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Toutes les réactions et le podium de la 66ème édition de la course cycliste professionnelle internationale Paris-Troyes UCI.

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Sport
Transcription
00:00C'est parti.
00:30C'est parti.
01:00C'est parti.
01:30Voilà, on se retrouve ici pour débriefer cette course Paris 3, 166ème édition avec Mathieu.
01:37Mathieu, une très belle édition avec un beau vainqueur.
01:41On pensait que le Danois Nordhoft allait réussir le coup des trois derniers kilomètres.
01:46Oui, il a vraiment placé une superbe attaque au bon moment, une attaque tranchante.
01:53Il a creusé un bel écart rapidement.
01:56On avait un doute sur la bonne organisation du peloton derrière.
02:00Ils ont finalement réussi à rentrer, mais vraiment dans les tout derniers mètres.
02:05Donc, on a eu vraiment un suspense haletant dans ce final.
02:08Deuxième, on ne l'avait pas tout à l'heure, c'est le coureur du SCO Dijon.
02:13C'est Georges qui finit deuxième.
02:15Lui, on ne l'a pas vu revenir.
02:16On ne l'a absolument pas vu revenir.
02:18Il a aussi pris l'intérieur.
02:20Et ensuite, il s'est libéré pour prendre cette deuxième place.
02:22Et troisième place pour Emmanuel Morin, qu'on attendait peut-être sur la plus haute marche du podium.
02:28Oui, mais c'est vrai qu'un sprint, c'est quand même un peu aléatoire.
02:31Il y a le placement.
02:32Ils sont revenus sur le coureur qui se faisait rattraper.
02:35Il faut pouvoir l'éviter, passer du bon côté, etc.
02:38Donc, ça se joue des fois une fraction de seconde.
02:41Donc, voilà, en tout cas, bravo au vainqueur qui a été vraiment impressionnant de rapidité dans ce sprint.
02:47Ça a été extrêmement long à se dessiner quand même, cet emballage tout au long de l'après-midi.
02:53Parce qu'on n'a pas vu les équipes s'organiser comme on pouvait s'attendre.
02:55On n'a pas vu d'équipe prendre véritablement la tête de ce peloton, mener les débats, contrôler la course.
03:02Ça a été un petit peu un instinct.
03:04Oui, c'est vrai que c'était impossible de savoir.
03:08Comme il y a certaines courses, certaines classiques, on sait à quel endroit ça va se faire, à quel endroit il faut être devant.
03:14Ici, ça peut être n'importe quand.
03:16Et c'est aussi ce qui fait le charme de cette course.
03:18On ne sait pas quand ça va partir.
03:19Ça laisse la chance à beaucoup de coureurs d'envisager la victoire.
03:25Et puis, il faut aussi compter sur une bonne équipe, parce que ce n'est pas toujours le même qui va dans les échappées.
03:32Donc, il faut pouvoir y aller chacun son tour, rouler si on n'est pas représenté.
03:35Donc là, il y a un bel échantillon de tout ce qu'on peut faire dans le cyclisme, qui est représenté ici aujourd'hui à Paris 3.
03:42Une belle fête populaire avec du monde qui attend ici la remise des récompenses.
03:47On a vu du public sur le bord de la route.
03:49On a vu surtout de très, très belles images commentées par notre ami Thomas, Thomas Pasquier, qui a montré de belles choses.
03:57Le patrimoine est très riche et le patrimoine sportif est évidemment très riche également.
04:01On est ici devant le stade de l'Aube, le stade de l'Estac.
04:06Le patrimoine sportif de la région est extrêmement important.
04:10Oui, c'est vrai qu'on a vu vraiment de belles choses aujourd'hui avec la météo en plus.
04:18On a eu des superbes vues sur le vignoble, au marnet et au bois, puisqu'il y en a des deux côtés.
04:26Dans les deux départements, on a vu où ça fait du champagne et puis tous les beaux monuments,
04:31la vue sur les lacs et tout.
