[#Déclaration] Alain Claude Bilie-By-Nze prend la parole
L’ancien Premier ministre Alain Claude Bilie-By-Nze sort du silence. À travers une conférence de presse tenue ce mardi, il s’exprime sur la situation politique du pays et partage sa lecture des derniers événements. Une prise de parole très attendue, qui pourrait relancer le débat national.
📱066441717 📞 011775663
̂ :
🔗 https://lc.cx/9dgPhl
#GMTTv
#GMT
#Gabon
L’ancien Premier ministre Alain Claude Bilie-By-Nze sort du silence. À travers une conférence de presse tenue ce mardi, il s’exprime sur la situation politique du pays et partage sa lecture des derniers événements. Une prise de parole très attendue, qui pourrait relancer le débat national.
📱066441717 📞 011775663
̂ :
🔗 https://lc.cx/9dgPhl
#GMTTv
#GMT
#Gabon
Catégorie
📺
TVTranscription
00:00Mesdames et Messieurs de la presse, mes chers compatriotes,
00:17d'abonnés et d'abonnés, il y a quelques semaines de cela,
00:24j'avais indiqué devant la presse nationale et internationale
00:28qu'il ne m'appartiendrait pas de me transformer en chroniqueur
00:33de l'actualité politique de notre pays.
00:37Il ne m'appartenait pas de commenter tous les faits et gestes
00:40d'un gouvernement issu de l'élection présidentielle.
00:45Ce faisant, mon but était de laisser à l'équipe nouvellement constituée
00:52le temps et le soin de prendre ses marques,
00:55car, à mes yeux, la confrontation politique ne doit pas conduire
01:03à l'obstruction ni à l'empêchement de projets de développement.
01:11Cependant, mes chers compatriotes, au regard de la gravité
01:15de certaines décisions et de certaines situations
01:20que vivent les populations gabonaises,
01:25les gens qui ont des échos sur le nombre et de ces marques spirituels.
01:33Les gens qui ont laissé en riesce du monde,
01:34qui ont des échos sur l'élection sur le peuple.
01:36C'est un peu plus grand,
01:38on va voir avec les autres事es,
01:40et quand même que les autres adorateurs,
01:43ils ont, ils ont, ils ont, ils ont, ils ont, ils ont,
01:45ils ont, ils ont, ils ont des échos, ils ont du marques,
01:47ils ont, ils ont, ils ont qui, ils ont, ils ont, ils ont.
01:49L'élite gabonaise, nous, acteurs politiques gabonais, si nous nous restons vigilants,
02:16lusines et mobilisées. Il ne s'agit plus d'un simple ajustement de régime ou de pratique.
02:29Il s'agit de déterminer ici et maintenant quelle République nous voulons bâtir.
02:36Pour qui ? Pourquoi ? Au nom de qui ?
02:40Je pose la parole devant vous pour évoquer cinq faits majeurs.
03:40Merci.
03:41Merci.
04:10Merci.
04:11Merci.
04:12Merci.
04:13Merci.
04:14Merci.
04:15Merci.
04:16Merci.
04:17Merci.
04:18Merci.
04:19Merci.
04:20Merci.
04:21Merci.
04:22Merci.
04:23Merci.
04:24Merci.
04:25Merci.
04:26Merci.
04:27Merci.
04:28Merci.
04:29Merci.
04:30Merci.
04:31Merci.
04:32Merci.
04:33Merci.
04:34Merci.
04:35Merci.
04:36Merci.
04:37Merci.
04:38Merci.
04:39Merci.
04:40Merci.
04:41Merci.
04:42Merci.
04:43Merci.
04:44Merci.
04:45Merci.
04:46Merci.
04:47Merci.
04:48Merci.
04:49Merci.
04:50Merci.
04:51Merci.
04:52Merci.
04:53Merci.
04:54Merci.
04:55Merci.
04:56Merci.
04:57Merci.
05:26Merci.
05:27Merci.
05:28Merci.
05:29Merci.
05:30Merci.
05:31Merci.
05:32Merci.
05:33Merci.
06:02Merci.
06:03Merci.
06:32Merci.
06:34Merci.
07:02Merci.
07:03Merci.
07:04Merci.
07:05Merci.
07:06Merci.
07:07Merci.
07:08Merci.
07:09Merci.
07:10Merci.
07:11Merci.
07:12Merci.
07:13Merci.
07:14Merci.
07:15Merci.
07:16Merci.
07:17Merci.
07:18Merci.
07:19Merci.
07:20Merci.
07:21Merci.
07:22Merci.
07:23Merci.
07:24Merci.
