07:51D'accord.
07:52Chère consœur, c'est à toi.
07:54Bonsoir.
08:03Bonsoir.
08:04Bonsoir.
08:05J'ai demandé à Adeline de faire cette interview de moi, puisqu'il fallait faire une interview,
08:11parce que je pense que c'est la personne qui me connaît le mieux.
08:13Et donc, elle va vous poser ces petites questions perfides.
08:17Vous savez, comme seule elle sait le faire.
08:20Bon, alors à mon tour.
08:21Alors, à quelques jours de Bercy, comment tu te sens ?
08:25Très mal.
08:27Voilà, on annule tout.
08:30Bon, alors tu vas nous parler, tu vas nous dire un petit peu quelles sont les surprises que
08:34tu nous prépares, quand même.
08:36Ben si je dis, si je dévoile les surprises que je vais faire, ce ne sont plus des surprises.
08:40Et en dehors du rock, qu'est-ce que tu écoutes comme genre de musique ?
08:46J'écoute Beethoven.
08:50La preuve, c'est que bon, je vais finir mon spectacle par une chanson qui s'appelle
08:53Poème sur la septième, dont les paroles ont été écrites par Philippe Hadro,
08:59et qui est sur la musique de la septième symphalie de Beethoven.
09:04Mais j'écoute aussi beaucoup de chanteurs français,
09:06qui ne sont pas obligatoirement des chanteurs de rock.
09:10J'écoute toujours Jacques Brel, Georges Brassens,
09:13j'adore Francis Cabrel.
09:16Et quelle est la personne que tu as vue sur scène qui t'a le plus émue ?
09:18T'en as vu pas mal en plus, pendant toute ta carrière.
09:22Sans hésitation, ce sera Jacques Brel.
09:24Jacques Brel, je pense que c'est le seul artiste sur scène qui m'a fait pleurer.
09:31Et puis bon, évidemment, il y a aussi Jimmy Ingrid,
09:34que j'ai découvert à Londres d'ailleurs.
09:36C'est moi qui lui ai fait faire sa première tournée.
09:38Et puis, c'est avec lui que nous avons fait un studio, le fameux Ageo,
09:44que j'ai repris dans mon spectateur.
09:46Et quel est l'homme qui te sert un petit peu de modèle,
09:49pour lequel tu as une grande admiration,
09:54qui a une influence sur toi ?
09:55Bon, ça pourrait être un mélange de Brando et de De Gaulle.
10:02Oui, ça peut être pas mal.
10:04Et si tu devais partir sur une île déserte,
10:06qu'est-ce que tu emporterais ?
10:08Ah, toi ?
10:11Et si tu pouvais pas m'emporter moi,
10:13qu'est-ce que tu prendrais ?
10:14Je serais très...
10:16Bon, alors une autre question.
10:19Quel est l'endroit où tu te sens le mieux ?
10:22Sur scène.
10:23Sur scène ?
10:23Pourquoi ?
10:25Parce que c'est là où je me...
10:28Moi, je suis quelqu'un d'assez timide dans la vie.
10:32Je suis quelqu'un d'assez...
10:33Enfin, je suis pas toujours à l'aise partout,
10:37mais je crois que le seul endroit où vraiment je suis moi,
10:40où je me laisse aller, où je me sens bien, c'est sur scène.
10:43Et à part ça, est-ce que t'aimes les interviews ?
10:47D'abord, ça dépend avec qui ?
10:49En général, non, j'aime pas les interviews.
10:52Ça dépend avec qui ?
10:54Avec toi, par exemple.
10:55Avec toi, c'est...
10:57Il y a du piment, en tout ça.
10:59Bon, mais quelle chance, j'ai l'idée.
11:03Merci.
11:07Et merci, Adeline.
11:09Françoise ?
11:11Il y a plein, plein, plein, plein de coups de fil pour Johnny,
11:14qu'on aime beaucoup, qu'on ira voir à Bercy,
11:16à qui on se fait de bonne chance, etc.
11:18Et puis alors là, justement, à propos d'Adeline,
11:20eh bien, M. Thierry Moniaux de Frens-sur-Escou
11:22dit que vous êtes séparé d'Adeline
11:24et pourtant, depuis, on ne vous a jamais autant vu avec elle.
11:27Alors pourquoi ?
11:28Ah, tiens, ça, c'est pas faux.
11:29Ah ben, il a été là pour répondre, hein ?
11:34Oui, bon.
11:37Ben, je suppose que c'est parce qu'on s'aime,
11:39toujours,
11:40et puis qu'on n'arrive vraisemblablement
11:43pas à vivre l'un sans l'autre.
11:46Et donc, la séparation, c'est...
11:47Je veux dire, le mariage, ça ne veut rien dire.
11:49Le mariage, le mariage, c'est un bout de papier.
11:51Je veux dire, on n'a pas besoin d'être marié pour s'aimer
11:52et puis pour vivre avec quelqu'un.
11:56Françoise ?
11:57Alors là, d'autres questions,
11:59mais qui n'ont plus rien à voir avec Adeline,
12:01mais toujours beaucoup de questions pour Johnny.
12:02Comment Johnny explique-t-il la continuité de sa réussite,
12:05cette si belle réussite ?
12:07D'accord.
12:07Il n'y a pas de...
12:10On ne peut pas vraiment expliquer.
12:14Je crois qu'il faudrait poser la question au public.
12:16Mais enfin, si moi, je peux dire quelque chose
12:18que moi, je pense,
12:19c'est que je crois que le public m'aime bien,
12:21quelque part,
12:22et que moi, j'ai un énorme respect pour eux
12:24et j'aime bien les gens
12:26et j'aime bien mon public.
12:27Et ils me rendent bien.
12:28Je crois que ça fait...
12:30Il faut avoir...