04:32On en a eu plein la vue et puis ensuite d'un point de vue sportif également.
04:36Donc, vraiment une belle journée, belle journée de cyclisme.
04:39Alors, on attend évidemment la remise des prix pour pouvoir avoir des interviews.
04:47On voit Syrah, le vainqueur, qui est évidemment en l'IA.
04:50On voit Emmanuel Morin qui attend également.
04:53Voilà, ça serait pas mal qu'il puisse être libéré.
04:59Voilà, avec les premières interviews.
05:05Ici ?
05:06Oh, il y a.
05:09En anglais ?
05:12Non, je peux faire en français.
05:13Ah, ben voilà, voilà.
05:14Une grosse, grosse course.
05:18C'est quoi ? C'est la deuxième place ?
05:19Deuxième place.
05:20C'était important d'être présent dans l'emballage final.
05:24On a vu un équipier qui a cabrié, qui a essayé de mettre au fond.
05:29Et finalement, c'est vous qui arrivez en deuxième position.
05:31Oui, c'est ça.
05:33C'est une classe 2, pas loin de chez nous, à Dijon.
05:36Du coup, oui, c'est une course qu'on veut faire un bon résultat.
05:40On avait remonté dans le chapé.
05:42Et après, Maryse Massé plutôt qui va faire le sprint.
05:45Mais avec l'arrivée pas trop plat aussi, moi j'étais bien placé.
05:50J'ai fait mon sprint, j'ai fait deux.
05:52En classe 2, et vu le niveau de peloton, c'est bien.
05:55Un sprint que vous avez disputé tout seul, finalement.
05:57Vous n'avez pas eu de poisson pilote qui vous a véritablement emmené.
06:00Oui, mais j'étais bien placé parce que j'ai fait l'effort sur le boss.
06:04Après, j'ai vu le train de l'équipe qui va à l'autre côté avec Maryse.
06:09Et moi, j'étais un peu bloqué sur l'autre côté.
06:13Du coup, quand j'ai vu la carte qui est ouverte, je suis allé.
06:17Oui, si il y avait Maryse dans ma roue, tant mieux.
06:20Mais il n'a pas réussi d'être là, ce ma roue.
06:25C'est un peu comme ça qu'on a eu une équipe d'un an.
06:27Elle n'est pas la plus grande équipe ici.
06:29Du coup, c'est difficile.
06:30Il faut frotter bien pour être placé.
06:33Et à la fin, quand tu vois que ça ouvre la route avec 200 mètres d'arrivée, il faut aller.
06:38C'est important de faire un podium sur une course comme ça, comme le Paris 3.
06:42Oui, exact.
06:43J'ai déjà dit, je pense qu'en classe 2 cette année, en France,
06:46peut-être que c'est le plus grand niveau que j'ai vu avec toutes les équipes.
06:49Conti, les équipes Conti en France.
06:51Oui, je pense qu'il faut aller au podium maintenant.
06:54On va vous libérer effectivement pour le podium.
06:56Merci beaucoup d'avoir été à nos côtés.
06:58Bravo, bravo.
07:00Voilà, avec la joie, il a fait l'effort de parler français.
07:04Oui, c'est sympa.
07:05Il parle bien.
07:07Et on attend la suite du podium.
07:09Ils nous ont fait l'amitié de libérer un couvert pour venir au micro.
07:14On aura peut-être Florian Morizot qui sera à nos côtés.
07:16Il est là, Florian.
07:17Vous pouvez peut-être l'appeler, Florian.
07:20Voilà, peut-être que Florian va venir à notre micro dans quelques instants.
07:24Florian Morizot.
07:26Pour l'instant, on réconcile son téléphone.
07:28On va récupérer un micro.
07:30Et voilà.
07:32Le voici.
07:34Le temps de récupérer un micro.
07:35On va le faire avec le nôtre.
07:36Florian, récupérez le micro de Mathieu quelques instants.