07:25Merci.
07:26Merci.
07:27Merci.
07:28Merci.
07:29Merci.
07:30Merci.
07:31Merci.
07:32L'État en s'appuyant sur une oligopole, on n'envolvise pas la République en la livrant à la démocratie d'un seul homme.
07:42L'éthique, aussi bien publique que personnelle, impose des lignes rouges.
07:48Et ces lignes rouges sont aujourd'hui allègrement franchies.
07:53L'État se trouve donc assujetti au bon vouloir d'un personnel privé
07:57qui seuls peuvent décider du moment où le ministre des Finances abandonnera ses autres mandats.
08:05Cela n'est pas acceptable en démocratie, et nous le dénonsons.
08:09Par ailleurs, l'économie, la politique, la finance et la garde républicaine,
08:18corps des nids, l'indépendance de l'Union de la République,
08:22ne peuvent pas être logés dans le même village, la même maison,
08:26entre les mains d'un cercle restreint.
08:31En d'autres pays, ça s'appelle un cartel.
08:33C'est inacceptable.
08:39Elle est indangé pour la République, mesdames et messieurs.
08:47L'étrange silence du président de la République sur la fête,
08:56L'opinion internationale s'est emballée.
09:04L'opinion internationale s'est interrogée.
09:07Nous avons...
09:07et qui requiert l'unité de la nation potentielle.
09:21La communication gouvernementale.
09:37La communication gouvernementale.
10:07La communication gouvernementale.
10:37La communication gouvernementale.
10:39La communication gouvernementale.
10:41La communication gouvernementale.
10:43La communication gouvernementale.
10:45La communication gouvernementale.
10:47La communication gouvernementale.
10:49La communication gouvernementale.
10:51La communication gouvernementale.
10:53La communication gouvernementale.
10:55La communication gouvernementale.
10:57La communication gouvernementale.
10:59La communication gouvernementale.
11:01La communication.
11:03La communication.
11:05La communication.
11:07La communication.
11:09La communication.
11:11La communication.
11:13La communication.
11:15La communication.
11:17La communication.
11:19La communication.
11:21La communication.
11:23La communication.
11:25La communication.
11:27La communication.
11:29La communication.
11:31La communication.
11:33La communication.
11:35La communication.
11:37La communication.
11:39La communication.
11:40La communication.
11:42La communication.
11:44La communication.
11:46La communication.
11:48La communication.
11:50La communication.
11:51La communication.
11:52La communication.
11:53La communication.
11:54La communication.
11:55La communication.
11:56La communication.
11:57La communication.
11:58La communication.
11:59La communication.
12:00J'ai du ministère de l'énergie avec la Banque mondiale, on a fait le projet FASMIR, y compris dans les villages.
12:07Lorsqu'on a atteigné les affrutiers, on est allés au préalable avant de passer l'État.
12:13Comment est-ce possible qu'un État qui sait personne, agisse avec cet aveugle des idées,
12:20mette à la rue des milliers de personnes ? Comment est-ce possible ?
12:24Nous pourrons nous taire et nous pourrons pas laisser faire.
12:27Nous nous sommes engagés, nous prendrons des avocats, on sera aux côtés des populations face à un État brutale et à peu près.
12:36Mes chers compatriotes, à ceux qui sont aujourd'hui à la manœuvre, qui ont la vie, qui ont la vie, qui ont la vie, qui ont la vie, qui ont la vie, qui ont la vie, qui ont la vie, qui ont la vie, qui ont la vie.
12:43Je voudrais m'adresser à eux, non pas en adversaire, mais en citoyen lucide, qui sait, qui sait, un pouvoir,
12:57aussi légitime soit-il, ne gagne rien à briser son propre peuple.
13:03C'est un homme d'expérience que je vous parle, et que je m'adresse à vous.
13:08Comme le dit une sagesse orientale, ne porte pas la hache au ton de l'âme sous lequel tu es habitué sous l'orage.
13:16Chacun a compris que les danses, les chansons, ce n'est plus pour la légitimité.
13:29Et une fois légitimé, le vrai visage apparaît, le visage à brutalité.
13:34Mais, je vous le dis, vous qui gérez l'État, et je vous le dis avec gravité, il est encore le temps de reculer.
13:44Il est encore le temps de revoir la copie.
13:47Et de trouver la solution la mieux adaptée pour les populations déjà impactées et en grande difficulté.
13:55Le chemin que vous avez emprunté n'est pas le bon.
14:00Rebroussez le chemin.
14:02On peut bâtir sans détruire des vies.
14:05On peut les organiser sans humilier.
14:08On peut assainir sans les humaniser.