12:30Il y a un peu de chaleur quand on fait ce métier.
12:32Je veux dire, moi, ce n'est pas mon habitude
12:33de venir devant un micro
12:35et de chanter les chansons que j'ai décidé de chanter.
12:37et puis de saluer, de m'en aller.
12:39J'essaie de me donner jusqu'au bout.
12:40J'essaie de faire mon métier chaleureusement.
12:44Je n'essaie pas de préserver mes forces.
12:47Je le fais à fond, quoi.
12:49Et tu vas voir que le public...
12:51Et là, c'est une petite surprise.
12:56Ce soir, le public va te prouver qu'il adore Johnny.
13:01Dan, Bollander de l'équipe de Sacrée Soirée,
13:03est allé au marché.
13:04Il est allé au marché avec une caméra,
13:06avec un peu de musique.
13:07Il a demandé au fil des rencontres
13:09à quelques personnes
13:10où, tiens, je ne dis rien,
13:12regardez, ça vaut son pesant de cacahuètes,
13:14si vous m'autorisez l'expression.
13:15Toute la musique qui j'aime,
13:24elle vient de là,
13:25elle vient du blues.
13:29Les mots ne sont jamais les mêmes
13:31pour exprimer ce qu'est le blues.
13:36J'y mets mes joies, j'y mets mes peines.
13:43Et tout ça, ça devient le blues.
13:48Je le chante autant que je l'aime.
13:53Et je le chanterai toujours.
13:55Il y a longtemps sur nos guitares,
14:00des mains, des noirs, une ou d'elle,
14:04le jour.
14:07Pour chanter les peines et les espoirs,
14:11pour chanter Dieu,
14:12pour bien l'amour.
14:13La musique vivra
14:17Tant que vivra
14:19Le blues
14:21Le blues, ça veut dire
14:23que je t'aime
14:24Et voilà !
14:28Hein ?
14:29Grande reconnaissance
14:32de notoriété
14:32et d'amour du public.
14:35Vous pouvez
14:36continuer à nous appeler
14:3849 99 11 11
14:40ou 36 15
14:42avec votre Minitel
14:43Code TF1
14:4436 15
14:45Code TF1
14:45Ils connaissent bien les paroles en tout cas.
14:46Super bien les paroles.
14:47Johnny,
14:49Florent vient de chanter.
14:50Ce qui nous ferait plaisir,
14:51l'orchestre est là.
14:53Ce qui nous ferait plaisir,
14:54de moi,
14:54deux de tes chansons préférées.
15:00On a tous quelque chose en nous
15:02de Tennessee
15:02de Michel Berger.
15:04Michel.
15:07Et puis quand même
15:07une chanson que j'ai écrite
15:08avec Michel Mallory
15:09toute la musique que j'aime.
15:11Est-ce que tu accepterais
15:12ce soir avec Florent
15:13et notre orchestre
15:14de chanter toute la musique
15:15que j'aime ?
15:16Non.
15:17Johnny et Florent Pagny !
15:19Toute la musique que j'aime,
15:23Toute la musique que j'aime,
15:45elle vient de l'art,
15:49elle vient du blues.
15:50Les mots ne sont jamais les mêmes
15:54pour exprimer ce qu'est le blues.
16:00J'y mets mes joirs,
16:02j'y mets mes peines,
16:03et tout ça,
16:07ça devient le blues.
16:08Et tout ça, ça devient le blues.
16:10Je le chante autant, autant que je l'aime
16:12et je le chanterai toujours.
16:17Il y a longtemps sur des guitares,
16:21Des mains noires lui donnaient le jour
16:26Pour chanter les peines et les espoirs
16:31Pour chanter Dieu et puis l'amour
16:35La musique vivra
16:39Tant que vivra le blues
16:44Le blues ça veut dire que je t'aime
16:48Et que j'ai mal entre eux
16:52Et que j'ai mal entre eux.
16:52Mais je perds mais je chante quand même
16:57C'est ma prière pour te garder
17:01Toute la musique que j'aime
17:06Elle vient de l'art, elle vient du blues
17:10Les mots, les mots, les mots ne sont jamais les mêmes
17:15Pour exprimer ce qu'elle a vous
17:19Et que j'ai mal entre eux
17:49J'y mets mes joies, j'y mets mes peines
17:59Et tout ça, ça devient le blues
18:03Je chante autant, autant que je l'aime
18:08Ouais tu sais je le chanterai toujours
18:12Il y a longtemps sur des guitares
18:17Des manoirs lui donnaient le jour
18:21Pour chanter les peines et les espoirs
18:26Au tour du dieu
18:28Et puis l'amour
18:31Tout ça veut dire que je t'aime
18:34Et que j'ai mal entre eux
18:38Le chanter quand même
18:42C'est ma prière pour te garder
18:47Toute la musique que j'aime
18:51Elle vient de l'art, elle vient du blues
18:55Les mots, les mots, les mots, les mots ne sont jamais les mêmes
19:01Pour exprimer ce qu'est le blues
19:05Et puis la musique que j'aime
19:35Tout ça veut dire que je t'aime
20:05Toute la musique que j'aime
20:08Toute la musique que j'aime
20:12Elle vient de là
20:15Elle vient
20:20Du blues
20:25Elle vient de là, elle vient de là, elle vient de là
20:27Elle vient de là, elle vient de plus
20:30Flauropailly, génial idée, l'Orchestre des agressuraires d'école.
20:54Merci messieurs.
20:55Ah la la ! Il s'en passe des choses. Et ça n'est pas terminé. Et ça n'est pas terminé puisque maintenant nous allons aller de révélation.
21:09Je vais donner ma guitare, quelqu'un me l'apprend, la donne à lui et moi pendant que je m'avance vers Jean-Pierre.