07:39Florian Morizot, une édition de 66e édition de ce Paris 3 qui a été extrêmement dynamique, extrêmement disputé, mais pas forcément totalement organisé en termes de sportifs, en termes de coureurs.
07:53Effectivement, c'est une édition qui a été bien disputée.
07:59C'est la quatrième année qu'on est sur ce parcours.
08:01Et même si ça se termine par un sprint massif, en fait, ça ne montre pas non plus la course, tous les événements qui sont passés et puis les incertitudes liées aux difficultés, aux stratégies d'équipe.
08:16Et en fait, il y a eu du suspense jusqu'à la ligne d'arrivée.
08:18Moi, je pensais même au kilomètre, bien sûr, moi, j'y croyais, ça descendait et en fait, un peloton qui avale un échappé, on le voit, on va dire que ça écrase un petit peu la caméra.
08:29On se dit qu'il va gagner et en fait, au bout du compte, il lui manquait encore 20 ou 30 mètres.
08:32Donc, en fait, on est vraiment sur un circuit qui plaît aux coureurs, qui permet d'avoir beaucoup de suspense.
08:40Encore un sprint massif cette année. Alors, on en a déjà eu un l'année dernière. On était derrière deux années avec des victoires en échappé.
08:49Mais pour autant, je pense que le circuit, à mon sens, est plus difficile que sur l'ancien parcours qui partait de nos gens sur scène.
08:59Et quand on voit la moyenne, moi, je suis impressionné par la moyenne parce que 45 de moyenne.
09:03Une première heure à 46 ans.
09:04Et on est sur un parcours qui est quasiment à 2500 mètres de dénivelé positif.
09:10Donc, les cyclistes savent de quoi je parle. On est dans le vignoble.
09:15Et c'est vraiment des moyennes qui sont très impressionnantes.
09:19Le niveau est très homogène. On voit quand même un peloton qui est malgré tout assez conséquent.
09:24Ça veut dire que le Paris 3 est quand même une course qui rassemble des équipes d'un niveau très homogène, très relevé.
09:30Et je ne serais pas étonné que d'ici quelques années, peut-être même l'année prochaine, on ait des coureurs qui étaient au départ,
09:36qui se retrouvent sur les épreuves World Tour, voire le Tour de France.
09:40C'est déjà arrivé et qu'on retienne notamment le nom du vainqueur cette année.
09:44Comment vous l'avez vécu ce Paris 3, vous qui avez changé un peu de casquette quand même ?
09:48Alors, je l'ai vécu un peu plus de l'intérieur.
09:51Effectivement, je n'étais pas dans la voiture course cette année.
09:54Depuis 2012, j'ai toujours vécu Paris 3 du kilomètre zéro à l'arrivée dans la voiture de directeur de course.
09:59Ça m'a permis de voir d'autres facettes, notamment ce qui avait été mis en place par les équipes de départ, les équipes d'arrivée.
10:07Et on se rend compte que Paris 3, bien évidemment, c'est une course de vélo,
10:10mais c'est aussi 300 bénévoles derrière, qu'ils soient de la sécurité, les équipes départ, arrivées, les chauffeurs.
10:17On a 30 motards, 150 signaleurs fixes.
10:21C'est une course de vélo qui emprunte 190 kilomètres de voie publique.
10:24Ça nécessite des moyens logistiques conséquents.
10:26Et puis, quand on voit comment ça s'est passé aujourd'hui avec cette superbe course, avec un vainqueur, un très beau vainqueur,
10:33écoutez, nous les bénévoles, on organise aussi pour ça, pour des moments comme ça d'émotion.
10:38Merci beaucoup, Florian, et à très bientôt. Merci beaucoup.
10:44Allez, on va retrouver le vainqueur, Juan David Sierra, dans quelques instants.
10:50Allo ?
10:51Je ne parle pas français, désolé.
10:54Donc, c'est en anglais, peut-être ?
10:55En anglais ?
10:56Oui, oui, pour certainement.