14:12Arrêtez cette opération.
14:14Arrêtez-la.
14:16Trouvez des solutions de relogement pour les populations qui ont été impactées.
14:20Le temps qu'un vrai recensement se fasse.
14:24Parce que, manifestement, le gouvernement ne dit pas la vérité.
14:28Et je refuse.
14:30Ceux qui disent que le président n'était pas au courant, il est le chef du gouvernement.
14:35Une telle opération ne peut pas avoir été organisée à son émission.
14:40Et si tel est le cas, il n'a pas à être président.
14:43Si dans ton pays, dans ta capitale, on peut détruire ça sans que tu sois au courant,
14:48c'est que tu ne mérites pas d'être président.
14:51Et si tu méritais d'être président, tu ne peux pas laisser presse.
14:54C'est ce que je dis.
14:56J'invite mes chers combats qui ont.
14:59Ceux qui, nombreux aujourd'hui,
15:02semblent se réjouir et défendre les défendables.
15:08On entend dire, c'est la loi, il faut appliquer la loi.
15:13Mais c'est quelle loi ?
15:14C'est la loi qui impose à l'État de fournir aux populations des terrains constructifs.
15:20L'État l'a-t-il fait ?
15:22C'est quelle loi ?
15:24C'est la loi qui exige une indemnisation juste et préalable.
15:30C'est quelle loi ?
15:31Il y a de l'un côté la loi, de l'un côté la justice.
15:36J'invite nos compatriotes qui semblent se réjouir et qui défendent les défendables.
15:44Nos compatriotes qui brandissent l'application de la loi dans toute sa rigueur,
15:49je les invite à se rappeler que la loi sans la justice conduit à la barbarie, à l'injustice.
15:57Je les invite à se souvenir que le feu qui enferme la cage du voisin peut aussi brûler ta propre cage.
16:06Non, un pays ne se conçut pas pour le silence imposé, ni de brutalité.
16:13Fût-il assumé cette brutalité ?
16:17Un pays se conçut la découte, la bienveillance et la justice.
16:21Et croyez-moi, c'est un homme d'expérience qui vous le dit.
16:24Mes chers compatriotes et messieurs de la presse,
16:29le Gabon n'est plus en transition.
16:31Le Gabon a un président élu, qui plus est, est chef du gouvernement.
16:37Le Gabon a une administration, elle est en place.
16:41Le Gabon a une constitution imparfaite.
16:44Nous avons combattu, mais elle est en vigueur.
16:47L'un n'est plus aux accommodements.
16:50L'un n'est plus aux à peu près.
16:52L'un n'est pas à la punition collective.
16:54L'heure est à la vérité.
16:57Qu'est-ce qui se passe à Benauti ?
16:59C'est une punition collective.
17:01La vérité, elle est laquelle ?
17:04La vérité, c'est que le régime actuel,
17:07sous des avis neufs,
17:09reproduit des schémas anciens, mais en pire.
17:13Ce schéma, c'est la concentration du pouvoir.
17:17Ce schéma, c'est l'exclusion de voix indépendante.
17:21Ce schéma, c'est la personnalisation des fonctions,
17:25le bébouillage du pluralisme, la brutalité administrative.
17:30Mais nous, ne nous taierons pas.
17:35Nous ne négocierons pas notre silence.
17:38Nous ne couvrons pas à l'échelle.
17:41Ce pays mérite une autre gouvernance.
17:43Ce pays mérite une autre vision.
17:45Ce pays mérite un autre souffle.
17:47Nous, ensemble pour le Gabon,
17:50et tous les compatriotes sensibles à ce qui se passe,
17:56nous voulons refuser la confiscation.
18:00Nous devons relever la dette
18:02pour que le rêve d'un Gabon juste,
18:05d'un Gabon humain,
18:07d'un Gabon libre, pluriel et fraternel,
18:10que ce rêve ne meurent jamais.
18:13Nous n'avons pas dit notre dernier mot
18:15et notre parole portera.
18:18Je vous remercie.
18:18Nous allons répondre aux liés sur la presse.
18:30Oui, M. le Président.
18:32M. le Président,
18:35c'est le cinquième point de vote
18:37de conférence de presse.
18:38Il m'intéresse.
18:39Vous avez dit que,
18:40M. le Président,
18:42vous avez dit que,
18:43M. le Président,
18:44il s'agit de l'opération
18:46de l'égardissement pour l'égardier.
18:47Vous avez donc annoncé
18:49l'engagement de trois avocats
18:51pour les fonds dans les familles expropriées.
18:54Est-ce que c'est à l'écriture d'un accord ?