10:58Gratulièrement pour votre victoire aujourd'hui.
11:01Qu'est-ce que vous pensez sur le cours de Paris 3 ?
11:05Oui, c'est magnifique, j'ai l'a fait aussi l'année dernière.
11:08C'est une belle partie de la France, une belle vue de vous.
11:14Et aussi, l'organisation était perfecte, pas de problème sur la course.
11:17Il trouve ça très beau, il l'a déjà fait l'année dernière.
11:22C'est une région magnifique de la France.
11:25Et il a fait...
11:27Et dans le climat, qu'est-ce que vous pensez sur le début de la course ?
11:32Comme un sprinter, il n'est pas trop difficile pour un sprinter, ce type de course.
11:38Je vous demande si ce n'est pas trop difficile pour un sprinter,
11:41le nombreuses côtes qu'il y a avec les 2500 mètres de dénivelé qu'on a eu sur le parcours.
11:44Oui, ce n'était pas trop difficile, mais je pense que c'était difficile.
11:49Il a mis des pains sur les pieds pour les autres sprinters,
11:55mais je suis très heureux parce que j'ai une forme super bonne maintenant.
11:59Je me sens super bien et je suis très heureux.
12:01Il dit en effet que le parcours est très dur, ça fait vraiment mal aux jambes,
12:06mais il se sent en très grande forme.
12:08Et il pense que ça fait plus mal aux jambes aux autres sprinters
12:13vu la forme qu'il tient actuellement, ce qui a pu lui servir à l'arrivée.
12:18Est-ce que votre équipe a lancé vous pour la sprint ou vous l'avez fait seul ?
12:31Non, non, c'est sûr que ma équipe m'a aidé beaucoup.
12:34Je voudrais dire un grand merci à mon équipe à Jesper,
12:37parce qu'il a fait un super bon lead-out.
12:39Il était au milieu du match, deux kilomètres de la route,
12:43et il m'a fait à l'avant.
12:46Et oui, c'était une bonne position pour la sprint et merci.
12:50Oui, il remercie vraiment ses coéquipiers,
12:55notamment Jesper Janssen,
12:59qui a fait un énorme travail dans les deux derniers kilomètres
13:02pour le lancer pour le sprint.
13:04Et il doit beaucoup cette victoire à ses coéquipiers.
13:06Merci.
13:07Merci.
13:36Alors, on va juste attendre peut-être Emmanuel Maure.
13:42Je vais donner le micro.
13:44Viens au milieu.
13:46Troisième place aujourd'hui, Emmanuel.
13:48Tu n'étais pas forcément prévu sur ce Paris 3.
13:51Tu n'étais pas dans les premières listes, en tout cas, qu'on a reçues.
13:54C'est une place qui te convient.
13:56Évidemment, la première était encore la plus belle.
13:58Mais pour toi, cette course, ce finish était pour toi ?
14:03Oui, forcément, le finish était pour moi.
14:05Après, on a tous vécu un début de saison relativement compliqué dans l'équipe.
14:09Il y a eu beaucoup de chutes.
14:11Et moi, personnellement, je suis tombé trois fois depuis le début de saison.
14:15Je suis tombé sur le genou trois fois, du coup.
14:17Et j'ai eu beaucoup de mal à m'en remettre.
14:20Je suis devenu papa en mars.
14:21Donc, le manque de sommeil...
14:23Ça change la vie.
14:24Ça change la vie.
14:24Ça faisait beaucoup ressentir.
14:27Et pour couronner le tout, je me suis fait renverser la veille du Troubro.
14:30Donc, oui, vraiment compliqué cette période.
14:33Mais voilà, je n'ai pas lâché dans la tête.
14:35Et je suis relativement satisfait de cette troisième place aujourd'hui.
14:38Je pense que ça récompense le travail de toute l'équipe
14:40et l'investissement des gars depuis le début de saison.
14:43J'espère vraiment que ça va nous faire du bien au moral.