18:56Et comment éviter que cette opération
18:58ne soit perçue comme une patrie politique
19:01qui fait aucune action pour la justice sociale ?
19:04L'élection présidentielle a eu lieu
19:07le 12 avril.
19:11Cette élection est derrière nous.
19:14L'engagement du citoyen
19:16a l'éclosé de l'État.
19:17C'est un engagement pour les deux gens de son pays.
19:20Et je soutiendrai tous les projets de développement,
19:23même s'ils sont mis en œuvre
19:24par un pouvoir que j'ai combattu et que je combattre.
19:27En revanche, je combattrai tous les guerriers de ce pays.
19:31Et lorsqu'il s'agit de compatriotes
19:34qui subissent manifestement une injustice,
19:37pourquoi une injustice ?
19:39Le gouvernement se trouve incapable de diffuser la liste des personnes indemnisées.
19:44Je vous ai dit que j'ai de la famille qui vivait à peine métier.
19:50Mon oncle, quand on nous permet, c'est dans la salle avec ses enfants.
19:53J'ai été chez eux avant l'élection présidentielle.
19:57J'ai tweeté avec mon oncle dans sa maison.
19:59Je lui ai posé la question quand l'opération a commencé.
20:02« Est-ce que tu es concerné ? »
20:06Et il m'a dit, « Mais il y a eu des croix.
20:09Nous, on a fait un collectif, on a saisi la justice
20:12et le peuple demandait attendre sa décision. »
20:16Et pendant que la liste du journal bien entendu, on est venu casser.
20:20Dans sa maison, il n'avait jamais été conseillé par son opération.
20:24J'étais hier sur le terrain, j'ai rencontré des personnes.
20:28Et j'ai rencontré un jeune homme topographe
20:31qui travaille au ministère de l'Urbanisme
20:34et qui nous a rappelé jusqu'où le projet initialement devait s'arrêter.
20:40Mais au-delà de tout ceci, j'ai été au responsabilité.
20:44Et ce projet, je le connais.
20:47Et souvenez-vous que la première déclaration d'éducité publique
20:52date des années à Nibon.
20:55Mais pourquoi on n'a pas mis ça en oeuvre ?
20:56Parce qu'il y a des mains au centre.
20:58Et parce que dans les décisions de décapissement,
21:02nous avons décidé, avant tout d'écapissement,
21:04d'apporter des solutions de relogement au préal.
21:07La cité à l'intégration a été conçue pour reloger les populations
21:11impactées par les bassins versants.
21:13Ce matin, la une de l'union portait sur un projet d'aménagement de bassins versants,
21:17où le responsable du projet indiquait qu'on construit au préalable plus de 1000 maisons
21:21pour reloger les populations avant de passer à la destruction des maisons.
21:25Pourquoi ce sénat n'a pas été fait ?
21:27Les avocats que j'engage, s'il y a des familles qui refusent ces avocats, libre à elles,
21:33s'il y en a qui sont dans le besoin d'être accompagnés, c'est parfait.
21:37Mais je ne suis pas candidat à l'élection maintenant.
21:40Je ne suis pas candidat.
21:42En revanche, faire de la politique, c'est se tenir aux copains qui sont fragiles.
21:46Moi, je ne suis pas engagé dans la politique pour un poste.
21:48Et c'est pour ça que je suis de moi, même ayant raté l'exemple présidentiel,
21:51parce que ce qui n'importe moi, c'est accompagner les populations.
21:54Est-ce que je suis un complico, mais le temps viendra où quelqu'un comprendra ?
22:07Est-ce qu'il y a une autre question ?
22:24Si il n'y a pas de question, si il n'y a pas de question, si il n'y a pas de question,
22:30on ne peut pas.
22:31Si c'est la presse ?
22:32Oui, si c'est la presse, c'est la presse.
22:34Monsieur le Premier ministre, bonjour.
22:35Et surtout, merci de nous avoir conviés pour prendre par cet échange,
22:40cette conférence de presse qui permet de clarifier un peu la situation sur la problématique
22:45actuellement vécue par l'ensemble de ses citoyens.
22:49Vous avez quasiment fait le tour.
22:51Et ce que vous donnez comme information éclaire davantage la lanterne,
22:55parce qu'il y a cette confusion sur qui a été indemnisé, qui n'a pas été indemnisé.
23:01Mais vous ressortez un aspect quasiment important,
23:04parce que concernant la politique sociale,
23:08comment loger et reloger les populations après les avoir dégâts.
23:12Vous avez fait mention d'un projet qui avait été initié autrefois,
23:15notamment la construction des logements de nos hommes,
23:18prévus pour reloger les populations qui pourraient être impactées par ce type de situation.
23:25Qu'en est-il concrètement ?
23:26Pourquoi ces populations n'ont-elles pas été envoyées sur ce site ?
23:31Pourtant, tout a été fait.
23:33Vous le dites si bien.
23:34Avant que l'on ne procède là, justement, à ce dégâtissement,
23:37l'affaire d'État est une affaire de continuité.
23:40n'aurait-il pas été mieux que l'on envoie ces gens là-bas avant que l'élève les gardiens ?
23:45Voilà.
23:47Arrive toujours un moment dans la vie où la raison le plus forte n'est pas toujours la meilleure.
23:55La sagesse aurait voulu qu'on tienne compte de ce que l'État est une continuité historique.
24:03Ce qui a été fait de bien hier en le mettant le poursuivre, ce qui a été dans le faire le corrige.
24:09Pour ce qui est de la question précise que vous posez, la cité depuis qu'elle est en zone a été construite
24:18avec le financement B2AC et la B2AC accompagne les États pour l'aménagement des bassins versants.
24:25Et cette cité a été construite pour accueillir les populations impactées par ce projet au niveau du bassin versant.
24:30Ce ne sont pas les mêmes populations concernées ici.
24:33Mais nécessité faisant loi, ces maisons existent.
24:36Nous n'avons pas tenté les populations parce qu'il manquait les amener de l'électricité.
24:40J'étais en chef de ce projet, on a fait amener de l'électricité, je ne sais pas où s'en est on se dit.
24:45Il revenait à l'État, même de manière transitoire, d'identifier réellement ces logements qui existent
24:51et d'installer les populations avant de détruire le temps pour l'État de trouver d'autres solutions.
24:56Comment est-ce qu'on peut ne pas proposer une solution à la population et s'étonner qu'il y ait ensuite de l'habitat spontané ?
25:05Ceux qui pourraient prendre de l'argent, cet argent s'ébliera quoi ?
25:09Sinon, aller accueillir une parcelle non viabilisée dans nos états sous-intégrés et pendant quelques années de subir exactement la même chose.
25:19C'est ce qui s'est conduit.
25:22Par ailleurs, les enfants qui préparaient leurs examens, c'est le BPC, le BPC, le BPC, le BPC.
25:34Beaucoup de ces enfants-là, vivant à Pénoliti, apprenaient à m'aider à nous parler.
25:40C'est-à-dire qu'il, pour les parents, c'était une proximité réelle.
25:43Quand j'allais en 6e, on disait qu'ils avaient su, immaculé, qu'ils étaient au BPC et à côté.
25:51Et puis, on leur dit qu'il faut qu'ils aient à lui tirer et qu'il faut moins que lui tirer.
25:55Parce qu'on imagine tout ce que ça pose comme problème.
25:58C'est pour cela que, pardonnez-moi d'être venu sur les questions politiques,
26:02c'est pour cela que dans notre projet de société, on appelle la rénovation urbaine.
26:06Il s'agit de nous travailler dessus tel que les populations pour voir comment on les organise leur quartier.
26:11Que les gens n'aillent pas plus loin.
26:13Mais quand je parle des commerces et des fruits, moi j'ai regardé un reportage sur les réseaux sociaux,
26:21une école privée qui crée de l'emploi.
26:24Cette école a été détruite.
26:26Dans un contexte où les Gabonais souffrent du chômage, on détruite l'emploi, sans en proposer.
26:33C'est ça que nous dénonsons.
26:34Et nous disons que ce régime, il est aveugle, il faut qu'il se le saisisse.
26:38Moi, je ne souhaiterais pas qu'il y ait autre chose que la constitution du pays.
26:44Vous m'avez dit, oui, allez-y.
26:48Monsieur le Premier ministre, vous avez fait une descente auprès des ultimes guerrières
26:57d'Assemblée.
26:58Je voulais savoir, c'est vrai, les élections présentées sont derrière nous, effectivement.
27:03Monsieur le Premier ministre, je voulais savoir, avez-vous lu sur les visages des populations,
27:10lorsque je sais très bien que cet exemple était à 90% pré-délicité pour le président actuel.
27:19Est-ce que vous pouvez nous dire, est-ce que c'était un regret, ou il se pose des questions,
27:28est-ce que nous n'avons pas fait une erreur ?
27:32Vous voulez juste savoir, qu'est-ce qu'on pouvait dire sur les visages des populations ?
27:37Je n'ai pas vu la question politique du visage.
27:41J'ai vu la détresse.