14:46Bon, et puis pour la petite histoire,
14:48c'est les trois mois de ma fille aujourd'hui.
14:49Là, voilà.
14:50Voilà.
14:51Troisième place, trois mois.
14:52Voilà, c'est ça.
14:53Non, non, je suis vraiment content.
14:54Et j'espère qu'on va faire une très belle fin de saison.
14:57On le mérite tous.
14:59Là, aujourd'hui, on s'est fait piéger plusieurs fois.
15:01C'est ce que j'allais dire.
15:02On a su redresser la barre.
15:04Là où vous étiez 14 devant, vous n'étiez pas.
15:06Ouais, c'est ça.
15:06Moi, du coup, je me suis mis à rouler avec Kevin Avoin
15:08et Maximilien Juillard a su faire le jump pour rentrer devant.
15:13Ensuite, on s'est refait piéger quelques kilomètres plus loin,
15:18mais toute l'équipe a mis du cœur à l'ouvrage.
15:20Donc, Maximilien est retourné devant.
15:22Et après, quand les quatre sont sortis dans le final,
15:25les gars ont roulé pour que ça arrive au sprint et pour me placer.
15:28Malheureusement, je me fais enfermer le long des barrières.
15:31Après, c'est le sprint.
15:32C'est la loi du sprint.
15:33Mais voilà, je n'ai pas pu faire mon effort,
15:35mais faire une troisième place.
15:37Après tout ça, c'est quand même...
15:37Parce que la route vers l'intérieur, c'est quand même la plus courte,
15:39mais tu n'as pas réussi à passer.
15:40C'est la plus courte, mais du coup, tout le monde veut être là.
15:42Donc forcément, c'est pas...
15:43C'est la loi du sprint, malheureusement.
15:46Mais dans une troisième place, c'est déjà très bien.
15:47Une question, Mathieu ?
15:49Oui, on a vu une équipe de Van Riesel-Roubaix très solide.
15:53En effet, vous avez été capable de retourner la situation à votre avantage
15:58lorsque vous n'étiez pas devant, malgré une grosse échappée de 14.
16:02À ce moment-là, vous arrivez à vous parler entre vous
16:06pour décider ce qu'il faut faire.
16:08Il y a un capitaine de route, puisque vous n'avez pas d'oreillette.
16:11Donc vous aviez prévu de rapprocher pour faire le jump ou carrément le reprendre ?
16:15En fait, aujourd'hui, on avait décidé de ne pas tout miser sur un sprint
16:17parce qu'on sait qu'un sprint, quand on n'a pas un vrai train,
16:22c'est compliqué d'être sûr de gagner.
16:24Après, on a tous eu des pépins physiques ces dernières semaines.
16:30On ne pouvait pas dire qu'aujourd'hui, on roule pour un mec et on est sûr qu'il gagne.
16:34On avait décidé de durcir la course.
16:36C'est ce qu'on a fait.
16:36Même quand on s'est fait piéger, on a su redresser la barre.
16:39Je pense qu'on a fait mal à un paquet de mecs quand on a roulé.
16:43Non, c'est vraiment satisfaisant aujourd'hui.
16:45On a quasiment fait la course parfaite.
16:48Non, c'est bien.
16:49C'est bien. Bravo à vous.
16:51Merci et bravo.
16:52Dan, prochaine course pour toi ?
16:54La route d'Occitanie, puis le championnat de France.
16:56Après, ce sera une petite coupure qui va faire du bien.
16:59Pour attaquer la fin de saison.
17:00Exactement.
17:01Préparer la fin de saison.
17:02Merci beaucoup, Emmanuel.
17:03Merci.
17:04Merci.
17:05Allez, on va revoir les highlights, les images de cette course.
17:10Peut-être voir la fin, les 50-60 derniers kilomètres.
17:16S'il y a moyen de recaler.
17:17Pour ne pas repartir sur le départ fictif.
17:20Mais surtout voir la partie dynamique de cette course.
17:23avec une course de mouvement.