27:43J'ai vu une femme avec laquelle j'ai échangé et qui m'a monté l'espèce de
27:50à lui le fortuit où il faisait le carton, il s'établit et il dort avec ses enfants.
27:56Et quand je me suis arrêté, l'enfant s'est bien élevé.
27:58C'est ça que j'ai vu.
27:59Moi je n'ai pas vu là une question politique.
28:03Et vous savez, moi j'ai été élu plusieurs fois député.
28:09Et dans mon entourage, dans mon environnement, tout le monde n'a pas toujours voté pour moi.
28:15Mais j'ai continué à aider ceux que j'ai pu aider.
28:19Et aujourd'hui je me tiens aux côtés de ceux qui souffrent.
28:23Même si je sais que ceux que j'ai rencontrés hier, pour beaucoup, n'ont pas voté pour moi.
28:28Mais là n'est pas le sujet.
28:30Le sujet c'est, même s'ils ne faisaient pas à l'élection présidentielle,
28:34je trouve que la place aujourd'hui des citoyens gabonais, aguerris, vigilants,
28:40est aux côtés de ceux-là qui souffrent.
28:42Et là est ma place.
28:44On prend une dernière question, oui.
28:47Vous avez été Premier Ministre sur le gouvernement, vous disiez tout à l'heure que vous connaissez ce dossier.
29:01en contacté au Premier Ministre.
29:03Est-ce que cette liste à laquelle on fait allusion par Sienna existe réellement ?
29:11Lorsque j'ai été chez le gouvernement, je n'ai pas vu cette liste.
29:15Mais moi, si j'avais été ministre, je n'attendais pas que le lycée de justice m'apporte la liste.
29:22Parce que le lycée n'est qu'un auxiliaire de justice, mais il agit au manque d'exécution.
29:27Mais en amont, il y a les dossiers qui ont été préparés par l'administration.
29:31Et donc l'administration de l'habitat a normalement le dossier.
29:37Le trésor doit avoir le dossier puisque lorsqu'on paye, on sait à qui on paye.
29:41Il doit y avoir ces dossiers-là, à moins qu'il n'y ait pas volonté à publier la liste.
29:49Parce qu'en publiant la liste, on verrait peut-être qu'il y a des personnes dessus qui n'auraient pas dû recevoir ce qu'elles vont récupérer.
29:57Et peut-être qu'il y a des personnes qui sont impactées aujourd'hui, qui ne sont pas chez la liste.
30:02Moi, je demande des choses.
30:04Au terme de cette conférence de prépare.
30:06Première chose, je suggère humblement au pouvoir d'arrêter l'opération.
30:13Je suggère humblement de recommencer l'opération.
30:17Je suggère de stopper cette opération où ils en sont aujourd'hui,
30:21de sorte de réorganiser les choses.
30:24La péncipitation, je ne comprends rien.
30:27Et je le dis encore une fois, derrière cette opération,
30:31je crains fortement une pression des investisseurs qui ont besoin de construire.
30:38Et derrière cette opération, c'est la spéculation qui est en place.
30:41Pourquoi est-ce qu'on commence par cette zone ?
30:44Parce que c'est une zone de prestige.
30:46Une fois qu'on a cassé la militaire qu'il y avait,
30:49nous avons donc maintenant les institutions, les grandes ambassades.
30:53Et donc, ce frontier va prendre de la valeur.
30:56Et je soupçonne de la spéculation foncière à venir.
31:00Les projets de tours qui ont été annoncés.
31:05Qui construit les tours ?
31:07Et vérifier la loi de finance 2025.
31:11Est-ce que ce projet est financé ?
31:13La loi de finance 2025.
31:15S'il n'est pas financier, la loi de finance, qui le finance ?
31:19Voilà les questions que je pose.
31:21Bien.
31:23Oui, le président.
31:26Merci, monsieur le président.
31:29Je voudrais évoquer la question diplomatique.
31:32Vous avez fait l'allusion par rapport à Aline Bagné.
31:36C'est une question de souveraineté, c'est vrai.
31:38Monsieur le président, vous avez été un homme d'État.
31:43Vous avez été quelqu'un qui connaissait les rouages du pouvoir.
31:47A votre place, qu'aurez-vous fait à cet instant ?
31:52Est-ce...
31:53Vous aurez préféré choisir la voie de la confrontation ou de la négociation en rapport à la...
32:03au rendu de la justice internationale ?
32:07Vous, à votre place, monsieur le président.
32:10Qu'aurez-vous choisi, offert à cet instant ?
32:15Le dossier Mbagné...
32:17Il y a quelques jours, déjà, on a célébré...
32:22le...
32:23les 16 ans...
32:25la disparition de Margot.
32:28Le dossier Mbagné fait partie...
32:30l'élègue de Margot Bongo à la nation gabonaise.
32:35Son célèbre Margot Bongo, il faut le savoir ce qu'il a fait.
32:40Et nous étions enfants...
32:42quand cette situation s'est causée...
32:44et que Margot Bongo a débarqué en Bagné, avec des militaires s'établi en Bagné.
32:49C'est donc...
32:51Ils viennent de perdre là...
32:54une part avec l'étange de Margot.
32:56C'est d'abord la première chose à relâcher.
32:59Qu'est-ce que j'aurais fait ?
33:01J'ai été misé à l'étangère...
33:03et j'ai rencontré aux Nations Unies...
33:06entre nos terrestres.
33:08Et j'ai échangé également avec notre ambassadeur aux Nations Unies à l'époque...
33:13Alors...
33:14M. Xavier Diallo...
33:15Ce dossier...
33:17avant d'être juridique et judiciaire...
33:20c'est d'abord un dossier politique et diplomatique.
33:23Et c'est là que nous avons pu appeler ici.
33:26Je pense à la politique et la diplomatie.
33:28Ce n'est pas ailleurs.
33:30Si vous avez un contentieux avec quelqu'un que vous l'appelez Papa...
33:33Les présidents n'ont pas le père.
33:39Et...
33:41Une fois que vous l'avez...
33:43Je ne sais pas ce que vous l'avez...
33:45Qu'est-ce que vous l'avez refusé ensuite ?
33:50Et...
33:53Le sujet aujourd'hui...
33:54On nous dit qu'il y a une négociation.
33:56Et moi je demande...
33:58Elle porte sur quoi la négociation ?
34:01C'est une question qui concerne chacun de nous.
34:05Ça ne peut pas être un secret.
34:07La négociation porte sur quoi ?
34:10Le gouvernement nous a dit...
34:13Que...
34:14Avec cette décision...
34:16De la Cour de l'éducation du justice...
34:18Bongomo et Bebein seraient maintenant gabronais.
34:21C'est dangereux.
34:23Une telle communication est irresponsable.
34:26Parce que ce n'est pas agréé.
34:28On ne dit pas ça à sa population.
34:30Nous avons perdu une banlieue.
34:33Le drapeau gabronais ne faudra plus sur une banlieue.
34:36Mais une banlieue est dans nos eaux territoriaires.
34:39Une banlieue est à quelques kilomètres de Gokovic.
34:43Vous êtes au village de Gokovic.
34:45Vous voyez une banlieue.
34:47Il faut imaginer que demain...
34:48La clinique autoritaire installerait une base militaire.
34:51Oui c'est un voisin.
34:53Mais c'est un état souverain.
34:55Mais les guerres sont vos voisins.
34:57On ne sait pas.
34:58Ce qui peut arriver demain.
35:00Il faut imaginer que demain...
35:02Un partenaire militaire à la clinique autoriale s'installe là.
35:08En contradiction avec notre doctrine militaire.
35:12Il se passe quoi ?
35:13Donc il y a des enjeux importants de sécurité nationale sur lesquels on ne peut pas se contenter d'aller en balade à Malabo et de visiter Malabo.
35:25Je demande la négociation pour sur quoi ?
35:28La communication officielle nous a dit d'accord de coopération dans le domaine de la culture.
35:33C'est génial.
35:34Mais dans ce domaine de la culture, il s'agit de quoi ?
35:37Est-ce qu'il s'agit de partage d'expériences dans la culture formule Gabon et la culture formule l'écuatorienne ?
35:43Il s'agit de quoi exactement ?
35:45Est-ce qu'il s'agit pour les étudiants gabonais d'apprendre l'écuatorienne et les diverses ?
35:49On ne sait pas. On ne nous a pas dit.
35:51On n'a pas eu d'accord en matière d'agriculture.
35:54Je ne sais pas ce qu'on produit le Gabon qu'on va vendre là-bas.
35:58Ni ce qu'ils vont nous vendre.
36:00Donc là, il y a un vide total dans la communication gouvernementale.
36:03On ne sait pas ce que ça repose.
36:05Donc, pour le bien d'un bannier, la question est plus qu'aujourd'hui préférée.
36:09Une décision de la Cour d'Extension de Justice.
36:13Et nous avons saisi la guérison et nous, on a saisi.
36:18Et donc, dès qu'on a saisi une décision, on l'applique.
36:22Maintenant, on nous a dit non, on n'a pas perdu. Au contraire, on a gagné.