17:26On en a parlé avec Emmanuel.
17:28Avec ses 14 coureurs qui se sont échappés.
17:3014 coureurs d'équipes différentes.
17:33Ça pouvait changer la donne.
17:34Finalement, ça a plombé un petit peu les choses.
17:37Oui, 14 coureurs.
17:38C'est beaucoup, mais à la fois, sur 25 équipes, il y a encore beaucoup d'équipes capables de rouler derrière.
17:45Mais sur ces 25 équipes, il y a des équipes peut-être qui se sentent inférieures.
17:50Et qui se disent, non, nous, on est là pour suivre.
17:53On ne va pas prendre les choses en main.
17:54Mais il y avait Roubaix qui était là, notamment, et qui, avec cette équipe solide, comme je disais tout à l'heure, ont réussi à réinverser la tendance en leur faveur pour réussir à faire un podium à l'arrivée.
18:08L'équipe Colloquique aussi a montré de belles choses.
18:11On va les voir, ces images.
18:12On va les faire, on va les montrer pendant qu'on continue à discuter.
18:16L'équipe Colloquique a montré aussi de très belles choses parce qu'ils ont été présents quasiment tout le temps.
18:23Oui, c'est vrai.
18:24On a vu souvent les mêmes équipes.
18:29Alors, on va continuer à parler sur ces images.
18:31C'est les images qu'on a vues tout à l'heure, les images des highlights avec ce départ, ce départ fictif du côté de Colombay, les deux églises, avec ces équipes et des équipes, 14 équipes, Conti, qui étaient présentes.
18:47Ça, c'est important, évidemment, pour une épreuve comme le Paris 3.
18:52Oui, alors, c'était toujours un peu difficile de se décider.
18:56Pendant longtemps, on voyait comme là, il y a des attaques, un coureur qui tente, quelques-uns qui le suivent.
19:03Après, ils se font reprendre, c'est un autre qui va.
19:06On ne sait jamais.
19:07Puis d'un seul coup, ça décide de ne plus rouler.
19:09Des équipes représentées.
19:12Plus la place, il y en a qui aimeraient y aller.
19:13Comme là, on voit qu'il n'y a que quatre coureurs qui peuvent accélérer.
19:16En fait, les autres, il faut qu'ils arrivent à passer.
19:18Et ça joue aussi selon les endroits, avec la largeur des routes et tout ça.
19:22Et donc, il y a une part de...
19:24Bien sûr, il faut être fort.
19:25Après, il y a une part de réussite pour réussir à prendre une échappée qui va loin.
19:30Et puis après, un peu tactique, d'organisation.
19:35On a vu des belles choses.
19:36On a vu également les coureurs locaux, les coureurs de l'UVO qui ont montré également le maillot,
19:41notamment au début d'épreuve.
19:42Et puis voilà, on a eu des supporters, supportrices supplémentaires avec ces vaches sur le bord de la route.
19:47On a eu des chevaux quelques instants plus loin.
19:50Et toujours des équipes qui ont mis en route.
19:52On a parlé avec Emmanuel Morin.
19:55Roubaix n'était pas dans le premier bon coup.
19:57Il a fallu cravacher.
19:58Il a fallu se remettre dans le sens de la marche pour espérer ramener quelque chose de ce Paris 3.
20:05Derrière, ça a été compliqué.
20:06On a vu des attaques.
20:07On a vu des coureurs qui ont montré le maillot, qui ont réussi de belles choses.
20:10David Smalizabak était présent aussi.
20:13Et surtout des beaux paysages.
20:14Des beaux paysages, vu des hélicoptères, c'était assez sensationnel avec un temps magnifique.
20:20Les coureurs de Villefranche-Beaujolais aussi ont montré le maillot.
20:23Ils ont réussi.
20:24Vous parliez de l'UVO qui n'est pas toujours facile de pouvoir se montrer sur une course d'un tel niveau pour le club local de l'UVO.