36:26Je veux qu'on puisse qu'on a gagné.
36:28Parce qu'on sait ce qu'on a perdu.
36:30On a perdu la solidité sur une bannier.
36:32C'est une décision claire.
36:34Mais le gouvernement dit non, on a gagné.
36:36Et que t'es les prix qu'il faudrait pendre.
36:40Il faut qu'on dise qu'on a gagné.
36:42Et ce qu'on a gagné là, on a retrouvé 50.
36:45Voilà les vrais sujets.
36:47Sur les questions diplomatiques.
36:49Voyez-vous, je n'ai pas voulu évoquer le cas.
36:53S'il y a un outil.
36:54On nous a dit qu'il y aurait un procès.
36:59En pleine campagne électorale, les médias internationales ont allé dit.
37:03Il y a des fois qu'il y aurait un procès.
37:05Et puis on a vu que l'Angola est venu chercher dans les bongos, les ananas.
37:11Mais personne ne nous a jamais payé l'Angola dans ce dossier.
37:15Le procureur a dit que pour les raisons de maladie, inter-santé, ça n'a pas livré.
37:21Mais ce que c'est l'Angola qui était l'ambulancier.
37:23Vous voyez, nous ne pouvons pas continuer à rentrer sans apporter la transparence.
37:38Moi, j'avais dit en pleine campagne, si je suis élu, il y aurait un procès.
37:42Et j'avais dit, s'il n'y a rien dans le dossier, qu'on est libéré.
37:45Et aujourd'hui, je dis, mais que faire encore pour l'Angola en prison ?
37:50Que fait le ministre Massas en prison ?
37:55Que fait le ministre Bonda Balondzi en prison ?
37:59Il faut un coup en prison.
38:01Soit il y a des éléments, il faut qu'il y ait un procès.
38:04Soit il n'y a pas d'éléments pour les libérer.
38:07Moi, j'insiste, mesdames et messieurs.
38:10On nous a dit que les choses ont été récupérées.
38:13Il s'agit de quoi ?
38:16Qu'on donne la liste, si c'est des biens meubles, qu'on dise quoi ?
38:21Si c'est des immobiliers, qu'on dise quoi ?
38:23Si c'est du foncier, qu'on dise tel bien appartenant à la famille Ali Bongo, ça a été récupéré.
38:29C'est tel bien un certain emploi.
38:31Vous savez qu'en fait, il y a bien mal acquis en France.
38:33On vous dit de quoi il s'agit.
38:36On me dit de la valeur du bien.
38:38Mais dans le cas dont on parle, c'est l'opacité totale.
38:42On n'en sait rien.
38:43Les chocs d'accusation étaient graves.
38:46Concussions, trafic en banque organisé, trafic d'autres drogues, consommation d'autres drogues, autre trahison, faux usage de faux, c'était grave.
38:55Et puis là, plus rien silence. Il a besoin de Guilhem.
38:59Il est le seul gouvernement, il ne parle pas.
39:02Moi, je ne parle pas d'eux autres.
39:07Bien. Je crois qu'on a terminé à faire le tour.
39:11Merci d'être venu.
39:12Ce n'est pas la peine de poser la question sur les autres membres du gouvernement.
39:15Ce n'est pas utile.
39:16La constitution actuelle fait d'un seul responsable de tout.
39:20Et donc, ce sont des personnes, parfois, que je connais, qui sont des Gabonais parfaitement compétents et caparants.
39:26Mais l'environnement dans lequel ils sont aujourd'hui fait qu'ils ne peuvent pas agir.
39:29Et donc là, il a devenu une constitution. Il faut qu'il assume la constitution.
39:34Et moi, j'ai dit pour ceux qui sont des personnes déguerries.
39:37Il nous vaut cette injustice.
39:39Et ce n'est pas normal.
39:42Ce n'est pas normal qu'en 2025, on sort de l'élection présidentielle avec de grandes promesses.
39:49Et la première chose qu'on fait, c'est mettre les Gabonais à la rue.
39:52Les Gabonais qui n'ont rien demandé et qui n'ont rien à consulter.
39:54Les autres ont consulter eux-mêmes leur maison.
39:58C'est ça que je dénonce.
40:00Et ça, ensemble pour le Gabon et tous les autres Gabonais qui seront sensibles,
40:04nous allons nous présenter pour accompagner les populations des idées.
40:10On n'a ni or, ni argent.
40:12Mais ce que nous avons, c'est la présence qui nous apporterons la présence.
40:15Merci beaucoup et bonjour.
40:19Applaudissements.
40:21Applaudissements.
40:23Applaudissements.
40:24...