20:32Mais ici, on les a bien vus à l'avant avec ses liants protins et puis encore représentés dans plusieurs échappées.
20:39Donc, je pense que c'est déjà une belle prestation du club local.
20:44D'ailleurs, on a vu les attaques qui sont succédées.
20:46On est passées près du lac de la forêt d'Orient avec beaucoup d'explications sur les paysages, sur le Pas-de-Quimouane.
20:54Ici, autour de la Haute-Marne, autour de l'AUBE.
20:58Évidemment, devant, ça a continué à accélérer.
21:00Il y a eu des tentatives de tous les côtés, pas forcément toujours constructives.
21:07Mais on a vu en finale avec une attaque.
21:10Là, on voit ce coureur de Villefranche-Beaujolais, le coureur de Coloquic.
21:15Et l'attaque, justement, c'est évidemment Nortoft.
21:18Et l'attaque de Nortoft qui ont pensé qu'elle allait être déterminante.
21:23Il est parti en contre-temps, finalement.
21:25Au moment où on ne s'attendait pas, au moment où ces quatre de devant étaient rattrapés par le peloton.
21:29C'est là où il a mis la mine.
21:32Oui, là, on commence.
21:33Voilà, j'allais dire, on observe.
21:34Il récupère un petit peu avant.
21:36Et là, il attaque.
21:37Les autres le voient deux, trois secondes après.
21:40Et après, c'est trop tard pour eux.
21:42Il n'y a plus que le peloton qui a eu une chance de le revoir.
21:47Mais c'était vraiment un suspense jusqu'au bout.
21:49Il est rentré en premier dans les rues de Troyes.
21:53On a cru qu'il était à l'accord.
21:54Ils se sont un peu gênés pour le dépasser.
21:56Et après, c'est fini.
21:58Et derrière, c'est Syrah.
21:59Syrah qui était le plus fort et qui a pu sprinter et s'imposer devant le coureur britannique du SCO Dijon.
22:07Alfred Georges est le troisième, le coureur de Vendricelle Roubaix qui a pris la troisième place.
22:14On va voir peut-être le classement de ce 66e Paris 3.
22:23Voilà, on va peut-être se quitter là-dessus dans quelques minutes.
22:27Évidemment, on va citer l'ensemble des personnes qui ont travaillé avec l'équipe d'hélicoptère.
22:31Avec Christelle Loiset et Mico Paillot.
22:33Les motos, la moto 1, la moto 1, on devrait le voir avec Olivier Menson et Timothée Bourin.
22:41Ça, c'est la moto 2.
22:42Voilà, et la moto 1, on va la voir dans quelques instants avec d'autres Olivier.
22:48Ça, c'est les équipes d'Olivier.
22:49Olivier Baudouin et Olivier Coliqui, notre cadreur.
22:52Merci beaucoup.
22:53Merci beaucoup d'avoir été présent à nos côtés.
22:57On l'a dit, hélicoptère Christelle Loiset, Mico Paillot.
22:59C'était Maxime qui était réalisateur.
23:01Merci Mathieu d'avoir été à mes côtés pour commenter ce Paris 3.
23:05On a pris énormément de plaisir.
23:07Merci à l'ensemble de l'équipe qui a travaillé en directeur de production.
23:11Nicolas Fournier, Maxime Le Rigoleur, le réalisateur.
23:14Alexandre Comte, infographiste.
23:15Charles Delanoura, Stéphane Wogg.
23:17Guillaume Cagnin, Xavier Deschuiteneur.
23:20Philippe Guidon et Naël Zinoun.
23:23Merci à tous de vous avoir suivi.
23:26Merci évidemment à Thomas qui était avec nous pour parler de patrimoine.
23:31Passez une excellente fin de journée.
23:33Une bonne fin de lundi de Pentecôte.
23:35Et à très bientôt sur les routes d'autres courses.
23:37Bien évidemment.
23:38Bonne soirée.
23:39Bye bye.
23:39Merci, au revoir.

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